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jeudi, 19 mai 2016

Samedi 21 mai : Thomas Joly à Marseille

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Source : Synthèse Nationale

Musique : Le grand remplacement : Les Brigandes

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Livre : POURQUOI ? La Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique...

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Synthèse nationale lance une nouvelle collection : la collection "POURQUOI ?". Alors, pourquoi cette collection ? Pour donner aux militants et sympathisants de la cause nationale des arguments dans le combat qu'ils mènent quotidiennement pour rétablir la vérité face au rouleau compresseur de la presse asservie à la pensée dominante. Chaque livre de cette collection sera consacré à un sujet d'actualité et développera des arguments permettant d'aider à une meilleure compréhension de celui-ci. Ces ouvrages sont collectifs et, fidèles à la vocation qui est celle de Synthèse nationale, ils donnent la parole à des personnalités qui connaissent bien les problèmes abordés.

Ainsi, le premier tome, qui sortira à l'occasion de la journée lilloise de Synthèse nationale du dimanche 24 avril prochain, sera consacré au conflit qui ensanglante la Syrie depuis quelques années. Son titre : "La Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique...". Vous retrouverez des contributeurs réguliers de Synthèse nationale, comme Georges Feltin-Tracol, Jean-Claude Rolinat, Serge Ayoub, Nicolas Tandler, ainsi que des personnalités qui connaissent bien le problème pour l'avoir suivit de près comme Elisa Bureau, responsable de SOS Chrétiens d'Orient, Emmanuel Albach, ancien combattant volontaire français aux côtés des Phalangistes libanais en 1976, Martial Roudier, de l'excellent site Languedoc-info qui nous tient régulièrement informés sur l'évolution du conflit ou Stéphane Wulleman qui vient d'effectuer plusieurs voyages en Syrie, et quelques autres.

Vous pouvez dès maintenant commander ce livre (160 pages, 20 €) à Synthèse nationale. Un outil indispensable pour mieux comprendre les source et la réalité de cette guerre importé en Syrie par l'étranger et dont l'Europe supporte de plus en plus mal les conséquences dramatiques.

Commander l'ouvrage ici

Black M a menti, son grand-père n'a jamais combattu en 39-45

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Suite à l’annulation de son concert à Verdun, Black M avait communiqué sur sa page Facebook : « Une terre pour laquelle mon grand-père Alpha Mamoudou Diallo, d’origine guinéenne, a combattu lors de la guerre 39-45 au sein des Tirailleurs Sénégalais » avant de dénoncer « une polémique incompréhensible et inquiétante ».

Contacté par téléphone Pascal Guy est formel : historien et spécialiste du Ier Empire, qui a en sa qualité de chercheur a une carte d’accès aux archives militaires de Vincennes : « Il n’y a pas d’Alpha Mamoudou Diallo guinéen incorporé dans les troupes coloniales ».

Le chercheur ajoute qu’après avoir fait des recherches minutieuses avec toutes les orthographes possibles, et en supprimant le prénom « Alpha Mamoudou », seuls deux Guinéens (qui donc n’ont pas « Alpha » dans leur prénom) figurent dans les archives militaire l’un est trop agé née 1888, quand l’autre né en 1905 à été démobilisé en 1941 et n’a donc pas participé à la libération de la France.

Le chercheur explique que ces archives sont publiques et qu’il est possible pour chacun de faire la recherche soi-même.

Les médias auraient-ils pris le post Facebook de Black M pour argent comptant sans la moindre vérification ? Partout, dans presque tous les médias, des journalistes annonçaient sans aucune précaution la qualité d’ancien combattant du grand-père de Black M comme argument pour démontrer l’injustice qui était faite au rappeur.

Source : Le Blog de Thomas Joly

Vienne (Autriche) : Une « patrouille islamique » lynche un homme tentant de protéger sa femme et sa fille

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A Vienne, en Autriche, une patrouille islamique décidée à faire respecter l’application de la charia [La loi islamique, NDLR] a violemment passé à tabac un homme tentant de protéger sa femme et sa fille qui “refusaient de rentrer chez elles” sur ordre des miliciens musulmans.

Le journal britannique The Daily Express rapporte : Un tribunal a entendu le groupe composé de jeunes hommes et se faisant appeler “Les Loups”. Ils s’étaient approchés de l’épouse de la victime, de sa fille et des amies de cette dernière.

