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dimanche, 31 décembre 2017

Défi YouTube (réalisé avec succès) : électrocuter des petites racailles de banlieues voleuses de téléphones portables [VIDÉO]

 

Source et Video

Mantes-la-Jolie : il menace d’« égorger » les fidèles à la messe

Lu dans Le Parisien du 29 décembre 2017 :

« Le maire de Mantes-la-Jolie, Raphaël Cognet (LR) et le curé de l’église du Val-Fourré ont porté plainte après les propos tenus par un individu, dimanche dernier à la fin de la messe.

Alors que l’office religieux était en train de se terminer, un inconnu est entré dans l’église et a tenu des propos inquiétants, menaçant d’égorger les fidèles. Parmi les personnes présentes figuraient le maire de Mantes-la-Jolie et le curé. Ils n’auraient toutefois pas été précisément visés.

L’homme, âgé d’une trentaine d’années, n’a toujours pas été retrouvé. »

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Un tiers des mosquées algériennes contrôlées par les salafistes (El Watan)

Extrait d’un long article du journal algérien El Watan:

« Après l’obtention du diplôme, nous apprend notre source, les étudiants déjà acquis aux thèses salafistes reviennent pour s’insérer dans le département des Affaires religieuses par le biais du concours au poste d’imam sur tout le territoire national. «Personne ne peut le leur refuser, puisqu’ils disposent d’un diplôme reconnu par l’Etat», indique notre interlocuteur.

Et c’est de cette manière que le département des Affaires religieuses se retrouve confronté à des imams plus prompts à diffuser le wahhabisme que l’islam majoritairement pratiqué par les Algériens. Quand le ministère de Mohamed Aïssa s’en est rendu compte, c’était trop tard, le mal était déjà fait.

Ce sont des centaines de jeunes, précise notre source, à avoir pris part aux concours de recrutement des Affaires religieuses. «Si un tiers des imams de la République est aujourd’hui salafiste, dans dix années, et si cela continue à fonctionner de la même manière, 80% des imams seront salafistes», prévient notre source.

Les réseaux salafistes travaillent insidieusement en profondeur la société algérienne et se donnent les moyens de leur politique. Ils ont un «markez salafi» à Rouiba, contrôlent plusieurs mosquées dans lesquelles ils dispensent des cours et organisent périodiquement des séminaires aux quatre coins du pays.

Ils ont monté une véritable machine de propagande qui leur permet aussi de distribuer des centaines de milliers de prospectus, de dépliants et des flyers contenant des fatwas sur plusieurs sujets de société, allant de la hauteur des talons des femmes, jusqu’aux questions de sexualité les plus taboues dans la société. Lire la suite dans El Watan

Lire aussi Les salafistes algériens partent en guerre contre les intellectuels

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samedi, 30 décembre 2017

Allemagne : une jeune fille poignardée à mort par un réfugié afghan

Après une dispute dans une droguerie, l’adolescent a poignardé son ex-petite amie également âgée de 15 ans.

Les faits se sont produits mercredi vers 15h30 à Kandel en Rhénanie-Palatinat. Le jeune garçon, un réfugié qui vit en Allemagne depuis avril 2016, y avait été accueilli en tant que mineur isolé. Il était arrivé dans le pays sans sa famille.L’agresseur a été retenu par des passants jusqu’à l’arrivée de la police. Le jeune Afghan a depuis été placé en détention préventive. Il ne s’exprime pas sur son acte, a déclaré jeudi un porte-parole de la police.

 Un témoin a raconté à la presse que l’adolescent avait attaqué la jeune fille avec un couteau de cuisine, qu’il avait lui-même amené. D’autres jeunes ont ensuite tenté de porter secours à la victime, qui est décédée des suites de ses blessures à l’hôpital.

Avant le drame, le jeune garçon avait déjà menacé son ex-petite amie après que cette dernière l’ait quitté. Les parents de la victime avaient alors porté plainte contre le jeune réfugié.

Selon le parquet de Landau et la préfecture de police de Rhénanie-Palatinat mercredi, l’agression a été précédée d’un différend entre les adolescents dans une droguerie. La jeune fille allemande a succombé à ses blessures à l’hôpital. Le déclencheur de la dispute n’est pas connu. Les passants ont immobilisé l’Afghan. La police l’a arrêté. Il n’a pas été communiqué s’il s’agissait d’un réfugié.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch.

Ligne 1 : un voyageur agressé au couteau

Paris Vox – Un voyageur s’est fait agresser au couteau au métro les Sablons sur la Ligne 1, mercredi 27 décembre. L’agression serait “gratuite” selon les forces de l’ordre.


Ce sont nos confrères du Parisien qui rapportent ce fait divers. Mercredi 27 décembre, vers 9 heures du matin, un homme en agresse un autre dans le métro.

Ces deux hommes sont assis à côté l’un de l’autre et ne se connaissent vraisemblablement pas. Alors que le métro arrive en station les Sablons (Ligne 1 à Neuilly sur Seine), un homme sort un couteau et attaque son voisin à la tête.

L’attaque provoque une blessure superficielle au crâne pour la victime de 47 ans. Chez les autres passagers, l’inquiétude est grande et la panique commence à monter. L’assaillant sort du métro et prend la fuite. L’homme serait “grand, la peau noire, tout de noir vêtu et une capuche rabattue sur la tête.”.

Les policiers chargés de mener l’enquête tentent de rassurer les usagers du métro en indiquant que cette agression était probablement le fait d’un déséquilibré.  L’homme est toujours en fuite bien que les policiers exploitent les images de vidéosurveillance afin de retrouver l’auteur du coup de couteau.

La RATP, ne désirant sans doute pas créer de panique ou d’inquiétudes chez ces passagers, n’a pas souhaité communiquer sur cette agression.

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vendredi, 29 décembre 2017

L’extrême droite banalisée en Europe

À l’épreuve de la crise des migrants, 2017 aura été témoin de la montée en force de partis d’extrême droite en Europe. Et de réactions confinant à la banalisation du phénomène de la part des ténors de l’Union européenne (UE).

 

Le phénomène reste minoritaire, en même temps qu’il continue de se répandre, comme une gangrène. Blessé, le Front national demeure en France une force politique en embuscade. En Allemagne, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) donne froid dans le dos avec sa percée aux législatives de septembre dernier, d’autant que la chancelière sortante Angela Merkel a toutes les misères du monde à réunir une coalition gouvernementale. En Hongrie, l’extrême droite n’est pas au pouvoir, mais n’en est pas très loin, sous les traits du premier ministre ultranationaliste Viktor Orban. Comme en Pologne avec le parti ultraconservateur Droit et Justice (PiS). En Autriche, un accord de coalition vient de faire entrer au gouvernement le Parti de la liberté (FPÖ) du néonazi Heinz-Christian Strache.

 

Tout cela, sans oublier l’influence délétère de l’extrême droite aux Pays-Bas, au Danemark et en Finlande, ainsi que dans le débat référendaire qui a débouché sur la décision britannique de divorcer d’avec l’UE…

 

Le phénomène est multiforme, bien entendu, mais ses ressorts eurosceptiques et anti-immigration sont partout les mêmes. La formation, la semaine dernière, du gouvernement autrichien en constitue le plus récent avatar, peut-être le cas d’espèce qui annonce comme un cri d’alarme que l’extrême droite va irrésistiblement continuer de prendre trop de place à l’échelle de l’Europe si rien n’est fait pour soigner les maux qui lui donnent de l’allant.

