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mercredi, 20 avril 2016

L’armée allemande infiltrée par l’Etat Islamique ?

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Les services allemands du contre-espionnage militaire (MAD) ont rendu public un rapport indiquant la possibilité que le groupe djihadiste Etat islamique ait infiltré la Bundeswehr, l’armée allemande, avec l’intention de collecter des armes et des moniteurs pour leurs camps d’entraînement en Syrie et Irak. Le MAD ne parle pas de tentatives d’infiltration systématique, mais ses soupçons sont validés par des données inquiétantes: 29 anciens soldats se sont rendus en Syrie et en Irak pour combattre dans les rangs de groupes djihadistes, État islamique compris, et 65 autres soldats sont sous enquête pour suspicion de tendances islamistes.

Depuis 2007, le MAD a enquêté sur 320 cas de présumés islamistes dans l’armée (Bundeswehr), dont 7 % seraient considérés comme «extrémistes» «La Bundeswehr, comme toutes les armées, peut être très attrayante pour les islamistes en recherche d’armes pour l’entrainement, nous sommes donc face à un danger réel qui doit être pris très au sérieux», a déclaré le commissaire parlementaire aux forces armées, Hans-Peter Barlels.

Un danger réel parce que l’enquête du MAD, indépendamment du nombre, a montré le manque de contrôles de la Bundeswehr, à l’exception des soldats et officiers qui travaillent dans les zones sensibles ou avec des informations classifiées. Les porte-paroles du ministère de la Défense ont annoncé mardi que d’ici la fin du mois sera présenté au Cabinet un projet de loi qui permettra de renforcer les contrôles de tous ses effectifs pour empêcher les infiltrations.

Le projet de loi prévoit, entre autres, l’étude exhaustive de chacun des candidats à la Bundeswehr, y compris la formation, les antécédents familiaux, les croyances religieuses, ainsi que des contrôles réguliers des troupes. L’Allemagne est l’un des pays d’Europe occidentale qui compte le plus d’anciens militaires partis rejoindre les djihadistes au Moyen-Orient, des jeunes nés dans des familles musulmanes ou convertis qui, une fois revenus, pourraient constituer un risque pour la sécurité en Europe.

Source : MPI

L’Autriche veut fermer ses frontières avec l’Italie

Arrivée du printemps et route des Balkans fermée : deux conditions qui poussent les vagues de migrants vers l’Italie qui devient ainsi la route privilégiée des aspirants au titre de « réfugiés ». Populations en exode qui se déversent, de la péninsule, sur tout le sol européen, par le col du Brenner, un des principaux points de passage avec le voisin autrichien.

L’Autriche tonne : elle construira un mur au Brenner si l’Italie n’adopte pas des mesures pour stopper l’invasion. De toute façon les portes vont se fermer : « Si l’Italie continue à faire passer les migrants et l’Allemagne à contrôler sa frontière comme elle le fait maintenant, nous aurions un sérieux problème » a expliqué le ministre de la défense autrichien, Hanspeter Doskozil, au cours d’une réunion de son parti, le Sphe. Le Tyrol deviendra, a-t-il prophétisé, « une grande salle d’attente. » « En cas de crise, nous devrons fermer les frontières. » a donc précisé le ministre de la défense autrichien, qui ajoute que si le flux de migrants continue et incontrôlé à travers la frontière du Brenner se maintient « nous demanderons à l’Italie de pouvoir contrôler aussi sur son territoire. »

Depuis mardi, du côté autrichien, des travaux pour la construction d’une clôture au Brenner destinée à barrer la route aux clandestins a donc débuté. Pour bien montrer que l’Autriche prend les choses très au sérieux et ne se laissera pas intimider par les réactions hostiles que sa décision de fermer son pays aux nouveaux migrants a suscitées dans le gratin immigrationiste européen.