Ils avaient déclaré aux filles, âgées de 14 à 16 ans, qu’elles se comportaient de façon “inappropriée” et leur avaient ordonné de “rentrer à la maison”.

Le groupe a notamment dit à l’épouse : “Nous, et seulement nous, allons ramener les filles à la maison. Ce sont les filles de notre pays.”

Terrifiée, la mère a téléphoné à son mari, qui est rapidement arrivé sur les lieux avant d’affronter le groupe. En réponse, ils l’ont sauvagement battu tandis que sa famille regardait la scène, impuissante.

Un passant qui a tenté de venir au secours de la victime a également été attaqué.

Trois individus ont été identifiés et condamnés à des peines de 8 à 10 mois de prison.

Source : Le blog de Thomas Joly

Manifestation contre l'invasion migratoire à Dieppe le 2 juillet !

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Paris – Migrants : France Terre d’asile tonne contre l’engorgement du système

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L’association France Terre d’asile a tapé du poing sur la table mercredi en annonçant qu’elle suspendait, à Paris, la prise des rendez-vous en préfecture, pour dénoncer un engorgement « invraisemblable » de l’accès à la demande d’asile.

« On ne peut pas travailler dans ces conditions, nous fermons jusqu’à nouvel ordre », a annoncé à l’AFP Pierre Henry, le directeur général de l’association, en précisant que le centre chargé du pré-accueil des candidats à l’asile resterait fermé au moins mercredi et jeudi.

En cause: l’engorgement de la procédure, depuis l’entrée en vigueur, le 1er novembre, de la nouvelle loi sur l’asile, pourtant censée fluidifier le système avec la mise en place d’un « guichet unique » regroupant les services de la préfecture et de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii). (…)

- « 200 euros au marché noir » -
L’association avait dans un premier temps essayé de donner des rendez-vous pour cette étape de « pré-enregistrement ». Mais ces « tickets bleus » se revendaient « 200 euros au marché noir », explique une salariée. Et les délais d’attente ont vite atteint plusieurs mois.
Depuis les files s’allongent, avec « des tensions » et « parfois des bagarres », qui font craindre « pour la sécurité des migrants et des salariés », selon M. Henry.

« On ne peut pas gérer la sécurité sur la voie publique », ajoute le responsable, qui s’est résolu mercredi à appeler la police lorsque des remous ont éclaté dans la file d’attente.

« Cela fait trois semaines que je suis ici, je dors sur place, mais je n’ai pas réussi à entrer », explique Fareez, un Afghan, dans la file de quelque 300 personnes. A ses pieds, cartons, couvertures et duvets témoignent d’un campement sauvage à même le trottoir.
Son voisin, un Mauritanien se présentant sous le prénom d’Ali, assure attendre depuis cinq jours. A l’ouverture des portes, « c’est le plus fort qui entre », selon lui.
Le problème est que le système « a été formaté pour 8.000 demandes par an » mais que, malgré les efforts de la préfecture,

« on est sur un rythme de 30.000 à 40.000″, déplore Pierre Henry. (…)

Source : Fdesouche

Nouvelle mosquée : la mairie attend la demande d’autorisation d’ouverture

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Une nouvelle mosquée sera installée au quartier de Beauval à Meaux, dans les locaux de l’ancien bazar Gigastore. Elle devrait être inaugurée pour le 6 juin ou 7 juin, début prévu du ramadan. La mairie n’a cependant pas encore reçu de demande d’autorisation d’ouverture au public.

Le nouveau centre cultuel, situé à l’angle du boulevard du Chevalier-Bayard, dans le secteur de la Verrière à Beauval, portera le nom de Bilal et disposera d’une surface de 1 500 m² au rez-de-chaussée, réservée à la prière des hommes, et de 500 m² au sous-sol, réservée à celle des femmes. Des activités culturelles s’y tiendront également et seront proposées petit à petit : soutien scolaire, cours d’arabe, conférences et projets humanitaires.

Les responsables prévoient l’ouverture pour début juin, au moment du ramadan. Pour Hadj, un habitant de Beauval, la nouvelle installation permettra aux nombreux fidèles meldois d’exercer leur culte « dans de meilleures conditions et en sécurité ». Karim, un autre fidèle, se souvient : « Lors de la dernière fête de l’Aïd, certains fidèles étaient obligés de prier dehors ».

