Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 16 mai 2016

Quand la BBC s’intéresse au Grand Remplacement

« The last Whites of the East End », autrement dit : « Les derniers Blancs de l’Est londonien », est un documentaire choc que la BBC va diffuser le 24 mai prochain. Les téléspectateurs découvriront que les Blancs sont devenus « une espèce en voie de disparition » dans le district de Newham après que 70 000 immigrés s’y sont installés au cours des quinze dernières années.

Photo-1.jpg

Newham, situé à l’extrémité Est de Londres, comptait autrefois une population composée majoritairement d’ouvriers blancs et de dockers. Cette population blanche s’est désintégrée au fil des années pour laisser place désormais à 73 % de minorités ethniques et noires. Plus de 147 langues étrangères différentes sont parlées rien que dans cet arrondissement de la capitale. Les habitants ancestraux, les Cockneys, sont devenus une espèce en voie de disparition.

En 15 ans, l’immigration de masse a anéanti des décennies de traditions forgées au cours du temps. Newham dispose à ce jour de 66 écoles primaires qui accueillaient il y a seulement 20 ans 50 % d’Anglais de souche. Aujourd’hui, à peine un élève sur trois est anglais et 43 langues différentes sont parlées dans l’enceinte de l’école.

Le Daily Mail a interrogé un habitant de 66 ans, Monsieur Peter Bell : « Je ne veux pas manquer de respect à la communauté musulmane, mais je pense qu’ils ne veulent vraiment pas s’intégrer à nos traditions… »

« Quand j’entends des mots comme multiculturalisme et vivre ensemble, je pense que c’est un non-sens. Nous sommes dans un environnement ayant un chômage record, une densité humaine extrême et où on en arrive à se sentir ostracisés. »

« Que notre Premier ministre ou nos députés viennent vivre ici sur Green Street pendant deux semaines. Ils comprendront mieux. »

« Je n’en reviens pas de ce qui est en train de se passer ici : on se croirait à Bagdad. »

Le district de Newham est l’arrondissement le plus ethniquement diversifié de tout le Royaume-Uni avec seulement 16 % de population blanche aujourd’hui contre 33,8 % il y a encore 10 ans.

Madame Leanne Oakham, dit au journaliste de BBC1 qu’elle a été obligée de déménager pour vivre dans l’Essex : « Ce n’est plus comme le East End d’autrefois où tout le monde se connaissait et on pouvait s’absenter de chez soi en laissant sa porte ouverte. C’est devenu dangereux aujourd’hui… »

Photo-2.jpg

Traduction résumée du Daily Mail par Eurolibertés

Christian Legrand

Christian Legrand a parcouru le monde de nombreuses années (Chine, USA, Afrique noire, etc.) avant de devenir un chroniqueur régulier de nombreux sites internet français et étrangers.

Source : Eurolibertés

Halalissime : la très discrète marque halal du groupe Auchan

halalissime-auchan.png

Le groupe Auchan a lancé l’an dernier sa marque halal qu’elle a choisi d’associer à Simply Market.

Halalissime, voilà un nom qui annonce clairement la couleur. Propriété du groupe Auchan, via la société International Supermarket stores, Halalissime a pourtant été lancée au printemps 2015 avec force discrétion.

Discrétion à double titre :
– Auchan n’a pas associé son nom à la marque. Les produits ont été du reste commercialisés seulement dans les Simply Market, chaîne de supermarchés du groupe.
– Le lancement de la marque n’a été accompagné d’aucune campagne de communication.

L’islamophobie est si importante en France qu’elle affecte aussi l’économie. Finance islamique ou halal alimentaire, nombre de sociétés renoncent à se lancer sur le marché des consommateurs musulmans de crainte de subir des campagnes de dénigrement qui affecteraient leur activité.

Nous avons essayé de trouver Halalissime chez Simply Market, en vain. Pourtant, la marque a bel et bien été lancée comme en attestent ces deux tweets.

Source : Al-Khanz

Le Quick de Chenôve ne propose plus que des menus halal

mardi-photo-archives-lbp-1463307558.jpg

Selon nos informations, le Quick de Chenôve, situé rue de Longvic, propose uniquement des menus halal depuis mardi dernier. Une affiche est visible sur la porte du restaurant depuis cette date pour prévenir les clients.