Le gouvernement italien s’insurge à travers son ministre des Affaires extérieures, Paolo Gentiloni, qui estime que cette décision « serait grave car cela signifie oublier que les problèmes doivent être affronter ensemble et non en érigeant des barrières. » Ce serait « un mauvais signal pour l’Europe »

L’évêque de Bolzano et Bressanone, au pied du col, Mgr Ivo Muser y a été aussi de son couplet culpabilisant et misérabiliste sur le journal local, Il corriere dell’Alto-Adige : « Ma première préoccupation ne réside pas dans les conséquences négatives sur l’économie et le tourisme, mais va d’abord à ces femmes, ces hommes et ces enfants qui fuient et ont besoin de notre aide », « L’Europe a besoin de solutions communes et non de barrières. Celle-ci n’est pas une vague migratoire de quelques mois, mais un mouvement de masse qui se prolongera des années » pour terminer par un rappel à l’année de la miséricorde, atout magique pour faire accepter aux européens une invasion : « A quoi ça sert de célébrer l’Année de la Miséricorde, si ensuite nous sommes durs de cœur envers notre prochain? »

A quoi ça sert une année de la Miséricorde sans une prise de conscience de tous ces beaux esprits philanthropes et humanitaristes que leur premier prochain sont, non toute la misère du monde, mais avant tout les hommes et les femmes dont ils ont la charge. Et qu’ils sacrifient allègrement, avec dureté de cœur, sur l’autel de l’idéologie cosmopolite et mondialiste à laquelle ils sont soumis !

Francesca de Villasmundo

Source : MPI



Pegida Allemagne: Tatiana Festerling dénonce l’immigration musulmane de masse et les mensonges des immigrationnistes

Tatyana Festerling est devenue, en quelques mois, l’emblématique et charismatique porte-parole du mouvement de résistance Pegida en Allemagne:

 

L’Union Européenne réforme le droit d’asile pour favoriser l’invasion

Le nombre de débarquements sur les côtes italiennes a déjà doublé par rapport à l’an dernier. La crise migratoire avec ses conséquences dramatiques que sont l’aggravation de l’insécurité, du marasme économique et de la banqueroute financière ainsi que la conquête islamique de nos territoires grâce à l’arrivée de combattants djihadistes prêts à se faire sauter et à des populations en majorité musulmane, pèse toujours plus lourd sur les épaules d’une vieille Europe à l’agonie. Et l’Union Européenne ne trouve rien de mieux à faire que de réformer dans un sens encore plus libéral le droit d’asile ! Pour attirer, encore et encore, de nouveaux clandestins sur le continent européen, en leur rendant leurs démarches d’obtention du droit d’asile plus simples et plus favorables.

Avec 459 votes pour, 206 contre et 52 abstentions, les eurodéputés ont donc approuvé mardi 13 avril 2016 la réforme du droit d’asile proposée par la socialiste italienne d’origine congolaise, Cecile Kyenge, arrivée clandestinement sur le vieux continent, rappelons-le. C’est un véritable plan de l’Union européenne pour amener toujours plus de migrants en Europe.

« Chaque demandeur d’asile devrait être considéré comme une personne en recherche d’asile dans toute l’Europe et non dans un seul État membre » lit-on dans le texte qui décrète ainsi la fin du Traité de Dublin.

La révision du traité prévoit la création d’un système « centralisé » du droit d’asile pour consentir une meilleure gestion des flux migratoires et des demandeurs d’asile qui arrivent en Europe. Avec la résolution nouvellement approuvée (mais qui n’est pas contraignante) le Parlement de l’UE a décidé également de l’ouverture de couloirs humanitaires pour garantir que les migrants ne finissent pas entre les mains des trafiquants. En effet, selon cette vénérable assemblée composée surtout d’idéologues immigrationistes « l’actuel système du droit d’asile ne tient pas compte suffisamment de la particulière pression migratoire à laquelle sont soumis les pays membres situés aux confins externes de l’Union. »  Qui, en conclusion, ne décide pas sagement, pour alléger cette pression, de la fermeture totale des frontières aux confins de l’Europe ni du renvoie des bateaux et des ses occupants, manu militari s’il le faut, à la manière australienne. Au contraire, sous le prétexte fallacieux d’aider les pays des confins,  il met en place des secours pour aider les clandestins à rejoindre le territoire européen. En somme, c’est l’UE qui favorise l’invasion au détriment des populations européennes, et pour le plus grand avantage des trafiquants qui voient leur commerce de chair humaine conforté.

