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lundi, 25 avril 2016

Au moins 2 000 migrants dans les camps en Ile-de-France

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Il y a déjà au moins 2 000 immigrés en situation irrégulière en Ile-de-France, selon la présidente d'une association d'aide aux migrants, qui justifie ainsi l'occupation illégale de bâtiments.

Malgré l'accord entre l'Union européenne et la Turquie, la France croule toujours sous l'afflux de migrants. Selon Geneviève Domenach-Chich, présidente régionale du Comité inter-mouvements auprès des évacués (Cimade) interrogée sur France Info, "il y a au moins 2 000 personnes dans la rue, dans des campements" en Ile-de-France. Elle évoque ici un bilan total prenant en compte "tous les campements et tous les squats".

Une occasion pour elle de préciser sa position quant aux occupations illégales de bâtiments par les immigrés : "A priori, je ne suis pas particulièrement favorable aux occupations illégales, sauf qu'il faut être réaliste", a-t-elle expliqué. "Il y avait eu une occupation illégale du lycée Jean-Quarré [un lycée inoccupé]. Voilà qu'il est devenu un centre d'hébergement soutenu par la municipalité de Paris, où les choses se passent correctement." Et d'insister : "Quand les gens vivent dans des conditions si terribles, il ne faut pas s'étonner qu'il y ait des tensions. C'est une banalité, mais c'est une réalité".

Source : Valeurs actuelles

Agression de Gennevilliers : Journée de la jupe et langue de bois médiatique

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À Gennevilliers, cette semaine, Illham, 19 ans, a roué de coups une copine de 16 ans qui attendait le tramway. Pas une dispute entre copines sympas dopées d’hormones adolescentes, non, un tabassage en règle, de ceux qui mènent une adolescente aux urgences dans le coma.

De la barbarie dans notre quotidien jusqu’au quai du tramway, le « tous-les-jours » de nos vies, rythmé par une violence devenue ordinaire. Mis à part le motif : lynchée de coups parce qu’elle était en jupe.

Dans la France normale, maltraitée par quarante ans d’abandon d’identité, de reculades communautaristes, de zones de non-droit érigées en royaume du multiculturalisme où le vivre ensemble a remplacé le vivre bien, une jeune fille de 16 ans est frappée à terre par une furie haineuse parce qu’elle porte une jupe. Le constat est déjà si affligeant qu’il n’aurait pas été besoin de lui rajouter un traitement de l’information à vous faire prendre des vessies pour des lanternes.

La jeune fille a d’abord expliqué « qu’elle ne supportait pas de voir la victime habillée d’une mini-jupe, qu’elle considérait que c’était une tenue indécente ». « Elle ne s’est pas expliquée plus que cela à ce sujet », raconte la magistrate.

Bien conseillée, la jeune fille en fleur. Pas plus d’explication que cela sur cette aversion subtile liée au port d’une jupe ? C’est dommage. Ou bien vu ? Rouer de coups à terre une copine jusqu’à ce que coma s’ensuive, la maintenir par les cheveux pour lui éviter de se sauver dans le tramway, pour une jupe trop courte ?

En revanche, poursuit le procureur de la République, « aucun motif religieux n’est apparu lors de l’enquête ». On respire ! Un grand ouf de soulagement !

Une seconde dans l’esprit des ballots primaires que nous pourrions être, l’idée qu’une jeune fille de banlieue dont le nom résonne oriental ait pu assommer à coups de pied, en la traitant de « sale pute », une copine juste parce qu’elle portait une mini-jupe contraire à sa religion a pu traverser nos esprits étroits…

Nous voilà rassurés car anesthésiés par le bien–pensé, dérivé subtil du vivre ensemble à n’importe quel prix, et surtout celui du renoncement.

D’autant que nos médias s’y sont tous mis afin de rassurer nos âmes torturées en passe de conversion au politiquement correct. Le Parisien y voit « une agression sur fond de féminité ». Plus poétique, tu meurs. À coups de pied dans la tête ? La jeune fille (entendez l’agresseur) s’est rendue d’elle même au commissariat. Sympa, non ?

