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samedi, 07 mai 2016

Les musulmans menacent de massacrer les chrétiens dans les centres d’asiles suédois

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Selon l’Alliance évangélique suédoise, un réfugié chrétien dans Kalmar, au sud-est de la Suède, a été menacé d’être « massacré », et d’être égorgé par un homme qui prétendait avoir combattu avec des groupes djihadistes en Syrie.

Un couple chrétien pakistanais a emménagé dans une église lorsque le nom du mari a été graffité sur un mur près de leur chambre pour demander sa mise à mort. D’autres demandeurs d’asile à Kalmar ont été contraints de quitter leur logement lorsque le harcèlement qu’ils subissaient s’est intensifié.

 «Les chrétiens ne vivent pas dans des camps de réfugiés au Moyen-Orient, parce que, là aussi, ils sont persécutés par des extrémistes musulmans. A cause de cela, la plupart du temps, ils ne sont pas habilités à bénéficier de l’aide de l’ONU. Nous, les Eglises et les organisations communautaires, faisons de notre mieux pour les aider.

« Un hébergement d’asile séparé pour les chrétiens et les autres demandeurs d’asile est essentiel. Nous vous demandons de trouver un tel endroit et de redonner au mot asile son sens véritable de protection et de sécurité ».

Dans sa réponse, le directeur général de l’Office suédois des migrations, Anders Danielsson, a souligné la longue tradition de la Suède d’aider les personnes fuyant la guerre et la persécution :

« (…) Les appels pour un logement séparé pour les chrétiens et les autres groupes vulnérables iraient à l’encontre des principes et des valeurs qui sont au cœur de la société suédoise et de notre démocratie», a-t-il dit. « Ce serait considéré comme un grand échec d’avoir à recourir à la ségrégation en tant que mesure. » 

Source : Jeune Nation

Premier procès sur les violences du nouvel-an à Cologne

Le premiera accusé à comparaitre devant un tribunal de la ville de Cologne, dans l'Ouest de l'Allemagne, est un Algérien de 26 ans - l'évènement a donné du grain à moudre aux mouvemants xénophobes.

Plus de 1000 délits, dont 480 agressions sexuelles recensées, en une nuit: c'était à Cologne, dans l'Ouest de l'Allemagne, lors du nouvel an cette année. Des évenements qui ont choqué les allemands. Quatre mois plus tard, le tribunal de Cologne ouvre un premier procès sur les agressions sexuelles survenues cette nuit-là. Un procès symbolique - Des explications de Karina Kochan, en cliquant sur l'image ci-dessus.

Le document audio, cliquez ici

Synthèse nationale Hors série n°5 sur la Première Rencontre Charles Martel qui s'est tenue à Poitiers

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Synthèse nationale

Hors série n°5

Automne 2015

80 pages, 15  €

 

Dimanche 7 juin, près de Poitiers où se tenait le congrès du Parti socialiste, s'est déroulée la 1ère rencontre Charles Martel destinée à dénoncer la politique d'immigration menée par les différents gouvernements depuis des décennies.

Cette rencontre était organisée par le Cercle du Chat botté présidé par Jacques Soulis.

Elle s'est déroulée là où en 732 Charles Martel gagna la fameuse "Bataille de Poitiers" contre les envahisseurs arabes.

 

Ce recueil rassemble les interventions de :

Hugues Bouchu, Président de la Ligue francilienne

Pierre Cassen, Président de Riposte laïque

Paul-Marie Coûteaux, Directeur des Cahiers de l'Indépendance

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Julien, étudiant identitaire poitevin

Carl Lang, Président du Parti de la France

Richard Roudier, Porte parole du Réseau Identités

Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine

Pierre Vial, Président de Terre et peuple

L'acheter en ligne, cliquez ici

ou à Synthèse nationale 116 rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement) Ajouter 3 € de frais de port.

Sciences Po lance une formation interreligieuse

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Sciences Po et les représentants des principaux cultes, catholique, protestant, orthodoxe, juif, musulman et bouddhiste, ont annoncé mercredi 4 mai le lancement d’un programme de formation interreligieux. Dès la rentrée 2016, prêtres, pasteurs, rabbins, imams et moines bouddhistes seront les nouveaux étudiants de l'Institut d'Études Politiques de Paris.

