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mardi, 10 mai 2016

Arzano. Cent pour un toit incite les immigrés expulsables à rester en France

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Cent pour un toit est une association loi 1901, basée à Redene. Son objet ? Venir en aide aux immigrés déboutés du droit d’asile. Or ces personnes  n’ont plus rien à faire sur le territoire français et devraient être expulsées. Ses statuts stipulent que l’association s’est constituée en 2015 pour « aider toute personne et/ou famille privée d’accès à ses droits fondamentaux tels qu’ils sont énoncés dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, ratifiée par la France ; souscrire à l’affirmation qu’il n’y a pas d’étrangers sur terre et défendre la libre circulation des personnes ; s’engager à respecter les principes énoncés dans la DUDH ce qui signifie aider toute personne sur son territoire à accéder à ses droits fondamentaux (se nourrir, se loger, se soigner, s’éduquer etc.) ; constituer une force d’interpellation des pouvoirs publics sur l’insuffisance et le manque de logements ou d’hébergements, être aussi une source d’information des acteurs locaux et des citoyens ; ne poursuivre aucun but lucratif et agir sans distinction politique ou spirituelle.»

Cent pour un toit –  association basée dans le pays de Quimperlé – affirme donc dans ses statuts que la France appartient au monde entier, puisque « il n y a pas d’étrangers sur terre ». Elle veut constituer des groupes de cent personnes. Chacune doit mettre chaque mois un minimum de 5€ dans la caisse donateurs, soit 500 euros par groupe, pour prendre en charge un loyer, pour loger des immigrés clandestins. Des immigrés clandestins à qui la France permet, même en étant débouté du droit d’asile, de contester administrativement la décision.

Un rapport de la Cour des Comptes de 2015 épinglait d’ailleurs la gestion par la France des déboutés du droit d’asile, puisque 96% de ces individus resteraient en France, au mépris des droits nationaux des citoyens français. Par ailleurs, le coût de l’immigration clandestine en France représenterait une charge annuelle de plus d’un milliard d’euros, comme l’a démontré Jean-Paul Gourévitch dans une étude menée pour Contribuables Associés.

Depuis mi-2015, Cent pour un toit, qui ne compte que quelques dizaines d’adhérents pour le moment (et 212 j’aime sur facebook), a bénéficié de nombreux articles favorables dans la presse régionale subventionnée. Les bénévoles de l’association, parmi lesquels on retrouve notamment des membres de la Ligue des Droits de l’Homme, d’Emmaus ou de Diwan,  usent de leurs réseaux personnels ou professionnels et sollicitent municipalités et collectivités pour appuyer leur démarche. « Ce genre d’association contribue clairement à l’augmentation du sentiment anti-immigré » nous livre un proche de l’opposition au sein de la ville de Quimperlé. « Ils délivrent un message fort à ces personnes en leur disant : venez chez nous en toute illégalité, et nous nous battrons pour que vous restiez même si vous n’en avez plus le droit . Il faudrait qu’on arrête de mettre de l’huile sur le feu alors que les Français sont très partagés sur la question de l’immigration ».

Elle a trouvé cependant des relais dans certaines équipes pédagogiques d’établissements scolaires catholiques. Celles-ci, en invitant l’association à débattre il y a quelques mois, ont rompu l’obligation de neutralité politique dans la vie scolaire.

Source : Breizh-info

Comme chaque année, Paris a honoré Jeanne d'Arc

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Dimanche matin l'Action française a organisé la première manifestation de l'Opéra à la Place des Pyramides.

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Plus tard, ce fut le tour du Parti nationaliste français.

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Des responsables venus de toute l'Europe ont participé à cette manifestation.

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En fin de matinée, une délégation de la Dissidence française s'est rendue devant la statue.

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En début d'après-midi Civitas avait appelé à un rassemblement unitaire suivit par un défilé qui rassembla plusieurs milliers de patriotes.

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Synthèse nationale soutenait cette heureuse initiative de Civitas (intervention de Roland Hélie)

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Le Parti de la France était présent en force.

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Ainsi que le Renouveau français.

Le défilé s'est terminé vers 17 h devant la statue de Jeanne d'Arc par des discours de Pierre Hilard, Alain Escada et de M l'Abbé Beauvais.