Du coup, une forêt de micros s’est tendue vers la nouvelle mise en examen, star d’un moment et tabasseuse d’hier, afin qu’elle puisse s’expliquer. Sur son tabassage ? Et elle a démenti en bloc : « Franchement, je ne suis pas contre ça, même moi, je sors en jupe. » En jupe ? Ce que la jeunesse ose, de nos temps, quand même…

Car il fallait oser. Il fallait oser traiter cette information sans nommer la cause probable et effleurer l’agression sans pointer du doigt l’ignominie du motif.

Anne-Sophie Désir

Source : Boulevard Voltaire

Algérie: nouvelle polémique autour de la future Grande mosquée d’Alger

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En Algérie, le ministre des Affaires religieuses a répété ce week-end que le projet de la Grande mosquée d'Alger serait livré à temps. Le projet est gigantesque : 20 000 hectares, un minaret de 270 mètres, ce qui en ferait la 3e plus grande mosquée au monde, et il est régulièrement au cœur de polémiques. Mais cette fois, ce sont les cabinets d'études allemands chargés du projet et les autorités algériennes qui s'affrontent par médias interposés.

Lorsque le projet de la Grande mosquée est lancé en 2012, un cabinet allemand est chargé de l'étude, une entreprise chinoise de la réalisation.  A la fin de l'année dernière, Alger met fin à sa collaboration avec les Allemands. Motif : le cabinet n'a pas fait assez de formation. Mais dans la presse, il y a quelques semaines, l'un des responsables algériens accuse l'entreprise allemande d'être surtout responsable du retard qu'a pris le chantier.

Le cabinet allemand réplique par voie de presse : le retard est lié à l'entreprise chinoise, dont la qualité n'est pas à la hauteur des attentes. L'entreprise aurait par ailleurs tenté à plusieurs reprises de faire de la surfacturation. Le cabinet allemand conclut en affirmant que, vu le retard, la Grande mosquée ne sera pas terminée avant 2019.

Mais ce projet, lancé par Abdelaziz Bouteflika, est très politique. Alors ce week-end, le ministre des Affaires religieuses algérien réplique et déclare que la mosquée sera bien livrée fin 2016, et ceux qui affirment le contraire n'ont qu'un objectif, « saper les efforts de l'Algérie ».

Source : Rfi.fr

La Grande mosquée de Beuvrages (59) en cours d’édification dans le valenciennois

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Beuvrages, petite commune de 6728 habitants, se dote d’une grande mosquée. Un dénommé Ismail, en lien avec l’Etat islamique, 17 ans, avait planifié un attentat déjoué à Fort Bear le 17 Juillet 2015. Il habite la commune…

Source : islamisation.fr

Imams et prêtres du 93 appellent au dialogue entre les religions

 

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« Chacun va partager les expériences de rencontres entre musulmans et chrétiens qu’il s’efforce de favoriser dans sa communauté. » Jean Courtaudiere, prêtre et délégué du service diocésain des relations avec les musulmans de l’église catholique du 93 (SDRM 93), lance le débat.

Autour de la table, des responsables musulmans et catholiques se sont rassemblés, ce samedi, dans une salle paroissiale du Raincy à l’initiative du SDRM 93 et de l’association cultuelle et culturelle du Bourget, pour promouvoir le dialogue entre les religions. Ils livrent leurs témoignages.

« Le dialogue existe depuis longtemps en Seine-Saint-Denis »

« Le dialogue interreligieux existe depuis des siècles, commence Mohamed Bendada, imam à Saint-Denis, en citant des versets du Coran. Et en Seine-Saint-Denis, c’est une réalité depuis longtemps. » Le 22 mai prochain, il ouvre les portes à tous de la future grande mosquée de sa ville. « Il faut se rencontrer et se parler pour casser les préjugés », estime-t-il. Dans la même logique, à Gagny, par exemple, églises et mosquées organisent depuis trois ans des déjeuners entre fidèles des deux communautés. Les initiatives sont nombreuses « et pas suffisamment mises en avant », selon Merzak El-Bekkay, porte-parole de l’association cultuelle de Sevran. Dans cette commune, le 6 mai prochain, les jeunes croyants de la mosquée rencontrent l’aumônerie d’un lycée de Bretagne. Une initiative, parmi d’autres, qui se renouvelle depuis 2008.