En décembre 2015, après le rachat de l'enseigne française par le géant américain Burger King, de nombreuses sources affirmaient que les Quick passeraient tous sous pavillon américain, à l'exception de 10 % des restaurants qui serviraient uniquement de la viande certifiée conforme au culte musulman.

Reste à savoir quelle stratégie sera mise en place pour les trois autres restaurants de l'agglomération (Dijon, Saint-Apollinaire et Quetigny).

Source : Bien public

De Verdun à Macron : le naufrage moral du gouvernement

Le-radeau-de-la-M--duse-1024x660.jpg

La France est un bateau ivre. La gauche a renoncé à gouverner, persuadée que notre pays avait sombré, noyé dans l’océan mondialiste. Jusqu’à présent, nous semblions pris en otages de leur funeste politique, condamnés à assister, impuissants, au naufrage moral d’une nation millénaire, celle qui fut la nôtre, comme, auparavant, elle fut aussi la terre de nos pères. Ivres de leur pouvoir, totalement dénués de sens historique, les équipes de l’Élysée ont cru pouvoir programmer un rappeur, ayant tenu des propos parfois totalement inappropriés pour une telle occasion, aux commémorations du centenaire de la bataille de Verdun, sans que personne ne rechigne.

Fort logiquement, ce qui devait arriver arriva. La décence commune a prévalu. Très rapidement, une union nationale s’est formée, sans moyens particuliers autre qu’une farouche volonté politique, au sens le plus noble du terme. Quatre jours plus tard, le concert était annulé, consécration d’un long travail de ré-information, d’une bataille culturelle. Du site Fdesouche, au Collectif Culture qui a réalisé un visuel devenu viral. Conscients que l’affaire dévoilait crûment les provocations constantes d’une partie du monde politico-médiatique, les têtes d’affiche de la majorité n’ont pas réagi, laissant le petit personnel se ridiculiser.

Le secrétaire d’État aux Anciens combattants, Jean-Marc Todeschini, a vainement tenté d’agiter une « menace fasciste », qui s’étendait pourtant jusqu’à Jack Dion de Marianne, particulièrement remonté. Les anciens combattants seront contents de l’apprendre ! Puis la machine s’est furieusement emballée. Audrey Azoulay, ministre de la Culture, a bafouillé quelques mots absurdes sur une hypothétique « union morale nauséabonde ». Elle a même évoqué sa prétention à vouloir défendre les « libertés d’expression et de création » contre la censure. Ah bon, Black M est interdit de se produire en France ? Ses chansons ne passent pas à la radio ? Il n’est censuré nulle part, madame Azoulay. Il n’avait juste pas sa place à Verdun. Quant à elle, sa place était à Cannes, à se pavaner sur les tapis rouges en buvant du champagne, tout en se dépeignant en « résistante ».

Leur politique culturelle paraphrase Michel Houellebecq, c’est l’extension du domaine de la fête. Partout, tout le temps. La fête, la fête, la fête. Si on ne peut pas danser sur les tombes, sur l’histoire, ce serait parce que le « fascisme » d’un nouvel « ordre moral nauséabond » serait de retour. Quelle indécence. Dans un genre approchant, Fred Musa, animateur de la radio Skyrock, a déclaré sur I-Télé : « Black M c’est du rap pour toute la famille, même les grands-parents. Un peu comme Diam’s ». Les fast-foods américains sont aujourd’hui des restaurants familiaux, est-ce une raison pour en faire la nourriture officielle de l’Élysée quand nous recevons des chefs d’États étrangers ?

Philippe Muray avait prévenu : « Nous lutterons comme des lions pour protéger notre ramollissement ». La droite molle, jamais en retard d’une guerre contre la France historique, ne dément pas l’écrivain. Elle s’est aussi laissée aller à des débordements coupables, parfois délirants, par les voix de Rama Yade et Benoist Apparu. Alain Juppé utilisera-t-il une chanson de Black M pour sa campagne des primaires des Républicains ? Plus rien n’est impossible désormais.

