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vendredi, 17 juin 2016

Savigny-le-Temple Bientôt une école musulmane face à la mosquée

Le président de l'association culturelle musulmane de Savigny a signé, la semaine dernière, l'achatd'un terrain, face à la mosquée. Le but : construire une école musulmane.

L'association récolte des dons pour la construction (©ACMSLT) -
L'association récolte des dons pour la construction (©ACMSLT) -

« C’est un grand jour pour nous », s’enthousiasme Mohamed Khain, le président de l’association culturelle musulmane de Savigny-le-Temple. En effet, après de longues négociations avec l’EPA, l’ACMSLT a signé, mercredi 8 juin, une promesse d’achat actant l’acquisition d’un terrain, face à la mosquée.

Un terrain à 156 000 euros destiné à accueillir une école musulmane de trois classes. Le bâtiment de l’école actuelle est situé dans l’enceinte de la mosquée de Savigny. Des bungalows qui ne seraient plus suffisamment fonctionnels pour accueillir un effectif de 450 élèves, chiffre en constante augmentation.

« Nous allons maintenant commencer à rassembler les fonds pour démarrer la construction », a commenté Mohamed Khain.

V.R.

Source : Larepublique77

Suède : attaque raciste contre une mosquée

Suède : attaque raciste contre une mosquée

Un groupe de 50 personnes vêtues de noir a insulté les fidèles sortant d’une mosquée et jeté des pierres contre la même mosquée dans la capitale suédoise Stockholm.

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Selon le quotidien suédois Aftonbladet,  les fidèles musulmans ont affirmé avoir entendu des « propos racistes » précisant que l’attaque n’avait fait ni mort ni blessé.

La police suédoise a entamé une enquête afin de traduire en justice les assaillants.

Le porte-parole de la sûreté de Stockholm a demandé de l’aide aux témoins oculaires et déclaré que personne n’était en garde à vue pour le moment.

Source : Fdebranche

Xavier Raufer : En matière de terrorisme, nos gouvernants sont incompétents !

Après la tuerie d’Orlando et l’assassinat, à son domicile, du couple de policiers à Magnanville, Xavier Raufer s’inquiète que, depuis Mohammed Merah, nos gouvernants réagissent systématiquement « après coup ». Explications.


Xavier Raufer : "En matière de terrorisme, nos... par bvoltaire

Source : Boulevard Voltaire

Islamophobie en hausse en Allemagne?

 

Les journaux allemands se penchent sur un sondage qui semble révéler des tensions au sein de la société depuis l'arrivée l'an dernier en Allemagne d'un million de réfugiés et migrants, en grande majorité musulmans.

"Qu'un certain nombre d'Allemands aient de tels ressentiment ne surprend pas vraiment, mais c'est tout de même effrayant !", commente le quotidien régional Landeszeitung de Lüneburg: Comme à l'époque de la République de Weimar entre les deux guerres, le centre de la société allemande ne se radicalise pas d'un seul coup, mais de manière insidieuse. Et c'est cela le plus gros danger ! "…

Flüchtlinge aus Nordafrika in Deutschland

Des migrants nord-africains à Zirndorf en Allemagne attendant de déposer une demande d'asile. (Photo d'archive)

Le quotidien Die Welt constate : "Les réponses des personnes interrogées montrent que l'antipathie envers les minorités augmente, notamment envers les Musulmans, les Sinti ou les homosexuels qui faisaient partie du catalogue de questions. Mais, souligne le journal, si l'on posait le même genre de questions pour mesurer la sympathie envers les banquiers, les adversaires de l'énergie éolienne ou bien les fêtards nocturnes, on obtiendrait à peu près les mêmes pourcentages négatifs. Ce sentiment d'antipathie est souvent provoqué par une peur diffuse, aux origines complexes. S'agit-il là toujours de pensées d'extrême droite ? Non, répond le quotidien qui estime que de telles peurs ne se limitent pas forcément à telle ou telle classe sociale ou politique. Les responsables politiques doivent prendre ces peurs au sérieux, toutefois ils ne doivent pas en faire la base même de leur stratégie ! "avertit Die Welt.

