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lundi, 20 juin 2016

Une filière d'immigration clandestine démantelée entre Dunkerque et Londres

Une dizaine de personnes ont été interpellées dans le cadre d’une vaste enquête sur une filière d’immigration clandestine entre la Belgique, l’Angleterre et la France. Elles seront jugées en comparution immédiate lundi au tribunal correctionnel de Dunkerque.

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Plus d'une dizaine de personnes qui seraient impliquées dans une filière vietnamienne d'immigration clandestine entre Dunkerque, Paris et Londres ont été interpellées mercredi en Grande-Bretagne et en France, a affirmé le parquet de Dunkerque dimanche.

Le présumé réseau de passeurs prenait en charge "l'arrivée des clandestins vietnamiens en France" en les logeant à Paris ou à Dunkerque, puis "organisait leur passage vers la Grande-Bretagne" dans des camions avec "la complicité du chauffeur", a expliqué le parquet de Dunkerque dans un communiqué, précisant que l'enquête avait débuté en mars 2016.

Comparution immédiate lundi

Le chargement des clandestins s'effectuait notamment à Furnes, dans le nord-ouest de la Belgique. Selon le parquet, quand les clandestins arrivaient en Angleterre, ils étaient accueillis "par deux autres membres de la filière" qui les faisaient travailler clandestinement "jusqu'à complet paiement" de leur trajet, le prix du passage pouvant varier de "8.000 à 12.000 livres" (entre 12 et 15 000 €).

Ce réseau agissant entre la France, la Belgique et la Grande-Bretagne, une coopération judiciaire et policière a été mise en place entre ces trois pays, sur l'initiative du parquet de Dunkerque, précise le parquet dans son communiqué.

Les membres du réseau interpellés en France seront jugés lundi en comparution immédiate au tribunal correctionnel de Dunkerque.

Source : Francetvinfo

A Annemasse, la future mosquée met à mal l’unité de la communauté

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Le projet de construction d’un nouveau lieu de culte pour les musulmans de l’agglomération suscite des tensions

En langue arabe, on appelle cela la fitna, qui se traduit par rivalité, voire dissension. C’est ce qu’une partie des 10 000 musulmans d’Annemasse ressentent en ce moment. Au point que le président de la Communauté culturelle des musulmans d’Annemasse (CCMA), le modéré Hamid Zeddoug, vient de donner sa démission après quatre années de mandat.

A l’origine de ce départ, l’élection en février dernier au sein du conseil d’administration de Mohammed Bousekri, imam en place depuis 30 ans à la mosquée d’Ambilly, et de trois de ses proches. Qu’un religieux intègre cet organisme a froissé beaucoup de monde. Certains membres de l’association déplorent un mélange des genres car si la CCMA fournit une assistance cultuelle, sa vocation est avant tout culturelle avec l’organisation du soutien scolaire, des cours de langue arabe, des œuvres caritatives, des camps de vacances, des conférences, des relations avec les élus et les représentants des autres communautés religieuse, etc. Par ailleurs, la CCMA s’exprime au nom de tous les musulmans d’Annemasse tandis que Mohammed Bousekri, d’origine marocaine, est identifié comme le prêcheur de la mosquée d’Ambilly. D’autres lieux de culte sont, eux, fréquentés par des musulmans d’origine turque ou algérienne, comme ceux qui se rendent à la salle de prière Nour, dans le quartier du Perrier.

Terrain pour la Grande Mosquée

Pourquoi l’imam Bousekri, discret et très respecté, étend-il ses prérogatives au-delà du service religieux? La réponse tient en deux mots: Grande Mosquée. Après 20 années de demandes restées sans effets, la communauté musulmane aura enfin un vrai lieu de prière assez vaste (7 500 m2) pour accueillir 800 fidèles le vendredi. Le 18 février dernier, le conseil municipal s’est en effet prononcé en faveur d’une vente au CCMA d’un terrain communal situé dans le quartier du Brouaz. Cette vente a entraîné la révision des statuts de la CCMA avec la constitution notamment d’un fonds de dotation (organe qui gérera la nouvelle mosquée) puisque la construction et le fonctionnement de l’édifice seront financés par des dons individuels et privés; mille personnes ont déjà cotisé.

Mais c’est avant tout le contrôle du lieu et son esprit qui font débat. Rencontré récemment à la mosquée d’Ambilly, l’imam Bousekri clame sa légitimité: «A l’heure où enfin un lieu de culte digne ce nom va s’élever, il est normal que l’autorité religieuse que je représente ait son mot à dire. Nous menons des discussions car c’est un grand changement pour notre communauté, cela ne va pas sans tensions parfois».

