Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 05 avril 2016

2006 - 2016 : Synthèse nationale vous informe depuis 10 ans !

1225097535.6.jpg

AIDEZ-NOUS, ADHEREZ AUX

AMIS DE SYNTHESE NATIONALE

Pour adhérer en ligne, cliquez ici

Bulletin d'adhésion, cliquez là

Source : Synthèse Nationale

A Douvres, les Anglais n'ont pas l'air enthousiastes de voir arriver les "migrants"

4217878174.jpg

Des centaines de patriotes anglais ont bloqué Douvres et se sont heurtés à la police pour protester contre l'invasion de leur pays, tandis que la veille, un énorme message de bienvenue était projeté sur des falaises à proximité. Preuve du fossé grandissant entre l'oligarchie collaborationniste britannique et le peuple qui, là aussi, relève la tête.


Source : Synthèse Nationale

Les roublards du voile islamique

797440114.jpg

Chacun sait avec quelle vigueur nos politiciens nationaux et locaux font respecter la Loi de 1905, instituant la séparation entre les religions et l’État. Officiellement, le port du voile islamique est interdit dans les établissements publics, scolaires et universitaires, hospitaliers et administratifs… il faut n’avoir pas fréquenté récemment ces établissements pour croire encore en l’application de la loi.

Toutefois, cette loi existe et jusqu’à son abolition, chacun est censé, non seulement ne pas l’ignorer, mais également l’appliquer.

Or, pour des raisons de (re)conquête du marché iranien (ni très riche, ni très important) les dirigeants de la société Air France, dont l’État détient encore 15% du capital, ont tenté d’obliger leurs hôtesses à porter le voile islamique, d’abord lors des vols vers l’Iran ou en provenant, avec l’arrière-pensée de l’exiger pour les trajets vers les autres États médiévaux, où la femme est l’humble servante de son nabab d’époux, dans son harem où il peut concentrer quatre femmes, en plus des esclaves dans les pays où persiste (discrètement) cette pratique, esclaves dont le despote peut user à sa convenance… lisez le coran !

Dans ces conditions, pourquoi n’habillerait-on pas nos hôtesses européennes d’un sari pour les lignes destinées à l’Inde ou ne les déguiserait-on pas en geishas (avec ou sans les attributs de ces « hôtesses » d’un genre très spécial) ? Où s’arrêtera-t-on dans la prostitution commerciale ? C’est la seule question à poser, lorsqu’on se trouve confronté à une telle crétinerie.

L’Europe fut exportatrice de civilisation. Il serait sot de l’oublier. Si les chefs d’État musulmans parlent haut et fort, c’est parce que des Européens et des Nord-Américains d’origine européenne ont découvert des champs pétrolifères dans des pays, où ils stagnaient depuis des millions d’années et où ils auraient pu le faire longtemps encore sans la technologie occidentale.

L’islam n’est fort que des pétrodollars de ses émirs, mollahs et roitelets, qui utilisent une démographie de primitifs pour envahir l’Occident et y porter une guerre de races et de religions.

Nous autres, Européens, n’avons pas à leur faciliter la tâche. Bien au contraire ! La très ignoble proposition d’un ou d’une carriériste d’Air France doit servir de sujet de réflexions. L’occident est malade des excès de zèle d’agents collaborateurs des nouveaux envahisseurs.

Plutôt que de hurler contre un « péril fasciste » inexistant ou pour le maintien d’une sous-activité de certaines catégories de travailleurs français, liée à quelques lois du travail obsolètes, il devient urgent de comprendre quel est le vrai péril et qui sont nos pires ennemis.

Docteur Bernard Plouvier

Source : Synthèse Nationale

Tv libertés : Politique et éco N°84 : La guerre perdue contre l'islam radical

Jean-Christophe Mounicq reçoit Guillaume de Thieulloy, rédacteur en chef des 4 Vérités, et directeur du Salon beige.


Hôtesses d'Air France, burkini, transports séparés : accommodements raisonnables ou islamisation ?

8ff6-c0578639f46a.jpg

Voile, burkini, dîners et transports où hommes et femmes sont séparés : les manifestations ostentatoires de l'islam se multiplient dans l'espace public. Les politiques et la société doivent prendre position, estime Eloïse Lenesley.