 

Qu’il y ait accord de coalition entre les conservateurs du jeune chancelier Sebastian Kurz et la meute de M. Strache était attendu, ce qui était d’emblée fort troublant. On n’imaginait pas, cependant, que M. Kurz pousserait le mariage politique jusqu’à confier à son nouveau partenaire d’extrême droite six des treize ministères, dont plusieurs régaliens : les Affaires étrangères, la Défense et l’Intérieur — et, par conséquent, la police, l’armée et les services de renseignement !

 

Ainsi, donc, se présente le nouveau gouvernement autrichien, encore qu’avec une touche de modernité : en campagne, M. Kurz sera allé pêcher des voix dans le réservoir des électeurs penchant pour les partis d’extrême droite en durcissant ses positions en matières migratoires et identitaires. Tout néoconservateur, patriote et attaché aux valeurs familiales et chrétiennes qu’il soit, il s’est trouvé en parallèle à défendre des positions progressistes dans les domaines de l’égalité salariale homme femme et de l’environnement (il s’oppose aux énergies fossiles et au glyphosate, un pesticide controversé). L’un n’empêchant apparemment pas l’autre, du moins électoralement, cela rend sans doute ce jeune homme de seulement 31 ans d’autant plus dangereux et difficile à contrer.


 

En 2000, le FPÖ était déjà entré en coalition une première fois, ce qui avait suscité une levée de boucliers de la part de l’UE, avec sanctions à la clé. Cette fois-ci, rien. L’europhile Emmanuel Macron s’est tu. Obséquieux, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a déclaré que « ce qui a été écrit dans le programme de gouvernement [lui] convient presque à 100 % » dans la mesure où, tout critique de la construction européenne qu’il soit, M. Kurz « a pris position très clairement en faveur de l’Europe ». Pas un moindre mot sur les valeurs européennes, « pas le moindre bémol inquiet », s’alarme Jean Quatremer, correspondant de Libération. Ce qui revient à dire, conclut le journaliste, que « le fascisme est eurocompatible dès lors qu’il veut rester dans l’Union ».

 

Position européenne en effet intenable. L’UE a finalement eu un sursaut, il y a une semaine, en lançant contre la Pologne une procédure punitive jamais utilisée, étant reproché à Varsovie de « violation grave et persistante » de l’État de droit pour avoir voté des lois qui asservissent la justice au pouvoir exécutif et à la majorité parlementaire. Procédure nécessaire, certes, mais purement légaliste. Au-delà, il faudra que l’UE finisse par s’attaquer aux enjeux de fond : ce sentiment de dépossession citoyenne et nationale, ces économies qui creusent les inégalités, ces élites déconnectées… Mais cela, Bruxelles, Paris et Berlin refusent encore d’en prendre la mesure, laissant l’extrême droite capter les malaises et les colères.

 

Guy Taillefer

 

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Quatre enfants de djihadistes français bientôt de retour

Environ 70 djihadistes francophones sont détenus par les autorités irakiennes à Bagdad. Parmi ceux-ci, on compte seulement quatre Français, cinq veuves et cinq enfants, dont un orphelin, ont affirmé au Figaro des sources irakienne et française à Bagdad. Paris ne souhaite pas le retour des adultes et des veuves.

En revanche, le consul de France à Bagdad négocie avec l’Iraqi Counter Terrorism Service (ICTS) pour que les enfants soient remis à la Croix-Rouge internationale et puissent revenir dans l’Hexagone. Il s’agit des quatre enfants de Mélina B., originaire de Seine-et-Marne, et d’un jeune orphelin, âgé d’environ 3 ans, dont les parents sont morts dans la guerre contre Daech.

Sur ces cinq enfants, quatre seulement devraient rentrer bientôt en France, le dernier, âgé de moins de 6 mois, ne pouvant être séparé de sa mère, Mélina, selon la loi irakienne. Partie faire le djihad avec son compagnon en 2015, Mélina a été arrêtée à Mossoul début juillet, avant la chute de l’ancienne «capitale» de Daech. Les adultes sont interrogés par des juges irakiens et devront répondre de leurs actes devant la justice locale.

Le Jobbik prêt à mener un front anti-Orban

HongrieLe parti d'extrême droite, l'un des plus radicaux en Europe, veut devenir un «parti populaire» pour mieux contrer Orban aux législatives.

Le Jobbik, principale force d'opposition en Hongrie, veut augmenter ses chances de contrer le premier ministre Viktor Orban, a affirmé mercredi son chef Gabor Vona. Ce dernier est prêt à intégrer des élus centristes dans son parti à la veille de législatives.

Décrivant l'évolution de son parti comme «un processus par étapes», Gabor Vona, interviewé dans le quotidien autrichienDie Presse, assure: «je me suis décidé, soit je gouverne à la tête d'un parti populaire, soit j'arrête la politique».

Le Jobbik présentera des candidats dans toutes les circonscriptions aux législatives prévues ce printemps, a-t-il expliqué. Mais après l'élection, «si l'arithmétique parlementaire le permet, je serais prêt à mener des négociations de coalition avec deux jeunes partis, LMP et Momemtum (petites formations centristes)», a-t-il ajouté.

Agé de 39 ans, Gabor Vona dirige depuis plus de dix ans le parti d'extrême droite Jobbik, l'un des plus radicaux en Europe, jugé même infréquentable par le Front national en France et le FPÖ autrichien.

Alors que le parti Fidesz de Viktor Orban, qui gouverne depuis 2010, a asséché le terreau politique du Jobbik avec son propre nationalisme et son populisme, Gabor Vona dit avoir lancé en 2013 la «mutation» de son parti présenté désormais comme un parti conservateur moderne luttant contre la corruption des cercles du pouvoir.

«Orban n'est pas un démocrate», a-t-il encore déclaré mercredi, en ajoutant: «cela peut paraître prétentieux mais je suis le dernier bastion de la démocratie en Hongrie».

Formation plus respectacle

Dans Die Presse, il explique qu'il a longtemps «regardé ailleurs» lorsque des cadres et militants de son parti tenaient des propos racistes et antisémites. «En 2013, j'ai décidé de couper avec ce milieu. Depuis lors vous ne trouverez plus rien de cette orientation», dit-il. Le Jobbik a aussi renoncé à plaider pour une sortie de l'Union européenne.

Les polémiques suscitées par les élus Jobbik ont été nombreuses. Un député avait réclamé en 2012 l'établissement d'une liste de députés juifs «pouvant poser un risque pour la sécurité nationale». La «Garde hongroise», milice du Jobbik interdite en 2009, organisait également des marches d'intimidation dans les quartiers roms.

Avant le scrutin du printemps prochain, le Jobbik est largement devancé dans les sondages par le Fidesz de Viktor Orban, grand favori pour emporter un troisième mandat d'affilée.

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Le Jobbik hongrois ambitionne de devenir un parti populaire

Le Jobbik, principale force d'opposition en Hongrie, veut devenir un "parti populaire" pour contrer le premier ministre Viktor Orban, a affirmé mercredi son chef Gabor Vona. Ce dernier est prêt à intégrer des élus centristes dans son parti à la veille de législatives.

Décrivant l'évolution de son parti comme "un processus par étapes", M. Vona, interviewé dans le quotidien autrichien Die Presse, assure: "je me suis décidé, soit je gouverne à la tête d'un parti populaire, soit j'arrête la politique".

Le Jobbik présentera des candidats dans toutes les circonscriptions aux législatives prévues ce printemps, a-t-il expliqué. Mais après l'élection, "si l'arithmétique parlementaire le permet, je serais prêt à mener des négociations de coalition avec deux jeunes partis, LMP et Momemtum (petites formations centristes)", a-t-il ajouté.