De son côté, la mairie de Meaux assure « attendre le dossier ERP (Etablissement recevant du public) » pour se prononcer : « La commission de sécurité doit être consultée avant la délivrance d’autorisation d’ouverture par arrêté du maire ». 

L’une des plus grandes mosquées du département

Le projet a été porté par un collectif de trois associations meldoises : El Qualam, la section de Meaux de Dignité internationale et Musulmans de Beauval. Mohammed Mellouk, le président du collectif, explique : « Avec la fermeture du foyer Adoma, en juillet 2015, pour des raisons de sécurité et les travaux d’agrandissement à la mosquée de Collinet-Dunant, de nombreux fidèles ne peuvent plus venir prier le vendredi soir malgré l’installation d’un espace provisoire dans un entrepôt de la zone industrielle ». Le nouveau lieu de culte permettra d’accueillir entre 1 000 et 2 000 personnes et sera l’un des plus grands de Seine-et-Marne.

« L’achat et les travaux de la mosquée dont le coût est estimé à 1 million d’euros seront financés intégralement par les dons des fidèles. Aucun financement étranger ne sera accepté à l’exception d’un don de 10 000 euros du roi du Maroc, Mohammed VI » assure Mohammed Mellouk. Depuis le début du projet, il y a un an et demi, 70 000 euros ont été récoltés et ont permis de verser un premier acompte. Les responsables se sont donnés deux ans pour réunir la somme permettant d’acquérir l’ancien magasin qu’ils louent actuellement.  « Les comptes sont et seront totalement transparents et certifiés par un commissaire aux comptes » indique le dirigeant.

Source : magjournal77

Retour des contrôles aux frontières plébiscité

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Un sondage montre qu’une majorité de Suisses veut préserver les bilatérales, tout en contrôlant les frontières et en restreignant la libre circulation. Décryptage d’un dilemme

Pour le maintien des accords bilatéraux, pour des contrôles aux frontières et pour une libre circulation avec des restrictions: le sondage Sophia, réalisé par l’Institut de recherches économiques et sociales M.I.S Trend pour le compte de l’Hebdo, livre des résultats contrastés. Sollicitée dans le cadre du Forum des 100, organisé par l’hebdomadaire et consacré cette année aux nouvelles frontières, l’étude recueille l’avis du grand public et celui de leaders d’opinion actifs dans les domaines économiques, politiques, culturels ou scientifiques. Un échantillon représentatif de la population suisse, composé de 1290 personnes issues des trois régions linguistiques, a ainsi été interrogé en ligne entre le 22 mars et le 4 avril. Les 380 leaders ont quant à eux été consultés durant le mois de mars.

Parmi les sujets relatifs à la mondialisation, thème central du sondage, les questions liées à la migration et aux relations avec l’Union européenne attirent l’attention. Rétablir des contrôles systématiques aux frontières comme c’est le cas dans certains pays d’Europe?

70% de la population se révèle «assez» voire «tout à fait d’accord» avec cette pratique. Chez les leaders, le chiffre baisse à 52%. Formulée une première fois à propos de l’UE, la proposition suscite le même engouement concernant la Suisse plus spécifiquement: 69% de plébiscite dans la population et 51% chez les leaders. «Seule l’appartenance politique permet de comprendre ces résultats, précise Mathias Humery, chercheur et coauteur du sondage. La droite est quasi unanime à approuver les contrôles (87% pour l’UE et 85% pour la Suisse) alors que la gauche est partagée (50% et 48%).»

Clivage gauche droite

On retrouve ce même clivage dans la volonté de maintenir la libre circulation avec des restrictions, plutôt que de la conserver telle quelle. Largement débattue suite à l’acceptation de l’initiative UDC contre l’immigration de masse, le 9 février 2014, l’idée récolte l’approbation de 53% de la population et de 46% des leaders. A droite, les deux groupes sondés souhaitent des restrictions dans les mêmes proportions (57% du grand public et 58% des leaders). Au sein de la population de gauche, les avis sont partagés à parfaite égalité, alors que chez les leaders, une majorité de 71% entend maintenir le statu quo. Seuls 28% souhaitent des aménagements.