Diaboliser l’opposition est une méthode de perdants. Ils ne savent plus quoi faire, éparpillés façon puzzle entre le libertarisme moraliste des uns, et les luttes personnelles des autres, financées par Goldman Sachs à Londres. Emmanuel Macron, le « renouveau en marche », a levé des millions d’euros pour sa micro formation politique lors d’un voyage officiel pour militer contre le Brexit. Quand d’autres font appel aux forces de l’argent, nous convoquons les forces de l’esprit. Plus difficile, plus ingrat, mais autrement plus noble.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

La vision ignorante de Trump sur l’islam, selon Sadiq Khan

SADIQ-MUSLIMS-3-856x660.jpg

Beaucoup de choses ont été dites et écrites sur Sadiq Khan, l’actuel maire de Londres. Ainsi, durant la campagne électorale, des journaux comme The Sun, The Guardian et d’autres, accusaient Sadiq Khan d’entretenir des liens douteux avec des groupes islamistes. Par exemple, Sadiq Khan fut l’ex-avocat de Nation of Islam (lobby politico-religieux américain) et de Zacarias Moussaoui (un des terroristes du 11 septembre 2001).

Aussi, il mena une campagne pour la libération et le retour au Royaume-Uni de Shaker Aamer (islamiste actif en Afghanistan et ex-dernier détenu de la prison de Guantanamo). Également, il participa à un colloque politico-islamique où les femmes et les hommes devaient entrer par des portes séparées… La presse anglaise a-t-elle voulu faire dans la diabolisation ou a-t-elle voulu s’improviser « lanceur d’alerte » ? Seul le temps nous le dira.

Cependant, ce qui est certain, c’est que la première mesure du nouveau maire de Londres fut de s’ingérer dans l’élection américaine. En effet, durant cette campagne le plus que probable candidat républicain, Donald Trump, estimait qu’il était nécessaire d’organiser un moratoire sur l’immigration musulmane, quelle que soit la raison, et cela jusqu’à ce que les responsables gouvernementaux puissent formuler une compréhension face aux incessantes attaques djihadistes, ainsi que mieux intégrer cette violence et cette haine particulière émanant de la communauté musulmane.

En réponse, Sadik Khan a donc lancé : « La vision ignorante que possède Donald Trump sur l’Islam pourrait rendre nos deux pays moins sûrs – il risque d’aliéner la majorité des musulmans du monde entier et jouer le jeu des terroristes. »

Face à cette déclaration, on aimerait alors demander à monsieur le Maire de Londres à quoi pourrait ressembler un politicien non-ignorant de l’islam. Est-ce quelqu’un comme Merkel qui a forcé sur le continent européen une invasion migratoire de plus d’un million de migrants qui, pour la plupart, sont musulmans ? Ou alors ; est-ce peut être quelqu’un comme Trudeau qui a refusé que l’aviation canadienne continue à bombarder l’État islamique ? Aussi, doit-on comprendre que si Trump ne change pas sa rhétorique défensive, les « kouffars » de l’Amérique et du Royaume-Uni devront alors subir encore plus de violence au nom de l’Islam et d’Allah ?

Au final, Trump s’est engagé, si élu, à faire une exception avec le maire de Londres. Ville, qui, comme Bruxelles, est soupçonnée d’héberger des penseurs et des soldats islamistes. Ville où plus de 600.000 Anglais de souche ont fui majoritairement pour cause de « vibrante diversité ». Une ville où les « White British » ne représente plus que, selon le recensement de 2011, 45% de la population londonienne, recevant de fait le titre de « minorité ». Une ville, où l’immigration est incessante. Une ville qui a, certes, un maire musulman, comme ce fut si largement commenté, mais qui est avant tout le maire d’une ville démographiquement non-anglaise.

Xavier Scott

Source : Boulevard Voltaire

 

Londres est hallal - Pierre Vial

allah-gloire-allah-presente-mai-2016-640-b.jpg

 

« L’élection d’un fils d’immigrés, s’assumant comme musulman, à la mairie d’une capitale de la Vieille Europe est incontestablement remarquable ». Avec ce constat, le journal Le Monde, la voix de la bourgeoisie cosmopolite, est aux anges : Sadiq (sic) Khan, musulman et Pakistanais devenu un Anglais de papier, est maire de Londres (il a eu la chance d’avoir comme concurrent le milliardaire juif Zac Goldsmith…).