Agé de 39 ans, Gabor Vona dirige depuis plus de dix ans le parti d'extrême droite Jobbik, l'un des plus radicaux en Europe, jugé même infréquentable par le Front national en France et le FPÖ autrichien.

Alors que le parti Fidesz de Viktor Orban, qui gouverne depuis 2010, a asséché le terreau politique du Jobbik avec son propre nationalisme et son populisme, M. Vona dit avoir lancé en 2013 la "mutation" de son parti présenté désormais comme un parti conservateur moderne luttant contre la corruption des cercles du pouvoir.

"Orban n'est pas un démocrate", a-t-il encore déclaré mercredi, en ajoutant: "cela peut paraître prétentieux mais je suis le dernier bastion de la démocratie en Hongrie".

 Formation plus respectacle

Dans Die Presse, il explique qu'il a longtemps "regardé ailleurs" lorsque des cadres et militants de son parti tenaient des propos racistes et antisémites. "En 2013, j'ai décidé de couper avec ce milieu. Depuis lors vous ne trouverez plus rien de cette orientation", dit-il. Le Jobbik a aussi renoncé à plaider pour une sortie de l'Union européenne.

Les polémiques suscitées par les élus Jobbik ont été nombreuses. Un député avait réclamé en 2012 l'établissement d'une liste de députés juifs "pouvant poser un risque pour la sécurité nationale". La "Garde hongroise", milice du Jobbik interdite en 2009, organisait également des marches d'intimidation dans les quartiers roms.

Avant le scrutin du printemps prochain, le Jobbik est largement devancé dans les sondages par le Fidesz de Viktor Orban, grand favori pour emporter un troisième mandat d'affilée.

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Etat des lieux de l’islamisme en France avec Joachim Véliocas

 

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Autriche : un Gouvernement de Résistance à « l’Islamisation »

La coalition du Parti populaire et du Parti de la liberté qui a accédé au pouvoir le 18 décembre 2017 est une alliance advenue entre un parti anti-immigration et un parti anti-establishment. Ce nouveau gouvernement catapulte l'Autriche à l'avant-garde de

 

Extrait de: Source et auteur

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Attaque contre une mosquée en Suède

Des matières explosives ont été lancées par une fenêtre de la mosquée, selon un TV locale

Des inconnus ont attaqué une mosquée de la localité de Saffle, dans le sud de la Suède.

La télévision publique suédoise SVT a rapporté que des matières explosives ont été lancées par une fenêtre de la mosquée, dont les murs ont été endommagés.

Le directeur du Centre culturel islamique supervisant la mosquée de la ville, Abdul Hakim Adan, dont les propos ont été rapportés par la chaîne, a qualifié l’attaque d’effrayante.

Il a souligné que les murs de la mosquée affichent désormais de nombreux trous dus aux pièces de métal placées à l'intérieur des matériaux explosifs.

Les fenêtres de la mosquée ont été brisées, a-t-il précisé.

Une centaine de fidèles font quotidiennement leurs prières dans la mosquée, a noté le directeur.

La police a achevé les enquêtes préliminaires, et a estimé qu’il pourrait s’agir d’un crime de haine.

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Sebastian Kurz : “Forcer des États à prendre des réfugiés ne fera pas avancer l'Europe”

Immigration. Le nouveau chef de gouvernement veut mettre fin au système de quotas de répartition des demandeurs d'asile dans les différents pays de l'Union européenne.

« Forcer des États à prendre des réfugiés ne fera pas avancer l'Europe. Cette discussion n'a pas de sens », a déclaré Sebastian Kurz dans une interview au journal dominical allemand Bild am Sonntag. « Les migrants qui partent pour l'Europe ne veulent pas aller en Bulgarie ou en Hongrie. Ils veulent aller en Allemagne, en Autriche ou en Suède », a ajouté le nouveau chancelier autrichien, qui gouverne avec l'extrême droite.

Depuis son arrivée à la tête du gouvernement autrichien cette semaine, Sebastian Kurz a pris le parti des pays voisins, comme la Hongrie de Viktor Orban, pour s'opposer au système de quotas de répartition des demandeurs d'asile au sein de l'Union européenne. Qualifiant la politique actuelle d'« échec », il appelle au contraire l'UE à soutenir les initiatives visant à aider les migrants dans leurs pays d'origine.

« Si ce n'est pas possible, alors il faut les aider dans des zones sécurisées sur leur propre continent. L'UE devrait soutenir cela, peut-être même l'organiser et le soutenir militairement », a ainsi expliqué l’ancien ministre des Affaires étrangères, qui avait vivement critiqué la décision de la chancelière allemande Angela Merkel d'ouvrir les frontières de son pays à plus d'un million de migrants en 2015.

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Autriche: Une entente de gouvernement scellée sur l’identité nationale et le refus de « l’invasion de masse ».

Pendant que les opposants peinaient à réunir 5000 personnes pour manifester leur désapprobation, le nouveau gouvernement formé par la droite conservatrice et la droite nationaliste a prêté serment. Un gouvernement directement élu en réaction aux grands flux migratoires en provenance des pays islamiques, qui ont fait sauter les frontières de l’Union à partir de 2015. Sebastian Kurz, 31 ans, est ainsi devenu officiellement chancelier et Heinz-Christain Strache, 46 ans, vice-chancelier. C’est donc une Autriche décomplexée qui a mis à sa tête le plus jeune dirigeant du monde après que celui-ci a conduit en octobre dernier son Parti populaire-démocrate (ÖVP) à la victoire lors des législatives.

C’est l’homme de gauche, Alexander Van der Bellen, le chef de l’État  au rôle représentatif, qui a du investir les 13 ministres du nouveau gouvernement dont six postes-clés sont occupés par le FPÖ du nouveau vice-chancelier,  Heinz-Christian Strache, -à gauche sur la photo ci-contre-, et notamment les ministères de la Fonction publique, de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense, des ministères qui contrôlent en large partie la souveraineté du pays, alors que le jeune chancelier avait appelé hier l’UE a laissé plus de compétences aux États:

Le gouvernement a «un engagement européen clair, avec l’objectif de renforcer la subsidiarité» au sein de l’UE, a-t-il déclaré au cours de la présentation à Vienne de son programme de gouvernement aux côtés de Heinz-Christian Strache, le président du Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ).

Les limites de la souveraineté de ce gouvernement

Cette coalition semble avoir bien pris en compte l’échec dirigé depuis Bruxelles, de Marine Le Pen aux élections présidentielles françaises puisque le chancelier comme le vice-chancelier ont l’un et l’autre donné des gages de soumission à l’Union:ette dernière

«Nous souhaitons une coopération européenne plus poussée dans les domaines où cela se justifie, comme la défense des frontières, mais davantage de compétences laissées aux États à chaque fois que c’est possible»,

a expliqué Sébastian Kurz, qui ne remet donc pas en question l’Union ni la monnaie commune, il est vrai cette dernière beaucoup moins néfaste à l’Autriche qu’à la France.

l’identitaire Strache a souligné que le pacte de gouvernement entre leurs partis « exclue» la possibilité d’un référendum sur une éventuelle sortie du pays de l’Union. Ce fut le prix à payer pour conclure la coalition puisque H.C. Strache a expliqué que c’est à la demande de Sebastian Kurz, que «la question d’une sortie de l’UE a été exclue»  des points qui pourront être soumis à référendum, a-t-il indiqué. Ceci alors que lui-même a toujours milité pour une sortie de l’Autriche de l’Union.