Selon Mathias Humery, le contexte migratoire particulièrement tendu et les récents attentats de Paris et Bruxelles ont certainement influencé les résultats. «Les personnes réagissent à l’instinct et n’ont pas conscience des implications qu’entraînerait un retour systématique des contrôles aux frontières. Face à la menace terroriste et aux flux migratoires, le besoin de protection prend le dessus.» En particulier au Tessin où près de 75% des sondés, population et leaders confondus, approuvent la pratique.

Contrôler chaque frontière: «une illusion»

Une analyse partagée par Etienne Piguet, spécialiste des migrations et professeur à l’Université de Neuchâtel, guère étonné par les résultats. «On assiste à un retour en grâce de la frontière, 10 ans après l’euphorie de la libre circulation. La population recherche le risque zéro. Pourtant, vouloir contrôler chaque centimètre de frontière est une illusion.» En février dernier, l’institut Prognos avait estimé le coût d’une fermeture de Schengen à 470 milliards de francs en 10 ans pour les pays de l’UE. Réalisée pour le compte de la Fondation Bertelsmann, l’étude soulignait les conséquences en termes de personnel, de stockage et d’infrastructures. Et de files d’attente interminables.

Pour Cesla Amarelle, conseillère nationale socialiste, les résultats du sondage réalisé pour l’Hebdo sont à l’image du «brouillage politique» qui règne dans le domaine de l’asile. «La Suisse est prisonnière d’une croyance politique, profondément ancrée historiquement, qui fait de la frontière une variable d’ajustement des flux migratoires. Or, on réalise que cette conception est dépassée. Aujourd’hui, la frontière n’a plus le même sens physiquement. Les personnes passent à travers quoi qu’il arrive.»

A Berne, les tentatives de l’UDC pour introduire des contrôles généralisés – avec l’aide de l’armée si nécessaire – se multiplient. En décembre dernier, le Conseil des Etats a rejeté une motion du Schwytzois, Alex Kuprecht, demandant que le Conseil fédéral réagisse dans l’urgence et mette en place des contrôles stationnaires.

S’il reconnaît qu’une surveillance systématique de toutes les personnes qui passent la frontière n’est pas réaliste, Martin Baltisser, secrétaire général de l’UDC, plaide pour un renforcement des contrôles afin d’endiguer l’immigration clandestine et les activités de bandes criminelles de passeurs. «En particulier sur certains points stratégiques comme dans les trains en provenance d’Italie. Les autorités doivent prendre leurs responsabilités et donner un signal politique fort.» Comment concilier ce durcissement avec le maintien des accords bilatéraux? «Une marge de manœuvre existe, l’intérêt de conserver les bilatérales est mutuel.»

Prédisposition favorable aux bilatérales

Paradoxalement, 54% de la population estime qu’il «faut sauver les accords bilatéraux même si cela implique de ne pas respecter le vote» sur l’immigration de masse. Deux études réalisées par M.I.S Trend, avant et après le 9 février 2014, soulignaient déjà cette tendance. A la question, «que choisiriez-vous entre l’application de quotas pour limiter la main-d’œuvre étrangère et le maintien des accords bilatéraux», 69,9% des sondés s’étaient prononcés en faveur des bilatérales en décembre 2014. Un an et demi plus tôt, en mai 2012, 67% des personnes interrogées déclaraient déjà vouloir poursuivre dans la voie bilatérale.

Pour Pascal Sciarini, directeur du département de science politique de l’Université de Genève, les résultats du sondage Sophia illustrent la situation inextricable dans laquelle se trouve le Conseil fédéral à savoir devoir appliquer l’initiative UDC tout en préservant les accords avec l’UE.

«Il n’est pas forcément contradictoire d’être à la fois pour un contrôle de l’immigration et plus favorable aux bilatérales qu’à la mise en œuvre de l’initiative contre l’immigration de masse. La deuxième question impose un choix, contrairement à la première.» S’ils montrent une prédisposition favorable aux bilatérales, les résultats ne garantissent pas le succès d’un second vote populaire dont les termes ne sont pas encore connus. L’initiative RASA, par exemple, qui cherche à sortir de l’impasse en annulant le vote du 9 février, n’est donc pas gagnée.

Source : letemps.ch

Un « ami des chrétiens » assassiné au Pakistan

Khurram Zaki, bloggeur musulman chiite, a payé de sa vie ses prises de position courageuses.