Et Le Monde, qui reconnaît que « certes, Londres, ville-monde, est différente du pays profond », assène son credo : « Mais c’est un message qu’on ne dédaignerait pas de voir exporté Outre-Manche ». Eh oui, bien sûr : à quand, enfin, un(e) maire musulman(e) à Paris ? Etape indispensable pour la salutaire destruction d’une identité française et européenne qui est une insupportable entrave à la réalisation d’un monde idyllique car enfin métissé.

Les quotidiens régionaux ne voulaient évidemment pas être en reste pour la diffusion du message prêché par les zélotes parisiens de la dhimmitude. Donc Le Midi Libre écrit que Sadiq Khan « vient de donner une belle leçon à l’Occident » et qu’on « peut saluer l’ouverture d’esprit des électeurs londoniens » en choisissant un homme qui « incarne des valeurs de fraternité et de tolérance ». En oubliant un « détail » : combien d’électeurs londoniens sont-ils d’origine non-européenne ?

Pour être aussi sur la même ligne ethnomasochiste, La Charente libre assure que le vote des Londoniens est « exemplaire pour le reste d’une Europe tentée par les solutions extrêmes contre l’immigration ». Quant à La Montagne elle voit dans l’élection de Sadiq Khan « un espoir d’émancipation ».

Londres est donc devenu un symbole et tous les musulmans qui campent sur le sol européen l’ont bien compris et savourent l’événement : c’est une étape, importante, dans la guerre de conquête qu’ils ont entreprise. Tous les Européens qui ne comprennent pas ou ne veulent pas comprendre cela sont mûrs pour devenir des proies faciles car consentantes.

Pierre Vial

Source : Terre et Peuple

 

Livre : Philippe Randa : Poitiers Demain

Poitiers-demain-4-e.jpg

Philippe Randa, conscient très jeune des menaces islamiste et immigrationniste, a écrit ce roman d’anticipation voilà près d’un quart de siècle… Poitiers demain connut un succès immédiat dans la mouvance nationale française et européenne et plusieurs éditions successives. Cette nouvelle réédition témoigne qu’il n’a rien perdu de son message prophétique et de l’espoir que place l’auteur dans la détermination des Européens à s’opposer à l’islamisme radical et aux dangers d’une immigration-colonisation qui, hélas, n’ont fait qu’empirer depuis quarante ans…

2032, ils reviennent…

« Si le Djihad est le problème,
Poitiers demain est la solution ! »

Au XXIe siècle, la Troisième Guerre mondiale embrase la Terre. Les bombes d’abord, le Sida Foudroyant ensuite, ravagent le Monde en quelques mois. Les populations sont décimées.

En France, une fois la paix revenue, de petites communautés survivent, peureuses et désemparées dans un pays dévasté. Elles doivent se défendre contre les pillards, puis contre la menace du cheikh Akim qui a regroupé les populations africaines et veut conquérir l’ensemble du pays, réduisant en esclavage tous les « infidèles » qui lui résistent.

Un homme va alors rassembler une poignée d’Européens, de ceux qui veulent vivre libres sur leur terre et s’opposer à la formidable armée des envahisseurs. L’affrontement aura lieu à Poitiers en 2032 ! Bis repetita placent !

Poitiers demain est une épopée de la reconquête. Un hymne à l’Europe des Seigneurs de la guerre dont le héros emprunte ses traits aux chevaliers de le Table ronde. La Vouivre, mobilisée pour la bonne cause, entame une nouvelle carrière. Thor et Merlin font bon ménage avec les logiciels les plus perfectionnés. Quant aux Barbares, ils n’ont guère changé depuis la mort de Roland.