Une prise de position habile de cette entente de gouvernement, qui explique que  le président du Conseil européen Donald Tusk se soit dit confiant dans « le rôle constructif et pro-européen » que jouera au sein de l’UE ce nouveau gouvernement autrichien. « C’est particulièrement important au moment où le Conseil européen s’engage plus directement dans des dossiers politiquement sensibles », probablement en raison des négociations sur la sortie du Royaume-uni de l’UE, mais entendait-il aussi englober dans cette formule les différends de la Commission européenne avec les pays de Visegrad sur l’immigration?  Car ce qui lie en premier lieu les deux formations de la coalition c’est la lutte contre l’immigration sauvage. Le vice-chancelier n’est-il pas célèbre pour avoir proclamé que  « l’islam n’a pas sa place en Autriche » ? En tout cas, le point-clef pour amadouer l’UE est de toute évidence de rester dans l’Union et la zone euro. Mais si du côté de l’ancien premier-ministre polonais Tusk, l’heure est à l’observation, le Français Pierre Moscovici,  commissaire européen chargé des Affaires économiques n’a pas manqué d’appeler à « la vigilance des démocrates attachés aux valeurs européennes », fustigeant « la présence de l’extrême droite au pouvoir [qui] n’est jamais anodine », admettant que « La situation est sans doute différente par rapport au précédent de l’an 2000. «  En effet une première coalition avec le le FPÖ avait été conduite à l’échec à cette époque sous la pression internationale.

1ère coalition identitaire de l’Ouest européen 

Il n’empêche que ce gouvernement devra se montrer très fort pour déjouer toutes les embûches auxquelles il devra faire face. Car, malgré sa soumission publique à l’UE, il est le premier pays de la zone euro à l’Ouest qui soit officiellement attaché à défendre son identité européo-chrétienne. Un pays qui n’est cependant pas isolé dans l’Union puisque la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et et la Tchéquie sont sur la même ligne souverainiste et identitaire pro-chrétienne, mais de tous les pays du groupe de Visegrad, seule la Tchéquie est intégrée à la zone euro, ce qui n’est pas le cas, ni pour la Hongrie, ni pour la Pologne, ni pour la Slovaquie. De ce fait l’accession au pouvoir des identitaires en Autriche est sans exemple et une grande victoire en faveur de l’identité européenne et chrétienne de l’Europe. L’Autriche constitue donc un exemple pour les autres peuples européens que certains essaieront par tous les moyens d’anéantir.  Il est notoire à ce propos,  que pendant que le nationaliste Strache était investi vice-chancelier en Autriche, sa formation était solidaire des autres formations identitaires des pays de l’Union qui étaient réunies à Prague. 

L’Autriche, un pays historiquement ancré dans le catholicisme

L’Autriche a fait tout au long de l’Histoire figure de pays très catholique et M. Strache a toujours défendu les racines chrétiennes de l’Europe, comme du reste le chancelier Kurz, qui, quoique vivant en concubinage, se dit proche de l’Église catholique. Les appels de la gauche immigrationiste, anti-chrétienne et politiquement correcte, malgré ses véhémentes tentatives de réductio ad hithlerum pour attirer le chaland, n’a réussi à mobiliser qu’au mieux 5000 personnes aujourd’hui, selon les chiffres de la police autrichienne, pour venir manifester leur opposition, alors qu’en 2000, lors de la précédente accession au pouvoir du FPÖ, 250 000 personnes avaient manifesté à Vienne.

Le tour succinct des réactions serait incomplet sans celui de l’ONU dont le Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Zeid Ra’ad Al Hussein. qui s’est voulu inquiet, a estimé que l’alliance de gouvernement autrichienne est « un développement dangereux dans la politique en Europe ».
 
Il convient à présent de suivre attentivement les premières mesures qui seront adoptées en Autriche concernant l’immigration dont la coalition promet de rogner les avantages au profit des Autrichiens, tout en reprenant la maîtrise de ses frontières. Gageons que Bruxelles, courroie de transmission de l’Oligarchie occidentale ne lui facilitera pas la tâche.
 
Emilie Defresne
 

Le prédicateur salafiste qui condamnait la fête de Noël est poursuivi pour avoir incité à rejoindre l’Etat Islamique

Zakir Naik, 52 ans, est un prédicateur musulman de tendance salafiste né à Bombay. Il dispose de sa propre chaîne de télévision, Peace TV, avec une audience estimée à plus de cent millions de personnes. La diffusion de ses émissions a cependant été interdite ou restreinte en Inde, au Bangladesh, au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Canada en raison du contenu de ses prêches.

Certaines de ses interventions publiques ont fait le buzz, comme celle publiée le 20 décembre 2010, dans laquelle il avait déclaré que fêter Noël est un péché pour un musulman.

 Zakir Naik a élu domicile en Malaisie il y a cinq ans quand il a découvert que les autorités indiennes enquêtaient sur lui dans le cadre de la lutte contre le terrorisme islamique.

Mais cette semaine, les autorités indiennes ont demandé son extradition. Il est en effet accusé d’avoir encouragé les musulmans indiens à s’enrôler dans l’État islamique. Plusieurs djihadistes indiens ont suivi à la lettre ses recommandations.

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Attentat de Melbourne : le terroriste est un afghan musulman

Et un autre attentat terroriste à la voiture-bélier ! Décidément c’est devenu le mode opératoire favori de certains musulmans qui se réveillent un beau matin justicier… Le chauffard qui a foncé sur la foule hier à Melbourne a invoqué comme raison de son acte meurtrier les « mauvais traitements à l’égard des musulmans » !

L’homme est un Afghan d’origine arrivé en Australie comme réfugié. Selon la doxa officielle serinée par le Premier ministre Malcolm Turnbull lors d’une conférence de presse à Sydney , celle que l’establishment de tous les pays occidentaux ressort invariablement à chaque attaque terroriste du même genre, cet Afghan musulman aurait des « problèmes psychologiques » :

« Je souligne, à ce stade, car les investigations se poursuivent (…) qu’il n’y a aucun lien connu avec des sujets politiques ou avec des groupes extrémistes. On me dit qu’à ce stade aucun lien n’a été identifié avec le terrorisme. Rien ne doit être écarté. Il a dit (…) qu’il imputait ses actions à une perception de mauvais traitements à l’égard des musulmans. »

Sur les 18 blessés, trois sont dans un état critique.

Mais tout va très bien madame la Marquise… ce n’est pas une attaque terroriste islamiste… et que l’Occident continue sagement à recevoir des réfugiés…

Francesca de Villasmundo

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Egypte – Des centaines de musulmans attaquent une église

Egypte – Une église au sud du Caire a été violemment attaquée vendredi par une foule scandant des slogans hostiles et appelant à la «démolition» du bâtiment, a annoncé samedi l’archevêché d’Atfih, dont dépend cette paroisse.

Des centaines d’assaillants musulmans ont fait irruption dans l’église al-Amir Tadros, située dans la localité d’Atfih, à une centaine de kilomètres au sud du Caire, et ont détruit ce qu’elle contenait puis ont agressé les chrétiens présents.

 
Les forces de sécurité sont intervenues pour disperser les émeutiers et sécuriser la zone. Des chrétiens blessés ont été transportés à l’hôpital, selon l’archevêque qui n’a pas précisé leur nombre.
 

Immigration : L’UE va accepter 10000 migrants bloqués dans des camps de Libye

Des migrants évacués des centres de détention en Libye arrivent en Italie dans une base militaire

L’UE va accepter 10000 migrants bloqués dans des camps de Libye.

Jusqu’à 10 000 personnes bloquées dans des camps de réfugiés et des centres de détention en Libye pourraient être relocalisées en Europe en 2018, a annoncé dimanche le gouvernement italien. L’initiative ferait partie d’une tentative des pays de l’UE de faire face à la détérioration des conditions en Libye, où des milliers de personnes sont détenues dans des conditions inhumaines.