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Khurram Zaki dirigeait le site Let us build Pakistan, consacré à l’actualité politique et religieuse de son pays. Plusieurs photos le présentent en compagnie de membres du clergé chrétien pakistanais, lors de processions religieuses. Il arrivait même qu’il porte la croix en ces occasions, un geste lourd de conséquences pour un musulman : dans l’islam, le Christ n’a jamais été crucifié. Khurram Zaki était lui-même issu d’une minorité persécutée dans son pays, les chiites, et il dénonçait régulièrement les exactions commises à l’encontre des chrétiens.

Il défiait un mollah

Le bloggeur avait été rendu célèbre pour une manifestation organisée devant la Mosquée rouge, sanctuaire islamique au cœur d’Islamabad. Le rassemblement visait Abdel Aziz, le directeur de la mosquée, qui avait refusé de condamner les attentats des talibans de Peshawar le 16 décembre 2014 : l’assassinat de 150 étudiants, surtout des adolescents, d’une école miliaire dans le Nord-Ouest du pays. Le site du bloggeur dénonçait aussi bien les irrégularités démocratiques de son pays que l’extrémisme religieux : deux problèmes indissociables et qui empêchaient, selon lui, les Pakistanais de bâtir leur société.

La signature des terroristes

Le samedi 7 mai dernier, il dînait dans un restaurant de Karachi lorsque des terroristes l’ont mitraillé. Deux de ses amis, assis avec lui ont été blessés. Le groupe taliban « Hakeemullah » a revendiqué l’assassinat. En 2015 déjà, l’activiste Sabeen Mahmud, connue pour avoir critiqué le prêcheur de la Mosquée rouge avait été assassinée alors qu’elle conduisait sa voiture.

« Nous avons perdu beaucoup d’amis »

Le métier de journaliste est risqué au Pakistan, souligne Irfan Mufti, directeur de l’ONG South Asia Partnership Pakistan à Asianews. « Nous avons perdu beaucoup d’amis, témoigne-t-il. Les défenseurs des droits de l’homme sont menacés, les journalistes sont attaqués depuis de nombreuses années. Cet état a failli à nous protéger ; peut-être est-il devenu une victime de sa complaisance. »

Demande de justice

À la suite de l’enterrement de Khurram Zaki, des manifestations ont eu lieu pour réclamer justice, sans résultat pour le moment. L’impunité des criminels est un nouveau signe inquiétant, souligne une autre militante pakistanaise, Saeeda Deep qui constate que ses compatriotes semblent apathiques, silencieux, imperméables au dialogue : « Il devient impossible d’avoir une discussion fondée sur la logique », déplore-t-elle.

Le gouvernement juge "préoccupantes" les violences à Mayotte

Les récentes violences contre les immigrés sur l'île de Mayotte sont "extrêmement préoccupantes", a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement français, Stéphane Le Foll.

François Hollande et le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve ont évoqué lors du conseil des ministres les incidents survenus dans ce département d'outre-mer où se multiplient notamment les incendies contre des habitations d'immigrés clandestins.

"On est dans une situation qui est extrêmement préoccupante", a déclaré le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll.

"Il y a là avec l'immigration en provenance des Comores un sujet sur lequel le statu quo ne peut pas être accepté", a-t-il ajouté devant la presse. "Il faut maintenant prendre toutes le dispositions nécessaires pour éviter que nous passions à une forme encore plus aggravée de violences dans ce département.

Dans un communiqué commun publié mardi, les ministres de l'Intérieur et des Outre-mers Bernard Cazeneuve et George Pau-Langevin estiment que "de tels comportements n'ont pas leur place dans la République."

"Tous les individus impliqués, dont l'enquête devra établir l’identité, devront rendre compte de leurs actes devant la justice", ajoutent-ils.

Les ministres annoncent en outre, pour la fin mai "un plan d'actions contre l'insécurité et l'immigration clandestine" à Mayotte, où Bernard Cazeneuve doit se rendre prochainement.

(Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse)

Source : Reuters

 

Immigration clandestine : le voilier était en escale à Saint-Quay-Portrieux depuis une semaine

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Retour à Saint-Quay-Portrieux dans les Côtes d'Armor après l'arrestation de quatre passeurs. Ils organisaient des voyages vers la Grande-Bretagne à bord de voiliers depuis des ports normands et bretons.