Le 16 mars dernier, se tenait un dîner d'étudiants comme tant d'autres à la London School Economics. À un petit détail près: filles et garçons étaient placés à des tables séparées, chaque groupe étant, en outre, isolé du regard de l'autre par un panneau géant. Deux numéros de téléphone distincts avaient même été mis en place pour réserver les billets d'entrée. Au Royaume-Uni, la ségrégation sexuelle initiée dans le cadre de rassemblements musulmans n'est pas exceptionnelle. Le rapport de l'association Student Rights s'alarmait déjà en 2013 de l'expansion du phénomène: pas moins de 180 interventions de prêcheurs radicaux avaient été recensées, sur un an, dans des établissements aussi prestigieux que Cardiff ou l'UCL et, pour plus d'un quart d'entre elles, hommes et femmes étaient priés de ne pas se mélanger. Parfois, ces dernières étaient reléguées au fond de la salle, comme lors d'un séminaire à Leicester University. Loin de condamner ces pratiques, le règlement des UK Universities avait même, dans un premier temps, accordé sa bénédiction, en suggérant de s'accommoder aux exigences de certains conférenciers pour raisons religieuses… avant d'opérer une piteuse volte-face au vu du tollé médiatique et d'une pétition engrangeant 8000 signatures en quelques jours. «Dans leurs efforts pour favoriser l'intégration, les UUK encouragent le sexisme et avalisent la discrimination», se désolait alors la féministe iranienne Maryam Namazie, en guerre contre «l'apartheid sexuel».

En août 2015, le membre du Parti travailliste Jeremy Corbyn avait préconisé de réserver des voitures du métro londonien aux femmes - une proposition déjà évoquée par la ministre des Transports Claire Perry l'année précédente. Aujourd'hui, c'est une compagnie allemande, Die Mitteldeutsche Regiobahn, qui annonce que des wagons de ses trains seront désormais dédiés aux femmes. Mais rien à voir avec les événements de Cologne, s'empresse-t-elle de préciser. Rien à voir. Il n'empêche que la démarche procède de la même logique. Se cacher de la concupiscence masculine, se dérober à la prédation, plaider coupable d'être objet de tentation, se retrouver cloisonnée dans son statut de femme. Cette même Allemagne où, le mois dernier, trois facs ont fermé leurs salles de prière, parce qu'elles étaient sous la coupe de musulmans radicaux qui imposaient la ségrégation sexuelle, voit ses chemins de fer emprunter de tortueuses dérives.

Tandis que l'Hexagone voyage par ciel voilé. La direction d'Air France a fait savoir à ses hôtesses qu'elles devraient obligatoirement porter un pantalon durant le vol, ainsi qu'une veste ample et un foulard islamique dès la sortie de l'avion, sur la future ligne Paris-Téhéran remise en service le 17 avril prochain. Fureur du personnel navigant et des syndicats, qui ont dû batailler plusieurs semaines pour «établir la possibilité d'un principe de volontariat au nom du respect des libertés individuelles». Ils ont finalement obtenu gain de cause auprès du DRH: un «dispositif d'exception» permettra aux récalcitrantes d'être réaffectées vers d'autres destinations.

Sur la terre ferme, les grandes enseignes de prêt-à-porter s'engouffrent dans l'interstice de la «mode pudique». Chasteté de l'épithète drapé d'opportunisme mercantile. Exit la haute couture de Coco Chanel ou d'Yves Saint Laurent qui émancipa les femmes, place aux burkini, abaya, hijab et autres geôles synthétiques qui les engoncent dans la soumission. Une fois n'est pas coutume, la seule féministe qui fait entendre sa voix pour appeler au boycott de ces marques est Elisabeth Badinter. Une exaspération partagée par Agnès B, Pierre Bergé et la ministre du Droit des femmes Laurence Rossignol, qui a commis l'imprudence d'esquisser un périlleux parallèle entre les voilées consentantes et les «nègres américains qui étaient pour l'esclavage». Il n'en fallait pas plus pour porter à ébullition médias et réseau sociaux, trouvant là le prétexte providentiel d'occulter le débat sur les tenues islamiques et d'éreinter, au nom de l'antiracisme, l'intrépidité intellectuelle de la ministre. Car il ne fait pas bon être de gauche et dénoncer les maux inhérents à l'islamisation du pays. Auteur du rapport «Génération radicale» promptement enseveli dans les méandres de la couardise hollandienne, Malek Boutih souffre de deux tares très mal perçues dans son propre camp: le franc-parler et le bon sens. Morceaux choisis de ses propos au Grand Journal au lendemain des attentats de Paris: «Pas faire des réunions, pas faire des commissions, pas faire de la paperasse, mais passer à l'action.» Résultat, des semaines de débats stériles qu'on savait perdus d'avance sur la déchéance de nationalité. «Si on s'occupait des femmes, si on les libérait, si on enlevait ce voile islamique, si on leur permettait l'égalité!» C'est mal barré (voir plus haut). «On doit mettre la méritocratie au cœur du fonctionnement: on ne donne pas des allocations, du pognon, des vacances à n'importe quel voyou» Oui mais voilà, l'angélisme a la vie dure. «Depuis que je m'exprime sur les banlieues, je vois que je gêne un certain nombre de petits intérêts de quotidien. Y'en a qui sont très contents d'avoir un ghetto d'électeurs pour eux.» Et là, le député de l'Essonne met le doigt où ça fait mal: la complaisance clientéliste d'élus de tous bords prêts à livrer aux émissaires de l'ombre les territoires d'une République morcelée, capables de monnayer la construction d'une mosquée contre le gavage des urnes, préférant se conforter dans le mirage qu'en lâchant un peu de lest, ils récolteront la paix sociale. Or, à l'inverse, ils se retrouvent piégés dans la politique du toujours plus. Plus de concessions au communautarisme, au fondamentalisme religieux.