Ce nouvel enseignement est destiné à mieux former les responsables et cadres religieux, clercs ou laïcs, des différentes communautés religieuses. Elle est baptisée "Emouna, l'amphi des religions". L'objectif, précise le communiqué, est de renforcer les liens et la connaissance mutuelle, et assumer une juste place dans la laïcité et la culture françaises. «Nous ne pouvons rester immobiles et impuissants face à une sorte de crispation qui entoure le fait religieux en France, de même que face aux pratiques les plus extrêmes, double écueil qui menace notre société» explique le directeur de Sciences Po, Frédéric Mion.

Pendant 18 jours répartis sur neuf mois, trente élèves, ministres du culte ou responsables d’associations cultuelles en formation ou déjà actifs, seront accueillis dans des locaux de Sciences Po. Le programme sera dispensé par des universitaires, des responsables religieux et des professionnels issus des secteurs public et privé, et conduira à la validation d’un certificat.

Parmi les thèmes abordés, la connaissance des liens entre les religions et institutions françaises, l’apprentissage de l’environnement politique et institutionnel entourant les pratiques religieuses, la connaissance des différentes religions et de leurs traditions intellectuelles et rituelles, l’exercice de responsabilités dans le cadre d’une communauté religieuse.

L’initiative est portée par un groupe interconfessionnel en lien avec le grand rabbinat de France, le conseil des rabbins libéraux Kerem, la Conférence des évêques de France (CEF), la Fédération protestante de France, l’Assemblée des évêques orthodoxes de France, le Conseil français du culte musulman (CFCM) et l’Union des bouddhistes de France. Et le projet a reçu le soutien de l’État français.

Source : Radiovaticana

 

 

Différencier de Populisme de l’Extrême droite : une mission impossible ?

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Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours, et très justement, assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.

À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient de chauds partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891, qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle, pas celle enseignée dans nos écoles et facultés, offre de petites joies au chercheur !

Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui, par son immobilisme et son égoïsme, permet aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais : à octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.

De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.

Comment désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État (aux USA ou en Chine) ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes ?

Pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire, adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.

On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de la globalisation et de la mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la médiocratie  que de la méritocratie.

Docteur Bernard Plouvier

Source : Metamag

À Dresde, la ville de Pegida, découvrez cette usine en forme de mosquée

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Bastion du mouvement islamophobe Pegida, la ville allemande de Dresde accueille depuis plus d’un siècle une immense réplique de mosquée. Cette ancienne usine abrite aujourd’hui des bureaux et un restaurant.

Durement touchée par les bombardements alliés à la fin de la Seconde guerre mondiale, la ville allemande de Dresde a su reconstruire ses grands monuments. Parmi eux, on compte le célèbre opéra de la ville, son église de Notre-Dame ou encore l‘élégant palais du Zwinger. Moins prestigieuse mais ô combien curieuse, l’ancienne fabrique de cigarettes Yenidze a elle aussi été entièrement remise en état. Retour sur un bâtiment qui célébrait le goût allemand pour l’Orient, un siècle avant la naissance du mouvement islamophobe Pegida.

Créée en 1907 (et achevée en 1909) cette surprenante construction mimant avec de nombreux détails une mosquée abritait à l’origine l’«Orientalische Tabak- und Cigarettenfabrik Yenidze» (manufacture de tabac oriental et de cigarette Yenidze), un fabricant célèbre à l’époque. Fondée en 1886, il avait pris le nom d’une ville de l’empire ottoman Yenice-i Vardar, devenue Giannitsa, dans le nord de la Grèce, et vendait avec beaucoup de succès en Allemagne des cigarettes sous la marque «Salem Aleikum».

Une cheminée-minaret

Alors forcément, lorsqu’elle s’installe sur les bords de l’Elbe, à Dresde, la marque compte bien jouer sur son image orientale. Elle fait appel à un architecte du cru, Martin Hammitzsch, qui s’inspire directement du complexe funéraire du sultan Qaytbay, au Caire. Il ne reste plus qu’à intégrer la cheminée en la transformant en minaret et à faire de la coupole une élégante verrière.

Entièrement restauré en 1996, le bâtiment qui culmine tout de même à 62 mètres continue d’attirer les curieux. Si la manufacture de tabac a disparu, les locaux abritent aujourd’hui 9.000 m² carrés de bureaux répartis sur cinq étages. Le lieu est accessible au public, notamment pour des lectures de contes (souvent orientaux) et des concerts sous l’élégante coupole vitrée sans oublier le restaurant situé juste en dessous.