“En 2018, jusqu’à 10 000 réfugiés pourront venir en Europe sans risque, à travers des couloirs humanitaires”, a déclaré le ministre italien de l’Intérieur, Marco Minniti, dans une interview au journal La Repubblica.

L’annonce intervient après qu’un groupe de 162 personnes “vulnérables”, originaires d’Erythrée, d’Ethiopie, de Somalie et du Yémen, a été évacué de Libye et est arrivé par avion militaire vendredi à Rome.

Le groupe comprenait des mères célibataires, des enfants non accompagnés et des handicapés, et c’était la première fois que des réfugiés et des migrants avaient été transférés directement en Europe par l’agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).

Environ 400 000 migrants se trouvent en Libye, dont environ 36 000 enfants, a déclaré l’UNICEF et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) au début du mois.

L’Italie a connu de moins en moins d’afflux de réfugiés du sud de la Méditerranée cette année, principalement en raison d’un accord entre l’UE et les autorités libyennes visant à contenir le flux sur les côtes libyennes. Cependant, l’accord s’est avéré être un échec en termes de questions humanitaires car des vidéos et des reportages en provenance de Libye ont montré que des réfugiés étaient retenus captifs ou vendus comme esclaves sur les marchés.

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Europe : le chancelier autrichien veut en finir avec les quotas de migrants

Leonhard Foeger

Sebastian Kurz, qui gouverne avec l'extrême droite, détaille ses positions sur le sujet dans une interview accordée au tabloïd allemand Bild, dimanche 24 décembre.

Voilà Angela Merkel très officiellement prévenue : sa politique d’ouverture aux réfugiés est plus que jamais dans le viseur de son voisin autrichien. Tout sauf une surprise de la part d'un pays qui a intégré l’extrême droite au sein de son gouvernement.

Dans une interview donnée ce dimanche au premier journal allemand, Bild, Sebastian Kurz envoie un avertissement tant à la chancelière germanique qu’au reste de l’Union européenne. « Forcer des Etats à prendre des réfugiés ne fera pas avancer l'Europe », dit le chancelier, qui s’oppose ainsi frontalement à la répartition actuelle des migrants au sein de l’Union européenne.

Le groupe de Visegrad, qui regroupe la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie et la Hongrie, tous unis dans leur refus d’accueillir des réfugiés, a donc un nouvel allié.

Il faut dire que la position de Sebastian Kurz sur le sujet n’est pas nouvelle. Il n’avait pas de mots assez durs, quand il était ministre des Affaires étrangères, envers les quotas de migrants en Europe.

Le désormais plus jeune dirigeant d’Europe a fait du refus de l’immigration le thème central de sa campagne, à l’automne 2017. Il s’est présenté devant les électeurs comme celui qui a réussi à fermer aux réfugiés la route des Balkans. Il se dit également fier d’avoir été félicité par Viktor Orban, Premier ministre de Hongrie et farouche opposant à l’arrivée de réfugiés en Europe.

Lors du dernier Conseil européen, en décembre, les 28 se sont donnés six mois pour trouver un compromis dans ce dossier brûlant.

Texte initialement publié sur : RFI

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jeudi, 28 décembre 2017

En matière d’immigration, le pape n’est pas infaillible !

Philippe Kerlouan

Il est piquant de constater que ceux-là mêmes qui se réjouissent d’entendre le pape prendre la défense des immigrés font la sourde oreille quand il rappelle la position de l’Église sur le mariage ou le respect dû à la vie humaine, de sa conception à son terme : ils seraient enclins à le déclarer infaillible dans le premier cas et faillible dans l’autre.

Comme l’a défini le concile Vatican I, en 1870, le pape n’est infaillible que lorsqu’il s’exprime ex cathedra en matière de foi et de morale. Dans l’exercice de sa fonction suprême, selon la tradition catholique, il est en quelque sorte le porte-parole de l’Esprit saint mais, en tant qu’homme, il peut se tromper.

Le pape François entretient lui-même la confusion, quand il ne précise pas à quel titre il parle. Ainsi, à l’occasion de Noël, il a abusivement fait le parallèle entre Marie et Joseph, en route pour Bethléem, et l’exode des migrants, « contraints de quitter leur terre » : ils veulent « survivre aux Hérode de l’heure qui, pour imposer leur pouvoir et accroître leurs richesses, n’ont aucun problème à verser du sang innocent ».

Jorge Mario Bergoglio a tout à fait le droit d’exprimer cette opinion. Cet Argentin, descendant d’immigrés italiens, s’est toujours montré sensible au problème de l’immigration. On peut cependant contester que l’immigration européenne en Amérique latine soit comparable à la vague d’immigrés du Proche-Orient et d’Afrique que l’Europe connaît actuellement.

« N’ayez pas peur ! Ouvrez, ouvrez toutes grandes les portes au Christ », a-t-il lancé, dimanche soir, dans son homélie, ajoutant que « Noël, c’est le temps pour transformer la force de la peur en force de la charité, en force pour une nouvelle créativité de la charité ». Il n’est pas certain que les Polonais, qui préfèrent les immigrés d’Europe à ceux d’Afrique ou du Moyen-Orient, apprécient ce détournement d’une formule célèbre de Jean-Paul II, qui appelait à l’adhésion au Christ et au choix d’une vie chrétienne.

 Certes, le Christ invite à « aimer son prochain comme soi-même », mais il s’est bien gardé de s’immiscer dans les affaires temporelles, recommandant de « rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ». On pourrait reprocher à Jorge Mario Bergoglio de confondre les deux registres. Car prêcher la parole de Dieu, ce n’est pas soutenir sans réserve l’accueil de tous les immigrés en omettant de prendre en compte les conséquences d’une telle politique.

Ce n’est pas en ouvrant largement les portes aux immigrés pour des raisons économiques et démographiques qu’on respecte l’Évangile. Ni en leur apportant plus d’avantages qu’aux Français dans le besoin. Ni en considérant que la religion d’une majorité d’entre eux ne pose aucun problème.

Le véritable amour du prochain consisterait à prendre des mesures d’urgence pour accueillir décemment les réfugiés à proximité de leur pays d’origine, afin qu’ils puissent y retourner, la paix civile revenue. La sagesse voudrait que les grandes puissances participent sur place au développement économique et social de ces pays.

Qu’il soit permis de s’en remettre au pape, quand il rappelle la doctrine de l’Église, et de discuter ses propos quand il exprime une opinion ! Rendons au pape ce qui est au pape et à Jorge Mario Bergoglio ce qui lui appartient.

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Noël en insécurité - Merci l'immigration, merci l'islamisation !

 

Noël en insécurité - Merci l'immigration, merci l'islamisation !

 


Action devant le marché de Noël de Rouen par Génération Identitaire Normandie


Il y a un an, le marché de Noël de Berlin subissait l'attaque d'un terroriste islamiste faisant 12 morts.

Aujourd'hui tous les pays d'Europe vivent dans la crainte d'un attentat terroriste islamiste et plus particulièrement lors des fêtes de Noël.

Par cette action, Génération Identitaire a voulu rappeler que c'est la politique d'immigration irresponsable de nos dirigeants politiques qui est la cause de cette situation.


 


samedi, 23 décembre 2017

Immigration : 40 ans de trahisons pro-islamiques du Conseil d’Etat

Immigration : 40 ans de trahisons pro-islamiques   du Conseil d’Etat

Sur toutes les questions liées à l’immigration et à l’islam, le Conseil d’État agit en institution islamo-gauchiste dédiée à la défense de l’immigration musulmane et à la défense du signe islamique en France. Et ce depuis quarante ans.