Pour avoir osé dire que «ce n'était pas un hasard que Coulibaly ait grandi à Grigny», Malek Boutih s'est vu traîner en justice par le maire pétri d'indignation. Comme si la tristement célèbre cité de la Grande-Borne n'était pas un racailleland hors concours depuis vingt-cinq ans, une souricière de la délinquance qui n'a pas attendu 2005 pour faire flamber des bagnoles. Mais il ne faut pas le dire. De même, ne divulguons pas qu'une «centaine de quartiers en France présentent des similitudes potentielles avec ce qui s'est passé à Molenbeek», comme l'a avoué Patrick Kanner, ministre de la Ville, que ces déclarations sulfureuses ont extirpé avec fracas de l'anonymat médiatique dans lequel il végétait jusqu'alors. Là encore, pourquoi une telle bronca des élus et des médias de gauche? Où réside la finalité d'un tel aveuglement face à la menace salafiste? Dans quel labyrinthe idéologique s'égare ce travestissement du réel, qui nie depuis des années la banalisation des vêtements islamiques, des discours anti-France, des départs pour le djihad, des zones de non-droit, qui nous a anesthésiés avec des fables de «loups solitaires», de «déséquilibrés» alors que des cellules terroristes très organisées se développaient dans les banlieues «populaires»? La réponse se résume peut-être à quelques chiffres.

L'économie musulmane, en plein essor, draine 1,8 milliard de consommateurs. Ils seront 2,4 milliards en 2030, à raison d'une démographie se situant entre 2,5 et 3% par an. Le marché du halal représente entre 5,5 et 7 milliards d'euros en France (premier consommateur d'Europe, avec une progression de 17% dans les grandes surfaces), 700 milliards de dollars dans le monde (2000 milliards de dollars en 2025) ; le marché de la mode musulmane devrait, lui, atteindre 500 milliards de dollars d'ici à 2019. L'Europe devra-t-elle sacrifier ses valeurs, sa culture sur l'autel des intérêts pécuniaires et géopolitiques? Accepter l'émergence de lieux de culte financés par des Saoudiens comme à Nice, malgré l'opposition du maire Christian Estrosi? Tolérer la ségrégation sexuelle, les corps dissimulés comme une maladie honteuse, l'annexion de quartiers entiers par les fondamentalistes? A-t-elle déjà renoncé? «Je vis comme je peux, dans un pays malheureux riche de son peuple et de sa jeunesse, provisoirement pauvre dans ses élites, lancé à la recherche d'un ordre et d'une renaissance à laquelle je crois. Sans liberté vraie, et sans un certain honneur, je ne puis vivre», disait Albert Camus.

Eloïse Lenesley

Source : Le Figaro

Record mondial : en 2015, 10 000 millionnaires ont quitté la France à cause de son islamisation

AA8.jpg

Les tensions avec l’islam radical en France ont contribué à l’accélération de l’exode des personnes les plus aisées du pays, selon un rapport récent. L’étude, qui analyse les tendances migratoires des individus fortunés, met en garde contre un phénomène qui pourrait toucher d’autres pays européens dont le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Suède “où des tensions religieuses ont commencé à émerger”.