« Comment accompagner les conversions ou les mariages ? »

« Un jeune de Clichy-sous-Bois, d’une famille musulmane, vient aux messes au Raincy depuis quelques années, témoigne le prêtre Frédéric Benoist, du Raincy. Il demande le baptême mais indique que cette décision provoquera une rupture familiale. » Le sujet est sensible et pourtant la question se pose : « Comment pourrions nous les accompagner ensemble, ce jeune et sa famille, entre prêtre et imam ? », interroge le religieux. « Le monde a évolué, poursuit Mouloud Benzaoui, président des musulmans du Bourget. Il y a des nouveaux sujets. » Jean Courtaudiere réagit : « j’ai marié, à la Basilique de Saint-Denis, une jeune femme musulmane, fille d’un imam, avec un chrétien. Les couples mixtes sont de plus en plus nombreux. Ils se marient parfois à la mosquée et à l’église. Il y a un enjeu dans l’accompagnement de ces mariages qui sont le témoignage d’un vivre-ensemble exceptionnel. »

« Je propose une action commune autour de la charité »

Un diacre, responsable de l’accueil des sans-papiers pour le Secours catholique dans le 93, prend la parole : « la majorité de nos bénéficiaires sont de confession musulmane et certains de nos bénévoles le sont aussi. Il y a une vraie convergence sur ce sujet ». Mardi 24 mai, pour les 70 ans du Secours catholique, c’est une célébration interreligieuse qui sera organisée à la paroisse Saint-Charles du Blanc-Mesnil. Pour Nouefel Lebed, vice-président des associations musulmanes de Gagny, « il ne faut pas s’attarder sur les différences mais regarder les points communs et parmi eux, il y a la charité. Je propose d’organiser une action dans le département, musulmans et chrétiens réunis, contre la précarité ».

Un comité de travail s’est constitué, ce samedi, pour lancer le travail.

Floriane Louison

Source : Le Parisien

Belgique: heurts entre nationalistes et forces de l'ordre à Anvers

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Samedi soir, une manifestation organisée par les militants de Pediga a dégénéré en heurts avec la police dans la ville belge d'Anvers, selon les médias locaux.

Samedi à Anvers (Belgique), une manifestation des partisans du mouvement anti-islamisation Pediga a dégénéré, rapportent les médias locaux.

"Cette marche vise à montrer que nous souhaitons (…) la fermeture des frontières et l'arrêt de subsides pour l'Islam", a déclaré un manifestant, cité par le quotidien Nieuwsblad.

Les militants de Pegida, qui se présentent comme des "patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident", se sont réunis sur la place Hendrik Conscience d'Anvers pour demander notamment le rétablissement permanent des frontières. Après quelques discours, le cortège est parti dans les rues d'Anvers, où une bagarre a rapidement éclaté avec, semble-t-il, des personnes qui se trouvaient dans un salon de coiffure. Une vitrine a été brisée et plusieurs équipes de la police ont été déployées dans le quartier.

Pediga, acronyme désignant Européens patriotes contre l'islamisation de l'Occident, a commencé à organiser des manifestations en 2014 à Dresde, en Allemagne, auxquelles ont pris part des centaines, puis des milliers de sympathisants.

Le mouvement allemand d'extrême droite s'est développé dans plusieurs pays membres de l'Union européenne suite à la plus grave crise de migrants que l'Europe ait jamais connue depuis la Seconde Guerre mondiale.

Source : Sputniknews

La justice ordonne la fermeture de l’unique mosquée de Saint-Gratien

Après plusieurs années de conflit entre la mairie (Les Républicains) de Saint-Gratien et l’Association des Musulmans de la ville (AMSG), la justice vient de trancher en faveur de la municipalité.

Le Tribunal de Grande Instance de Pontoise a en effet ordonné vendredi 22 avril « la fermeture sous 24 heures de la mosquée sise 5 rue Massenet ». En outre, l’Association des Musulmans de Saint-Gratien est condamnée aux dépens (remboursement des frais de justice).