Deutschland Aufkleber Refugees welcome Näher

Un peu partout dans les rues des affiches souhaitant la bienvenue aux réfugiés

Le Tagesspiegel estime que: "Depuis longtemps il ne s'agit plus exclusivement de modes de pensée des seuls extrémistes de droite et de néonazis obstinés, mais d'une frange de la population qui s'exprime à voix haute, et manifeste dans les rues pour demander une limitation de l'immigration. Ou bien qui vote pour l‘AfD (Alternative pour l'Allemagne) - un parti, qui est devenu un refuge pour certains patriotes conservateurs. Mais qu'une personne sur cinq ait répondu être prête à faire usage de la force contre des étrangers, cela est un signal d'alarme! ", souligne le quotidien berlinois.

Deutschland Bonn Migranten Tanzschule

A Bonn, une bénévole allemande (à g.) donne des cours de danse à des réfugiés venus d'Afghanistan, de Syrie, d'Irak et d'Iran. Des pas vers l'intégration.

"Que faire ? " se demande un autre quotidien berlinois, la taz, die tageszeitung face aux résultats du sondage. L'éditorialiste voit lui un signe d'espoir qui se cache derrière ces chiffres: c'est que la majorité des Allemands pense autrement. Ce "milieu démocratique" a une grande confiance dans le système parlementaire. De nombreux citoyens s'engagent avec élan pour aider les nouveaux venus dans le pays, les innombrables bénévoles dans les foyers pour réfugiés en Allemagne en sont une preuve parmi d'autres. Au lieu de reprendre une partie des thèmes de l'extrême droite, les partis politiques établis devraient se concentrer davantage sur la majorité des Allemands qui approuvent clairement une culture d'accueil et qui la pratiquent…

 
Philippe Pognan
 

Destination Allemagne: l’économie du pays sous la menace de l’immigration

Le directeur général de l’association économique Germano-africaine, Afrika-Verein, Christoph Kannengiesser, sous l’égide de la Fondation Konrad Adenauer a tenu un point de presse le lundi 13 mai 2016 à Ouagadougou sur le thème : «  Quels sont les défis actuels de l’immigration sur l’économie allemande  » ? En effet,  il s’est agi lors de cette rencontre, d’échanger avec les hommes de médias sur l’immigration en Allemagne.

Pour Christoph Kannengiesser, « les immigrés de l’Afrique Subsaharienne qui ont une bonne qualification professionnelle auront de l’emploi ».

L’immigration en Allemagne risque de porter un coup à l’économie allemande à l’avenir, selon le directeur général de l’association économique Germano-africaine, Afrika-Verein, Christoph Kannengiesser. En effet, à l’entendre, le immigrés occupent des postes en  l’Allemagne et cela est positif à court terme. Mais, malheureusement c’est très négatif à moyen terme car cela augmente les dépenses de l’Etat, élève les risques de taxes et de chômage. C’est surtout ce risque social qui reste un défi pour l’économie allemande car bon nombre de ces immigrés n’ont pas de bases solides de qualification pour répondre au marché de l’emploi.

Christoph Kannengiesser a reconnu que l’Allemagne n’est pas la destination principale des immigrés de l’Afrique Subsaharienne. Cependant, en 2015, elle a reçu environ  un million d’immigrés, immigration choisie et réfugiés. Ce boom d’immigrés s’explique en grande partie par les conditions dégradantes dans les camps de réfugiés notamment en Turquie, en Jordanie et la crise en Syrie.  En 2016, le nombre d’immigrés a connu une baisse grâce à une protection forte des frontières, a-t-il ajouté.

Il reste à noter que le pays pourra difficilement absorber ce grand nombre d’immigrés qui pour la grande majorité n’a aucune qualification professionnelle ni académique. A cela s’ajoute la barrière de la langue.

