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lundi, 02 octobre 2017

Pakistan : chrétien enlevé par un propriétaire musulman

Depuis le 19 septembre dernier, Afzal Masih, un ouvrier chrétien père de trois enfants, a été enlevé par un entrepreneur musulman propriétaire d’une briqueterie et détenu sous clef. Le propriétaire musulman accuse Afzal Masih de vol, mais sa famille récuse cette accusation : Afzal ne travaille pas dans la briqueterie du musulman, mais dans une autre, et ce dernier voudrait, en fait, faire main basse sur le logement de la famille situé à Malkhanwala, un village près de Faisalabad.

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Un ancien" fiché S" devient policier ! ...

«Un assaut du politiquement correct: de peur de stigmatiser, on refuse de filtrer ce genre de personne, car on a peur d’être accusé de racisme»: un policier français s’exprime au micro de Sputnik sur un ancien fiché S qui est récemment devenu Gardien de la paix.

Un ancien fiché S serait devenu policier, selon les informations de RTL. Nicolas (le prénom a été changé), un policier d'Ile-de-France interrogé par Sputnik, brise la langue de bois et s'interroge sur les dérives qui ont permis qu'un individu qui fut pendant plus de trois ans fiché S pour son intérêt envers l'islam rigoriste soit parvenu à devenir Gardien de la paix.

«C'est absolument consternant! Je suis d'une époque où quelqu'un qui voulait rentrer dans les forces de sécurité publique devait montrer patte blanche, puisqu'on allait jusqu'à regarder l'entourage familial, s'il n'y avait pas des gens connus des services de Police et c'était rédhibitoire- ou il fallait se justifier-, car l'enquête était très serrée», s'indigne le policier dans une interview pour Sputnik.

L'individu en question n'était plus fiché au moment où il est devenu policier, mais il avait été néanmoins embauché comme Adjoint de Sécurité (ADS) alors qu'il faisait l'objet de ce suivi particulier des services de renseignement.

Un ADS étant d'habitude chargé des missions très proches de celles des Gardiens de la paix et armé dans l'exercice de ses fonctions, précise Nicolas.

 

«Mais je pensais —très naïvement- que maintenant on filtrait beaucoup plus les candidats, notamment pour rentrer dans la police nationale, sur ces sujets-là… C'est extrêmement dangereux», s'inquiète le policier.

Pour Nicolas, la baisse des contrôles à l'entrée de la police pourrait s'expliquer par une forme de lâcheté intellectuelle:

«Un assaut du politiquement correct: de peur de stigmatiser, on refuse de filtrer ce genre de personne, car on a peur d'être accusé de racisme alors que ce n'est pas du tout le cas.»

«Il y a, évidemment, dans les forces de sécurité publique, des Français de confession musulmane —comme il y en a eu toujours, même dans l'armée. Le problème, c'est que notre regard risque de changer, car on ne sait pas si le gars a été recruté sur des critères rigoureux…» déplore Nicolas.

 

«Cela jette la suspicion sur des gens qui sont de bons patriotes, de bons policiers, car tout le monde se méfie, c'est effrayant.»

«Ce qui est très étonnant quand même, c'est que lors de la commémoration des attentats du 11 septembre, le ministre de l'Intérieur a dit qu'il voulait pouvoir muter, voire radier, des fonctionnaires travaillant à ce genre de poste s'ils étaient radicaux et quinze jours après on apprend qu'il y en a un qui devient Gardien de la paix… alors des paroles, mais les actes, ils sont où?», a conclu le policier !

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Les Vandales ? Des migrants comme les autres

Le plus amusant était la première question : « À ton avis, pourquoi sont-ils armés ? »

L’affaire a fait un certain bruit. Deux affaires en réalité, qui concernent l’éditeur Nathan : un exercice de maths qui demandait de compter des migrants (modernes) et – c’est l’objet de mon propos – une illustration ainsi décrite « Vitrail montrant l’arrivée de migrants en Gaule au Ve siècle » qu’il fallait commenter.