Le rapport a été réalisé par le New World Wealth, une agence qui délivre des informations relatives au secteur de la richesse globale. L’analyse repose sur une collecte de données auprès d’investisseurs internationaux, de statistiques gouvernementales, des registres des ventes de propriétés, etc.

La France arrive en tête de classement avec 10.000 millionnaires ayant quitté le pays en un an, soit 3 % du nombre total vivant dans l’Hexagone. Parmi les villes impactées par ces départs, Paris arrive en tête avec 7.000 millionnaires qui ont sont partis pour s’installer au Royaume-Uni, aux USA, au Canada, en Australie ou en Israël.

“L’énorme émigration des millionnaires depuis la France est notable, la France étant lourdement impactée par l’accroissement des tensions entre chrétiens et musulmans, surtout dans les zones urbaines. Nous estimons que l’émigration des millionnaires depuis la France va s’accélérer durant la prochaine décennie à mesure que les tensions vont continuer d’augmenter“ avertit le rapport.

Source : Le blog de Thomas Joly

Cercle de Précy : Immigration : la catastrophe

Mercredi 13 avril, La Traboule aura le plaisir d’accueillir Jean-Yves Le Gallou dans le cadre du Cercle de Précy. Celui-ci nous parlera de son dernier livre intitulé « Immigration : la catastrophe ». Ne manquez pas cette occasion, la conférence débutera à 20h et sera suivie d’une séance de dédicaces !

immigrationJYLG-723x1024.jpg

Source : Rebeyne

La Grèce renvoie 202 migrants vers la Turquie, et après ?

envoye-en-turquie-photo-afp-1459796827.jpg

Les échanges controversés de migrants ont débuté dans le calme hier. La Commission européenne espère ainsi décourager ceux qui veulent rejoindre l’Europe. Mais les demandes d’asile risquent de retarder le mécanisme.

Trois bateaux ont ramené hier en Turquie 202 migrants irrégulièrement débarqués en Grèce, tandis que 43 Syriens étaient envoyés de Turquie dans l’Union européenne, dans une répétition générale de la mise en œuvre de l’accord controversé UE-Turquie.

Le plan conclu le 18 mars prévoit que tous ceux arrivés en Grèce depuis le 20 mars seront refoulés s’ils n’ont pas demandé l’asile en Grèce ou si leur demande y a été rejetée au nom de la protection dont ils sont censés jouir en Turquie. En contrepartie, pour chaque Syrien renvoyé en Turquie, l’UE accepte d’en « réinstaller » un autre depuis la Turquie, dans la limite de 72 000.

Une opération bien orchestrée

Ainsi, alors que 202 migrants, dont deux Syriens, effectuaient la traversée d’une dizaine de milles depuis les îles grecques de Lesbos et de Chios hier matin, 32 Syriens atterrissaient à Hanovre en Allemagne, et 11 en Finlande. D’autres étaient attendus aujourd’hui aux Pays-Bas. Ces « réinstallés », surtout des familles, ont été sélectionnées par le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) en fonction de leur vulnérabilité. L’opération, bien orchestrée et très médiatisée, respecte à la lettre la date du 4 avril avancée dès la signature de l’accord par la chancelière allemande Angela Merkel. En Grèce, elle s’est déroulée dans le plus grand calme. Sa suite s’annonçait toutefois plus compliquée. Car si les 202 premiers renvoyés semblaient avoir jeté l’éponge, il n’en est pas de même pour la plupart des 6 000 autres consignés sur les îles depuis le 20 mars. Pour Lesbos seule, plus de 2 000 d’entre eux ont déjà demandé l’asile, retardant ainsi leur départ éventuel.

« Ne venez pas, vous serez renvoyés »

Selon Giorgos Kyritsis, porte-parole de l’organe de coordination de la politique migratoire en Grèce, « 30 experts du droit d’asile et des interprètes des pays membres de l’UE » arrivés hier à Athènes doivent être déployés pour former des commissions d’asile sur les îles d’ici au 7 avril.

« Qu’est-ce qui va arriver aux milliers de gens qui ont demandé l’asile quand tout ça va réellement commencer ? », s’interrogeait à Lesbos Gauri Vaugulik, vice-directrice d’Amnesty International Europe.

Pour Panos Carvounis, chef de la représentation de la Commission européenne en Grèce, le « test d’hier a envoyé un signal très fort pour dire aux gens “ne venez pas en Grèce par barque car vous serez renvoyés” ».

Mais au moment même où il s’exprimait, quelque 200 nouveaux migrants parvenaient à rejoindre à leur tour Lesbos depuis les côtes turques.