Source : Synthèse Nationale

Allemagne: une attaque au couteau a un mobile "a priori islamiste"

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Une attaque au couteau, qui a fait un mort et trois blessés, dans une gare proche de Munich (sud) mardi à l'aube a un mobile "a priori islamiste", a indiqué à l'AFP un porte-parole du Parquet de Munich.
L'agresseur, un Allemand de 27 ans qui a été arrêté, "a fait des déclarations sur place qui renvoient à une motivation politique, a priori islamiste", a-t-il expliqué, précisant que l'une des personnes avait succombé à ses blessures.

Source : Le Parisien

 
 

Selon des médias locaux citant des témoins, l'agresseur a crié "Allah akbar" ("Allah est grand").

Molenbeek français, le label lancé par l'extrême droite ne plaît pas à la commune

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Un groupuscule français d’extrême droite « Génération Identitaire » distribue depuis une semaine le label « Molenbeek français » à certaines villes de France. Une façon négative de mettre Molenbeek en avant qui est n’est pas au goût, et on le comprend, de cette commune de la région bruxelloise.

«  J’en ai entendu parler ce week-end sur les réseaux sociaux comme Twitter. J’ai demandé à notre service juridique d’étudier la possibilité de mener une action. Le sujet sera mis mercredi sur la table du Collège. Nous allons tenter de mener une action mais sans vouloir leur donner trop de publicité car c’est ce qu’ils attendent  », commente la bourgmestre Françoise Schepmans (MR).

Ce label « Molenbeek français », du groupe d’extrême droite « Génération Identitaire » est inspiré d’une déclaration du ministre français de la Ville Patrick Kanner, qui avait affirmé en mars, «  qu’il y a aujourd’hui, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek. »

«  Ce label, c’est n’importe quoi. Comme nous avions des élus français ce week-end à Molenbeek, j’en ai parlé avec eux. Ils m’ont dit que cela se limitait à quelques affiches. Sans plus », poursuit-elle. «  Cela vient d’un groupe d’extrême droite. Cela fait partie de leur identité. J’ai été davantage choquée par des articles de presse ou des émissions de télévisions de médias étrangers qui venaient à Molenbeek avec une idée de ce qu’ils allaient écrire et ils avaient juste besoin de nous comme support. Peu importe ce qu’on pouvait raconter, ils ne changeaient pas d’idée  », conclut Françoise Schepmans.

Isabelle Anneet

Source : Lacapitale.be

Le Général Didier TAUZIN et l’immigration

L'intervention de Roland Hélie dimanche au rassemblement en honneur de Jeanne d'Arc

Avril 2016 : le pont aérien du grand remplacement est activé

Ce 4 avril le pont aérien migratoire entre l’Asie et l’Europe entre en activité, d’abord à une échelle expérimentale et rassurante.

Communication oblige, les premiers avions ont débarqué les heureux élus à Hanovre, en Allemagne. Discrétion oblige, la presse n’a pas mentionné les aéroports concernés en France, aux Pays-Bas et en Finlande, certainement des aéroports internationaux desservant la Turquie. Communication oblige, les premiers amenés sont des familles avec enfants. Discrétion oblige, les jeunes hommes seuls, qui constituent l’essentiel des flux manoeuvrés par la Turquie, ne commenceront à être amenés qu’après que les journalistes aient fait leur moisson de photos familiales émouvantes et quitté les aéroports.

L’opinion européenne passive a appris la mise en place de ce pont aérien avant-hier 2 avril, bien qu’une nouvelle voie d’entrée « dans l’Union Européenne d’une manière ordonnée » (mémo 15-5777 de la Commission Européenne du 5 octobre commenté par Stratediplo le 15), aux modalités pratiques imprécisées, ait été annoncée dès la signature de l’accord turco-uniopéen du 18 mars, accord dont l’idée avait été évoquée publiquement par la Commission Européenne le 7 mars. Seuls les lecteurs de la Huitième Plaie savaient depuis le 20 janvier qu’un pont aérien serait prochainement mis en place.

On pensait que le prétexte initial en serait un incident humanitaire dans la neige hivernale, cependant les étapes ont pu être brûlées grâce à l’accord léonin proposé par la Turquie après l’annonce, par dix pays de transit, du rétablissement du contrôle de leurs frontières terrestres fin février. C’est dans le cadre de cet accord que l’Union Européenne a officialisé la reconduction de sa subvention de trois milliards d’euros à la Turquie (annoncée par Stratediplo le 29 novembre), la reprise du processus d’admission de la Turquie parmi une Union Européenne réduite aux membres que la Turquie accepte de reconnaître (et n’occupe pas militairement come Chypre), et l’accélération de la levée de l’obligation de visa pour les porteurs de passeport turc.