Acheter le livre ici

Livre : Norbert Multeau : L’islam chez lui chez nous

Islam-chez-lui-chez-nous-quadri.jpg

L’islam inquiète la France, embarrasse la démocratie, perturbe la paix civile. Devant cet intrus conquérant, la politique et l’intelligence se soumettent au nom des droits de l’homme, de la démocratie, de la tolérance … Et la crainte d’être «stigmatisés» comme racistes et islamophobes musèle les Français.
Cet essai «colérique» fait fi de la langue de bois et du «politiquement correct» pour constater que la fille aînée de l’église est en passe de devenir la fille cadette de l’islam. Car si nous ne faisons pas la guerre à l’islam, lui nous la fait. Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L’objectif est de convertir les trois autres. Sommes-nous indignés ? Révoltés ? Résignés ?

Préface de Péroncel-Hugoz.

Et la crainte d’être «stigmatisés» comme racistes et islamophobes musèle les Français.
Cet essai «colérique» fait fi de la langue de bois et du « politiquement correct » pour constater que la fille aînée de l’église est en passe de devenir la fille cadette de l’islam.

Car si nous ne faisons pas la guerre à l’islam, lui nous la fait.

Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L’objectif est de convertir les trois autres. Sommes-nous indignés ? Révoltés ? Résignés ?

Acheter l'ouvrage ici

Livre : Dr Jean-Claude Pérez : L’assassinat de l’Algérie française, terreau de la conquête islamiste actuelle

Assassinat-AF-quadri.jpg

C’est à un poste de responsabilité dramatique que le Dr Jean-Claude Pérez a évolué en Algérie française à partir du 5 octobre 1955. Responsabilité dans un combat livré pour la Patrie, pour la France. Mais aussi pour l’Europe et pour l’Occident.
Ce fut une aventure totale que, paradoxalement, il continue de vivre aujourd’hui. Après plus de 50 ans. Pourquoi ? Parce qu’il reste imprégné d’une certitude : en Algérie française, ce ne fut pas à « un combat de la fin » qu’il a participé. Ce fut à un combat « de la fin du com­­mence­­ment. »

Du commencement d’une guerre qui, à partir de la Toussaint Rouge, le 1er novembre 1954, fut déclenchée contre la nation française, dont la défaite était nécessaire à ceux qui aujourd’hui aspirent à la « domination finale du monde ». À ceux qui s’expri­ment aujourd’hui en Europe, en Asie occidentale, en Indonésie, en Afrique et en Amérique, à travers la pugnacité d’un nouveau conquérant « l’arabo-islamisme fondamentaliste. »
Dans la rédaction de ce nouveau livre, il a pris soin de ne jamais perdre le contact avec l’Histoire. Parfois même, en affrontant le risque de remonter très loin. C’était d’une nécessité incontournable. « L’assassinat de la France Sud-Méditer­ra­néenne » reste en effet une page d’importance majeure dans l’histoire de France, dans l’histoire de la Chrétienté.
D’un chapitre à l’autre, il offre un parcours attentif et critique au lecteur curieux qui, encore une fois, morceau par morceau, parviendra à se pénétrer ainsi de la signi­fication historique, philosophique et spirituelle de l’assassi­nat de la France Sud-Méditerranéenne.
À propos de l’Algérie française, de la guerre d’Algérie, du combat de l’OAS déclenché dans l’espoir d’éviter à la France gaulliste l’infamie d’une lamentable défaite, il refuse de rejoindre « la triste cohorte des sceptiques, des blasés ou des aigris. »

Acheter l'ouvrage ici

Livre : Jean-Claude Giraud, Philippe Randa : D’un uniforme à l’autre. De l’Algérie en guerre à l’insécurité en France

D-un-uniforme-autre-e.jpg

 

Préface de Jean-Pierre Rondeau.