Source : Le bien public

La Grèce renvoie 202 migrants vers la Turquie, et après ?

envoye-en-turquie-photo-afp-1459796827.jpg

Les échanges controversés de migrants ont débuté dans le calme hier. La Commission européenne espère ainsi décourager ceux qui veulent rejoindre l’Europe. Mais les demandes d’asile risquent de retarder le mécanisme.

Trois bateaux ont ramené hier en Turquie 202 migrants irrégulièrement débarqués en Grèce, tandis que 43 Syriens étaient envoyés de Turquie dans l’Union européenne, dans une répétition générale de la mise en œuvre de l’accord controversé UE-Turquie.

Le plan conclu le 18 mars prévoit que tous ceux arrivés en Grèce depuis le 20 mars seront refoulés s’ils n’ont pas demandé l’asile en Grèce ou si leur demande y a été rejetée au nom de la protection dont ils sont censés jouir en Turquie. En contrepartie, pour chaque Syrien renvoyé en Turquie, l’UE accepte d’en « réinstaller » un autre depuis la Turquie, dans la limite de 72 000.

Une opération bien orchestrée

Ainsi, alors que 202 migrants, dont deux Syriens, effectuaient la traversée d’une dizaine de milles depuis les îles grecques de Lesbos et de Chios hier matin, 32 Syriens atterrissaient à Hanovre en Allemagne, et 11 en Finlande. D’autres étaient attendus aujourd’hui aux Pays-Bas. Ces « réinstallés », surtout des familles, ont été sélectionnées par le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) en fonction de leur vulnérabilité. L’opération, bien orchestrée et très médiatisée, respecte à la lettre la date du 4 avril avancée dès la signature de l’accord par la chancelière allemande Angela Merkel. En Grèce, elle s’est déroulée dans le plus grand calme. Sa suite s’annonçait toutefois plus compliquée. Car si les 202 premiers renvoyés semblaient avoir jeté l’éponge, il n’en est pas de même pour la plupart des 6 000 autres consignés sur les îles depuis le 20 mars. Pour Lesbos seule, plus de 2 000 d’entre eux ont déjà demandé l’asile, retardant ainsi leur départ éventuel.

« Ne venez pas, vous serez renvoyés »

Selon Giorgos Kyritsis, porte-parole de l’organe de coordination de la politique migratoire en Grèce, « 30 experts du droit d’asile et des interprètes des pays membres de l’UE » arrivés hier à Athènes doivent être déployés pour former des commissions d’asile sur les îles d’ici au 7 avril.

« Qu’est-ce qui va arriver aux milliers de gens qui ont demandé l’asile quand tout ça va réellement commencer ? », s’interrogeait à Lesbos Gauri Vaugulik, vice-directrice d’Amnesty International Europe.

Pour Panos Carvounis, chef de la représentation de la Commission européenne en Grèce, le « test d’hier a envoyé un signal très fort pour dire aux gens “ne venez pas en Grèce par barque car vous serez renvoyés” ».

Mais au moment même où il s’exprimait, quelque 200 nouveaux migrants parvenaient à rejoindre à leur tour Lesbos depuis les côtes turques.

Source : Le bien public

Immigration / L’accord avec la Turquie prend l’eau

Chaos logistique, organisation bâclée, incertitude quant au sort des clandestins, l’accord entre Bruxelles et Ankara prévoyant le retour des clandestins arrivés en Grèce vers la Turquie prend effet ce lundi. Alexandre Rivet.