A cet effet, « l’Allemagne et l’Union européenne sont en train de travailler à une nouvelle stratégie de coopération avec les pays d’origine des immigrés en majorité de l’Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc) », nous a confié le directeur général de l’association économique germano-africaine. Egalement, des mesures sont prises pour renforcer les capacités de la Turquie  afin qu’elle puisse recevoir un plus grand nombre d’immigrés. Ces mesures sont constituées entre autre de transfert de fonds.

Les entreprises privées allemandes contribuent à cet effort national en manifestant leur soutien au gouvernement à travers un programme de qualification pour l’intégration des immigrés. Pour Christoph Kannengiesser, le marché de l’emploi est capable d’absorber un grand nombre d’immigrants hautement qualifié. Il est très restreint pour ceux qui sont peu qualifiés. « Toutefois, il y a une facilitation d’intégration dans le domaine de la santé car le personnel de santé (docteurs, infirmiers) manque à ce niveau en Allemagne », a-t-il martelé.

En rappel, la Fondation  Konrad Adenauer est une organisation politique allemande présente dans la sous-région ouest-africaine il y a plus de vingt (20) ans à travers le programme de promotion du dialogue politique en Afrique de l’ouest.

Bernadette Dembélé pour SCI

Source : science campus info

Le terrorisme peut-il mettre notre démocratie en danger ?

Dans la lutte contre le terrorisme, peut-on aller plus loin sans entraver la démocratie ? Francetv info a posé la question à Vanessa Codaccioni, maîtresse de conférences en science politique à l'université Paris-VIII. 

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En réponse aux attentats terroristes qui ont frappé la France ces derniers mois, plusieurs mesures législatives ont été adoptées. Parmi elles, le renforcement des effectifs de police et de gendarmerie, l'extension des techniques allouées aux services de renseignement pour l'interception de communications, ou encore la retenue pendant quatre heures d'un suspect pour des contrôles.

Lors de manifestations, des voix se sont élevées pour dénoncer une atteinte à la démocratie. Alors peut-on aller plus loin pour évacuer la menace qui pèse sur le pays sans mettre en péril les libertés fondamentales ?

Francetv info a recueilli l'avis de Vanessa Codaccioni, maîtresse de conférences en science politique à l'université Paris-VIII. En 2015, elle a publié Justice d'exception. L'Etat face aux crimes politiques et terroristes (CNRS Editions).

Après chaque attentat, comme celui de Magnanville (Yvelines) lundi, on assiste à une surenchère politique de propositions pour lutter contre le terrorisme. Comment l'interpréter ?

Vanessa Codaccioni : Chaque fois qu'il y a un événement dramatique ou meurtrier, on lance des mesures fortes pour montrer que l'on réagit à une situation extrêmement grave, que l'on est à la hauteur et que l'on ne reste pas à rien faire. Assignations à résidence, perquisitions administratives, renforcement des écoutes... Enormément de propositions sont faites. Cette surenchère politique n'est pas étonnante.

Depuis le début du quinquennat, nous en sommes à la cinquième loi antiterroriste. Quel bilan peut-on dresser ?

Le bilan, c'est un empilement de législations qui donnent de plus en plus de pouvoirs aux services de renseignement et à l'administration, au détriment de la justice. Le quinquennat de François Hollande ne s'inscrit que dans cette lignée. Pas de retour en arrière ou d'innovation, mais un renforcement, toujours plus important, des prérogatives des renseignements généraux. 

Est-ce que cela a des conséquences sur la démocratie ?

Tout cela entrave la démocratie. Plus on avance et plus nous sommes en train de rogner sur l'Etat de droit, sur la liberté individuelle et les garanties fondamentales du citoyen. Bien sûr, et heureusement, on reste dans un Etat démocratique. On le voit parce qu'il y a encore des contre-pouvoirs : le Conseil d'Etat, le Conseil constitutionnel, l'expression des citoyens qui pousse parfois le gouvernement à reculer, comme sur la déchéance de nationalité. Mais ce régime démocratique est de plus en plus affaibli par la lutte contre le terrorisme.