Le "Sozo One" est amarré au bout du ponton numéro 7 sur le port de plaisance de Saint-Quay-Portrieux. Un petit drapeau français flotte en haut d'un de ses mâts. Le voilier sera prochainement sorti de l'eau à l'aide d'une grue. Il était surveillé nuit et jour depuis son arrivée une semaine auparavant.

Sept migrants ukrainiens à bord

Vendredi, lorsque les gendarmes débarquent avec leur grosse vedette, il y a sept migrants ukrainiens à bord. Tous espèrent rejoindre la Grande- Bretagne. Ils ont sans doute déboursé plusieurs milliers d'euros chacun avant d'embarquer. Tous ont finalement été arrêtés puis relâchés avec une obligation de quitter la France. Leurs passeurs ukrainiens, deux skippers et deux organisateurs présumés de la filière, eux, sont en détention provisoire. Arrêtés à Saint-Quay-Portrieux et Plérin le même jour, ils ont été mis en examen pour "aide à l'entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d'étrangers, en bande organisée", a indiqué le procureur de la république de Rennes, Nicolas Jacquet.

Saint-Quay-Portrieux : un port accessible jour et nuit

La nouvelle a fait le tour des pontons depuis vendredi. "On ne s'attend pas à voir ça ici même si on sait que ça existe", explique un plaisancier qui rentre d'une croisière de 15 jours en Manche avec sa femme. "Le port est surveillé mais accessible jour et nuit, il y a toujours de l'eau, pas de contrainte de marée. Celui qui cache du monde à bord est finalement assez tranquille et il n'y a pas de pointage à la sortie du port".

Des traversées depuis des ports bretons et normands

Cette filière d'immigration clandestine au mode opératoire assez inhabituel était dans le collimateur des enquêteurs depuis de longs mois. Les migrants ukrainiens étaient pris en charge par le réseau depuis leur pays puis acheminés en France par voie routière. Ils étaient ensuite convoyés en Grande-Bretagne par voiliers, au départ de ports bretons et normands. "Cette structure, active depuis 2012, a organisé a minima une vingtaine de passages de clandestins", a précisé Nicolas Jacquet.

Johan Moison

Source : Francebleu

Projet de construction d'une grande mosquée.

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Le quartier de Gerland subit une transformation historique qui verra passer le nombre de ses habitants de 25 000 à 45 000 à l'orée 2020.


Devant ce constat et par mesure d'anticipation, les membres de l'association ont décidé de s'investir, depuis 2011, dans un nouveau projet de construction d'une grande mosquée.


Cette décision n'a pas été facile à prendre car nous savions ce qu'il en coûtait de nous lancer dans un tel projet.
Mais les faits nous ont donné raison,car aujourd'hui notre Mosquée ne peut plus accueillir dans des conditions satisfaisantes d'hygiène et de sécurité tous les fidèles.


Nous sommes donc mis en quête d'un terrain qui nous permettrait de construire cette nouvelle mosquée. Cette recherche a été difficile car le quartier est prisé des promoteurs immobiliers.


Nous avons identifié un terrain de 500 m² appartenant à la ville de Lyon, avec une possibilité d'acquisition future d'une parcelle de 300 mètres carrés supplémentaires. Nous nous sommes mis d'accord avec les autorités et avons obtenu un accord écrit en ce sens.


Aujourd'hui, nous sommes dans l'attente d'une signature d'un compromis de vente.
Sur ce terrain nous espérons construire notre Mosquée qui pourrait accueillir, à terme, plus de 600 fidèles.


À travers ce projet, les membres de l'association El-Feth  ne cherchent que la satisfaction d'Allah, Le Très Haut, Le Très Généreux...


À côté de l'aide financière, que vous pourriez nous apporter, nous restons bien sûr ouvert à tout conseils et savoir-faire permettant  d'accélérer notre entreprise.

Source : Mosquée de Gerland

Belge, tu ne comptes plus !

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Ce matin, RTL expliquait que le CPAS de Charleroi avait reçu 650.000 € pour loger des « réfugiés ». Cet argent devait servir à leur trouver des logements et à les faire suivre par des assistants sociaux.