Le plus amusant était la première question : « À ton avis, pourquoi sont-ils armés ? » Réponse attendue ? Je n’ai pas vu le corrigé – s’il y en a un – mais on pourrait imaginer : « Parce que ces racistes de Gaulois n’étaient pas accueillants et les traitaient de sales Vandales. » Ou encore, chez un mauvais esprit : « Migrants, vous avez dit migrants ? Avec des armes, c’est pas plutôt des envahisseurs ? » Ou encore : « Parce qu’on tardait à mettre des téléphones portables et d’accortes jeunes filles à leur disposition. »

On pourrait pousser le jeu plus loin. Mais il est plus intéressant de s’interroger : les « grandes invasions » sont un des éléments du « roman national » qu’il importe à toute force de détricoter. Il est vrai que des travaux d’historiens ont relativisé et le nombre et la violence de ces arrivées de populations germaniques sur le territoire de la Gaule, et j’ai même lu une émouvante réhabilitation des Vandales dont la prise de Rome serait un « modèle d’organisation », « sans pillage ni destruction » et dont la mauvaise réputation serait due à la vindicte de l’Église, qui ne pardonnait pas leur arianisme. Somme toute, de braves migrants qui cherchaient à fuir le rude climat de leurs régions d’origine et ne désiraient qu’un accueil charitable et force câlins.

Moyennant quoi, nous pouvons réécrire l’histoire du monde : les Gaulois pillant Rome avaient pour seul désir d’y entrer paisiblement mais les Romains bornés n’ont pas compris ce bon Brennus, Attila ne rêvait que paix et retraite sereine et Gengis Khan était un Bisounours. C’est pour avoir confondu migrants et envahisseurs que le roi Arthur s’est battu contre les Saxons, il n’avait pas compris le sens de l’Histoire et, d’ailleurs, il a perdu.

 

Bon, votre raison vous dit que ça ne marche pas vraiment et que cette belle leçon risque fort de se retourner : et si le fin mot de l’histoire suggéré par Nathan était que les migrants modernes sont, en réalité, des envahisseurs cachés derrière un euphémisme ? Et si, derrière eux, il fallait voir les futurs maîtres qui baptiseront le pays d’un nouveau nom ; enfin, baptiser n’est sans doute pas le mot juste : après tout, si la France s’appelle la France et non la Gaule, c’est que lesdits « migrants » en ont pris le contrôle jusqu’à changer son nom, comme pour l’Angleterre, pays des Angles.

Mais – et c’est le point essentiel – il se trouve que ces tribus germaniques venues vers l’Occident se sont converties au christianisme (merci Clovis) et ont maintenu bon an mal an l’héritage antique. Les nouveaux migrants (quoique bénis par le pape) risquent fort, eux, comme ils l’ont fait en Afrique du Nord à partir du VIIe siècle, d’engloutir peu à peu le christianisme, d’effacer sa présence et aussi l’histoire antérieure. Et, les faits se répétant, les Beni Hilal, arrivés à leur tour dans le Maghreb, étaient bien sûr de paisibles nomades qui ne rêvaient que de bras ouverts : demandez à Ibn Khaldoun !

Olga Le Roux

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Immigration, islam : Dominique Reynié s’est reconverti en lanceur d’alerte identitaire

Petit florilège du nouveau Dominique Reynié reconverti en lanceur d’alerte identitaire :

« La naissance de l’AfD en 2013, […] sa poussée aux législatives sont liés à la politique migratoire d’Angela Merkel. Les moyens qu’elle a mobilisés […] n’ont pas empêché des problèmes de cohabitation nombreux et considérables. On l’a vu de manière spectaculaire avec les agressions sexuelles de la nuit du Nouvel An à Cologne en 2015. Elles ont d’autant plus ému l’opinion qu’en Allemagne […] toute une partie de la classe politique et certains médias ont donné le sentiment de vouloir cacher la réalité pour ne pas «stigmatiser», selon la formule consacrée, les populations en cause. Ne pas décrire loyalement la réalité des choses est toujours la pire des solutions, d’où ce réveil brutal le soir du 24 septembre. »

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« Malheureusement, les classes dirigeantes ont échoué partout en Europe à poser les problèmes de l’immigration, de l’islam […] C’est particulièrement vrai pour la France. […] Nous sommes parmi les plus mal à l’aise pour exprimer clairement la réalité des conflits interculturels. Mais à force de créer de l’indicible, de mettre les problèmes sous le tapis, ils prennent de l’ampleur sans qu’on le voie, sinon dans les urnes.