L’imam regrette par ailleurs «qu’une presse locale évoque des choses qui n’existent pas comme la présence à mes côtés de musulmans radicaux». «J’officie à Annemasse depuis 30 ans, ça se saurait si j’étais un radical», argumente-t-il. Et de prendre à témoin le colloque «contre la radicalisation» qu’il a organisé le 23 janvier à Annemasse, rassemblant des responsables religieux de toute confession, des élus et des sociologues. Il y a déclaré entre autres «adhérer au pacte républicain et défendre la laïcité».

Des fidèles parlent cependant d’allées et venues en début d’année «de deux jeunes inconnus fanatisés qui ne sont pas restés longtemps mais qui n’auraient jamais dû entrer». L’imam Bousekri n’est pas soupçonné de connivence avec ceux-ci «car c’est un homme d’ouverture et de paix»; on lui reproche davantage d’avoir été négligent et d’avoir manqué d’autorité. Ce qui dans la perspective du rôle qu’il est désormais amené à tenir au sein de la CCMA «pose des questions».

Christian Dupessey, maire d’Annemasse, regrette le départ d’Hamid Zeddoug (qui n’a pas souhaité s’exprimer dans nos colonnes) en qui il avait confiance et se dit étonné de l’entrée de Mohammed Bousekri au sein du conseil d’administration du CCMA. «Son autorité est morale et religieuse plus qu’administrative, mais cela reste une affaire qui regarde la communauté musulmane». L’élu réitère bien entendu son offre de vente de terrain mais restera attentif à la constitution du fonds de dotation «qui devra être composé de membres indiscutés et indiscutables». «Tous les Musulmans de l’agglomération d’Annemasse doivent se reconnaître dans l’autorité morale de ces personnes», insiste-t-il.

Christian Lecomte

Source : letemps.ch

Marion M. Le Pen: Sarkozy c’est plus d’immigration que sous Jospin

Source : prechi precha

Emigration clandestine : 19 corps de clandestins éthiopiens découverts dans un container en RDC

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Dix-neuf corps sans vie de clandestins éthiopiens ont été découverts par les services d'immigration de la province du Haut Katanga, dans le sud-est de la République démocratique du Congo lors d'un contrôle ciblé, a déclaré samedi à l'AFP un responsable local d'immigration.

«Nous avons intercepté jeudi ce véhicule avec immatriculation zambienne, à 7 km du poste frontière de Mwenda, à cause de l'odeur nauséabonde que dégageait le container qu'il traînait. En l'ouvrant, nous avons découvert la présence de 95 personnes dont 19 décédées par asphyxie», a précisé Jean-Pierre Lubosha, chef local de la Direction générale de migration (DGM) de la RDC.

Les deux chauffeurs et le convoyeur avaient déclaré transporter des poissons «mais l'odeur dégagé nous a convaincus qu'il faisait une fausse déclaration», a-t-il ajouté.

«Les cadavres ont été remis aux autorités zambiennes jeudi. Nous avons interrogé les survivants, qui ont tous déclaré être de nationalité éthiopienne», a ajouté M. Lubosha, qui a précisé les avoir aussi remis à ses collègues zambiens vendredi.

Selon l'officier congolais d'immigration, toutes ces personnes ont expliqué avoir fui leurs pays à destination de l'Afrique du sud, en transitant par le territoire kényan, «à la recherche du bien-être».

Un accord de 1968 signé par les autorités congolaises et zambiennes interdit à l'immigration congolaise de contrôler des véhicules zambiens qui traversent un tronçon de 70 km en territoire congolais, considéré comme un raccourci pour relier Shembe à Kitwe, deux villes de Zambie à cheval sur la partie sud de la RDC.

«Nous félicitions les autorités congolaises pour leur vigilance ayant permis de découvrir ce trafic scandaleux d'êtres humains impliquant trois Zambiens», a déclaré le vice-consul de Zambie, David Nyangulu, interrogé par l'AFP. Il a ajouté qu'une enquête internationale avait été lancée pour démanteler l'ensemble du réseau.

C'est pour la première fois qu'un tel coup de filet est réussi par la DGM, s'est félicité l'officier congolais d'immigration.

Source : Sen360

Nous sommes tous des mécréants !

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Hollande, Valls, Cazeneuve, les trois petits singes de la sagesse : ne pas voir le MAL, ne pas entendre le MAL, ne pas dire le MAL.