 

Le 18 mai, une manifestation contre l'état d'urgence et l'état d'exception permanent a eu lieu à Paris.
Le 18 mai, une manifestation contre l'état d'urgence et l'état d'exception permanent a eu lieu à Paris. (MAXPPP)

 

Que pensez-vous de l'idée, remise sur la table, mardi, par le député LR Eric Ciotti, d'une "zone de rétention" pour les personnes fichées S ?

C'est l'illustration de la prétention de l'administration à prendre le pouvoir. Et c'est extrêmement dangereux car on agit préventivement sur des individus, sans preuve. Avec la possibilité de maintenir en rétention des individus qui n'ont rien fait. Certes, il ne faut pas minimiser le danger qui existe, mais on sait très bien que la prévention donne toujours lieu à des dérives.

A partir de quel moment sortirions-nous de l'Etat de droit ?

L'Etat de droit serait compromis dès lors que les décisions ne seraient prises que par l'administration et les renseignements généraux. Tout le travail que j'ai pu mener sur ce sujet me fait penser que l'on n'arrivera pas à une telle situation. Sauf, peut-être, dans une dizaine d'années en cas de changement politique majeur avec l'extrême droite au pouvoir.

L'état d'urgence, en vigueur depuis le 13 novembre, est-il un symptôme de ce risque ? 

L'état d'urgence est un principe anti-démocratique par nature. Il s'agit d'une situation qui permet énormément de mesures d'exception avec des dérives : la volonté politique d'inscrire l'exception dans la Constitution, l'assignation à résidence, les perquisitions sans contrôle du juge, et des cibles de plus en plus floues et élargies.

Il faut être vigilant parce que tout ce qui touche au terrorisme peut être retourné contre d'autres catégories de la population. C'est ce qu'on a vu, pendant la COP21, quand on a appliqué à des militants écologistes des mesures prises pour des jihadistes. L'état d'urgence est un merveilleux outil d'aliénation de la contestation sociale et c'est dangereux. 

Ce qu'il faut éviter, c'est que l'exception devienne la règle ? 

Absolument. En matière d'antiterrorisme, on n'a plus un droit commun, mais on a un droit commun d'exception. Pour illustrer cela, on pourrait remonter au milieu des années 1980, lorsque la France a subi une vague d'attentats terroristes. Une première législation a été votée à ce moment-là et on a commencé à introduire des dispositifs d'exception permanents. Par exemple, le fait de pouvoir garder à vue une personne considérée comme terroriste pendant plusieurs jours, ce qui est dérogatoire au droit commun.

Comment voyez-vous les mois à venir ?

Nous allons, inéluctablement, assister à des débats, notamment dans le cadre de la campagne présidentielle qui approche. Je pense que l'on aura des propositions de loi qui vont toutes dans le même sens : toujours plus vers un antiterrorisme préventif. C'est-à-dire essayer de déceler au maximum l'intention de passer à l'acte avec le renforcement, sans surprise, des pouvoirs des services de renseignement et de l'administration pour déceler les loups solitaires, les candidats au jihad... Au péril de la démocratie.

Peut-on faire un parallèle avec d'autres démocraties qui ont connu cette situation ?

Toutes les démocraties qui ont eu affaire à des attaques terroristes basculent petit à petit. Il y a une frontière de moins en moins nette entre le monde anglo-saxon, qui possède vraiment des régimes antiterroristes très répressifs, et les pays d'Europe occidentale. On tend à une harmonisation de tout cela avec un renforcement continu de l'arsenal antiterroriste qui ne va pas cesser de croître. Pour autant, le terrorisme ne parviendra pas à anéantir la démocratie.

Source : Francetvinfo 

Les Espagnols champions européens des naturalisations d’étrangers

Le pays européen qui naturalise le plus d’étrangers n’est pas la France, loin s’en faut. Pas plus que l’Allemagne. En la matière, aucun État de l’Union européenne n’égale l’Espagne. En 2014, près de 206.000 ressortissants étrangers ont acquis la nationalité espagnole à leur demande, selon les derniers chiffres fournis par Eurostat.