Jean-Bernard Litzler

Source : Le Figaro

 

[Vidéo] Génération Identitaire à Calais

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Depuis des mois, Calais est devenue le symbole dans notre pays de la véritable invasion à laquelle est confrontée notre continent.

Puisque l’État se montre incapable de défendre réellement les Calaisiens, Génération Identitaire a pris les choses en main !

130 militantes et militants de Génération Identitaire ont occupé deux ponts de la ville de Calais, afin d’en bloquer l’accès aux immigrés clandestins.

Opposant une résistance passive uniquement, les jeunes identitaires ont été durement matraqués et gazés par la police sous les ordres d’un Préfet s’empressant sans doute d’obéir docilement aux instructions du gouvernement.

Si les gouvernants refusent de protéger les populations en rétablissant des frontières, à l’échelle nationale comme européenne, alors ils verront les peuples dresser des barricades !

Autriche. Interpellé pour des têtes de porc déposées devant une mosquée

Soupçonné d'avoir déposé deux têtes de porc sur le site d'une mosquée en construction jeudi soir, un homme de 46 ans a été interpellé à Graz en Autriche.

Le témoignage de passants serait à l'origine de l'arrestation de cet homme de 46 ans. Il « a déposé les têtes de porc sur le chantier et souillé le minaret avec du sang », a indiqué un porte-parole de la police locale, alertée par des passants au moment des faits. 

« Il ne s'agit pas seulement d'une attaque contre notre mosquée mais d'une attaque contre toute notre communauté religieuse, ses fidèles et la liberté de religion », a déploré le Centre islamique de Graz sur sa page Facebook.

Propagation des préjugés Les délits racistes recensés par la police ont augmenté de moitié en Autriche durant l'année 2015, au cours de laquelle le pays a été en première ligne des flux migratoires, selon un récent bilan du ministère de l'Intérieur.  La chancelier social-démocrate Werner Faymann a mis en garde vendredi contre le « risque d'une polarisation croissante de la population et la propagation des préjugés ».

Deux crimes -un viol et un homicide- récemment commis à Vienne et dont les auteurs présumés sont étrangers ont concentré l'attention médiatique et politique en pleine campagne électorale pour l'élection présidentielle.  En réaction à ces faits, la coalition gouvernementale entre sociaux-démocrates (SPÖ) et conservateurs (ÖVP) veut présenter dans les prochains jours des mesures visant les demandeurs d'asile auteurs d'infraction et les personnes en séjour irrégulier en Autriche.

Le candidat d'extrême droite (FPÖ) à la présidentielle Norbert Hofer est arrivé, avec 35% des suffrages, en tête du premier tour le 24 avril et est favori pour succéder au social-démocrate Heinz Fischer (SPÖ). Il affrontera un écologiste se présentant sous l'étiquette d'indépendant, Alexander Van der Bellen, au second tour le 22 mai.  Les candidats SPÖ et ÖVP ont été éliminés.

Source : Ouest France

Hauts-de-Seine: trois blessés dans une fusillade à Colombes

Trois personnes ont été blessées par balle ce jeudi après-midi dans un quartier populaire de Colombes (Hauts-de-Seine) par le conducteur d’un deux-roues qui a pris la fuite, a-t-on appris de source policière. La fusillade s’est déroulée en fin d’après-midi, boulevard Charles-de-Gaulle, dans un quartier de la ville connu pour abriter d’importants trafics de stupéfiants.

Deux voitures et un deux-roues se sont arrêtés devant un groupe de jeunes et le conducteur du deux-roues a mis pied à terre, tirant sur le groupe. Les trois blessés, qui présentaient des blessures légères par balle, se sont présentés d’eux-mêmes à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes, selon une source proche de l’enquête.

La fusillade s’est déroulée dans le quartier populaire de Petit-Colombes, classé en zone de sécurité prioritaire et en pleine rénovation urbaine.

Source : Boulevard Voltaire

Arabie saoudite: une cellule "terroriste" démantelée près de La Mecque, 4 morts

Les forces de sécurité saoudiennes ont démantelé jeudi près de La Mecque une cellule « terroriste », dont quatre membres ont trouvé la mort, a annoncé le ministère de l’Intérieur. Deux autres suspects, liés à cette cellule, ont été arrêtés dans la région de Jeddah, sur la mer Rouge, a ajouté le porte-parole du ministère dans un communiqué publié par l’agence officielle SPA.