1978. Droit d’émigrer et de travailler en France sans contrat de travail. En 1978, le Conseil d’État a annulé la décision du gouvernement de lier le droit à immigrer en France à l’existence d’un contrat de travail.
https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j1.html

1978. Le droit au regroupement familial. Contre la décision du gouvernement qui entendait subordonner l’immigration aux fluctuations de la croissance, le Conseil d’État a jugé que les immigrés avaient le « droit à une vie de famille ». Les femmes et les enfants des travailleurs migrants ont donc été autorisés à venir, vivre et travailler en France comme s’ils étaient des citoyens français. À partir de cette date, le « regroupement familial » est devenue le principal vecteur d’une immigration de peuplement en France.
https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j2.html

1980. Le droit à la polygamie. Le Conseil d’État estime que le fait de faire venir une seconde épouse ne heurte pas l’ordre public. Il faudra attendre 1993, pour qu’une loi annule l’arrêt dit Montcho du Conseil d’État.
https://www.gisti.org/spip.php?article4160

1985. Le droit à l’immigration illégale. Contre le gouvernement qui décide l’expulsion immédiate des travailleurs étrangers dont le contrat de travail a été annulé, le Conseil d’État impose un délai d’expulsion de 24 heures, suffisant pour permettre à un immigré légal de devenir un immigrant illégal permanent.
https://www.gisti.org/doc/plein-droit/53-54/j4.html

1989. Le voile islamique à l’école n’est pas « incompatible » avec la laïcité. En 1989, avec l’autorisation donnée aux écolières musulmanes de porter le voile islamique au collège, le Conseil d’État ouvre 15 ans de controverses. Il faudra attendre la loi de 2004 pour que le voile soit interdit à l’école.
https://www.senat.fr/rap/l03-219/l03-2193.html

2011. Le Conseil d’État fait la liste des cas (santé, économie…) ou l’argent public peut légalement être utilisé pour construire des mosquée, portant ainsi un coup de poignard quasi définitif à la loi de 1905 sur la laïcité.
http://www.conseil-etat.fr/Actualites/Communiques/Le-Cons...

2013. Le Conseil d’État accorde aux mères voilées le droit de participer aux sorties scolaires. Les sorties scolaires étaient auparavant considérées comme une extension de l’école. La loi de 2004 qui interdit le voile islamique à l’école était donc appliquée aux mères voilées. En 2012, cependant, cette loi a été contournée et les mères voilées ont été autorisées à accompagner les élèves en sortie.
http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/09/01/31001-201...

2016. Le Conseil d’État a autorisé le port du burkini sur les plages toutes les fois où le risque de « trouble à l’ordre public » n’était pas avéré. Le Conseil d’État a ainsi estimé que le scandale suscité par une femme en burqini à Nice, quatre semaines après qu’un terroriste islamiste ait assassiné 82 personnes, n’était pas un désordre public.

2016. Plus d’argent pour les « réfugiés ». Le Conseil d’État a jugé que l’État devait donner plus d’argent pour aider des dizaines de milliers de « réfugiés » à trouver un endroit pour dormir pendant que leurs dossiers étaient examinés par les agents d’immigration.

2017. Une mégamosquée financée par le contribuable parisien à Paris. Le Conseil d’État a fourni une solution juridique au maire de Paris pour construire légalement une mosquée géante et en faire don pour 99 ans à une association islamique.
http://www.ufal.org/laicite/mosquee-municipale-de-paris-1...

2017. Voile islamique dans les écoles d’infirmières. Le Conseil d’État a autorisé le port du voile islamique dans les établissements de formation des infirmières, annulant ainsi les règlements intérieurs qui interdisaient l’affichage ostensible de signes religieux.
http://www.atlantico.fr/decryptage/port-voile-en-ecole-personnels-sante-conseil-etat-cede-nouvelle-fois-devant-ccif-guylain-chevrier-3130328.html

2017. Douches publiques et toilettes pour les migrants. Le Conseil d’État a jugé que le gouvernement avait obligation de fournir des douches publiques et des toilettes publiques à Calais, où des milliers de jeunes hommes d’Afrique et du Moyen-Orient tentent chaque jour de traverser illégalement la Manche en direction de l’Angleterre. Cette décision est notamment fondée sur l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui dispose que cette obligation ne vaut que pour les prisonniers de guerre. Le Conseil d’État considère-t-il l’Etat français comme un geôlier de migrants ?
http://www.lavoixdunord.fr/205004/article/2017-08-16/l-et...

La liste ci-dessus n’est pas exhaustive, mais les avis et arrêts du Conseil d’État en faveur de l’islam, de l’islamisme ainsi que les blocages de toute tentative de régulation de l’immigration ont eu et gardent un caractère systématique.

Et vous vous demandez encore où est l’ennemi…

 Photo de l’article : le conseiller d’Etat Tuot qui s’illustre particulièrement dans  la destruction des principes républicains  au bénéfice de l’islamisation de notre patrie.

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Tribunal administratif: la Ville de Fréjus a eu tort de refuser l’ouverture au public de la mosquée

Lionel Paoli 

Le tribunal administratif de Toulon a annulé la décision « implicite » par laquelle le maire David Rachline avait rejeté la demande d’ouverture au public. Un pourvoi en Cassation est pendant.

Ce nouvel épisode, dans le long feuilleton judiciaire de la mosquée de Fréjus, ne devrait pas bouleverser les lignes. Après le tribunal correctionnel de Draguignan, après la cour d’appel d’Aix-en-Provence, avant la Cour de cassation saisie par David Rachline, le tribunal administratif de Toulon s’est prononcé mardi sur deux requêtes formulées par l’association Musulmane El Fath.

Cette dernière souhaitait obtenir l’annulation de la décision du 9 juillet 2015, par laquelle le maire de Fréjus avait refusé de délivrer l’attestation constatant l’achèvement et la conformité des travaux.

Pour...

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« Cela se passe bien ». Chronique d’un faux argument sur l’accueil des migrants

22/12/2017 – 06h00 Paris (Breizh-info.com) –« L’accueil des migrants se passe bien », « l’accueil des migrants se passe bien lorsque l’on sort des fantasmes » ou encore, dixit Bourdin, « Je vais vous parler des huit migrants qui sont arrivés à Campôme : ça s’est très bien passé ». A lire la presse subventionnée, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes concernant l’installation des migrants dans les villes et les campagnes de l’hexagone. Cela est-il vraiment conforme à la réalité vécue?

Tout d’abord,  tout ne se passe pas bien concernant l’accueil des migrants en France depuis deux ans (et encore moins en Europe).

Nous avions révélé l’agression sexuelle à Arzon, mais de nombreux autres exactions ont été commises depuis, dans plusieurs régions de France. Le 3 novembre 2017, à Calais, un migrant Erythréen a été mis en examen pour viol aggravé sur une employée d’hôtel.

En Août, ce sont deux jeunes Erythréens qui avaient été écroués pour une tentative de viol sur une mineure, Erythréenne également. En octobre, un Soudanais a été interpellé pour tentative de viol sur deux jeunes mineures toujours dans la même région.

En décembre, à Calais, une menace au couteau sur un serveur de bar. En Bretagne, à Rennes et à Nantes notamment, les agressions et vols commis par des immigrés, migrants, mineurs (vrais ou faux) isolés étrangers, sont pléthore.

A Brest, un homme a été dépouillé en octobre par trois mineurs isolés. A Lyon, plusieurs tunisiens ont agressé en décembre des femmes qui sortaient de la messe. A Bordeaux, un homme n’a du son salut qu’à son blouson après avoir été agressé par des migrants, toujours en ce mois de décembre.