Dans le document voté, il est demandé en outre aux États membres de s’engager dans la redistribution des migrants débarqués en Grèce et en Italie. Concernant la réimplantation de camps de réfugiés, le texte insiste sur le fait que l’UE a besoin « d’une approche législative contraignante et obligatoire ».  Pour mieux multiplier des petits Calais sur tout le vieux Continent…

L’ex-ministre de l’intégration de l’Italie, Cécile Kyenge, a ainsi pu exulter : « Avec le rapport approuvé aujourd’hui, nous décrétons la fin du règlement de Dublin et nous allons vers un système européen du droit d’asile ».

Avec la congolaise Kenye, qui semble avoir comme but de changer les composantes ethniques des vieux peuples européens, nous allons vers la submersion sans retour de l’Europe, submersion favorisée par des euro-députés traites à leur nation.

Francesca de Villasmundo

Source : MPI

Alain Soral s’inquiète d’un Pape au service du Nouvel Ordre Mondial et plus préoccupé par les migrants musulmans que par les chrétiens d’Orient

Le samedi 16 avril 2016, le pape François s’est rendu sur l’île grecque de Lesbos et a ramené avec lui à Rome douze réfugiés syriens musulmans. Alain Soral livre sa réaction.


Alain Soral s'exprime à propos du Pape François par LaPravdaCH

Source : MPI

Où habitent les immigrés ?

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Selon une étude de l'Insee, une part importante des 5,7 millions d’immigrés qui vivent en France réside dans des grands pôles urbains, en particulier dans l’aire urbaine de Paris.

Qui sont-ils ? Où habitent-ils ? D'où viennent-ils ? Une étude publiée ce mardi par l'Insee fait un point précis sur les zones géographiques où les immigrés se sont installés au fur et à mesure des grandes vagues d'immigration.

Pour mémoire, une personne immigrée est une personne née dans un autre pays que celui où elle réside selon la définition de l'Organisation des Nations Unies.

" Un immigré peut garder sa nationalité ou acquérir la nationalité française. Dans les deux cas il reste immigré. Le fait d'être immigré est donc permanent ", précise l'Institut.

Huit immigrés sur dix résident dans les grands pôles urbains

En France, au 1er janvier 2012, la population immigrée était estimée à 5,7 millions de personnes. Parmi elles, 40 % ont acquis la nationalité française. Un chiffre à comparer à la population totale française, estimée à 65,2 millions de personnes.

Principal enseignement, huit immigrés sur dix résident dans les grands pôles urbains. près d'un immigré sur quatre, 38% précisément, vit dans l'aire urbaine de Paris où résident 12,3 millions de personnes, ce qui représente 2,2 millions de personnes. Concrètement, 17,7 % des personnes qui résident dans l'aire urbaine de Paris sont immigrées.

La concentration géographique des populations immigrées a évolué au fil des années." Entre les deux guerres, les flux migratoires en provenance d'Italie et d'Espagne se sont accélérés afin notamment de combler les besoins en main d'œuvre de l'industrie en expansion, mais également de l'agriculture. À cette époque, les immigrés venus d'Espagne se sont majoritairement installés dans le sud-ouest de la France pour travailler dans l'agriculture, mais aussi dans les départements industriels (Paris et sa petite couronne, Rhône, Isère, Bouches-du-Rhône). Les Italiens ont quant à eux immigré dans les zones industrielles de l'est de la France ", rappelle l'Insee.