Cela suffit, arrêtez de tenter de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Arrêtez de VOUS mentir, de NOUS mentir !

Ceux qui se font exploser, ces terroristes qui commettent des attentats meurtriers, qui massacrent à la kalachnikov, qui assassinent à coups de couteau, ne sont pas des Français, ne sont pas des Belges, ne sont pas des Américains, ce sont des « musulmans ».

Ce ne sont pas des déséquilibrés, ni des dingues, ni des fous, ce sont des « musulmans ».

Ils tuent au nom du Prophète et sur les ordres dictés par le Coran. Le djihad armé est permis par l’islam, il est même préconisé, et il est impie de lui désobéir.

Tous les attentats, tous les massacres, tous les assassinats, jusqu’à aujourd’hui, ont été commis par des « musulmans » radicalisés, que cela vous plaise ou non. Vous ne trouverez pas un seul nom qui ne soit pas d’origine islamique.

Tous les musulmans ne sont pas radicalisés, fort heureusement pour l’humanité, mais nombreux sont ceux qui, en sourdine, les approuvent et certains même les applaudissent en apprenant leurs exploits. Ils sont des héros pour eux.

Quand, à Marseille, surgit un drapeau algérien au milieu d’une bagarre entre Russes et Anglais sur le Vieux-Port, ne vous méprenez-pas, c’est uniquement parce qu’ils n’ont pas, chez eux (ou n’ont pas osé arborer), un drapeau de l’État islamique. J’en veux pour preuve les déclarations de certains imams, dans l’entourage même du recteur de la Grande Mosquée de Paris, adhérents de la fédération chère à Dalil Boubakeur :

– le Coran ordonne aux musulmans de combattre et de soumettre les juifs et les chrétiens ;
– les valeurs et les mœurs de la République ne sont pas les valeurs et les mœurs que nous a données le Prophète. Ce ne sont pas les valeurs et les mœurs des musulmans ;
– combattez les mécréants, capturez-les, assignez-les et guettez-les dans toutes embuscades jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Dieu ;
– l’islam doit s’étendre partout, il doit exister partout, pour permettre les conversions consenties. Nous sommes envoyés pour convertir toute l’humanité ;
– l’islam n’est pas une religion de paix. Le djihad armé est pour apporter la lumière de Dieu aux peuples mécréants.

Et il termine en ajoutant « qu’il n’est pas le seul à être hostile, au sein de la fédération, à promouvoir un véritable islam de France ».

Un porte-parole de l’État islamique, Abou al-Adnani, ordonne de tuer tous les mécréants au nom du Prophète, ajoutant « qu’il n’y a pas d’innocents ». Et c’est la vérité du Prophète : pour l’islam, il n’y a pas d’innocents, nous sommes tous des « mécréants » !

Manuel Gomez

Source : Boulevard Voltaire

Terroriste : c’est pas sa faute à lui mais à son arme…

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Durant ces derniers jours, les médias se sont livrés à une thèse ahurissante qui suppose que le massacre d’Orlando n’aurait pas eu lieu si le port d’armes à feu, autorisé en Floride, était interdit. Ce drame américain vient donc relancer un débat sans frontières sur la détention d’armes par le citoyen.

Notre gouvernement, qui lutte contre le terrorisme à coups de Numéro Vert, voit dans cette question l’occasion d’exercer un semblant de fermeté en manifestant sa volonté de restreindre la détention d’armes afin de minimiser les risques d’attaques terroristes.

L’actualité dramatique qui entache notre communauté nationale vient néanmoins démasquer cette supercherie et affirmer l’évidence. Avec un peu d’honnêteté intellectuelle, il devient facile de comprendre que ce n’est pas l’amateur de ball-trap qui utilise son arme pour massacrer des innocents au cri d’« Allah Akbar ». Tout criminologue sérieux sait pertinemment que la détention d’une arme à feu déclarée en préfecture n’a strictement aucun rapport avec le terrorisme dans notre pays. Les islamistes de Charlie Hebdo ou du Bataclan n’ont pas acheté leurs armes en règle chez l’armurier du coin. Ces armes proviennent d’un trafic parallèle et illégal, qui ne sera absolument pas affecté par cette éventuelle mesure de restriction gouvernementale.

Ce nouvel enfumage politique ne fera que désarmer les honnêtes gens qui s’adonnent à un loisir tandis qu’un terroriste pourra toujours débarquer chez eux avec une kalach’ achetée sous le manteau, dans la cave d’une cité sensible.