En échange la Turquie prétendait accepter le retour des clandestins débarqués en Grèce par les Turcs et désormais bloqués en Grèce, ce qui n’est en réalité que l’application du droit international puisque tout intrus clandestin doit être refoulé vers le pays en provenance duquel il vient de s’introduire illégalement, qu’aucun pays ne peut accorder à un étranger un permis de transit (écrit ou tacite) vers un pays tiers qui n’a pas accordé d’autorisation d’entrée, et que tout pays est tenu de contrôler ses frontières et reste responsable des actions (incursions par exemple) menées à partir de son territoire vers les pays tiers. En pratique la Turquie a effectivement accepté aujourd’hui, pour la presse, le raccompagnement de 131 étrangers qui avaient fait intrusion illégalement en Grèce à partir de la Turquie, à la quasi-surprise d’ailleurs du maire et de la capitainerie du port de retour Dikili qui n’ont reçu aucune instruction du gouvernement turc. Les hors-la-loi ramenés étant essentiellement des Pakistanais et des Bengalis dont les pays refusent le retour, la Turquie tentera de les faire accepter par l’Union Européenne, comme tels ou comme prétendus Syriens.

Le chiffre annoncé pour cette première phase du pont aérien est, selon l’accord du 18 mars, de 72000… « dans un premier temps » (selon l’expression désormais habituelle), et sera distribué selon la clef de répartition adoptée définitivement en septembre, en l’occurrence 20% pour la France qui a durement négocié pour obtenir plus que les misérables 14,17% que la Commission Européenne lui avait proposés en mai. Evidemment ces effectifs s’ajoutent à ceux des réinstallations durables et des relocalisations temporaires décidés l’année dernière, à titre essentiellement symbolique puisque portant sur moins d’un dixième du total des volontaires qui ont répondu à l’appel à l’intrusion illégale massive lancé par Angela Merkel et François Hollande le 25 août. Ce chiffre de 72000 sera donc, comme les précédents, rapidement dépassé. En vérité l’objectif d’un demi-million de Syriens certifiés à transférer directement de Turquie par voie aérienne, évoqué par Stratediplo dès octobre (bien avant la révélation d’un « accord secret » par Viktor Orbán), avait certainement déjà été augmenté en novembre et il n’est pas illogique de déduire qu’il ait été porté à un million et demi. Autant dire que ces vols concernant la fin de l’avant-garde (les primo-arrivants) ne font que commencer .

Mais l’opération a surtout pour objet de familiariser les opinions européennes à la phase aérienne de cette « migration de remplacement », pour reprendre le titre du rapport de l’ONU du 21 mars 2000, par les images de ces familles souriantes qui commencent à descendre en ordre des avions qu’on leur a envoyés, tellement moins inquiétantes que les hordes de jeunes hommes qui enfonçaient de force les barrières frontalières en hurlant Allah Akhbar, l’année dernière.

Car la phase suivante, sans préjudice des accords annoncés ou secrets avec la Turquie, et dès qu’on aura terminé la régularisation des deux millions d’intrus entrés par effraction dans l’espace Schengen l’année dernière, ce sera l’affrètement des vols plus lointains pour la mise en oeuvre de leur regroupement familial, estimé au bas mot à douze millions (six ayants-droit par ex-hors-la-loi). Il ne s’agit là que des douze millions d’ayants-droit au titre des deux millions d’intrus de 2015, pas encore des ayants-droits au titre des transférés aériens directs de 2016.

En faisant le point des événements de 2015 et de leurs conséquences, on annonçait dans la Huitième Plaie le plus gros pont aérien qu’ait connu la courte histoire de l’aviation. Il a été inauguré ce 4 avril.

Stratediplo

Source : Metamag

Grand remplacement : la preuve par Londres

Un fils de colonisés à la tête de l’ex capitale de Kipling.

Il est présenté comme le futur premier ministre musulman par la presse française. Ce marqueur est moins souligné en Grande-Bretagne où on le fait plutôt le champion de la diversité ethnique, une sorte d’Obama municipal. « Yes we Khan » est un slogan bien trouvé mais une identité peut en cacher une autre.

Ce qui est incontestable, c’est qu’un descendant de colonisés devient maire d’une ville de plus en plus cosmopolite et de moins en moins anglaise. Le symbole est fort. Qu’en aurait dit Kipling ?