En 2013, l’ASMG a fait acquisition d’un pavillon sise 5, rue Massenet en vue de le transformer en mosquée. Mais la ville s’est toujours opposée à cette transformation, et un premier permis a été refusé. Elle a même changé le PLU (Plan Local d’Urbanisme) obligeant cet établissement à disposer de places de parking (15), qu’il ne pourra aménager.

APPEL AU PRÉFET

«Elle n’aime pas l’islam visible et taper sur les musulmans c’est son fonds de commerce. Nous souhaitons désormais que le préfet prenne les choses en main face aux abus de pouvoir d’un maire qui use de sa fonction pour interdire un lieu de culte nécessaire. Nous ne perdons pas espoir et nous sommes convaincus que nous aurons une mosquée un jour», réagissait Ali Mecis, président de l’AMSG dans les colonnes de la Gazette du Val d’Oise en novembre dernier.

DÉCEMBRE 2014 : 400 MANIFESTANTS DANS LES RUES DE SAINT-GRATIEN

«Pour que la lutte contre l’islamophobie soit aussi une cause nationale», «Touche pas à ma mosquée». C’est sous ces slogans que près de 400 musulmans avaient défilé le 20 décembre 2014 dans les rues de la ville à l’appel de l’AMSG et des associations luttant contre l’islamophobie. Une forte mobilisation pour cette commune de 20.000 habitants.

SAINT-GRATIEN EST DONC LA DEUXIÈME VILLE APRÈS LAGNY-SUR-MARNE À ÊTRE PRIVÉE DE SA MOSQUÉE.

Source : Des domes et des minarets

Elections en Autriche: l'extrême-droite largement en tête

L'extrême droite est arrivée largement en tête du premier tour de l'élection présidentielle dimanche en Autriche, les deux grands partis au pouvoir depuis 1945 étant éliminés d'entrée, selon des projections basées sur des résultats partiels et des sondages de sortie des urnes.

Le candidat du parti FPÖ, Norbert Hofer, remporterait 36,7% des voix, réalisant le meilleur résultat de ce parti depuis la guerre à une élection nationale en Autriche. Un écologiste, Alexander van der Bellen, et une candidate indépendante, Irmgad Griss, sont au coude-à-coude pour la deuxième place, à respectivement 19,7% et 18,8% des suffrages, selon ces projections. 

La crise des migrants qui a particulièrement touché le pays en plein sur la route des Balkans, a fait largement progresser les mouvements d'extrême-droite. 

Source : Le Figaro

Accord sur l’immigration : Merkel sur les bords de l’Euphrate

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A l’occasion de la tournée médiatique de la chancelière allemande Angela Merkel, accompagnée d’Ahmet Davutoglu, Premier ministre turc, du président du Conseil européen, Donald Tusk, et du commissaire Frans Timmerman, au camp de Nizip-2 sur les bords de l’Euphrate, où vivent pas moins de 5.000 réfugiés syriens, des ONG et des défenseurs des droits de l’Homme ont, une nouvelle fois, dénoncé laccord signé entre Bruxelles et Ankara, l’état des centres d’accueil des migrants illégaux pakistanais ou afghans et le blocage de milliers de réfugiés syriens à la frontière turque, rapporte le journal Le Monde.

Même si l’arrivée en Grèce des migrants a baissé, selon la Commission européenne, l’application de l’accord UE-Turquie sur le terrain reste très limitée puisque, depuis le 20 mars, seulement 325 migrants ont été renvoyés de Grèce en Turquie tandis que 103 réfugiés syriens ont pu rejoindre l’UE. « Nous ne devons pas attendre pour appliquer notre part de l’accord », a indiqué, jeudi 21 avril à Luxembourg, le ministre néerlandais aux migrations, Klaas Dijkhoff.

Quant à Ankara qui estime appliquer les clauses de ce contrat, elle attend les six milliards d’euros promis, la relance des négociations d’adhésion à l’UE ainsi que l’obtention des visas pour ses ressortissants. Le gouvernement turc qui reste méfiant, a menacé, par la voix de son Premier ministre M. Davutoglu, de se désengager de cet accord si les procédures d’obtention des visas ne sont pas assouplies d’ici le mois de juin.

Source : impact24