Les derniers arrivants ? Les populations turques et chinoises

De fait, après 1945, ce sont des immigrés algériens qui sont venus travailler dans l'industrie, "principalement en Île-de-France, à Lyon, à Marseille ou à Grenoble et s'y sont installés ", précise le rapport.

Et ensuite ? Au cours des années 1960, les immigrés portugais sont également venus combler les besoins en main d'œuvre. Ils se sont installés en fonction de l'extension des grands travaux des zones urbaines. Les immigrés arrivés depuis la fin des années 1960 d'Afrique subsaharienne se sont très majoritairement établis en Île-de-France. Au cours des années 1960 et jusqu'au milieu des années 1980, les vagues migratoires en provenance de l'Asie ont été trop ponctuelles pour constituer des populations d'origine commune importantes. Depuis 1999, l'immigration asiatique est essentiellement d'origine turque ou chinoise.

Une répartition spatiale qui a peu varié

Autre enseignement, les immigrés sont moins présents dans les zones peu ou très peu densément peuplées. " La répartition territoriale de la population immigrée est le résultat de plusieurs vagues d'immigration, notamment vers le sud-ouest de la France et les zones urbanisées et industrialisées des années 1960 ; elle varie toutefois selon le pays de naissance. De fait, les immigrés arrivés en France depuis moins de cinq ans s'installent dans des lieux où vivent déjà beaucoup ceux arrivés depuis longtemps ".

Résultat, la répartition spatiale des immigrés n'a que très peu évolué entre les recensements de 2007 et 2012. En effet, 72,9 % de l'ensemble des immigrés habitent en 2012 dans les 48 aires urbaines de plus de 200 000 habitants, soit autant qu'en 2007. Et après ? Les statistiques portant sur l'exercice suivant, l'année 2013, seront publiés en décembre.

Fabien Piliu

Source : La Tribune

L’appel de musulmans à coloniser l’Italie

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La loi anti-mosquée votée début avril en Vénétie, en Italie, suscite l’émoi dans la communauté musulmane. Un émoi qui s’exprime avec un appel lancé sur Facebook aux musulmans du monde entier à envahir l’Italie.

« Musulmans venez en Italie » c’est le message écrit sur la page web du groupe Rumiya Al-Mawu’ , communauté musulmane internationale qui compte 80 000 inscrits et qui est domiciliée en Italie.

« Nous apprenons avec déplaisir que la loi anti-mosquée a été votée en Vénétie la semaine dernière. La loi pose des restrictions pour la construction de nouveaux lieux de culte et de facto réduit la capacité de pratiquer la religion musulmane librement et en toute sécurité.

« Si la communauté islamique en Italie était plus forte et nombreuse cela ne serait pas arrivé » continue le post, écrit en Italien et en arabe. Qui invite donc à l’envahissement de l’Italie : « Nous demandons à tous les musulmans du monde de rejoindre l’Italie, pour renforcer notre communauté et nous aider à garantir un futur meilleur pour tous.  »  Enfin pour tous, c’est un bien grand mot. Pour les musulmans, oui, pour les Italiens, non !

D’autre part, pour bien marquer cette volonté d’islamiser et de coloniser l’Italie, le drapeau italien reproduit sur le message est islamisé tout simplement avec au centre la parole Inshallah (Si Allah veut)

Ces gentils envahisseurs musulmans ont déjà trouvé deux alliés de poids dans leur œuvre de conquête : l’évêque de Venise qui s’est insurgé contre cette loi anti-mosquée au nom de la liberté religieuse. Et surtout le pape François qui a ramené avec lui, de Lesbos, trois familles musulmanes, soit 12 personnes. Avec de tels soutiens, la colonisation de l’Italie par le monde musulman risque d’être un jeu d’enfants…

Francesca de Villasmundo

Source : MPI



Montpellier – 6 mois de prison pour l’Imam

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Six mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve ont été requis mercredi contre l’imam Mohamed Khattabi qui comparaissait devant le tribunal correctionnel de Montpellier pour recel de fraudes aux allocations et « travail dissimulé ».  Trois mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve ont été également requis contre Nadia Mallem, sa compagne et la mère de quatre de ses enfants, notamment pour avoir mis en avant auprès de la Caisse d’allocations familiales (Caf) une « fausse qualité de parent isolé ». Le jugement a été mis en délibéré au 18 mai.