206.000 naturalisations c’est deux fois plus qu’en France. Et cela représente 4,4% de la population étrangère recensée sur le territoire espagnol. L’Espagne se distingue d’autant plus qu’en 2014, les pays européens ont dans leur ensemble réduit de 9% le nombre des naturalisations qui se sont limitées à 890.000.

Le plus gros contingent de ces nouveaux citoyens européens vient du Maroc. 92.700 ressortissants du royaume chérifien ont acquis en 2014 la citoyenneté européenne. Et parmi eux, un bon tiers sont devenus espagnols.

Source : Boulevard Voltaire

Les Mureaux: 3 adolescentes interpellées pour apologie du terrorisme

Au moins quatre jeunes filles ont tenu face à des policiers des propos d’apologie du terrorisme, à proximité du commissariat des Mureaux, a appris BFMTV. La scène s’est déroulée au lendemain de l’assassinat d’un policier qui y travaillait et de sa compagne, tués lundi soir chez eux à Magnanville, dans les Yvelines. 

D’après Le Parisien, les adolescentes auraient aussi insulté un fonctionnaire qui entrait dans l’hôtel de police.

Selon nos informations, trois d’entre elles ont été interpellées. L’une a été très vite relâchée, tandis que les deux autres ont connu une suite judiciaire avec avis d’un magistrat, fait rare pour des adolescentes de 12 à 13 ans. Elles sont issues de la cité des Musiciens, aux Mureaux.

Source : Boulevard Voltaire

Magnanville: Abballa a affirmé au RAID qu'il connaissait ses victimes

Jessica Schneider et Baptiste Salvaing n’ont peut-être pas été choisis « au hasard ». Les deux policiers, assassinés à leur domicile par Larossi Abballa lundi soir, connaissaient-ils leur meurtrier? C’est en tout cas ce qu’a laissé entendre ce dernier lors de la négociation avec le RAID, alors qu’il retenait en otage l’enfant du couple, selon une informaiton révélée par Libération.

« Je viens chez lui »

Alors que l’unité d’élite de la police tentait de raisonner le jeune homme et de sauver le garçon du couple, Larossi Abballa a prononcé une phrase qui pourrait donner un nouvel éclairage à son acte.

« Il était venu chez moi, maintenant c’est moi qui viens chez lui! »

Depuis le début de l’enquête, les policiers se demandent en effet si Jessica Schneider et Baptiste Salvaing sont des victimes choisies par hasard, ou si Larossi Abballa, en plus d’accomplir son acte au nom du jihad, nourrissait une rancoeur personnelle contre les deux policiers.

Cette phrase, prononcée par Abballa avant d’être abattu par le RAID, pourrait orienter l’enquête sur cette piste. Même si pour l’instant, rien ne laisse penser que le policier et son bourreau aient pu se croiser avant le 13 juin.

Source : Boulevard Voltaire

 
 

Un homme tué par balle à Marseille dans les quartiers nord

Un homme de 23 ans a été abattu mercredi soir dans une cité des quartiers nord de Marseille. Depuis le début de l’année, c’est la 13e personne tuée par balle dans l’agglomération marseillaise, la plupart de ces homicides s’inscrivant dans des règlements de comptes liés au trafic de drogue.
    
La victime a été touchée à plusieurs reprises, a priori par un tir « en rafale » dans la cité du Parc Corot dans le 13e arrondissement, par « plusieurs individus qui ont quitté les lieux », a précisé une source policière, sans donner plus de détails.

Tué devant son fils de deux ans

La première semaine d’avril avait été particulièrement sanglante, avec trois victimes dans une fusillade probablement liée au trafic de drogue, cité Bassens, dans les quartiers nord, puis un homme tué le lendemain dans un autre quartier populaire.
    
Le dernier en date, le 24 mai, avait été atteint au volant de sa voiture dans laquelle se trouvait son enfant de 2 ans. Cet homme de 35 ans était sous contrôle judiciaire depuis octobre 2013 dans le cadre d’une affaire de faux témoignage lié au milieu corso-marseillais.