Lorsqu’on sait le nombre de SDF qui écument la ville et lorsqu’on sait le nombre de familles « de souche » qui attendent pendant des semaines d’avoir des contacts avec les services sociaux, cette information montre à quel point, les Belges de souche sont devenus des citoyens de seconde zone sur leur propre territoire !

Plus que jamais, illégaux dehors !

NATION

Source : Nation.be

Réfugiés syriens: 79 demandes refusées pour des raisons de sécurité

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Un total de 79 personnes ont été refusées jusqu'ici pour des raisons de sécurité dans le processus d'accueil de 25 000 réfugiés syriens au Canada, selon des données obtenues par La Presse. Et ce nombre pourrait augmenter, alors que plusieurs dossiers dits « complexes » demeurent à l'étude.

Ces 79 personnes étaient incluses dans quelque 19 demandes d'asile qui ont été déclinées « notamment pour des raisons de sécurité », a déclaré une porte-parole d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) en réponse à nos questions.

Les refus, a précisé le Ministère, étaient justifiés par l'article 34 de la Loi sur l'immigration, qui prévoit une interdiction de territoire pour les personnes qui posent une menace pour le Canada. Les menaces incluent l'espionnage, le terrorisme et la « subversion contre toute institution démocratique, au sens où cette expression s'entend au Canada ». Le gouvernement canadien doit avoir des « motifs raisonnables de croire qu'ils sont survenus, surviennent ou peuvent survenir ».

IRCC a indiqué que tous ces refus sont survenus à l'extérieur du pays.

 Ottawa a longtemps évité de fournir ces chiffres, car pour atteindre son objectif d'accueillir 25 000 réfugiés en seulement quelques mois, le gouvernement Trudeau a plutôt mis de côté les dossiers qui soulevaient des questions, plutôt que de se prononcer immédiatement sur leur sort.

« Ceci nous a permis de traiter un très grand nombre de dossiers en quelques mois », a expliqué une porte-parole d'IRCC, Nancy Caron.

« Nous avions indiqué que nous réévaluerions les dossiers plus complexes dans les mois à venir. En ce moment, IRCC est en train de réévaluer ces cas. Ceux qui ne respectent pas les critères d'admissibilité seront refusés », a ajouté Mme Caron.

Peu de détails

Le Ministère a donné très peu de détails sur les motifs et les circonstances qui ont mené à ces 79 refus, sauf pour dire qu'ils ont eu lieu « entre le 4 novembre 2015 et le 26 avril 2016 » et que les décisions ont été prises « selon l'article 34 de la Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés ».

Il a de plus été incapable de fournir le nombre de demandes qui sont toujours à l'étude, de même que le nombre total de dossiers qui ont été mis de côté.

Le gouvernement avait accepté 27 000 réfugiés syriens en date du 8 mai, depuis le lancement du processus accéléré en novembre. Un total de 16 167 dossiers sont toujours en cours de traitement, dont près de la moitié proviennent du Liban.

À noter qu'aucun incident majeur de sécurité en lien avec l'arrivée de ces réfugiés n'a été rapporté au Canada au cours des derniers mois. De tels risques avaient été évoqués par des opposants de la démarche du gouvernement Trudeau, dont l'opposition conservatrice.

Hugo de Grandpré

Source : Lapresse.ca

Une mosquée ravagée par un incendie criminel près de Melbourne en Australie

Mercredi vers 2h du matin, un incendie criminel selon les premiers éléments de l’enquête, a complètement détruit une mosquée située dans la ville de Geelong à 75 km de Melbourne. A leur arrivée, les pompiers n’ont pas pu contenir les flammes. Fort heureusement, aucun blessé n’est à déplorer.

L’imam Mohammad Ramzan qui réside tout près de la mosquée se dit « choqué » par cet incendie. « Au cours des 23 dernières années, nous avons jamais reçu de menace », confie l’imam au Guardian. « C’est un quartier très calme et agréable », poursuit-il avant d’appeler au calme, promettant que la mosquée sera reconstruite et que la communauté gardera son sang froid et répondra à la haine par la tolérance et la paix.

Selon la presse locale, au cours des six derniers mois, plusieurs églises ont été la cible d’incendies à caractère criminel. A ce stade, aucun lien n’est fait entre ces différents incendies.