***


La Bérézina migratoire continue sur les cotes européennes. L’accord signé entre l’Union Européenne et la Turquie le 18 mars dernier pour gérer le flux de clandestins prend effet ce lundi. Problème, cet accord annoncé comme une solution aux vagues migratoires qui s’abattent sur l’Europe s’avère un chaos logistique. Sur 4 000 personnels mobilisés en Grèce, on devrait compter 1 500 fonctionnaires grecs et 2 500 autres venus des pays de l’UE. Seuls 200 seraient déjà arrivés en terre Hellène selon un porte parole du gouvernement grec.
Lundi matin, un premier ferry chargé de 750 clandestins renvoyés de Grèce est arrivé dans le port turc de Dikili. Une fois sur place, les clandestins sont enregistrés et acheminés vers des camps. Des camps dont la localisation et le statut demeurent inconnus. 2 autres ferries partis de Grèce ont suivi le chemin de la Turquie dans la journée. Des ONG comme Amnesty International s’inquiètent et craignent que de nombreux migrants, notamment Syriens, soient expulsés. L’Office français de protection des réfugiés et apatrides, l’OFPRA, va de son coté mobiliser du personnel en Grèce pour “relocaliser des réfugiés…”, c’est-à-dire tenter de les imposer aux pays européens. L’accord, s’il pose de sérieux problèmes logistiques, pèche aussi par l’absurdité de la démarche.
En effet, le plan prévoit que, pour chaque Syrien renvoyé de Grèce, un autre sera admis en UE dans la limite de 72 000 places. L’accord envisage le retour en Turquie des 6 000 clandestins arrivés en Grèce depuis le 20 mars, or en 2015, plus d’un million d’immigrés illégaux sont arrivés sur les îles grecques. Le plan arraché à Ankara au prix d’intenses négociations et de concessions, notamment sur l’adhésion de la Turquie à l’UE s’avère un leurre ou tout au moins un effet d’annonce. En France, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé que la France vient de donner son accord à l’accueil de 81 Syriens réfugiés en Turquie avant d’ajouter que d’autres suivront dans les prochaines semaines.

Source : Lesobservateurs.ch

Immigrés – Durs affrontements à la frontière italo-autrichienne

Affrontements entre forces de l’ordre et migrants soutenus par les No-Borders au Brenner. Cailloux, feux de Bengale, projectiles divers et variés, lancés sur les policiers. Agents blessés, manifestants arrêtés. Pour imposer la réouverture de la frontière italo-autrichienne à l’immigration-invasion.

A 1400 m d’altitude, le col qui sépare l’Italie de l’Autriche est pris d’assaut depuis des mois par des migrants qui veulent rejoindre les États providences du Nord. Mais l’Autriche a décidé de fermer ses frontières et de refouler tout clandestin, demandeur d’asile, migrant économique.

Au grand mécontentement des hôtes des centres d’accueil italiens, autrichiens et allemands qui se sont, dimanche dernier, donnés rendez-vous au Brenner pour protester « contre la politique des murs ». Ils étaient 600 environ à manifester violemment contre « la forteresse Europe » ‘inhumaine et égoïste ». 600 dont de nombreux européens d’extrême-gauche, ethnomasochistes haineux envers leur propre peuple, leur pays et le sol qui les a nourri.

Cinq agents de sécurité ont été blessés ainsi qu’une dizaine de manifestants dont certains ont été arrêtés.

Francesca de Villasmundo

Source : MPI

Viol collectif sur un bateau de croisière suédois transportant 1700 étudiants : 5 immigrés arrêtés

Viol-Suede-croisiere.jpg

Comme d’habitude, la police et les médias suédois ne disent rien de l’origine des suspects arrêtés. Après la plainte déposée par une jeune étudiante victime d’un viol en bande, tous les passagers de sexe masculin au débarquement ont dû sortir un à un pour permettre à la victime d’identifier ses agresseurs. Aucune des cinq personnes arrêtées n’est née en Suède. Deux des violeurs s’étaient vantés à l’embarquement, devant des journalistes qui interviewaient les étudiants, de prendre ce bateau pour « baiser ». C’est justement le journal Aftonbladet qui a révélé que les personnes soupçonnées d’être à l’origine du viol étaient « de type méditerranéen ou moyen-oriental » car ils ont mis en ligne l’interview avec ces deux jeunes avant de la retirer. Puis il a été révélé qu’un des hommes ayant participé au viol avait déjà été condamné et que deux étaient déjà soupçonnés dans une enquête sur un meurtre commis à Stockholm en novembre 2015. Ils avaient été remis en liberté en attendant leur jugement.

Après plusieurs décennies d’immigration de masse, la Suède est devenu un des pays au monde avec le plus fort taux de viols. Ce phénomène s’est aggravé depuis l’année dernière avec la crise de l’immigration illégale.

Source : Nouvelles de France

Lagny-sur-Marne : nouvelle procédure contre l’association des musulmans

2213c45cf-1_545x460_autocrop.jpg

La suspension de la dissolution de l’association des musulmans de Lagny-sur-Marne est une petite victoire pour son président Mohamed Ramdane. Pourtant, motivée par un vice de procédure, cette décision prise mercredi dernier par le juge des référés au Conseil d’Etat reste provisoire.