Les forces de sécurité, engagées dans une chasse aux « terroristes », ont lancé jeudi un raid contre un repaire de la cellule « terroriste » près de La Mecque, a indiqué le porte-parole. Mais les membres de la cellule ont ouvert le feu contre les policiers, qui ont répliqué tuant deux d’entre eux, alors que deux autres ont péri en actionnant leurs ceintures d’explosifs. Cet échange n’a pas fait de victimes parmi les forces de sécurité ou les civils.

Source : Boulevard Voltaire

Deux cellules terroristes démantelées en Tunisie

Deux « cellules terroristes » liées à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), dont l’une préparait des attaques contre des centres commerciaux ou encore des locaux de partis politiques, ont été démantelées dans le nord-ouest de la Tunisie, a annoncé ce jeudi le ministère de l’Intérieur. Neuf personnes au total ont été arrêtées à la faveur du démantèlement de ces cellules ayant prêté allégeance à la phalange Okba Ibn Nafaâ, un groupe lié à Aqmi, selon le communiqué du ministère. L’opération s’est déroulée à une date non précisée dans la région du Kef, frontalière de l’Algérie.

L’une des cellules effectuait des repérages dans le but de perpétrer des attaques contre des « centres commerciaux », des « installations militaires et sécuritaires », des « personnalités » ou encore des « locaux de partis » politiques, a-t-on ajouté. Une « quantité d’explosifs » a été saisie.

La seconde cellule, de cinq membres, procurait « une aide financière » et faisait parvenir « des provisions » à un « groupe de terroristes » retranchés dans la zone montagneuse du Kef, selon la même source.

Source : Boulevard Voltaire

Elections: les indépendantistes revendiquent une victoire "historique" en Ecosse

La dirigeante du Parti national écossais (SNP, indépendantiste) Nicola Sturgeon a revendiqué vendredi une victoire « historique » pour son parti lors de l’élection du nouveau Parlement écossais. Tous les votes ne sont pas encore dépuillés « mais ce qui est clair déjà, c’est que le SNP a remporté une troisième élection consécutive au Parlement (écossais) », a-elle déclaré. « C’est historique pour le SNP », a-t-elle ajouté.

Source : Boulevard Voltaire

Un cadre FN du Var juge les migrants "lâches" et "égoïstes"

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L'ancien directeur de campagne de Marion Maréchal-Le Pen aux élections régionales a publié un message sur sa page Facebook pour réagir à un article de Var-Matin, estimant que les migrants sont "lâches" et "égoïstes". 

Frédéric Boccaletti ne partage pas l'analyse de Var-Matin, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour réagir à un dossier sur la situation des migrants publié dans le quotidien régional mercredi, le secrétaire départemental du Front national a dit ce qu'il pensait des hommes qui arrivent en France depuis le début de la crise migratoire : "ces hommes, que beaucoup de médias présentent avec complaisance comme des victimes, voire des héros, sont animés d'un égoïsme exacerbé doublé d'une lâcheté honteuse", affirme-t-il.

Et le cadre FN de prendre un exemple précis en citant l'article, et le cas d'Ehsanullah. Ce migrant "a dû vendre sa maison et sa voiture afin de payer les passeurs. Il se dit fatigué par toute cette violence et cette folie meurtrière. Mais pour cela, il n'a pas hésité à laisser dans son pays d'origine sa mère, ses frères et sa femme... d'autre peut quitter son pays en guerre en abandonnant parents, femmes et enfants ?"

Source : Valeurs actuelles

Sciences Po formera les « ministres du culte » dès septembre 2016

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Dès septembre 2016, prêtres, pasteurs, rabbins, imams et moines bouddhistes pourront s’inscrire au nouveau programme de « formation interreligieuse » de Sciences Po, intitulé « Emouna, l’Amphi des Religions ». Fondée par le rabbin Moché Lewin, la formation regroupe sans distinction « le judaïsme, le christianisme, l’islam et le bouddhisme » dans l’objectif de valider « l’excellence de ses représentants ». Face aux récentes tensions, l’État sonne le glas et rappelle les religions à l’ordre : il faut les soumettre aux « lois de la République ». Le loup entre dans la bergerie !