En Europe, les crimes et les agressions sexuelles impliquant des migrants ont doublé en 2016 en Allemagne. En Italie, cinq migrants tunisiens arrêtés pour avoir pillé et incendié leur centre d’accueil.  Toujours en Italie, une femme tabassée par cinq migrants récemment tandis qu’en août, une femme était violée sous les yeux de son compagnon tabassé. Faut-il continuer cette sordide liste ?

Des exactions de ce type, il suffit de prendre les gazettes des journaux locaux ou de regarder avec quelques mots clés sur Internet pour en trouver légion – la majorité étant rapportée par la presse subventionnée qui ne peut plus cacher les faits.

C’est donc un mensonge – et une insulte pour toutes les victimes – de dire que l’accueil des migrants se passe bien en France, comme en Italie, ou en Allemagne. Les décodeurs du Monde ont beau tenter de relativiser (tout en confirmant la hausse des agressions en Allemagne en 2015), les faits parlent d’eux mêmes.

Le fait que l’accueil de migrants se passerait bien dans certaines communes ou certains villages change t-il le problème de fond?

Mineurs isolés étrangers, migrants, les pouvoirs publics comme les élus le clament à longueur de journée : le pays est débordé. C’est pour cette raison d’ailleurs que le gouvernement prétend en public (tout en faisant l’inverse discrètement) vouloir mieux recenser et contrôler les migrants dans les centres d’hébergement. 

Des individus dorment à même le sol Porte de la Chapelle à Paris, dans des conditions scandaleuses. La Jungle de Calais se reconstitue petit à petit, et fait même des petits dans les environs.

Des populations non identifiées par les pouvoirs publics arrivent dans les grandes villes françaises, sont hébergées – parfois grâce à des collaborateurs produisant faux papiers, faux certificats – grâce à certaines associations (et non pas « aux associations  » comme l’écrivent de nombreux journalistes) faibles numériquement en adhérents mais puissantes médiatiquement, qui réclament toujours plus de moyens pour accueillir l’immigration. bien que très souvent déjà largement subventionnées avec l’argent de tous les contribuables.

Même lorsque les pouvoirs publics tentent timidement de rétablir l’autorité – en procédant ici ou là à des demandes de reconduite à la frontière ou à des non renouvellement de titre de séjour – ces mêmes associations militantes, jusqu’au boutistes, se mobilisent, comme encore récemment à Lorient, ou à Loudéac. A chaque fois, la figure d’un individu en particulier devient le centre d’une mobilisation locale, ultra médiatisée et destinée à émouvoir l’opinion. La stratégie est parfaitement rôdée.

A Nantes, l’extrême gauche violente (elle revendique et appelle à des violences contre les forces de l’ordre sur la page facebook Nantes Révoltée) est devenue interlocutrice de l’université concernant l’occupation illégale de la faculté pour y loger des migrants. A Morlaix, le collectif « les utopistes en action » a invectivé et insulté les élus – eux mêmes plutôt favorables à l’accueil de migrants – lors d’un récent conseil communautaire.

Dans les faits, l’État est obligé de pratiquer des réquisitions de logements – ce qu’il n’a jamais fait à ce niveau durant plusieurs années pour les plus pauvres de nos concitoyens – pour y mettre les migrants. Et de payer sur fonds publics des associations (Coalia, Amisep…) pour gérer ces nouveaux locataires.

Dans les faits toujours, il est impossible de connaitre le nombre d’immigrés clandestins et de migrants présents en France, puisqu’une partie d’entre eux (difficilement chiffrable) n’est par définition pas recensée. Les migrants hébergés ici ou là ne sont que la partie immergée de l’iceberg. Selon les statistiques officielles, la France a accueilli en 2016 un peu plus de 256.000 immigrants, selon les chiffres du rapport de l’OCDE.  Le regroupement familial en est la principale source. Les réfugiés et demandeurs d’asile ont totalisé 78.000 personnes.

Pour ces seuls 78 000 individus, le budget alloué en 2016 était de 703 millions d’euros. Cela représente un peu moins de la moitié du budget de la région Bretagne pour l’année 2017 (1,625 milliards d’euros), région administrative de 3,273 millions d’habitants au premier janvier 2014. Le contribuable appréciera, d’autant plus que le coût réel de l’immigration en France est – un peu comme celui des syndicats officiels –  secret bien gardé. Ceux estimés et fournis par le démographe Jean-Paul Gourevitch sont alarmants (17,4 milliards d’euros).

Outre le problème économique, se pose le problème  démographique, lié à cette immigration. Tout ne se passe pas bien non plus alors que c’est là une des questions essentielles lorsque l’on connait les conséquences démographiques des vagues d’immigration successives qui sont arrivées en France ces dernières décennies. Est-ce de la désinformation que d’affirmer que les rues de Paris et désormais de Rennes n’étaient pas aussi peuplées de populations africaines ou asiatiques il y a un siècle à peine ?

On sait que d’ici à 2050, les Blancs (si l’on ne compte pas les latinos) seront minoritaires aux États-Unis. En Angleterre, ils le sont déjà dans plusieurs villes et dans des quartiers de Londres. En France, l’interdiction des statistiques ethniques empêche tout recensement à ce sujet, et donc tout commentaire au risque de se retrouver trainer comme Eric Zemmour devant les tribunaux. Une chose est certaine, la proportion de naissances d’origine non  européenne en France augmente. Les chiffres de la drépanocytose, tout comme l’affirmation et la revendication de plus en plus prononcées de certains représentants auto proclamés des minorités dites « visibles », l’attestent.

Reste à savoir désormais si les populations autochtones sont prêtes – ce qui ne semble pas le cas en Europe centrale et de l’Est – à accepter leur effacement en quelques siècles. C’est là enfin que le rôle notamment de la presse et des pouvoirs entre en jeu.

Quand la presse subventionnée promeut le « tout se passe bien » et que l’oligarchie combat les sceptiques.

En Bretagne, la stratégie du « tout se passe bien » atteint des sommets. Pas un jour sans que la presse d’État ne se fasse le relaie de cette nouvelle doxa.

« L’afflux a été significatif, l’accueil bienveillant » rapporte le préfet Mirmand ici. Et la presse régionale de sortir l’artillerie lourde pour faire avaler la pilule : « Le rêve brisé d’Ibrahim » décrit l’exil d’un Ivoirien arrivé à Rennes (la Côte d’Ivoire n’étant pas un pays en guerre) mais aussi « du Soudan à Quimper, le témoignage de Mustafa »,  en passant par « fraternité Quimper en lutte pour les migrants », ou des « migrants, des individus au delà de la masse ». Mais aussi le traditionnel « comité de soutien pour Jamal ».

Jamais autant de plumes n’avaient servi pour défendre  » l’opprimé « , venu d’ailleurs, et pour le faire adopter par les autochtones, qui s’y plient plus ou moins bien.

Au niveau national, Cédric Herrou est devenu le symbole, fabriqué de toute pièce par les médias, de cette volonté d’immigration, d’abolition de la frontière, d’accueil à tout rompre.

Et malheur à ceux qui estimeraient que tout ne va pas bien. Malheur à ceux qui dénoncent, parfois avec virulence, les écueils du système. Censure tout azimut sur les réseaux sociaux, stigmatisation de toute opposition à l’immigration, travail entre journaux , institutions et gros groupes économiques main dans la main pour faire « la guerre aux fake news »., toutes les armes sont sorties pour imposer l’idée que l’immigration serait « une chance ».