Toute sa vie, Jean-Claude Giraud a servi la France. D’abord en Algérie où, engagé volontaire, il découvre la réalité d’une guerre pudiquement baptisée  » maintien de l’ordre  » : les atrocités du FLN, mais aussi le dévouement des harkis, la sincérité des combattants de  » L’Algérie aux Algériens  » comme de  » L’Algérie française « , la camaraderie de la vie dans les douars et la trahison d’un Président de la République française : un immense gâchis qui laisse encore aujourd’hui des plaies à vif parmi tous les acteurs de ce drame.
Ensuite, en France même où il va gravir tous les échelons de la police : entré dans les CRS en… mai 68 (!), il sera ensuite affecté à la garde des Grands Hommes : Charles De Gaulle, Georges Pompidou, André Malraux, Léopold Sedar Senghor, Richard Nixon… Gardien de la paix, puis Inspecteur et enfin Chef Inspecteur Divisionnaire (Commandant 5e Echelon), voici les souvenirs et les remarques au vitriol d’un homme qui a été confronté directement à la montée de la criminalité, au laxisme des différents gouvernements de ces trente dernières années et à ceux qui ont défrayé la chronique des faits-divers.
De Jacques Mesrine au gang des postiches et à la mafia sicilienne, de Patrick Henry aux Zones de non-droit, d’Action Directe aux attentats islamistes des années 90 et à l’arrestation de Carlos, c’est la France des faits-divers et des scandales politiques, du grand banditisme au simple cambriolage, du meurtre crapuleux au coup-de-folie passionnel, du racket organisé aux tueurs en série, de la prévention nécessaire à la répression justifiée… Un grand flic témoigne sur ce qu’il a vu, entendu et vécu sans haine et sans crainte, sans honte et sans mensonge.
Avec l’obsession de porter témoignage pour remettre les pendules à l’heure d’un pays qui pour être certes déboussolé, n’en reste pas moins notre France.
Pour le meilleur et le pire… et pour toujours !
 

Livre : Guillaume Faye : Pourquoi nous combattons

Pourquoi-nous-combattons2-e.jpg

Politique, économie, géopolitique, démographie, biologie, etc., tous les sujets sont abordés. Il manquait au courant identitaire une véritable doctrine de synthèse idéologique et politique qui, au-delà de tous les partis, tendances, chapelles et sensibilités, rassemble enfin autour d’idées et d’objectifs clairs l’ensemble des forces qui s’opposent au dramatique déclin des Européens.

Manifeste de la Résistance européenne.

Il manquait au courant identitaire une véritable doctrine de synthèse idéologique et politique qui, au-delà de tous les partis, tendances, chapelles et sensibilités, rassemble enfin autour d’idées et d’objectifs clairs l’ensemble des forces qui s’opposent au dramatique déclin des Européens.
Nos peuples affrontent en effet les plus graves périls de toute leur histoire : effondrement démographique, submersion par la colonisation allogène et par l’islam, abârtardissement de la construction européenne, soumission à l’hégémonie américaine, oubli des racines culturelles, etc.
Sous la forme de texte essentiels et surtout d’un dictionnaire fondamental de 177 mots-clés. Guillaume Faye, un des auteurs les plus féconds de la « droite » européenne, établit un diagnostic complet de la situation et propose un programme de résistance, de reconquête et de régénération des valeurs. Il projette une alternative radicale et révolutionnaire à cette civilisation dégénérée. L’objectif de ce manifeste est d’unir par une doctrine commune de combat toutes les volontés désireuses de constituer un Réseau européen de rébellion, oubliant les querelles intestines et les divergences superficielles.
Politique, économie, géopolitique, démographie, biologie, etc., tous les sujets sont abordés.
Comme le fut pour la gauche du xixe siècle le Manifeste du Parti communiste de Karl Max, Pourquoi nous combattons est destiné à devenir le manuel de base des forces identitaires européennes du xxie siècle. Sa possession et sa lecture attentive sont absolument indispensables.
Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et titulaire d’un doctorat en sciences politiques, l’essayiste Guillaume Faye a été l’un des principaux théoriciens de la Nouvelle droite française des années 1970-1980 avant d’évoluer vers la mouvance identitaire. Journaliste au Figaro-Magazine, à Paris-Match, à VSD, à Magazine-hebdo, à Valeurs actuelles et à la radio « libre » La Voix du Lézard. Il a également dirigé le journal, puis la lettre confidentielle J’ai tout compris !