 

Malgré ce mea culpa louable, nous nous permettrons d’adresser une dernière critique à l’étude de M. Reynié. Son titre : « Où va la démocratie ? » ne pose pas la bonne question. Car les démocraties européennes, avec le succès des partis populistes, jouent pleinement leurs rôles, en permettant à ces aspirations identitaires de s’exprimer, d’accéder au pouvoir, comme en Pologne et en Hongrie, ou d’influer sur le destin, avec le Brexit. Ce qui est plutôt regrettable, ce sont les efforts antidémocratiques de certains tenants du système pour empêcher cette expression. Quand la volonté de déni aboutit à la manipulation des médias et des règles démocratiques, cela est inquiétant. Et c’est plutôt là que se nichent les dangers démocratiques futurs.

La Fondapol aurait donc dû intituler son étude, non pas « Où va la démocratie ? » mais « Où va l’Europe ? » car, désormais, les peuples européens sont confrontés à la question cruciale de leur identité. Mais ce « Où va l’Europe ? » n’est pas un énième débat creux sur « plus d’intégration ou pas ». Vieux débats du passé. Questions d’enfants gâtés. Non, les peuples européens qui s’expriment les uns après les autres répètent clairement, dans un instinct de survie, à la fois angoissé et très rationnel : l’Europe ne peut devenir le débouché pour une démographie africaine quatre fois plus élevée que la sienne, et encore moins terre d’islam. Elle y perdrait son identité, son âme. Car les peuples européens, bien mieux que leurs dirigeants, ont retenu la leçon de Valéry sur la mort des civilisations.

Il serait bon que ces dirigeants, prenant acte du camouflet infligé dimanche dernier à Mme Merkel, répondent enfin à ce défi. Sinon, il y aura d’autres « réveils brutaux ».

Pascal Célérier

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Réussite de l’action « Refugees not welcome » à Couvin !

 

 

Ce 30 septembre, les noyaux militants NATION de Couvin et Viroinval avaient décidé de mener une action pour contredire ce que les « bobos » locaux prétendaient récemment dans les médias : à savoir que les réfugiés étaient toujours les bienvenus dans la région.

A la vue du nombre de réactions positives de la part des passants, il n’y a aucun doute qu’effectivement, les migrants ne sont pas les bienvenus.

L’action a eu lieu en 3 parties :

  • Occupation d’un square devant la gare de Couvin avec déploiement d’un calicot, lancer de slogans, fumigènes et discours
  • Convoi de véhicules au travers de toute l’entité avec drapeau et haut parleur, sur le thème « Stop immigration »
  • Un déploiement de calicot devant le local des pro-migrants locaux

A noter qu’aucun incident n’a été à déplorer et que la presse était présente !

L’action a été suivie d’un très sympathique verre de l’amitié au local de NATION !

Voici les premières photos. D’autres suivront bientôt, ainsi que des extraits des interventions.

Merci à tous les participants et aux organisateurs de Couvin/Viroinval !

Une pensée à Line et Jean qui ne sont sur aucune de ces belles photos pour la simple et bonne raison que c’est eux qui les ont faites.

Royaume-Uni : deux morts lors d’une série d’attaques au couteau

 

Londres - Attaque au couteau

Illustration SIPA

 

Les attaques au couteau sont survenus ce samedi dans quatre villes du Royaume-Uni : Londres, Manchester, Birmingham et Sheffield. La police britannique ignore encore si ces différentes attaques ont été coordonnées.


Les villes britanniques de Londres, Manchester, Brimingham et Sheffield ont connu samedi matin plusieurs attaques au couteau. Deux hommes ont été tués et plusieurs autres personnes blessées, révèlent le Guardian et le Sun.


C’est dans la capitale et à Manchester que les deux hommes ont trouvé la mort. Parallèlement, cinq personnes ont été blessées à Sheffield, dont certaines très sérieusement, lors de deux affrontements séparés. Deux personnes ont été interpellées. La police précise que l’enquête s’oriente sur l’hypothèse d’un crime à caractère raciste rapporte The Yorkshire Post.


Dans la nuit de vendredi à samedi, un adolescent de 14 ans a aussi été poignardé devant une mosquée de Birminghan. Le jeune homme se trouve dans un état critique selon la police.

 

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