Ce qui se passe à Londres se passe partout dans le monde européen et plus largement blanc pour dire les choses comme elles sont. Les peuples colonisés, chez eux hier, sont devenus les immigrés d’aujourd’hui chez nous. La loi de la démographie transforme cette immigration de différentes natures en une immigration de peuplement et de remplacement, de substitution, en tout cas de submersion.

On voit bien dans la réaction des médias en admiration devant le musulman pakistanais que c’est ce que souhaite la caste mondialiste et ses laquais de presse.

Le changement parait irréversible. C’est d’ailleurs le thème du prémonitoire « soumission » de Houellebecq où le président français est un Sadik Khan de chez nous.

Dans les deux cas cependant on remarque qu’on a affaire a des musulmans progressistes, féministes et favorables, du moins pour le britannique, au mariage homosexuel.

Pour Daech et d’autres radicaux, ce Sadik Khan est en fait un apostat et donc une cible pour les vrais musulmans.

En revanche s’ il n’y a eu qu’indirectement un vote religieux, il y a eu de toute évidence un vote ethnique. Tous les « coloured « qui le pouvaient ont voté avec les travaillistes convaincus pour le candidat issu de la diversité et des milieux populaires.

Pour le parti travailliste étrillé par ailleurs dans les législatives, l’électorat étranger devient une carte indispensable. Encore que cette carte reste limitée aux municipales et pas distribuée à tous les étrangers.

La Grande-Bretagne, qui l’a dit, n’a ouvert ce droit qu’aux citoyens du Commonwealth : un Ougandais ou un Indien peuvent donc voter, mais pas un Coréen ou un Sénégalais.

On resté donc dans une perspective municipale et dans un contexte ex impérial. Le droit de vote aux étrangers dans les municipales entraîne la victoire des plus nombreux… les Français le savent bien, ils en ont la preuve par Londres.

Quand aux blancs londoniens, les plus modestes ont voté pour le candidat travailliste sans tenir compte de ses origines pour son programme. Il faut bien voir que le candidat conservateur est une caricature d’une certaine oligarchie d’origine juive, ce qui a d’ ailleurs entraîné dans la campagne, avec des allusions islamophobes, quelques piques antisémites. Pour la dynastie Goldsmith, l’échec est cinglant.

 » Zac », 41 ans, très riche petit-fils de l’autre est passé par la prestigieuse école d’Eton, ce qui n’en fait pas le candidat le plus au fait des problèmes quotidiens des électeurs. Il a d’ailleurs eu du mal à se débarrasser de son image élitiste. Zacharias Goldsmith s’est ainsi montré incapable, pendant la campagne, de répondre à quelques questions simples d’une journaliste de la BBC sur Londres, comme le nom d’une station de métro, d’équipes de foot, ou l’emplacement d’un musée.

On notera enfin que l’ancien maire de Londres est assez proche de Donald Trump par le style et que cela aussi est un enseignement. Boris Johnson ancienne star du football était le roi du dérapage lui aussi et du bras d’honneur au médiatiquement correct.

Le contraire d’un Zacharias. Il a été maire 8 ans, tête de file du brexit et premier ministrable au cas où. Cependant il est remplacé par un travailliste pakistanais musulman. Cherchez l’erreur.

Contre le grand remplacement mieux vaut donc un Johnson qu’un Goldsmith, cela aussi est une leçon de Londres.

Jean Bonnevey

Source : Metamag

Le « Monsieur Djihadisme » de BFMTV est un terroriste repenti fiché S !

Comme le révèle TéléObs, Romain Caillet, le « Monsieur Djihadisme » de BFMTV sait de quoi il parle en matière de terrorisme, et pour cause : il est lui-même fiché « S » depuis plusieurs années par les services antiterroristes !

L’hebdomadaire, qui publie son dossier, fait état d’une enfance agitée et d’une conversion à l’islam dès 1997. À partir de 2005, il se lance dans l’étude du djihadisme. Pour ce faire, il part vivre en Égypte, en Jordanie, puis au Liban, d’où il est expulsé en mars 2015 pour « d’obscures raisons ».

Si sa connaissance de l’histoire du djihadisme international est reconnue, ce qui explique son rôle de consultant pour BFMTV, son passé le rend beaucoup moins recommandable. D’après L’Obs, Romain Caillet intervenait, vers le milieu des années 2000, sur les forums islamistes sous le pseudonyme de « Colonel Salafi », et ne cachait pas ses positions radicales. Il vivait alors en Égypte et suivait les cours de l’institut Qortoba, fermé en 2005 car considéré comme une officine de recrutement djihadiste…

Dans cet institut, ce dernier fréquentait les frères Clain, dont l’aîné, Fabien, est aujourd’hui un cadre de Daech et a revendiqué les attentats du 13 novembre pour le compte de l’organisation terroriste. En janvier 2008, Romain Caillet est interrogé, au cours d’une garde à vue, par la Sous Direction anti-terroriste. Au cours de cette entrevue, il déclare ne plus être d’accord avec les Clain car « depuis mars 2007, je ne suis plus pour le djihad parce que je m’oppose au fait d’entraîner des jeunes pour se sacrifier à mourir sans avoir acquis au préalable les bases de l’islam ».