Source : Riposte catholique

L'immigration est en forte baisse en Suisse

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D'un côté, le nombre d'étrangers arrivés en Suisse a diminué, de l'autre l'émigration a augmenté. Conséquence: le solde migratoire a chuté de 34,5% au 1er trimestre.

L'immigration nette d'étrangers a diminué au premier trimestre 2016, selon les derniers chiffres du Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). L'immigration a baissé de 9,7%, tandis que l'émigration a augmenté de 11,5% par rapport à la même période de l'année dernière.

Le solde migratoire après les trois premiers mois de l'année était de 15'027 personnes, ce qui correspond à une baisse de 34,5%. Cette diminution concerne aussi bien les ressortissants d«Etats membres de l«UE-28 ou de l«AELE (-38,4%) que ceux d«Etat tiers (-25,4%). Le nombre d'étrangers venus d'un Etat membre de l'UE ou de l'AELE pour travailler en Suisse est de 32'667, soit une diminution de 14,7% par rapport au premier trimestre de 2015.

Sur la même période, 10'880 personnes sont entrées en Suisse dans le cadre d'un regroupement familial (-8%). Un cinquième d'entre eux sont des membres de la famille d'un Suisse ou d'une Suissesse, selon un communiqué du SEM publié mardi. Fin mars, 2'004'263 étrangers vivaient en Suisse, dont 1'371'572 étaient ressortissants d«un Etat membre de l«UE ou de l«AELE et 632'691 d«un Etat tiers.

Augmentation de 2% sur un an

La population étrangère résidante permanente a crû de 1,9% entre mars 2015 et mars 2016. Si les autorisations d'établissement ont augmenté de 1,5% et les permis de séjour de 2,9%, le nombre d'autorisations délivrées pour un séjour de courte durée (un an au minimum) est en baisse de 5,2%.

Plus de deux tiers (68,4%) des étrangers résidant de façon permanente en Suisse proviennent de l'UE/AELE. L'Italie et l'Allemagne sont les principaux pays d'origine, avec respectivement 15,7% et 15,1%, devant le Portugal avec 13,4%. Suivent la France (6,2%), le Kosovo (5,5%) et l'Espagne (4,1%).

L'augmentation la plus marquée entre mars 2015 et mars 2016 concerne la France, dont 5136 nouveaux ressortissants sont arrivés en Suisse, devant l'Italie (3957) et le Portugal (3682). Inversement, les plus forts reculs sont le fait des Serbes (-3541) et des Turcs (-910).

La population d'étrangers qui résident de façon non permanente en Suisse a de son côté reculé de 7,9% sur une année. En provenance d'Europe ou d'un Etat tiers, les étrangers vivant temporairement en Suisse étaient moins nombreux en mars 2016 qu'un an auparavant. Seul le nombre de ressortissants croates est en hausse, passant de 173 à 211 ( 22%).

Source : 24heures.ch

Un groupuscule d'extrême droite préparait des attaques contre des réfugiés en Allemagne

La police allemande a arrêté aujourd'hui cinq personnes soupçonnées d'appartenir à un groupuscule d'extrême droite projetant des attaques à l'explosif contre des demandeurs d'asile, annonce le parquet fédéral.

Plus de 200 agents des forces de l'ordre ont participé à l'opération menée dans la région de Dresde, la capitale politique du land de Saxe, en ex-Allemagne de l'Est. Les cinq suspects, âgés de 18 à 39 ans, auraient formé l'an dernier le "groupe de Freital", du nom d'une ville de la région où un centre d'accueil de demandeurs d'asile a été la cible d'un incendie criminel l'an dernier.

Source : Le Figaro