D’ici à cet été, l’affaire sera jugée sur le fond par la plus haute juridiction administrative française. D’autant plus qu’il semblerait que l’Etat ne veuille pas en rester là pour cette mosquée, suspectée d’être « un lieu d’endoctrinement ».

Selon Mohammed Ramdane, « une nouvelle procédure serait lancée pour qu’un nouvel arrêté dissolve à nouveau l’association ». « On m’a notifié ce vendredi que l’Etat repartait à la charge, je ne comprends pas trop, j’ai l’impression qu’ils veulent avoir le dernier mot, déplore le président des musulmans de Lagny. Le compte à rebours commence, nous devrions avoir un mois de répit, le temps de faire parvenir nos observations, mais j’ai l’impression que le ministère de l’Intérieur veut aller jusqu’au bout. »

Mercredi pourtant, la décision du Conseil d’Etat l’avait réjoui. « En matière de justice ça réchauffe le cœur, nous allons pouvoir à nouveau nous défendre et engager des recours. Pour nous, ce n’est pas un combat gagné contre le ministère ou le gouvernement, mais l’occasion de faire valoir nos droits et d’œuvrer pour qu’un lieu de culte rouvre à Lagny ».

Justement, une nouvelle association a déposé ses statuts pour représenter les musulmans de Lagny. Mohammed Ramdane, quant à lui, assure vouloir se mettre en retrait pour laisser d’autres fidèles prendre le relais et entamer un nouveau dialogue avec la mairie de Lagny-sur-Marne.

« Ils ont gagné sur un vice de procédure mais sur le fond, le flou persiste »

Une option que la municipalité ne semble pas être prête à prendre en compte pour le moment : « Cette suspension est particulière, ils ont gagné sur un vice de procédure mais sur le fond, le flou persiste, tempère Pierre Tebaldini, directeur de cabinet du maire (UDI) de Lagny-sur-Marne. Nous avons une vision à trop court terme pour savoir ce qu’il va se passer. Cependant, cette décision de justice montre aux musulmans qu’il n’y a pas de traitement de défaveur contre eux et évacue ainsi les postures de victimisation que certains pourraient adopter ».

En attendant un probable nouvel arrêté de dissolution, le gel des avoirs de l’association des musulmans de Lagny est toutefois maintenu, selon Mohammed Ramdane, empêchant l’association, bien qu’elle ait retrouvé une existence légale, de récupérer ses biens dans la mosquée fermée par arrêté préfectoral depuis le 2 décembre dernier.

Marion Kremp

Source : Le Parisien

 

Troyes : le retour à la mosquée d'une figure locale en lien avec des islamistes dérange

illustrationcafp_7.jpg

Le président de l’Association du rassemblement des musulmans de l’agglomération troyenne (Armat), écarté pour ses connaissances dans les milieux djihadistes, a récupéré son poste.

Rachid Zejli ne fait pas l'unanimité. Jusqu'à son éviction du conseil d'administration de l’Association du rassemblement des musulmans de l’agglomération troyenne (Armat), cet homme était chargé de faire le lien entre la communauté musulmane et les pouvoirs publics troyens. Comme le relate l'Est éclair, depuis son retour récent à la tête de l'Armat, la mosquée se vide, les cours d'arabe et de Coran à l'école sont désertés par les enfants.

Et pour cause. Si cet homme avait été écarté du conseil d'administration, c'est en raison de ses relations avec des contacts des terroristes du Bataclan. Abdelilah Ziyad, proche de l'un des kamikazes du 13 novembre, avait été condamné en 1997 à huit années de réclusion pour avoir commandité un attentat commis au Maroc trois ans plus tôt. Juste après les attentats de Paris, il est arrêté par la police. Les autorités réalisent alors que depuis deux ans, cet homme prêchait sous une fausse identité à la mosquée de Troyes. Rachid Zejli avait alors promis tout ignorer à propos de l'islamiste de 57 ans. Avant d'avouer avoir eu connaissance de sa véritable identité et de la condamnation.

Source : Valeurs actuelles

Grande mosquée de Nice Ouest : l’irresponsabilité du préfet et la responsabilité de Christian Estrosi

10fgdgg.jpg

Communiqué de presse de Marie-Christine Arnautu, Vice-présidente du Front National, Député français au Parlement européen, Conseillère municipale et métropolitaine de Nice, présidente du groupe « Front National »

Le préfet Adolphe Colrat vient de rendre une décision grave, en se déclarant favorable à l’ouverture de la Grande mosquée de Nice Ouest. En effet, tant le financement saoudien initial du projet qu’une partie de ceux le soutenant dans notre commune (la très radicale Fédération des Musulmans du Sud notamment) ne laissent rien présager de bon. Pire encore, le préfet pose comme condition que la direction de la Grande mosquée s’ouvre à d’autres associations, parmi lesquelles l’UMAM (Union des Musulmans des Alpes-Maritimes) qui n’est autre que représentation locale de l’UOIF islamiste.