Et celui-ci de considérer que « les dirigeants d’Al-Qaida sont des ignorants ». Toujours dans les locaux de la SDAT, il fait part de ses regrets d’avoir participé à la propagande djihadiste : « J’espère ne pas avoir été la cause d’enrôlement de jeunes au djihad. J’ai essayé de réparer mes erreurs en postant [sur internet, NDLR] des repentirs publics. » Aussi, il confesse : « Quand j’étais djihadiste, je dormais mal la nuit en pensant aux attentats. » Par la suite, il changera de pseudonyme sur les forums islamistes et évoquera publiquement son changement d’attitude. Finalement, la justice ne retiendra aucune charge contre lui, mais classera néanmoins sa fiche dans la catégorie « S » ; une fiche toujours active aujourd’hui.

Récemment, lors de l’enquête sur l’affaire Sid Ahmed Ghlam, qui avait tenté de commettre un attentat contre une église de Villejuif et avait assassiné une jeune fille, Romain Caillet a de nouveau attiré l’attention pour avoir été en contact, dans son passé, avec un Égyptien en relation avec le réseau terroriste. Dans cette affaire, il ne sera pas inquiété par la justice.

Interrogé par TéléObs, ce dernier explique qu’il ne « désire pas évoquer (sa) vie privée ». Celle-ci ne l’a néanmoins pas empêché de devenir le « Monsieur djihadisme » de la première chaîne d’information de France… Malgré tout, dans ses analyses, estime L’Obs, il montre toujours « une tendance à éluder la connaissance personnelle qu’il a de certains djihadistes combattant aujourd’hui dans les rangs de Daech, « pour des raisons évidentes de sécurité et pour ne pas interférer avec leurs éventuels problèmes avec la justice, s’ils reviennent », explique-t-il ».

OJIM, Observatoire des journalistes et de l’information médiatique

Source : Metamag

Malmedy : des têtes de porc déposées sur le chantier de la mosquée

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Un acte jugé honteux s'est produit le 30 avril dernier à Malmedy. Apparemment, des citoyens ne sont pas favorables à la construction de la nouvelle mosquée. 

Affaire délicate à Malmedy : trois têtes de porc ont été déposées sur le chantier de la future mosquée.
C'est ce qu'a retrouvé l'association culturelle des Turcs de Malmedy, le samedi 30 avril dernier. 
Ce geste révolte la communauté turque même s'il n'empêchera pas la construction de l'infrastructure.
Une plainte a été déposée auprès de la zone de police Stavelot-Malmedy. Le bourgmestre Bastin quant à lui, condamne fermement ces faits. Les auteurs n'ont pas été identifiés.

Source : 7fm.be

Le Conseil de l'Europe appelle à ne pas criminaliser l'aide aux migrants irréguliers

Le Conseil de l'Europe appelle ses Etats membres à ne pas criminaliser l'assistance sociale et humanitaire aux migrants irréguliers et leurs services sociaux à ne pas communiquer les données personnelles de ces migrants, dans des recommandations rendues publiques mardi.

La Commission européenne contre le racisme et l'intolérance (ECRI), un organe du Conseil de l'Europe, demande dans ces nouvelles recommandations aux Etats d'interdire aux services sociaux de communiquer des données personnelles sur les migrants en situation irrégulière aux autorités responsables de l'immigration.

"Il faut que les Etats créent des +pare-feux+ pour distinguer le travail des prestataires de services sociaux des activités visant à la maîtrise de l'immigration et au maintien de l'ordre", a expliqué le Secrétaire général de l'institution paneuropéenne, Thorbjørn Jagland.
"Les situations où par exemple, les médecins sont contraints de signaler les migrants soupçonnés d'être en situation irrégulière ne devraient pas conduire à dénier aux migrants le droit à des soins de santé", a-t-il ajouté.