Acheter l'ouvrage ici

Livre : Guillaume Faye : Avant-Guerre. Chronique d’un cataclysme annoncé

Avant-Guerre-e.jpg

 

Ce livre défend la thèse suivante : la Troisième Guerre mondiale va éclater de manière imminente. Ses formes seront radicalement nouvelles, « archéofutu­ristes ». Elle sera la plus violente, la plus impitoyable, la plus dévastatrice que l’humanité ait jamais connue. Elle n’opposera pas des États entre eux, mais sera un choc titanesque de civilisations, de religions et de races, au cœur duquel il y a la reprise mondiale du djihad islamiste et de sa troisième offensive historique contre l’Europe, mais aussi le risque d’un conflit majeur dans la zone pacifique.
Les attentats du 11 septembre ont été l’élément déclencheur de cette guerre, tout comme l’assassinat de Sarajevo entraîna la Première Guerre mondiale.
L’Europe et la France se trouveront au centre de la ligne de front de ces conflits, dont les deux principales formes seront le terrorisme de masse et la razzia insurrectionnelle. Nous allons vivre simultanément une « guerre globalisée » et une guerre civile à forte connotation ethnique en Europe. Il faut nous attendre aussi à des actes de « giga-terrorisme », notamment nucléaire.
Face au formidable cyclone qui se lève, l’impréparation de la société occidentale est totale, analyse l’auteur : une classe politique aveugle ou indifférente ; des intellectuels plus veules que jamais dans leur tour d’ivoire ; une population autochtone émasculée et ahurie. Pourtant il ne faut pas désespérer : cette guerre totale qui se prépare et va embraser la planète sera non seulement un démenti cinglant au souhait américain de « fin de l’histoire » et de « nouvel ordre mondial » au xxie siècle, mais l’unique moyen de refonder la civilisation européenne dans la douleur et d’opérer la reconquête de notre aire de civilisation.
Le Tribunal de l’Histoire prononcera bientôt son verdict…
Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et titulaire d’un doctorat en sciences politiques,  l’essayiste Guillaume Faye a été  l’un des principaux théoriciens de la Nouvelle droite française des années 1970-1980 avant d’évoluer vers la mouvance identitaire. Journaliste au Figaro-Magazine, à Paris-Match, à VSD, à Magazine-hebdo, à Valeurs actuelles et à la radio « libre » La Voix du Lézard.  Il a également dirigé le journal, puis la lettre confidentielle J’ai tout compris !

Acheter l'ouvrage ici

Livre : Dr Jean-Claude Pérez : Attaques et contre-attaques

Attaques-contre-attaques-e.jpg

En attaquant la France en Algérie, c’est à la conquête de notre pays que se lancèrent en effet, le FLN d’abord, l’islamisme fondamentaliste ensuite.

En attaquant la France en Algérie, c’est à la conquête de notre pays que se lancèrent en effet, le FLN d’abord, l’islamisme fondamentaliste ensuite.

« Vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque », telle fut la prédiction d’un chef FLN, avant sa mort. Mais autre chose est à souligner : il s’est agi d’une véritable guerre, officialisée comme telle, le l8 octobre 1999, par une loi de notre assemblée nationale, à majorité socialiste.

Au nom de cette loi, il sera possible, un jour, de réclamer justice. Contre ceux qui se sont rendus coupables d’intelligence avec l’ennemi en temps de guerre.

Ces renégats, en trahissant leur pays ont assumé un autre risque.

Celui de provoquer un génocide, c’est-à-dire le massacre d’un million de Français d’Algérie, de toutes confessions.

Une poignée de combattants parvint à interdire ce génocide, les armes à la main : les combattants de l’OAS.

Acheter le livre ici

Livre : Roger Tebib : Les services de renseignement dans le monde islamique

Service-Rsgt-Monde-islamique-e.jpg

Ce livre a été écrit pour le grand public, mais également pour les services français du renseignement qui sont, quoiqu’en pensent certains, parmi les meilleurs du monde et les plus démocratiques.

Dans les services de renseignement du monde islamique, le militaire a une place importante, en principe pour deux raisons : d’une part, les officiers des pays musulmans sont souvent issus d’une petite bourgeoisie et l’armée constitue pour cette classe sociale une chance de promotion ; d’autre part, les conflits dans le Proche-Orient et l’Afrique du Nord font que renseignement politique et renseignement militaire vont de pair. Certains de ses services sont de haut niveau et ont de bonnes relations avec les pays européens. Mais dans le futur ordre mondial bipolaire, ils risquent d’être utilisés par les impérialistes qui tentent d’asseoir leur puissance sur des États où les communautés étrangères sont importantes. Il convient donc de se protéger contre les tentatives de subversion dues à une diplomatie souvent du gazoduc.