Source : Boulevard Voltaire

L'intolérance progresse en Allemagne

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Un allemand sur dix veut que son pays doit dirigé par un dictateur, 1 sur 12 pense que le peuple allemand est supérieur par nature aux autres, 4 sur 10 pense que les musulmans ne devraient pas avoir le droit de venir en Allemagne… La dernière livraison de l’étude réalisée tous les ans depuis 2002 par l’université de Leipzig est largement reprise par la presse allemande, tant elle inquiète sur l’évolution des mentalités dans le pays. Le rejet de l’Islam est de plus en plus marqué: 36,6% des personnes interrogées (2240) se disent opposées à ce que plus de musulmans viennent dans le pays. La moitié des sondés a le sentiment « d’être étranger dans son propre pays », une hausse de 7 points par rapport à la dernière étude réalisée en 2014.
Pour les auteurs du rapport, la société allemande se polarise et se radicalise, une partie n’excluant plus le recours à la violence, l’autre étant prête à aider activement les réfugiés. Globalement, les idées extrémistes sont devenues plus acceptables, un tiers des sondés exprimant ouvertement des idées xénophobes. « Le potentiel pour l’extrême-droite et les partis populistes est plus grand que ce que les résultats électoraux ont montré jusqu’ici », souligne l’un des auteurs.

Source : France tv info
Enfin, notons que l'homophobie est elle aussi en progression: 40% des sondés trouvent "dégoutant" deux personnes de même sexe qui s'embrassent dans la rue, contre 25% en 2011.

Un Allemand sur deux se sent étranger dans son pays à cause des musulmans


Berlin - Un Allemand sur deux affirme se sentir parfois comme un étranger dans son pays en raison de la présence de nombreux musulmans, selon une étude dévoilée mercredi qui témoigne d'une poussée des idées populistes dans le pays, sur fond d'afflux de migrants.

La proportion atteint 50% sur ce point, contre 43% en 2014. Menée par l'université de Leipzig (est) en coopération avec plusieurs fondations, cette enquête montre en outre que 41,4% des personnes interrogées estiment que les musulmans devraient se voir interdits de venir en Allemagne (36,6% en 2014).

Un Allemand sur trois (33,8%) estime même que son pays, qui a accueilli en 2015 plus d'un million de réfugiés, un record, est envahi (...) de façon dangereuse.

Dans leur majorité (59,9%), les personnes interrogées jugent que les réfugiés ne sont pas vraiment persécutés dans leur pays d'origine, et pour 32,1%, ils sont venus pour profiter des prestations sociales.

De larges pans de la population sont toujours prêts à déprécier et persécuter ce qu'ils perçoivent comme déviant et étranger, écrivent deux des auteurs, Oliver Decker et Elmar Brähler, dont l'étude, menée auprès de 2.420 personnes, reflète la montée en puissance des idées populistes.

Elles sont portées notamment par le parti Alternative pour l'Allemagne (AfD), critiqué pour sa dérive droitière et ses saillies anti-islam, qui bouscule le paysage politique allemand. Il a enregistré un spectaculaire succès lors d'élections régionales en mars et au vu des sondages devrait faire son entrée à la chambre nationale des députés l'an prochain, ce qui serait une première pour un parti de ce type depuis 1945.

Dans l'est du pays, environ 13% souhaite un leader (le terme Führer est employé dans le sondage) qui gouverne dans l'intérêt de tous, selon l'enquête. Et entre 25,5% (est) et 21% (ouest) souhaitent un parti unique incarnant le communauté du peuple, concept tiré de la doctrine nazie.

Les résultats de cette enquête témoignent aussi d'un antisémistisme dans une partie de l'opinion allemande : au sujet des Juifs, près de 11% des sondés (10,9%) pensent que leur influence est trop grande.

L'extrême droite a trouvé dans l'AfD un nouveau foyer, a commenté dans l'édition électronique du magazine Spiegel M. Decker. On pense que les nazis et les radicaux d'extrême droite sont dans les marges de la société. Mais ça n'est pas pertinent, l'idéologie des opinions populistes est très répandue, prévient-il.