Fort avec les faibles et faible avec les forts, le gouvernement affiche une nouvelle fois à travers ce débat son incompétence en matière de politique sécuritaire. S’il voulait sérieusement affronter la bête qu’il a laissée prospérer sur notre sol, il s’attaquerait directement au marché noir pour obtenir son démantèlement plutôt qu’aux honnêtes citoyens. Mais il n’est peut-être pas judicieux de bousculer la clientèle électorale des banlieues à la veille de la présidentielle.

Pierre-Louis Mériguet

Source : Boulevard Voltaire

 

Salah Abdeslam en soirée, ou l’islamo-racaille la plus typique

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Médias et journalistes n’en reviennent toujours pas : Salah Abdeslam aurait passé la nuit du 13 au 14 novembre dans une cage d’escalier de la cité Vauban à Châtillon (Hauts-de-Seine). Daphné Bürki y a même consacré une partie de « La Nouvelle Édition » du 16 juin, jugeant l’anecdote incroyable.
 
Que se serait-il donc passé ce soir-là, en plus des funestes attentats islamistes ? L’Obs nous révèle que Salah Abdeslam serait arrivé aux alentours d’une heure du matin au 9e étage d’une tour de la susmentionnée cité Vauban, cherchant « un endroit calme pour manger et se reposer ». Il aurait alors fait la rencontre de trois jeunes adolescents, dont un certain « Tom », lycéen rebaptisé par le journaliste qui a recueilli son témoignage. Les quatre hommes auraient rapidement sympathisé autour d’un dîner improvisé constitué de produits de la marque américaine McDonald’s, et de quelques joints de cannabis pour la digestion.
 
Le dénommé « Tom », interrogé par L’Obs, admet même que Salah Abdeslam « avait l’air d’un mec normal, qui n’a rien à faire. On a commencé à discuter, il était sympa, alors il est resté avec nous. » Le récit de cette petite sauterie, typique des nuits d’errance de la jeunesse des quartiers dits « populaires », a plongé en émoi toute la sphère médiatique. Pour les amateurs de complots, ce serait la preuve qu’on nous ment, que Salah Abdeslam ne serait qu’un leurre.

Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam aurait attendu d’être exfiltré vers la Belgique en mangeant des frites et en fumant des joints de cannabis, après les attentats du Bataclan ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam serait passé pour un mec normal parmi des squatteurs quotidien de cages d’immeuble ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam aurait trouvé refuge dans son milieu naturel, une zone de non-France connue pour être un bastion de l’économie parallèle générée par le trafic de drogue ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam n’aurait montré aucune émotion en regardant, sur un téléphone mobile, les images des attentats ? Impossible, vous n’y pensez pas.
 
Pour le journaliste lambda, cela n’est pas possible qu’un meurtrier de masse puisse être une banale racaille, comme on en croise tous les jours en allant faire ses courses ou en empruntant les transports en commun. Ceux qui me lisent régulièrement savent que les terroristes qui ont frappé en France correspondent pourtant très précisément à ce portrait-robot. Ils sont quasiment tous des islamo-racailles issues des quartiers « populaires », déculturées et transformées en véritables États dans l’État.
 
Ils se ressourcent en l’islam des origines pour se purifier, retrouver ce qu’ils pensent être au plus profond d’eux-mêmes, essentiellement. Ils sont des déracinés qui ne connaissent que l’infraculture la plus crasse et la religion. Ils entendent nous soumettre, conquérir cette terre qu’ils pensent leur revenir de droit. Oui, ils aiment le McDonald’s, le rap, le foot et fumer du shit. Allez faire un tour dans la rue, vous les verrez. Des centaines de milliers de personnes ressemblent à Salah Abdeslam.

Certains ne commettront, fort heureusement, jamais d’actes terroristes. D’autres resteront de simples rieurs, amusés par la terreur que suscitent ces attaques. Parmi eux, quelques-uns, plus convaincus, plus haineux, plus méchants, franchiront le pas de la révolte armée.
 
Je n’ai rien appris avec cette anecdote. Vous non plus. Espérons que les « sachants » officiels en tireront une leçon : un jour, le lumpenprolétariat immigré fera plus que nous mener une guerre de basse intensité, il souhaitera en finir totalement avec l’ère coloniale.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

Hommage aux deux policiers assassinés devant leur enfant à Magnanville

Un discours de Sébastien Jallamion.

Source : Boulevard Voltaire