Ce livre a été écrit pour le grand public, mais également pour les services français du renseignement qui sont, quoiqu’en pensent certains, parmi les meilleurs du monde et les plus démocratiques.

L’auteur, Roger Tebib, est docteur en droit, docteur ès sciences religieuses, docteur d’État ès lettres. Il fut d’abord instituteur, élève de l’École normale supérieure de Cachan, inspecteur de l’Éducation nationale, puis professeur des Universités (sociologie). Il est auditeur à l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale, président de la section Champagne-Ardennes du Haut Comité Français pour la Défense civile, président de la même région de l’association Renaissance française et directeur du Centre d’Études de Défense et de Sécurité Civile (à Troyes et Chaumont).

Il a obtenu pour ses travaux les prix de la Société des Arts et Lettres de France, de l’Académie de droit de Toulouse et du Conseil Général de la Haute Marne.

Acheter le livre ici

Livre : Gilbert Sincyr : L’Islam face à la Gaule

L’Islam-face-à-la-Gaule-e.jpg

Nous sommes en juin 721, et le duc Eudes d’Aquitaine voit monter devant Toulouse la marée sarrasine. Charles « Martel », qui veut sa perte, l’a abandonné. Après six mois de siège, la bataille sera d’une violence inouïe. 3875 musulmans et 1203 chrétiens y laisseront la vie, ainsi que l’émir Essamh ibn Malik. Les lambeaux de l’armée islamique refluent alors vers Narbonne. Le rêve de la conquête musulmane de la Gaule gît, brisé, sur « La Chaussée des Martyrs ».

— Allah akbar !

5000 poitrines clament ce cri en se lançant à l’assaut de la Gaule.

Nous sommes en juin 721, et le duc Eudes d’Aquitaine voit monter devant Toulouse la marée sarrasine. Charles « Martel », qui veut sa perte, l’a abandonné. Après six mois de siège, la bataille sera d’une violence inouïe. 3875 musulmans et 1203 chrétiens y laisseront la vie, ainsi que l’émir Essamh ibn Malik. Les lambeaux de l’armée islamique refluent alors vers Narbonne. Le rêve de la conquête musulmane de la Gaule gît, brisé, sur « La Chaussée des Martyrs ».

Et Poitiers en 732 ? Ce fut une rude bataille, mais le rezzou arabe de 7 000 fédayins, commandé par le nouvel émir Abder Rahman El Gharifi, fut à son tour détruit par les forces d’Eudes d’Aquitaine et de Charles Martel, alliés pour une fois. Seulement les Mérovingiens devenus « fainéants », allaient être remplacés par les Carolingiens, soutenus par l’Eglise, et le duc Eudes d’Aquitaine ruiné par les ravages des musulmans dû accepter la suzeraineté du royaume Franc. Devenu le sauveur de l’Occident et de la chrétienté, Charles Martel se servit de ce marchepied pour construire son ambition.

Mais cette victoire commune n’a pas eu pour les arabes l’importance qu’on lui attribue, car ce fut à Toulouse et non à Poitiers que la tentative de conquête musulmane fut stoppée, et c’est ce qu’a découvert le Professeur Forado. En effectuant un travail de recherches approfondies dans les archives du Haut Moyen Âge, le Professeur Sydney Forado, mit en lumière ce que les apologistes de Charles Martel avaient travesti. Redonnant un intérêt historique à cette période méconnue.

Intégrant ces découvertes, retraçant la pression musulmane de la Méditerranée à l’Atlantique, l’accord entre le prince Eudes d’Aquitaine et le gouverneur berbère de Narbonne, le traité de 720 imposé à Eudes par Charles « Martel », les batailles de Toulouse et de Poitiers…. Gilbert Sincyr nous fait vivre en direct l’histoire de la tentative islamique de con­quête de la Gaule au viiie siècle, et l’arrivée d’une nouvelle dynastie à la tête du royaume Franc.

Passionnant et instructif.

Acheter l'ouvrage ici