Source : des domes et des minarets

A Geelong, la 2ème plus grande ville de l’Etat de Victoria en Australie, la communauté musulmane est sous le choc. Un incendie a complètement détruit hier, leur mosquée construite à l’emplacement d’une ancienne église, rapporte un média local.

L’incendie s’est déclaré à 2h10 du matin (heure locale). Des témoins ont expliqué avoir entendu une forte détonation avant que le feu ne prenne possession du bâtiment. Les pompiers arrivés sur place n’ont pas pu pénétrer dans le bâtiment en raison de l’effondrement du toi de l’édifice et de crainte que le tout le reste ne suive. L’imam de la mosquée, sa femme et leurs 3 enfants qui dormaient dans une pièce attenante à la mosquée sont sortis indemne de l’incendie.

Passée la stupeur, l’incompréhension s’est installée quant à l’origine de l’incendie au sein de la communauté musulmane de Geelong. La détonation avant le départ du feu semble accréditer la thèse criminelle. Mais l’imam de la mosquée a confié à une télévision locale n’avoir jamais reçu de menaces ou encore de commentaires sur la présence de la mosquée. « Nous avons jamais eu aucun souci, aucun problème, aucune tension. Nous avons plutôt reçu des encouragements d’amour » ,a confié l’imam qui s’étonne même de la vague de sympathie provoquée par l’incendie. Des personnes se sont présentées d’elles-mêmes pour offrir leur aide. Des membres des autres communautés comme l’église anglicane a offert de laisser les locaux de leur église pour la prière du vendredi.

Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes de l’incendie et retrouver le ou les auteurs. Mais le chef de la police indique d’ores et déjà que l’incendie de la mosquée pourrait ne pas être lié à l’islam. Il explique qu’il pourrait être lié à une série d’incendie visant les églises de la ville et que le ou les auteurs pourraient avoir confondu cette mosquée avec une église. Quant à l’après-incendie, l’imam a confié que la mosquée serait reconstruite. « Nous allons la reconstruire. Que ce soit accidentel ou d’origine criminel, cet incendie ne pourra pas ébranler notre détermination » tranche l’imam.



...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/44644/australie-...

A Geelong, la 2ème plus grande ville de l’Etat de Victoria en Australie, la communauté musulmane est sous le choc. Un incendie a complètement détruit hier, leur mosquée construite à l’emplacement d’une ancienne église, rapporte un média local.

L’incendie s’est déclaré à 2h10 du matin (heure locale). Des témoins ont expliqué avoir entendu une forte détonation avant que le feu ne prenne possession du bâtiment. Les pompiers arrivés sur place n’ont pas pu pénétrer dans le bâtiment en raison de l’effondrement du toi de l’édifice et de crainte que le tout le reste ne suive. L’imam de la mosquée, sa femme et leurs 3 enfants qui dormaient dans une pièce attenante à la mosquée sont sortis indemne de l’incendie.

Passée la stupeur, l’incompréhension s’est installée quant à l’origine de l’incendie au sein de la communauté musulmane de Geelong. La détonation avant le départ du feu semble accréditer la thèse criminelle. Mais l’imam de la mosquée a confié à une télévision locale n’avoir jamais reçu de menaces ou encore de commentaires sur la présence de la mosquée. « Nous avons jamais eu aucun souci, aucun problème, aucune tension. Nous avons plutôt reçu des encouragements d’amour » ,a confié l’imam qui s’étonne même de la vague de sympathie provoquée par l’incendie. Des personnes se sont présentées d’elles-mêmes pour offrir leur aide. Des membres des autres communautés comme l’église anglicane a offert de laisser les locaux de leur église pour la prière du vendredi.

Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les causes de l’incendie et retrouver le ou les auteurs. Mais le chef de la police indique d’ores et déjà que l’incendie de la mosquée pourrait ne pas être lié à l’islam. Il explique qu’il pourrait être lié à une série d’incendie visant les églises de la ville et que le ou les auteurs pourraient avoir confondu cette mosquée avec une église. Quant à l’après-incendie, l’imam a confié que la mosquée serait reconstruite. « Nous allons la reconstruire. Que ce soit accidentel ou d’origine criminel, cet incendie ne pourra pas ébranler notre détermination » tranche l’imam.



...Suite : http://www.yabiladi.com/articles/details/44644/australie-...