Le Conseil de l'Europe met également en garde contre une criminalisation de l'assistance sociale et humanitaire aux migrants irréguliers, qui risque selon lui d'encourager l'intolérance et le racisme.
"Il est fortement contreproductif pour le respect des droits de l'homme d'instaurer une +infraction de solidarité+", selon Christian Ahlund, président de l'ECRI.

Pour formuler ces recommandations, l'ECRI part du constat que les migrants en situation irrégulière dans les 47 Etats membres du Conseil de l'Europe font face à une pression de plus en plus forte, qui les empêche de jouir de certains droits dont ils devraient bénéficier.

Tout en rappelant que la Cour européenne des droits de l'homme ne garantit pas le droit d'entrer et de résider dans un Etat, elle souligne que les Etats doivent respecter les droits humains de toutes les personnes se trouvant sous leur juridiction, quel que soit leur statut.

Source : L'Orient le jour

Pour théoriser l'islam de France, le CFCM créé un «conseil théologique»

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Le conseil se réunira au moins deux fois par an pour émettre des avis et contrecarrer les discours fondamentalistes. Mais par sa composition trop large et son manque de théologiens de renom, il risque la paralysie, selon ses détracteurs.

Souvent critiqué pour son incapacité à se prononcer clairement au nom de l'islam de France, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a franchi une étape importante dimanche soir en annonçant la création d'un «conseil théologique». Selon ses promoteurs, il ambitionne d'engager la réflexion intellectuelle pour «contextualiser» la pratique de l'islam à la culture française. En clair, il s'agit de produire une somme théologique propre à l'islam de France.

Le conseil théologique se réunira au moins deux fois par an, sans compter les sessions extraordinaires sur saisine. Composé de 22 membres (dont l'imam de Bordeaux Tareq Oubrou, figure libérale menacée par Daech), le groupe ambitionne d'apporter des réponses théologiques claires aux questions auxquelles sont confrontés les musulmans de France. «Lors du débat sur le port du voile intégral, par exemple, le CFCM avait élaboré une position en se basant sur l'avis de ses différentes fédérations. Mais un conseil théologique aurait facilité la prise de position», explique le président du CFCM, Anouar Kbibech.

Contrecarrer les discours fondamentalistes

«La nécessité de créer un conseil théologique s'est imposée par l'actualité dramatique de ces derniers mois, mais aussi avec la multiplication des débats sur le voile ou sur les menus de substitution», précise Anouar Kbibech. Le Conseil théologique interviendra sur trois axes: les problématiques liées à la pratique du culte musulman en France, la position du conseil sur les questions de société, et la prévention de la «radicalisation». «Jusqu'ici, chaque fédération ou grande mosquée avait son propre conseil théologique pour répondre à ces questions. Il fallait donc créer un organe collégial, qui regroupe l'ensemble des sensibilités de l'islam de France», explique Anouar Kbibech.

À ce titre, toutes les sensibilités de l'islam reconnues par le CFCM y sont représentées, de la Grande mosquée de Paris à l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) issue des frères musulmans, en passant par les piétistes littéralistes issus du Pakistan. Le salafisme en est exclu. Face à la montée de l'islamisme radical qui séduit en particulier les jeunes et les nouveaux convertis, ce comité ambitionne d'élaborer «un contre-discours basé sur un argumentaire théologique solide, en réponse aux discours véhiculés par certains et qui circulent sur les réseaux sociaux, notamment auprès des jeunes», selon un communiqué du CFCM.

Risque d'immobilisme

Même si cela y ressemble fort, le conseil théologique ne veut pas être identifié comme un organe de la fatwa. «On évite d'utiliser ce mot car il a été dénaturé au fil des débats», estime Anouar Kbibech. «Pour les musulmans eux-mêmes, c'est un terme réducteur qui renvoie à une réponse précise concernant une pratique religieuse donnée.» Quoi qu'il en soit, l'institution devrait défendre un islam libéral et «contribuer à l'effort de la Réforme qui a toujours été porté par les Savants musulmans», explique le communiqué de CFCM. Mais à vouloir ratisser trop large dans toutes les tendances de l'islam de France, il pourrait rapidement être condamné à l'immobilisme, selon ses détracteurs.

«Il y a une forme de quiproquo entre le nom de l'instance, ‘conseil théologique', et les gens qui la composent», relève Malek Chebel, anthropologue des religions, psychanalyste et promoteur d'un «islam des Lumières». «Dans ce conseil, je ne vois que des militants associatifs qui s'occupent du culte musulman, pas de grands noms de la théologie. Je crains que ça devienne une sorte d'Auberge espagnole paralysée par la diversité des opinions, incapable de publier des décisions claires.»