Et pour cause : la présentation de ce programme réduit d’emblée les religions à des « forces civilisatrices, porteuses d’humanité et d’éthique ». En somme, de simples facteurs culturels. Dépossédées de leurs dogmes, elles s’inscrivent désormais dans un préfabriqué passé, commun à toutes les patries ou les peuples. Et surtout, le rôle indéniable du christianisme dans l’histoire de la France est dissous. « Ça va mieux », de mieux en mieux, en effet, pour le mondialisme et son cortège de fléaux. Comme s’il ne suffisait pas que les programmes scolaires soient épurés des grandes figures historiques de notre pays, afin que les « futurs Montaigne » ne s’y sentent pas trop dépaysés !

« Mobiliser un socle de connaissances utiles à l’exercice de ses responsabilités dans le cadre de communautés religieuses », tel est l’objectif. Or, le rôle des religieux n’est-il pas de servir Dieu, et non l’homme ou ses institutions ? D’étudier les textes sacrés et les langues anciennes, grâce à la théologie (« science de Dieu »), afin de transmettre Sa parole aux fidèles, d’élever leurs âmes, d’assurer leur salut et de cultiver leur foi ? Ici, Sciences Po soumet la religion à des « modalités pédagogiques », une sauce républicaine aromatisée de spiritualité ; une leçon destinée à se propager au cœur des communautés, par le biais d’agents for(ma)tés. Ainsi, les grands prêtres de la République distilleront aux « ministres du culte » toutes leurs compétences pour diriger leurs fidèles grâce aux notions de « management », de « leadership », et de « négociation » infusées par l’institution.

Écarté de la société, le sacré se trouve désormais empoisonné. Dans L’Enracinement: Prélude à une déclaration des devoirs envers l’être humain

, Simone Weil constatait déjà que la religion, reléguée au domaine privé, était devenue « une affaire de choix, d’opinion, de goût, presque de fantaisie, quelque chose comme le choix d’un parti politique ou même comme le choix d’une cravate ; ou encore qu’elle est affaire de famille, d’éducation, d‘entourage ». Comprenant qu’elle ne pourrait jamais s’en débarrasser, la République tente alors d’y instiller directement son venin de « laïcité à la française », en lavant elle-même le cerveau des religieux.

Virginie Vota

Source : Boulevard Voltaire

Le nouveau marché aux esclaves

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Ainsi donc, la Commission européenne veut mettre à l’amende les pays qui refuseraient leur quota de migrants. Solution un peu fruste qui manque d’élégance. Mais la Paris School of Economics (PSE) – ou PES, en anglais dans le texte bien évidemment – a une autre proposition autrement plus raffinée qui n’a pas connu, à ce jour, la notoriété qu’elle mérite. PES est la sœur de Toulouse School of Economics du prix Nobel Jean Tirole, qui s’est érigé en gardien absolu de l’orthodoxie économique en refusant toute intrusion des sciences sociales dans la discipline au profit des seuls modèles mathématiques, une discipline appelée « économie industrielle » dont le regretté Bernard Marris avait pu écrire que c’était « une secte, dont l’obscurantisme et le fanatisme donnent froid dans le dos. Il n’est pas difficile de repérer le taliban sous l’expert, et le fou de Dieu sous le fou de l’incitation. »

À Paris, PES, c’est l’école de la gauche bien-pensante de Thomas Piketty qui a produit une nouvelle génération d’économistes « de gauche » dont Julia Cagé qui, avant d’épouser ledit Piketty, avait créé une espèce de fondation Terra Super Nova dont les recommandations encore plus délirantes que le think tank du P « S » proposaient de taxer les propriétaires ayant achevé de rembourser leur emprunt…

Là, elle fait mieux. Hillel Rapoport, chercheur à PSE, qui précise qu’il parle « du strict point de vue de l’économiste » et qu’il ne fait pas de politique, propose d’instaurer un marché des quotas de migrants, comme il fut instauré un marché des droits à polluer… qui a donné naissance à la gigantesque escroquerie à la TVA sur les quotas de carbone actuellement devant la justice.

De quoi s’agit-il ? Il s’agit de faire un « matching » entre les souhaits des migrants et ceux des pays. Une sorte de Gault et Millau de la migration qui enregistrerait les souhaits des migrants et ceux des pays d’accueil et les mettrait en rapport par le biais d’algorithmes mathématiques et définissant, par là, le prix à payer par ceux qui n’accepteraient pas leur quota : « Je tiens ici à préciser un élément essentiel : il ne s’agit en aucun cas d’une marchandisation de la personne humaine », déclare notre chercheur qui ne fait pas de politique, tout en précisant que l’addition serait beaucoup plus élevée pour les pays « qui maintiennent une vision sécuritaire et identitaire » sur l’immigration que les amendes que prétend infliger la Commission européenne. Rien de politique dans l’algorithme, donc.