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Explosion du coût de l’accueil des clandestins : le budget 2018 révélé par le Sénat

Source: Sénat

L’hébergement seul des demandeurs d’asile (et des déboutés!) se ventile ainsi :

  • 6000 places (ADOMA) dans 80 centres = 32 millions d’euros/an.
  • 18 500 places (HUDA-départements) réparties dans 150 centres  = 108 millions d’euros/an.
  • 5351 places construites par l’Office français de l’immigration et intégration (programme PRAHDA) =28 millions d’euros/an.
  • 10 700 places en Centres d’accueil et d’orientations. 105 millions d’euros/an.
  • 2207 places en Centres provisoires d’hébergement pour 35 millions d’euros. (3000 nouvelles places en 2018)

Soit un total de 308 millions d’euros pour les frais d’hébergement seuls, auxquels il faut ajouter les revenus mensuels des 94300 personnes ayant déposé une demande d’asile en 2017, appelée Allocation Demandeurs d’Asile (ADA) :

– Au 31 juillet 2017, 80 043 ménages bénéficiaient de cette aide financière (ADA), 318 millions d’euros budgétisés pour 2018.

-Il faut ajouter les frais de fonctionnement de la Cour nationale du droit d’asile, 28 millions d’euros.

-Il faut ajouter les cours de langue française et d' »intégration » : Entre le 1er juillet 2016 et le 30 juin 2017, 101 448 contrats d’intégration républicaine (CIR) ont été conclus (avec une formation linguistique prescrite dans 55,6 % des cas) pour un coût de 56,4 millions d’euros.

Soit un total de = 710 millions d’euros.

Auxquels il faut ajouter les frais médicaux, avec cinquante mille visites médicales par an et des dizaines de médecins affectés aux demandeurs d’asile. L’Aide Médicale d’Etat pour les clandestins élèvera à 910 millions d’euros en 2018 contre 815 en 2017.

Le rapport du Sénat nous apprend également que sur les nombreux hôtels achetés par la Société Nationale Immobilière (SNI) , pour un total de 10000 places, la moitié est affectée aux demandeurs d’asile, et l’autre moitié aux sans-abris.

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Immigration : la situation est devenue insoutenable

 

Au Maroc, à Casablanca :

M"Ils sont plus de 2.500 jeunes à vivoter en plein hiver dans un terrain de foot goudronné. [...] Une zone mitoyenne du quartier le plus chaud du Maroc: Derb El Kabir; foyer de délinquance, de repris de justice, de drogués, de dealers de cannabis et autres psychotropes. C’est aussi un concentré de ménages qui vivent dans la précarité. Ce même quartier a fourni plusieurs commis d’Etat, hauts cadres, professions libérales.

Depuis une quinzaine de jours, la tension monte entre migrants, riverains et forces de l’ordre. Pratiquement tous les jours, des affrontements éclatent: insultes, jets de pierres, incendie, fourgons de police caillassés, blessures... «Ce qui se passe là, c’est une bombe à retardement qui finira par nous éclater un jour sur la figure. Il y aura inévitablement  un meurtre dans ce campement. Chaque jour, nous redoutons l’irréparable», confie un policier sur place. Tellement la situation est en train de dégénérer ! «Ils sont méchants, violents, agressifs, parfois racistes...», témoigne un autre policier sur place, qui rappelle que samedi dernier «un groupe a attaqué un agent qui s’est fracturé la jambe». Tout autour du site, agents de police civils et en tenue en renfort avec les forces auxiliaires quadrillent le quartier. Ils sont tous sur le qui-vive. Surtout en cette période qui a coïncidé avec la visite royale à Casablanca.

La situation est devenue tellement insoutenable que plusieurs dizaines de migrants veulent rentrer chez eux, dans leur pays d’origine. Ils réclament une opération de rapatriement. D’autres, majoritaires, souhaitent rejoindre Sebta et gagner l’Espagne en cette fin d’année. [...]

«Il y a 3 semaines, une centaine de jeunes de Derb El Kabir sont venus armés de couteaux, machettes, gourdins, épées, bouteilles... Depuis, des affrontements se sont produits avec jets de pierres, rixes et insultes de tous genres. Les jeunes du quartier sont allés loin en aspergeant d’essence des bacs à ordures et  tous nos effets personnels, papiers d’identité, passeport, souvenirs, photos de famille, matelas, couvertures, vêtements... En quelques minutes seulement, le camp a pris feu. Depuis, toute forme de solidarité, aides, repas ont subitement cessé», confie Aboubakar Cissé. [...]"

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Plus immigrationnistes que les Rennais, on ne fait pas !

Des habitants de Rennes donnent leurs avis sur la tribune des maires de cinq grandes villes françaises publiée dans le journal Le Monde, dans laquelle ils exhortent le gouvernement à leur accorder plus de moyens pour faire face à la crise migratoire :

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Marion : le harcèlement, c’est avant tout les racailles qui le font

 

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Allemagne : fête de Noël annulée sur plainte d’une musulmane

Il faut se frotter les yeux pour bien comprendre ce que fdesouche.com nous a donné à lire hier :

« Lüneburg, Allemagne : le lycée […] Johanneum a décidé d’annuler la traditionnelle fête de Noël, suite aux plaintes d’une élève musulmane. Cette élève a prétexté que les chants chrétiens entonnés pour l’occasion ne sont pas compatibles avec sa religion. »

Ce n’est pas un bobard puisque l’information provient d’un média allemand. Ce qui est tout à fait intéressant c’est que ce lycée, dont l’origine remonte à plus de six siècles, compte 1 100 élèves. Contrairement à la doxa démocratique qui veut que tout se décide à la majorité, on observe dans cette grotesque affaire qu’une seule voix l’emporte sur 1 099. La démocratie ne cessera décidément jamais de me surprendre. On peut admettre qu’une jeune fille musulmane estime que des chants chrétiens entonnés pour une fête de Noël, ne soient pas compatibles avec sa religion mais 1. rien ne l’oblige à les écouter : ce n’est pas une “matière” obligatoire ; 2. rien ne lui interdit de changer d’établissement ; 3. et si elle n’en trouve pas un à son goût en Allemagne, personne ne l’empêchera d’aller faire poursuivre études dans un autre pays : je peux lui fournir des adresses si elle n’en dispose pas. Ce qui n’est pas admissible, par contre, c’est que le Johanneum ait décidé d’annuler cette fête de Noël. On savait que l’Allemagne était en pleine crise de dhimmitude. Cette affaire nous en fournit un nouvel exemple…

Source : fdesouche, 20 décembre

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Vannes. 200 personnes rassemblées pour dénoncer les expulsions

Ces dernières semaines, les OQTF, obligations à quitter le territoire français, se multiplient dans le département du Morbihan. Un rassemblement avait lieu ce jeudi 21 décembre, à Vannes, pour dénoncer la politique migratoire du gouvernement et son application par le préfet.

Ce jeudi 21 décembre, les escaliers des Halles des Lices, à Vannes, étaient noirs de monde. À l’appel du collectif réseau éducation sans frontières 56, 200 personnes se sont réunies pour apporter leur soutien aux populations du département menacées d’expulsions.

« Ces dernières semaines, on a remarqué une accélération des arrestations, explique Anita Kervadec, responsable de Resf 56. On veut marquer notre opposition à une politique, encore pire que celle de Pasqua. Et ce n’est pas moi qui le dis, c’est la Cimade nationale, qui intervient pour le

s droits des immigrés. L’immigration est un fait, un fait de richesse. »

Mercredi déjà, 300 manifestants avaient dénoncé, à Lorient, la situation de quatre familles menacées d’expulsion.

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