Au lieu d'une représentation par fédérations et grandes mosquées, Malek Chebel aurait plutôt vu la création d'un conseil de «cinq ou six membres choisis et reconnus pour leurs travaux théologiques» qui feraient autorité et dont les avis seraient suivis. «Actuellement, les musulmans de France écoutent les avis de Rabat, Alger, le Caire ou Jeddah [Arabie saoudite, NDLR], ce qui fait que leurs positions sur le voile ou le halal leurs viennent de l'étranger. Mais si le CFCM ne peut pas leur opposer de théologien crédible, notamment pour déconstruire les discours fondamentalistes, l'initiative n'aura aucun intérêt.»

Edouard de Mareschal

Source : Le Figaro

 

Saint-Fons : la mosquée Bilal risquerait une fermeture administrative

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La maire de Saint-Fons, Nathalie Frier (SE) a signé lundi un arrêté de fermeture administrative de la mosquée Bilal. Le document sera affiché, et l’arrêté appliqué, si les responsables de la mosquée ne respectent pas la mise en conformité du lieu de culte avec la réglementation des établissements recevant du public.
Un travail de collaboration est mené entre la Ville et les dirigeants afin que le dossier débouche avant le début du Ramadan dans un mois environ. La mosquée a été inaugurée en 2000

Source : Le Progrès

Xavier Raufer : La lutte contre le djihadisme en France en est au stade de la pose de rustines

Manuel Valls vient de présenter son nouveau plan gouvernemental visant à lutter contre le terrorisme et la radicalisation. Pas moins de 80 mesures ont été dévoilées ce lundi matin. Qu’en pense Xavier Raufer, spécialiste en géopolitique et en criminologie ? Boulevard Voltaire est allé à sa rencontre.

Source : Boulevard Voltaire

Pour Pierre Moscovici, « l’Europe n’a pas de racines chrétiennes »

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Réagissant à l’élection de Sadiq Khan à la mairie de Londres, dans un débat qui l’opposait à Nicolas Dupont-Aignan sur BFM TV, Pierre Moscovici a déclaré : « Même si, c’est vrai, sur notre continent, il y a une majorité de population qui est, disons, de religion ou de culture chrétienne, l’Europe n’est pas chrétienne. Je ne crois pas aux racines chrétiennes de l’Europe. Je crois que l’Europe est diverse, unie et diverse. » Puis l’homme politique socialiste, ancien ministre de l’Économie de Jean-Marc Ayrault et actuel commissaire européen aux Affaires économiques et sociales, a complété son propos en affirmant que l’événement londonien constituait « […] un symbole de progressisme et d’européisme. Un beau symbole. »

Au juste, les racines de l’Europe ne sont pas exclusivement chrétiennes. Elles sont aussi issues des mythes de l’Antiquité préchrétienne, qu’ils soient grecs, romains, celtes ou germaniques. L’Europe s’est, en outre, construite autour de la philosophie, du logos grec, du stoïcisme, de la raison ; puis, bien plus tard, de l’humanisme sécularisé qui s’est déployé de la Renaissance jusqu’à nos jours.

Mais il faudrait être particulièrement aveugle pour nier la place prépondérante qu’occupa, et que continue d’occuper, le christianisme dans l’identité européenne au sens large. Les paysages du continent sont peuplés de monastères, basiliques, cathédrales et autres temples ; de la France, fille aînée de l’Église depuis le baptême de Clovis, à la très catholique Espagne, en passant par des endroits évangélisés beaucoup plus tardivement, comme la farouche Lituanie ou la lointaine Islande.

Si, comme le croyait Chesterton, le monde moderne est « plein de vertus chrétiennes devenues folles », c’est bien que le christianisme a contribué à le façonner. L’Europe, cœur du monde occidental, est la matrice de ce monde contemporain, dit « moderne », que Pierre Moscovici défend ardemment, jusqu’au fanatisme. L’Union européenne mondialiste, vide d’une identité charnelle, procède d’ailleurs d’une subversion de l’universalisme chrétien. Pierre Moscovici, lui-même formé à la pensée trotskiste, ne doit probablement pas le comprendre. Ou trop bien.