Troisième force politique du pays selon les sondages (derrière les conservateurs CDU/CSU d'Angela Merkel et le SPD) l'Alternative pour l'Allemagne surfe sur la crise migratoire.

Selon le principal sondage politique du pays publié début juin, le parti dirigé par Frauke Petry est crédité de 15% des intentions de vote aux législatives de 2017.

Pour réaliser son enquête - qu'elle effectue tous les deux ans depuis 2002 -, l'université de Leipzig a interrogé au printemps 2016 un échantillon de 2.420 personnes représentatif de la population allemande en âge de voter.

Source : Romandie

Entre la France et l’islam, la séparation devient urgente

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C’était pourtant une belle histoire, qu’on nous avait racontée. Une religion d’amour, de tolérance et de paix, qui allait trouver sa place dans notre République. Des disciples qui, à en croire le M. Laïcité du PS, Jean Glavany, le 9 décembre 2011, étaient, pour « 99,9 %, viscéralement attachés à notre modèle laïque ». Et on allait vivre ensemble, dans l’harmonie la plus complète. Sauf que cela ne marche pas…

Dans les faits, notre laïcité recule, sous les coups de boutoir des revendications communautaristes musulmanes dans nos entreprises, nos écoles ou nos cantines.

Le droit des femmes régresse. La multiplication des voiles islamiques dans nos rues est de plus en plus vécue comme une agression contre nos valeurs.

L’assimilation, qui avait permis d’accueillir des millions d’étrangers qui acceptaient nos règles, n’est plus de mise. Nous avons, à sa place, la construction d’un État dans l’État, par des militants qui pensent que les règles religieuses doivent s’imposer aux lois des hommes.

Jusqu’à ce jour, les nouveaux venus n’agressaient pas les habitants du pays qui leur ouvrait les bras. Cela a changé, et chacun sait que, dans nos prisons, l’islam est la religion majoritaire, et qu’on parle de 70 à 80 % de détenus musulmans.

Ce sont toujours des Kelkal, Merah, Nemmouche, Kouachi frères, Coulibaly, Abdeslam qui tuent des infidèles, au nom de leurs textes sacrés. Et à présent, les plus radicalisés viennent égorger des policiers chez eux, et appellent à faire subir le même sort aux journalistes, aux politiques, aux juges et même aux rappeurs…

Les assassinats musulmans se succèdent. Magnanville quelques heures après Orlando, quelques semaines après Bruxelles, quelques mois après le Bataclan, un an et demi après Charlie. Et le patron de la Sécurité intérieure a annoncé à l’Assemblée nationale que le pire était à venir. Bref, la France ressemble de plus en plus, tous les jours, à la femme battue d’un mari violent dont les coups risquent de devenir mortels.

Face à cela, deux solutions. Soit on considère le mariage entre la France et l’islam indissoluble, et on continue à nous enfumer avec l’islam de France. On fait donc du Cazeneuve, et on parle d’État de droit pour justifier que des Abballa soient en liberté. On fait du Valls, qui nous raconte qu’on n’a pas de chance, mais que nos enfants vont connaître une vingtaine d’années de terrorisme avant que les choses ne se calment… peut-être. Et on continue à faire entrer de plus en plus de « migrants » musulmans en France.

Soit on applique le principe de précaution. On se sépare, pour éviter un drame, et on se partage les enfants. La France garde les siens, ceux qui considèrent la loi des hommes souveraine. L’islam emmène les siens, ceux qui militent pour la charia, dans un des cinquante-sept pays musulmans de la planète. La séparation est alors définitive. Il n’y a plus d’islam en France, pour le plus grand bonheur des amoureux de la liberté et des apostats arabo-musulmans. Dans une séparation actée, quand le mari violent refuse de partir, les forces de l’ordre interviennent.

À moins d’être résigné à ce que la France devienne musulmane, je ne vois pas d’autre solution. Plus elle tardera à être mise en place, plus le coût de cette séparation sera élevé, des deux côtés.

Pierre Cassen

Boulevard Voltaire