Il s’agit d’une attitude parfaitement irresponsable à l’heure de l’explosion de la menace islamiste et de son développement exponentiel dans notre commune. Arguant d’ « un signe de reconnaissance, de valorisation et de fierté pour les Niçois de confession musulmane », le préfet Colrat prend le risque de fissurer un peu plus encore la cohésion sociale de notre ville et en particulier du secteur, déjà très sensible, des Moulins.

Si Christian Estrosi, de son côté, s’agite beaucoup contre cette ouverture imminente, il ne peut s’exonérer de sa lourde responsabilité dans cette situation.

Au niveau local, n’est-ce pas lui qui se déclarait favorable à une mosquée centrale à Nice, en septembre 2006 ? N’est-ce pas lui qui, au cours de la campagne des municipales 2008 avait plaidé pour que celle-ci soit dans la plaine du Var ? Une position que les socialistes ne manquèrent pas de lui rappeler lorsqu’il fut élu, à travers un vœu très explicite en décembre 2009, énonçant notamment « Considérant que durant la campagne électorale des dernières élections municipales, vous avez publiquement pris position à plusieurs reprises en faveur de la réalisation d’une grande mosquée à Nice… ». C’est aussi ce même Christian Estrosi qui à travers ses relations avec l’UOIF à Nice a ouvert la voie à des compromissions qu’aucun maire de Nice ne s’était jamais permis, et dans laquelle d’autres mouvances islamistes souhaitent s’engouffrer. D’ailleurs, n’est-ce pas non plus la ville de Nice qui avait délivré l’autorisation de travaux pour la Grande mosquée ?

Au niveau national, c’est encore ce même Christian Estrosi qui a été le complice de décennies d’immigration massive, de communautarisme et de renoncement à l’assimilation, de faiblesse face à l’islamisme. Il a appartenu à un gouvernement ayant invité l’UOIF à la table de la République à travers le CFCM et ayant renforcé les liens de la France avec le Qatar.

Si dénoncer l’attitude du préfet est juste et légitime, cela ne suffira pas à Christian Estrosi pour s’exonérer de sa propre responsabilité dans cette situation.

Front National

Mosquée de Quimper. L'association turque reste mobilisée

quimper.lassociation-turque-reste-mobilisee.jpg

La mairie de Quimper a refusé le permis de construire. L’Association cultuelle musulmane turque déposera une nouvelle demande qui prendra en compte les modifications voulues.

« Un dialogue constructif »Après le refus du nouveau permis de construire de la future mosquée par la mairie (Ouest-France de samedi 2 avril), l’association cultuelle musulmane turque reste optimiste. Dans un communiqué, son président Mehmet Yilmaz souhaite poursuivre « un dialogue constructif » avec la municipalité.

Nouvelle demandeUne réunion est programmée dans les prochains jours avec la mairie. « Souhaitant l’aboutissement du projet, notre association déposera une nouvelle demande de permis de construire en prenant en compte les observations de la Ville relatives à l’intégration paysagère : coupoles en zinc et ajustement de la hauteur du minaret au niveau de la coupole principale ».

L’histoire du projetEn 2003, l’association achète son bâtiment actuel qui n’était plus utilisé depuis plusieurs années. En 2004, un permis de construire est accordé pour rénovation. Conséquents, les travaux sont échelonnés sur plusieurs années. « À l’usage, la communauté turque a souhaité faire évoluer son projet pour rendre plus fonctionnel, plus esthétique et plus accueillant son centre culturel et cultuel. Elle décide d’entreprendre une nouvelle construction en déconstruisant une partie des bâtiments existants. L’association est créée à cet effet. »

Deux demandes de permisUn premier projet est rejeté par manque de pièces complémentaires. Une seconde demande de permis est déposée : la mairie valide l’intégralité des pièces et examine la demande. En octobre 2015, il est convenu d’augmenter les places de stationnements. Après les observations du service départemental d’incendie et de secours (Sdis), de nouvelles difficultés juridiques relatives aux bâtiments existants entraînent un second refus. Le projet se poursuit.