Qu’a voulu dire Pierre Moscovici ? Que son européisme est un cosmopolitisme. L’histoire, les racines et les traditions de l’Europe lui sont étrangères. Pour lui, le principal mérite de l’Union européenne actuelle est de refroidir les passions nationales, c’est-à-dire d’étouffer méthodiquement les identités politiques des peuples qui la composent. Il aurait pu reprendre in extenso le célèbre extrait d’un éditorial de 1985 du magazine Globe, signé par son ami Bernard-Henri Lévy : « Bien sûr, nous sommes résolument cosmopolites. Bien sûr, tout ce qui est terroir, béret, bourrées, binious, bref, “franchouillard” ou cocardier, nous est étranger, voire odieux. »

Les élites politiques « européennes » non élues n’ont pas plus d’affection pour l’Europe réelle que nos élites nationales n’en ont pour la France réelle. Pierre Moscovici, représentant de l’Europe légale, veut une Europe déracinée. Quant aux peuples, ils peuvent être remplacés par des millions de migrants, du moment qu’ils servent l’économie fictive. Et puis, si l’Europe n’a pas de racines chrétiennes, ou de racines tout court, qu’est-ce qui pourrait donc l’empêcher d’accueillir un jour la Turquie, le Maghreb et même l’Afrique dans sa future Union ?

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

Jacques Toubon, cet infatigable VRP du multiculturalisme

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Parmi les institutions à l’utilité coûteuse figure le Défenseur des droits, successeur de la sinistre HALDE que personne ne regrette. Il s’appelle Jacques Toubon. Vieux routier du RPR, chiraquien pur jus, l’ancien ministre d’on ne sait plus quoi a trouvé le savoureux fromage qui manquait à sa carrière. Un fromage au goût de mystère, car la rémunération du personnage est impossible à déterminer.

Jacques Toubon, infatigable VRP du multiculturalisme, est très favorable à toutes les idées progressistes dont le monde et Le Monde se délectent. Notre Défenseur des droits, sans doute pour se faire pardonner quelques positions sulfureuses dans sa jeunesse – peine de mort, homosexualité, immigration -, s’est racheté depuis. Avant sa nomination, il exerçait les nobles fonctions de directeur du musée de l’Immigration, un machin installé porte Dorée, dans le magnifique ancien musée des Colonies, que ne visitent plus que des classes d’élèves aux enseignants syndiqués et zélés.

Le dernier rapport de monsieur Toubon – enfin, de son équipe de 250 personnes — s’intitule « Les droits fondamentaux des étrangers en France ». Dès les premières lignes, on devine l’orientation du document : « L’idée de traiter différemment les personnes n’ayant pas la nationalité française, de leur accorder moins de droits que les nationaux est si usuelle et convenue qu’elle laisserait croire que la question de la légitimité d’une telle distinction est dépourvue de toute utilité et de tout intérêt. » Et c’est parti pour 300 pages de moraline dont l’essentiel se résume à une idée unique : il est injustifiable de réserver certains avantages aux Français.

Il faudrait que monsieur Toubon explique à la France d’en bas le sens de son propos. De la part de gens qui n’ont que le mot « république » à la bouche, c’est assez piquant. C’est en effet la troisième du nom qui a institué, aux côtés de tous les « piliers » républicains, la discrimination au profit des nationaux. L’Ancien Régime, auquel on doute que Jacques Toubon veuille revenir, ne voyait aucun inconvénient à confier la direction d’une armée ou les finances du pays à un étranger – Necker était suisse.

Mais à ce compte-là, il convient de supprimer toute barrière : les visas pour les ressortissants étrangers ; l’obligation de parler français pour être naturalisé ; l’exigence de diplômes reconnus pour être médecin ou architecte formé hors de France ; la restriction du droit de vote aux nationaux (déjà écornée aux élections locales) et j’en passe. En bref, à quoi servira la nationalité française si aucune distinction n’est faite entre les étrangers et nous ?

À rien. Et c’est l’objectif de la technocratie qui nous gouverne. Il ne doit rien rester entre le dirigeant et l’individu, égalitaire, atomisé, interchangeable, insignifiant. En bref, un consommateur idéal, aboulique et soumis. Tant qu’il consomme et se tient tranquille… Et, bien sûr, un individu déraciné, coupé de son histoire, est plus malléable qu’un homme fier de sa patrie et fort de son identité. Tous les Jacques Toubon de la Terre le savent. Et les Macron, les Juppé, les Valls et les Le Maire, et tous les autres qui n’aiment pas la France.

On ne dénoncera jamais assez le lien entre cet immigrationnisme forcené et l’ultralibéralisme financier aux mains de quelques-uns. La souveraineté est un tout. Souvenons-nous-en.

François Teutsch

Source : Boulevard Voltaire