Jamais en retard d’une « innovation sociétale », le groupe des Verts au Parlement européen a accueilli favorablement sa proposition. Et le gouvernement suédois, dont le succès de la politique d’immigration éclate de jour en jour, lui aurait confié une mission.

On est rassurés de voir ainsi les algorithmes mathématiques – qui ne font pas de politique – s’emparer du problème. On ne sait pas encore si ces droits à migrants seront soumis à TVA ! Tout comme on est rassurés des productions de ces écoles qui bénéficient de financements abondants des grandes entreprises et versent des salaires exorbitants à leurs professeurs, qui ne font pas de politique. Rien que des algorithmes.

Claude Rochet

Source : Boulevard Voltaire

Ces manuels scolaires qui accentuent la grande déculturation

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Les nouveaux manuels scolaires sont proprement sidérants. En me promenant sur la Toile, j’ai découvert quelques extraits de ces ouvrages qui servent à instruire nos enfants. Propagande pro-immigration massive, œuvres mal écrites, « revues de presse » orientées… Est-ce ainsi que Najat Vallaud-Belkacem, actuel ministre de l’Education nationale, entend faire des jeunes esprits les citoyens « conscients » de demain ? Ou est-ce ainsi que le ministère rééduque des esprits qui ne sont pas encore formés ? Je penche pour la deuxième solution.

Citons en exemple les manuels de sixième et de cinquième de la collection Colibris, éditée par les Éditions Hatier pour l’enseignement du français. Dans la catégorie « expression orale », les élèves étudieront une chanson de l’artiste belge Stromae, adaptation de Carmen dont je me permets de vous livrer quelques extraits : « Prends garde à toi/Et à tous ceux qui vous like/Les sourires en plastique sont souvent des coups d’hashtags. » Il y a pire, certes. Mais s’agit-il vraiment d’un texte qui mérite d’être étudié en classe, sachant, en outre, que la majorité des élèves écoutent ce chanteur à la maison ? Non. Rajoutons que la chanson est truffée de mots d’anglais, ce qui (vous en conviendrez) est assez étrange pour un cours censé traiter de la langue de Molière.

Autres œuvres d’envergure évoquées dans ces manuels : Le Ventre de l’Atlantique, de Fatou Diome, L’Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikéa, de Romain Puértolas ou bien encore Faire l’amour, de Mikaël Ollivier (issu du recueil Des filles et des garçons, de Thierry Magnier, en partenariat avec le collectif Ni putes ni soumises). Les extraits des deux premiers romans mentionnés racontent des histoires de personnes venues en France, immigrés illégaux présentés de façon positive, voire sous les traits de victimes. L’objectif paraît évident : convaincre les enfants du bien-fondé de l’immigration de masse pour qui aurait un cœur. Que les ouvrages soient mineurs et assez mal écrits doit indifférer les « pédagogues ».

Faire l’amour relate un dialogue entre des « jeunes », Tommy et Leïla. Nous sommes loin de la grande littérature quand Tommy, gêné et enamouré de Leïla, déclare : « J’te trouve… Enfin, je t’trouve bonne, quoi ! » Les élèves sont si méprisés par le ministère qu’on leur donne à lire des textes d’une abyssale vacuité. Pourtant, je suis convaincu que les plus modestes auraient tout à gagner à lire de vrais textes et, mieux, qu’ils apprécieraient de les lire si on savait les leur expliquer correctement.

Parmi les exercices proposés, les collégiens sont aussi invités à imaginer l’histoire d’amour de Karim et Léa à travers les âges, « dans l’Antiquité, sous Louis XIV et en l’an 3000 ». No comment. Au moins, les professeurs ne doivent pas s’ennuyer en lisant les copies !

Moins amusants, les désormais fameux exercices de « décryptage des médias ». La revue de presse sur les « migrants » propose un petit jeu des sept erreurs entre deux couvertures, l’une de Valeurs actuelles, l’autre de Télérama. Bien évidemment, tout est fait pour que les collégiens s’indignent du manque d’humanité de Valeurs actuelles. Excusez du peu, même Boulevard Voltaire est cité (preuve que nous sommes lus en haut lieu ?) ! Probablement pas pour être vanté comme étant un des seuls médias libres, n’appartenant ni à l’État, ni à une grande fortune…

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire