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samedi, 16 décembre 2017

Hollande et Abdel Hadi Doudi : islamo-gauchisme

 

YQuelques jours après les attentats de novembre 2015, 14 prédicateurs salafistes de mosquées de France écrivirent une lettre à François Hollande pour "redire [qu’ils n’ont] aucun lien avec Daech, al Qaida, Boko Haram", et condamnent fermement les attentats tout en exprimant leur solidarité avec les victimes. L’un de ces prêcheurs, l’imam Abdel Hadi Doudi, affirme alors avoir reçu un message personnel de remerciements du président de la République.

Cet imam est aujourd’hui mis en cause pour ses positions radicales, qui ont menées à la fermeture provisoire de sa mosquée, à Marseille. La préfecture de police a pointé du doigt la gestion de l’imam Hadi Doudi, "référence du salafisme" et membre de "la mouvance islamiste radicale". Selon le préfet, l’imam "légitime le djihad et la mise à mort des auteurs d’adultère et des apostats".

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L'Etat islamique avait récupéré du matériel de guerre livré aux groupes rebelles anti-Assad

 

Selon un rapport qui a nécessité 3 ans d’enquête de terrain entre Kobané, en Syrie, et Bagdad, en Irak... alors que les spécialistes avaient en vain mis en garde l'Occident sur l'aide apportée aux rebelles :

C1-n6HQWQAAZPha.jpg-large"40 000 pièces récupérées sur les lignes de front et soigneusement analysées, des dizaines de contrats d’achat et d’exportation passés au crible : le rapport sur les armes de l’organisation Etat islamique (EI), publié jeudi 14 décembre par l’ONG Conflict Armament Research (CAR), est l’étude la plus complète produite à ce jour sur ce sujet aussi explosif que complexe.

Il fait la lumière sur les filières d’approvisionnement souvent tortueuses mises en place par l’organisation djihadiste, via la Turquie en particulier, pour constituer et entretenir son arsenal. Il démontre qu’au-delà des saisies réalisées dans les stocks des armées syrienne et irakienne, l’EI est parvenu à récupérer beaucoup d’armes fournies aux groupes rebelles syriens par leurs parrains étrangers, notamment les Etats-Unis et l’Arabie saoudite. Il révèle enfin que ces livraisons ont été effectuées quasi systématiquement en violation des accords conclus avec les pays où ces armes ont été produites – principalement des Etats d’Europe de l’Est – qui incluaient une clause de non-réexportation.

[...] l’EI a su détourner à son profit une partie du flot d’armes introduit en Syrie par les soutiens de la rébellion syrienne. Grâce aux numéros de série relevés sur les pièces auxquelles ils ont eu accès, les experts de CAR sont parvenus à retracer une partie du circuit suivi par ces armes : de leur fabrication, dans une usine de Bulgarie ou de Roumanie par exemple, à leur exportation vers les Etats-Unis ou l’Arabie Saoudite, puis leur livraison à des formations rebelles syriennes, et leur réapparition, pour des raisons inexpliquées, du côté de l’EI.

Dans un cas précis – un lanceur de roquettes anti-tanks de type 9M111MB-1 ATGW – le rapport affirme que seulement deux mois se sont écoulés entre son achat en Bulgarie par les Etats-Unis, en décembre 2015, et sa saisie dans un stock de l’EI, à Ramadi en Irak, en février 2016. Le rapport signale, photo à l’appui, qu’une batterie anti-char portative du même genre, portant un numéro de lot similaire et un numéro de série proche, a été utilisée en décembre 2016 par une unité rebelle syrienne, Jaysh Al-Nasr. Une même remarque est faite concernant une autre formation anti-Assad, The New Syrian Army. [...]"

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La crèche non, mais dîner avec les islamistes de l'UOIF, oui

Au Conseil régional de Bourgogne, Julien Odoul (élu FN) dénonce l'attitude de la présidente Marie-Guite Dufay (PS) qui refuse les crèches de Noël au Conseil régional mais dîne publiquement avec les islamistes de l’UOIF.

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Stéphane Ravier : « Fermer cette mosquée, c’est bien, mais il faut traquer les autres salafistes qui diffusent leurs messages de haine. »

Le sénateur Front national de Marseille se félicite de la décision du nouveau préfet de fermer pour six mois une mosquée salafiste du centre-ville de Marseille dont l’imam, salafiste dit « quiétiste », prêchait un djihadisme armé. Mais il rappelle qu’il y a d’autres mosquées, dans son arrondissement, qui posent problème.

Source et Entretien

Soutenir Alain Finkielkraut, c’est soutenir la liberté d’expression !

La polémique récente autour des propos tenus par l’académicien Alain Finkielkraut en marge des obsèques de Johnny Hallyday pourrait, somme toute, être considérée comme une tempête dans un verre d’eau (une de plus) dont les médias sont friands. La chose est pourtant bien plus grave.

En effet, à l’initiative d’un militant de gauche, par ailleurs proche de Mediapart, en la personne de David Nakache, une pétition en ligne a été lancée le 11/12/2017, demandant ni plus ni moins le renvoi d’Alain Finkielkraut de l’Académie française.

Relayée par des sites communautaires, dont l’inénarrable Oumma.com, cette pétition a rapidement engrangé plusieurs milliers de signatures, s’appuyant sur un argument de poids : le philosophe aurait tenu des propos allant « à l’encontre du vivre ensemble et de la cohésion sociale » (sic).

Bien entendu, nul ne peut objectivement douter du fait que la demande des pétitionnaires n’a aucune chance d’aboutir. Cela n’enlève rien à leur intention : celle de nuire à ceux qui ont l’outrecuidance de ne pas penser comme eux et, pire encore, de l’exprimer !

D’aucuns se souviennent sans doute de la démarche de Dominique Sopo, président de SOS Racisme, lorsqu’il a écrit une lettre (ouverte) à la présidence du Conseil supérieur de l’audiovisuel afin de demander que le journaliste Éric Zemmour soit interdit d’antenne. La logique est strictement la même : à la volonté de museler la parole de ceux qui expriment des idées qui dérangent s’ajoute celle de les atteindre dans leur vie sociale et professionnelle.

 Dans ce contexte, exit tout débat d’idée, toute confrontation d’arguments permettant d’extraire une opinion forgée librement. Il y a tout simplement ceux qui « pensent mal », contre lesquels tous les coups sont permis, et ceux qui se croient dans « le camp du bien ». La charia avant l’heure, en quelque sorte… Cela n’est pas acceptable.

C’est pourquoi j’ai pris l’initiative de lancer, sur le même site, une pétition demandant l’exact contraire, en l’occurence qu’Alain Finkielkraut soit maintenu à l’Académie française, non pas que cela puisse influer sur son statut d’immortel (soyons réalistes), mais pour que nous puissions exprimer notre attachement à la liberté d’expression, et notre opposition la plus ferme à ces méthodes dignes des régimes totalitaires qui se banalisent dangereusement.

Soyons nombreux à réagir !

Sébastien Jallamion

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Un homme placé en détention en lien avec une double attaque au couteau à Maastricht

(Belga) La police néerlandaise a placé un homme en détention jeudi suspecté d'être impliqué dans la double attaque au couteau à Maastricht dans la soirée. La police a confirmé qu'un homme et une femme avaient perdu la vie. Trois autres personnes ont été blessées. L'identité du suspect et des victimes n'a pas été révélée.

Une dispute a dégénéré vers 21h00 et un homme a été poignardé. Dix minutes plus tard, une querelle a éclaté. Une femme n'a pas survécu aux coups de couteau et deux personnes ont été blessées. Les agents ont encore découvert un troisième blessé plus tard dans la mosquée El-Fath. La police a confirmé que rien n'indiquait qu'il s'agit d'actes terroristes. (Belga)

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Une séance de « médecine » musulmane provoque le coma d’une femme

Lu dans Le Parisien du 11 décembre 2017 (extrait) :

Un homme et une femme ont été placés en garde à vue, ce lundi, pour les mauvais traitements qu’ils auraient infligés à femme de 47 ans, mère de cinq enfants, originaire de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise). Cette dernière est dans le coma depuis plusieurs jours. Elle a été admise à l’hôpital intercommunal du Raincy-Montfermeil après avoir ingurgité une vingtaine de litres d’eau.

« Cela fait partie d’une séance de hijama roqya, décrypte une source proche de l’affaire. C’est une sorte de médecine occulte, pour les gens qui s’estiment possédés. » Apposition de ventouses, actes de scarification, saignées, lavements… seraient quelques-unes des déclinaisons de cette médecine qui se veut prophétique, avec l’appui d’une éminence religieuse. Pas si occulte que cela, tout de même, à en croire l’affichage Internet que s’offrent ces cabinets médicaux de médecine musulmane, dits de médecine douce. Ils promettent de guérir du mauvais œil, lever blocages physiques et psychologiques. Lire la suite.

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vendredi, 15 décembre 2017

Tiens donc, des prêches légitimant le djihad armé dans la mosquée ?

Tiens donc, des prêches légitimant le djihad armé dans la mosquée ?

C’est par « 20 Minutes », ce matin, que j’ai appris la nouvelle de la fermeture d’une mosquée à Marseille : pas de petite joie…

Je vous fais une copie de l’article signé par Mathilde Ceilles.

http://www.20minutes.fr/societe/2186591-20171212-marseill...

« L’arrêté a été publié lundi. Quatre pages dans lesquelles le préfet de police des BdR, Olivier de Mazières, justifie la fermeture de la mosquée marseillaise As Sounna, située Bd National dans le 3ème arrondissement. Dans le viseur de l’arrêté, « les prêches qui sont tenus au sein de la mosquée » qui « légitiment le djihad armé ».

« Certains discours « appellent à la défaite et à la destruction des mécréants », « incitent à l’application de la loi du talion à l’encontre de ceux qui combattent Dieu et son prophète et à l’égard desquels la sentence de Dieu est la mort ou la crucifixion », ou présentent les Juifs comme des « impurs », « les frères des singes et des porcs », et incitent à prononcer la formule « Allah akbar » dans les lieux publics pour « effrayer les mécréants », poursuit-il.

L’imam de cette mosquée, El Hadi Doudi, est un prédicateur connu. « C’est un salafiste quiétiste, un des principaux référents du salafisme en France, un des plus influents aussi », analyse Romain Caillet, chercheur et consultant spécialiste de la mouvance djihadiste.

Le salafisme quiétiste est un courant fondamentaliste qui rejette la violence armée, contrairement au salafisme djihadiste qui la promeut. « Il a la réputation de prôner un islam ultraorthodoxe, mais s’abstenant systématiquement de parler de politique et très critique envers le djihad », abonde Samir Amghar, sociologue à l’Université libre de Bruxelles, spécialiste du salafisme.

L’imam avait ainsi cosigné un courrier adressé à l’Elysée dans lequel quinze prédicateurs salafistes affirmaient n’avoir aucun lien avec Daesh, Al-Qaïda ou Boko Haram.

Cette fermeture – inédite à Marseille – est provisoire
(je me disais aussi, c’est trop beau, on ne peut pas rêver longtemps par les temps qui courent – commentaire personnel) –
pour une durée de six mois.
(Nous sommes enclins à croire que dans 6 mois l’imam et les idées des adeptes seront les mêmes)…

Pour rappel, depuis la fin de l’état d’urgence, deux mosquées, qui avaient déjà été frappées d’interdiction, ont été fermées et trois autres n’ont pas rouvert ». Fin de citation.

En encadré : « Une action inédite qui interroge :

« On a attendu longtemps cette décision », témoignait à l’AFP le vice-président du Conseil représentatif du culte musulman en région PACA, Abderrahmane Ghoul.
Mais, cette fermeture, justifiée notamment par des départs de fidèles en Irak et Syrie, interpelle. « On connaissait l’individu, ce n’est pas un obscur imam, analyse Samir Amghar. S’il y a eu des départs, pourquoi attendre aussi longtemps avant de prendre cette décision ? ». Fin de citation.

Oui, nous aussi nous nous posons la même question !

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Les Pavillons-sous-Bois (93) : une femme dans le coma après une séance de médecine musulmane occulte

Un homme et une femme ont été placés en garde à vue pour les mauvais traitements qu’ils auraient infligés à femme de 47 ans, mère de cinq enfants. Cette dernière est dans le coma depuis plusieurs jours. Elle a été admise à l’hôpital intercommunal du Raincy-Montfermeil après avoir ingurgité une vingtaine de litres d’eau. « […]

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polarisation raciale

C’est la fin d’une virulente campagne électorale qui a captivé l’Amérique. Le démocrate Doug Jones a remporté l’élection sénatoriale dans l’Alabama face à l’ultra-conservateur Roy Moore, un exploit dans ce bastion traditionnellement acquis aux républicains. Les électeurs se sont mobilisés, avec une participation plus forte que prévue, pour faire barrage à Roy Moore, visé par […]

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Terrorisme-Justice: le procès de Salah Abdeslam en Belgique est reporté à la demande de son avocat

La RTBF a révélé le report du procès à Bruxelles de Salah Abdeslam pour la fusillade de la rue du Dries à Forest. C’est l’avocat historique de l’accusé, Me Sven Mary qui va assurer sa défense et qui a demandé ce report accepté par la justice belge.

Ce procès devait se tenir du 18 au 22 décembre. Salah Abdeslam aurait fait le trajet entre la France et la Belgique, tous les jours, sous bonne escorte. Il devait être incarcéré dans le centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil, dans le Nord, pendant la durée de ce procès.

 Rappelons que Salah Abdeslam est le seul survivant des terroristes qui ont perpétré les attentats du 13 novembre 2015 à Saint-Denis et Paris.
 
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Leetchi, la cagnotte préférée des islamites pour construire des mosquées

 

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jeudi, 14 décembre 2017

Attaque au sang de porc contre une future mosquée

par Simon Ulrich/ofu - Des inconnus ont souillé un bâtiment en construction à Granges (SO), bientôt censé accueillir un lieu de prières. Une plainte a été déposée.

La mosquée de la communauté musulmane albanaise, en cours de construction à Granges (SO), a été victime d'un acte de vandalisme. Des inconnus ont balancé il y a quelques semaines du sang de porc à l'intérieur du bâtiment, plus précisément sur les murs et sur les sols. Dans la nuit de jeudi à vendredi dernier, les mots «Shit Islam» ont par ailleurs été tagués sur la façade, révèle le «Grenchner Tagblatt».

Ce n'est pas la première fois que le futur lieu de prières est la cible de malfaiteurs. Fin 2011, des individus avaient planqué un cochon et des abats dans le sol, là où la mosquée est actuellement construite.

 
 «On se demande ce qui viendra ensuite»
 

«Ce genre d'attaques sont inquiétantes», regrette le porte-parole de la communauté religieuse, Isa Ismaili. Selon lui, cela ne fait qu'alimenter un climat d'insécurité au sein de la communauté. «On se demande ce qui vendra ensuite. Est-ce que ça deviendra encore pire?»

Isa Ismaili ignore qui se trouve derrière les actes de vandalisme. Mais il est persuadé que ces gens n'ont jamais entretenu de contacts directs avec des musulmans. Malgré tout ça, la communauté ne compte pas faire installer une caméra de surveillance ou engager un agent de sécurité. «La mosquée sera construite. Peu importe ce qui arrivera.»

Contactée, la police municipale de Granges ignore s'il s'agit des mêmes auteurs qu'il y a six ans. En attendant, la communauté a porté plainte contre inconnu.

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Zoom – François Billot de Lochner : Non à la république islamique de France

Président de la Fondation de service politique, François Billot de Lochner jette un pavé dans la marre avec “Chronique de l’islamisation ordinaire de la France”. De Tariq Ramadan à l’UOIF, il passe en revue tous les piliers de l’islamisation radicale de la France et toutes les formes empruntées pour aboutir à la transformation profonde du pays. Un constat lucide mais qui refuse le pessimisme ambiant.

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Relocalisation des immigrants illégaux : les pays du groupe de Visegrád ne reculeront pas

Jeudi dernier, la Commission européenne a porté devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) l’affaire de la relocalisation des demandeurs d’asile arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Le plan adopté par le Conseil de l’Union européenne en septembre 2015 prévoyait que 120.000 immigrants illégaux, en plus des 40.000 qui avaient déjà été convenus, seraient « relocalisés » dans un autre pays de l’Union européenne selon un système de quotas obligatoires.

Aucun pays ne s’est dégagé de ses obligations, mais trois revendiquent officiellement leur refus de prendre ne serait-ce qu’un seul immigrant illégal : la Pologne, la Tchéquie et la Hongrie, au nom de leur souveraineté nationale. Ils expliquent que le système de relocalisation a fait la preuve de son inefficacité, ce qui ne semble pas perturber les eurocrates.

La veille de la procédure engagée par la Commission, le gouvernement portugais, bon élève du système de relocalisation, confirmait que sur 1.500 « réfugiés » accueillis, plus de 820 s’étaient déjà enfuis et l’on ne sait rien de leur lieu de séjour.

Dès jeudi, le Fidesz hongrois parlait d’une attaque de Bruxelles « à l’arme automatique » du fait que, le même jour, la Commission européenne avait également engagé une procédure devant la Cour de justice de l’Union européenne dans deux autres dossiers concernant la Hongrie au sujet des établissements supérieurs et des ONG. Dans un communiqué, le Fidesz accusait Bruxelles d’être sous l’influence de George Soros, ce qui n’est pas faux puisque le milliardaire américain était venu au printemps discuter de ces lois hongroises directement avec les dirigeants de la Commission européenne.

 Viktor Orbán affirme, par ailleurs, que Bruxelles s’en prend à la Hongrie à cause de son opposition au « plan Soros » (Dans un document publié en septembre 2015, George Soros: Here’s my plan to solve the asylum chaos, M. Soros explique que l’Union européenne doit accueillir au moins un million de demandeurs d’asile par an, et ce chiffre a été repris plus tard par Dimítris Avramópoulos, le commissaire européen grec chargé des questions d’immigration pour plaider pour une plus grande ouverture de l’Union européenne.)

En Tchéquie, le nouveau Premier ministre Andrej Babiš a remporté les élections en promettant de refuser les quotas de demandeurs d’asile de la Commission, et il pourra difficilement se dédire. Comme ses partenaires du groupe de Visegrád, il propose l’aide de son pays pour garder les frontières de l’Union européenne, mais pas pour faire venir des immigrants illégaux.

En Pologne, le ministre de l’Intérieur Mariusz Błaszczak a mis en avant l’impératif de sécurité face à la menace terroriste qui accompagnerait immanquablement la venue d’une partie des immigrants musulmans arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Il a aussi fustigé les zones de non-droit dans les pays de l’ouest du continent, dont il a rappelé qu’elles étaient le produit de l’immigration et une base arrière du terrorisme islamique. Il a nommément cité la France comme l’exemple de ce qu’il ne fallait pas faire en matière d’immigration. Dans sa première interview télévisée jeudi soir, le nouveau Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a confirmé son refus du système de relocalisation.
Les graves agressions antisémites qui ont eu lieu en Europe ces derniers jours et la toute nouvelle tentative d’attentat par un immigré musulman à New York (arrivé dans le cadre du regroupement familial) donnent encore une fois raison à ces pays et ils ne céderont pas.

Olivier Bault

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Paris : face aux migrants, ils menacent de faire grève de la faim

Immigration. Alors que plus de 200 demandeurs d’asile ont élu domicile dans les rues du quartier Jaurès, à Paris, des riverains ulcérés se mobilisent pour interpeller le gouvernement, rapporte RT France. Et menacent de mener une grève de la faim.

La scène est devenue banale dans le quartier de Jaurès à Paris : des dizaines de tentes alignées le long des trottoirs, une odeur pestilentielle et des déchets qui s’amoncellent ça et là. Ils sont près de 200 migrants en attente d’un rendez-vous à la Plateforme d’accueil des demandeurs d’asile (Pada). Si la police est présente de 7 heures à 23 heures pour sécuriser la zone, cette situation délétère, où misère, ordures et excréments se côtoient, a fini par insupporter les riverains, rapporte RT France.

“Le quartier est transformé en WC publics”

Aussi, certains habitants se mobilisent. Si certains tentent de venir en aide aux migrants, vivant dans des conditions insalubres, d’autres sont victimes des nuisances engendrées par un tel campement. L’attente pour être reçu par la Pada a développé “d’énormes camps de personnes sur tout le quartier, avec tous les problèmes sanitaires de cohabitation entre elles, de violences, d’émeutes”, énumère Pierre Vuarin, porte-parole du Collectif des habitants associés. “40 000 personnes ont dormi ici sur ces trottoirs pendant 20 mois”, fait-il valoir.

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Succès d’une pétition demandant l’exclusion de Finkielkraut de l’Académie française

Une pétition demandant l’exclusion d’Alain  Finkielkraut de l’Académie française a été publiée sur le site Mes opinions. Mise en ligne le 11 décembre sur ce site, la pétition a déjà recueilli (voir ci-dessous) plus de 9 200 signatures.

À l’attention : de l’Académie française

L’Académie française, outre sa fonction première de définition de la langue française, incarne une certaine image de la France, pays des Droits de l’Homme et du Citoyen, pays de la tolérance et de l’égalité républicaine.

Alain Finkielkraut, académicien, est allé, à de nombreuses reprises, par ses écrits et prises de position publiques, à l’encontre du vivre ensemble et de la cohésion sociale.

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Ses reprises récentes des thématiques du “grand remplacement” et des Français “de souche” opposés aux “non-souchiens” en font désormais de façon incontestable un promoteur des thèses d’extrême droite.

En conséquence, nous demandons à l’Académie française d’exclure Alain Finkielkraut de ses membres et de prononcer sa destitution.

 
Voir ou revoir également, la vidéo du  “philosophe” complotiste Finkielkraut, modèle de tolérance, d’ouverture d’esprit, de calme et de sérénité… 

2 femmes agressées à la sortie de la messe à Lyon, par des clandestins

 

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Racisme anti-blanc à la Une de Politico

 

"Pourquoi Bruxelles est trop blanche" :

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Des « familles syriennes » mendient dans le trafic sous le nez d’une police aveugle

Les policiers sont très peu attentifs quand une prétendue famille syrienne joue les toréros dans le trafic, enfants et vieillards compris, avec une pancarte en arabe en guise de muleta. Leur inattention provient parfois du fait qu’ils flashent les automobilistes au lieu de s’en prendre à ces piétons intouchables et surtout insolvables.

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La préfecture de Marseille ordonne la fermeture provisoire d’une mosquée salafiste

La préfecture explique que la mosquée « s’inscrit dans la mouvance islamiste radicale » et diffuse des prêches qui « légitiment le djihad armé ».

La préfecture de police des Bouches-du-Rhône a ordonné la fermeture pour six mois d’une importante mosquée du centre-ville de Marseille, en raison des prêches radicaux qui y sont prononcés par un imam salafiste selon un arrêté publié lundi 11 décembre et consulté mardi par l’Agence France-Presse.

La mosquée As-Sounna est dirigée par un imam, El Hadi Doudi, qui « s’inscrit dans la mouvance islamiste radicale » et est devenu « une référence du salafisme », a affirmé le préfet de police dans son arrêté.

« En dépit d’une condamnation des attentats survenus en France », les prêches prononcés au sein de cette mosquée et parfois diffusés sur Internet « légitiment le djihad armé et la mise à mort des auteurs d’adultère et des apostats », ajoute le préfet de police des Bouches-du-Rhône, Olivier de Mazières.

Certains discours « appellent à la défaite et à la destruction des mécréants », « incitent à l’application de la loi du Talion à l’encontre de ceux qui combattent Dieu et son prophète et à l’égard desquels la sentence de Dieu est la mort ou la crucifixion » ou « présentent les juifs comme des “impurs”, “les frères des singes et des porcs” et incitent à prononcer la formule “Allahou akbar !” dans les lieux publics pour “effrayer les mécréants” », poursuit-il.

Lire aussi :   Ces musulmans des quartiers sous la pression de l’islam radical

Plusieurs fidèles se réclament d’Al-Qaida

L’imam, qui a été reçu au début de décembre à la préfecture, a reconnu « avoir produit des écrits qui ont pu inciter à la haine » et que « son discours n’a pas changé depuis 2015 », malgré les attentats qui ont frappé la France.

L’arrêté épingle également le financement des acquisitions immobilières de la mosquée, « facilitées financièrement par une association salafiste niçoise », et pour lesquels l’imam « n’hésite pas à user de pressions pour collecter d’importantes sommes d’argent, notamment en appelant ses fidèles aux dons en précisant qu’il accepterait de “l’argent sale” ».

L’imam avait pour ambition de faire de la mosquée, située boulevard National, dans le centre de la cité phocéenne, « le plus grand lieu de culte musulman de Marseille en effectuant des acquisitions immobilières », ajoute la préfecture.

La préfecture souligne par ailleurs que plusieurs fidèles de la mosquée se sont réclamés d’Al-Qaida ces dernières années ou ont rejoint l’Irak et la Syrie, et que des « messages de haine et de discrimination » tenus dans la mosquée sont relayés dans le quartier et dans ses établissements scolaires.


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Une mosquée se défend d'avoir exigé qu'il n'y ait pas de femmes sur un chantier près du lieu de culte

La mosquée Ahl-ill Bait affirme qu'il n’y a jamais eu de telles demandes d’accommodements de la part de la direction.

La présence de femmes sur un chantier de construction de Montréal aurait gêné les propriétaires de deux mosquées à proximité du chantier, a rapporté TVA Nouvelles.

 

L'une des deux mosquées mentionnée dans le reportage, la mosquée Ahl-ill Bait, «nie vigoureusement tout ce qui a été allégué».

Dans le reportage, il est rapporté que le propriétaire de la mosquée Ahl-Ill Bait dans l'arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce aurait exigé que les travaux ne se fassent pas le vendredi pour ne pas affecter le jour de la prière. Cela aurait été décliné par l'entrepreneur en raison des délais.

 
 

On aurait ensuite demandé qu'on ne voie pas les femmes les vendredis, clause qui serait indiquée dans le contrat de l'entrepreneur. Les deux propriétaires ont réfuté cette information sur les ondes de TVA.

 

«Il n'y a jamais eu de telles demandes d'accommodements de la part de la direction. Nous ne comprenons pas pourquoi qu'un média national n'a pas réalisé une enquête complète», peut-on lire dans une publication Facebook de Ahlillbait Islamic Organization. Un communiqué complet suivra.

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Europe : Ses églises « converties » en mosquée

Sur le Vieux continent, les églises se vident et les mosquées se remplissent… se remplissent tellement que les églises désaffectées deviennent, non seulement restaurants, hôtels, appartements, mais aussi mosquées !

Il y avait une fois une Europe des cathédrales, des clochers et des petites chapelles romanes… Il y avait ! Parce qu’aujourd’hui bien trop de clochers ne sonnent plus l’Angelus. Et rares ne sont pas les cas où ils se retrouvent transformés en minarets… L’Europe vend ses églises aux envahisseurs mahométans : là où se trouvait l’autel il y a maintenant des tapis, les bancs et les agenouilloirs ont disparu pour laisser place à des tables, et l’arabe retentit sous les nefs où pendant des siècles les fidèles ont prié en latin, la langue sacrée de la Chrétienté. Pendus au murs, ce ne sont plus des tableaux des saints et de la Vierge mais des horloges qui donnent l’heure et la position de La Mecque.

Une enquête réalisée par le quotidien italien La Stampa raconte ce changement d’identité, ce grand remplacement, qui parcourt l’Europe de la Sicile à la Scandinavie. Dans le nord de la Hollande, ces dernières années, presque un tiers des églises a changé de destination, et certaines sont devenues des mosquées. Même chose en Allemagne, en France, en Suède, en Belgique et au Royaume-Uni. Dans la nouvelle Angleterre, multi-ethnique, multi-culturelle et multi-confessionnelle, ce sont des dizaines d’édifices chrétiens qui ont été achetés à des prix avantageux par les représentants de la communauté islamique de Manchester, Bradford ou Londres. En Allemagne depuis les années 2000, pour 500 églises qui ferment leurs portes, ont été inaugurées plus de 100 mosquées, grâce aux donations provenant surtout de Turquie. A Duisburg, dans la région du Nord Rhin-Westphalie où se concentre la plus importante communauté salafiste allemande, la mosquée de la ville a pris la place d’une église. Même chose à Hambourg où une église abandonnée est devenue le centre islamique Al Nouar.

La plus grande mosquée de Scandinavie a été inaugurée, le printemps dernier à Malmö, en Suède, par la Wafk, fondation islamique sunnite suédoise, proche des Frères musulmans. Elle a été financée avec 3 millions d’euros provenant du Qatar.

En France aussi, les églises deviennent lieux de culte musulman. En chaire, à la place du curé, prêche l’imam en chair et os, turban et djellaba… Le cas le plus fameux est celui de l’ancienne église de Saint-Jean de-la-Rive-de-Graulhet qui en 1981 a été reconvertie en la mosquée Nour El-Mouhammadi. A Marseille, où les musulmans représentent, écrit le journal La Stampa, 40 % de la population, la synagogue à côté du Vieux Port a été vendue et transformée en un centre islamique. Et selon l’enquête du quotidien italien, reprise par Vatican Insider, l’association marseillaise islamique Al Badr a des vues sur d’autres édifices religieux du sud de la France : « Je ne serai pas étonné, déclare Omar, jeune algérien, soutien de al Badr, que d’ici quatre ou cinq ans, les églises et les synagogues converties en mosquée deviennent cinq à dix sur la côte d’Azur. Mais ce n’est pas une guerre de position, que cela soit clair, c’est simplement le monde qui change. »

En Italie, pour l’instant, seules deux églises ont été transformées en mosquées. Toutes deux dans la Sicile d’où les Normands chassèrent les arabes musulmans, au XIe siècle. Depuis les années 90, dans l’église de San Paolino des Jardiniers, à la place du Credo on récite la Shahādah. Ce fut la première église d’Italie à avoir été désacralisée et attribuée comme lieu de culte pour la communauté musulmane. L’autel baroque ad orientem a été enlevé pour laisser place aux tapis des fidèles tunisiens qui s’agenouillent dans la même direction mais pour prier vers la Kaaba.

Dans la capitale de la Chrétienté, les centres culturels islamiques se multiplient à vue d’œil. Dans les quartiers périphériques romains, comme celui multi-ethnique de Tor Pignattara, dans un rayon d’une centaine de mètres on compte des dizaines de mosquées dans des garages, des caves, des magasins. Les lieux de culte musulmans semblent être très bien intégrés dans le tissu social urbain. Parfois même, et c’est le cas de celui de Via Moncenigo, dans le quartier des Prati, ils se trouvent à deux pas de la Basilique Saint-Pierre…

Et il y en a qui osent parler de Grand Remplacement…

Francesca de Villasmundo

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Allemagne. Un militaire accusé d’avoir voulu tuer des politiques pro réfugiés

La justice allemande poursuit officiellement mardi un militaire d’extrême droite. Ce dernier avait été arrêté en avril alors qu’il planifiait l’assassinat de personnalités favorables à l’accueil de migrant dans le pays. Il avait été libéré fin novembre faute de preuves.

Un militaire allemand a été formellement accusé, mercredi, d’avoir comploté en vue de tuer des personnalités politiques du fait de leur soutien à la cause des réfugiés, et d’avoir voulu faire croire que ces crimes étaient commis par des demandeurs d’asile.

La Cour fédérale de justice avait estimé fin novembre ne pas disposer d’éléments suffisamment probants pour justifier le maintien en détention de l’officier, un lieutenant de 28 ans ayant servi en France, qui avait utilisé une fausse identité pour se faire enregistrer comme réfugié syrien.

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L’accusé, Franco Hans A., a été arrêté en avril, dans le cadre d’une affaire qui a choqué l’opinion publique en Allemagne et ouvert le débat sur la pénétration des idées de l’extrême droite dans l’armée fédérale.

Le ministre de la Justice visé

« Motivé par ses positions nationalistes, il projetait de s’en prendre à une période indéterminée à des personnalités politiques et publiques qui avaient pris fait et cause pour ce que l’accusé considérait comme une posture amicale envers les réfugiés », a déclaré le parquet fédéral d’Allemagne.

« Il voulait que l’on croie que ses agressions étaient liées au terrorisme islamiste, et qu’elles avaient été commises par une personne à qui l’on avait accordé l’asile », a ajouté le parquet.

Parmi les cibles du militaire figuraient le ministre fédéral de la Justice, Heiko Maas, membre du SPD (sociaux-démocrates), mais aussi Claudia Roth, du parti des Verts, ainsi que des journalistes et des défenseurs des droits de l’homme, a précisé le parquet.

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Tabula Rasa

Philippe Bach

L’initiative dite «Rasa» (Raus aus der Sackgasse – Sortir de l’impasse) a été retirée mardi par ses auteurs. Ce texte proposait aux Suisses de revenir sur le vote du 9 février 2014 qui avait vu le peuple suisse accepter l’initiative de l’UDC dite «contre l’immigration de masse».

Avec un gros défaut: cet article constitutionnel ébranle tout l’édifice des accords bilatéraux. Le principe de la libre circulation faisant partie de l’ADN de l’Union européenne (UE), celle-ci n’était pas prête à accepter des mesures de contingentement, comme le proposait un peu imprudemment l’UDC.

De fait, la mise en œuvre de l’article constitutionnel du 9 février telle que votée par les Chambres il y a une année frise le code démocratique. Les députés ont certes sauvé les meubles et préservé les bilatérales en prévoyant une mise en œuvre minimaliste. En clair, en instaurant simplement des mesures de préférence nationale à l’embauche. Ce qui ne répond pas à l’initiative.

L’UDC a beau jeu aujourd’hui de crier au déni démocratique: elle a raison sur le fond. Le Conseil fédéral le reconnaissait dans un premier temps. Reste que le parti populiste a renoncé à combattre par voie référendaire cette solution bancale. Un jeu du poker menteur dans lequel le parti blochérien peut à la fois se targuer d’être un rempart contre l’immigration, tout en se dépeignant en pauvre petit Calimero brimé. Un vrai boulevard pour lui.

L’initiative Rasa avait pour elle le mérite de la clarté. Le vote du 9 février 2014 a été arraché à une très courte majorité (moins de 20 000 voix d’écart) et avec certaines forces politiques incapables de saisir l’ampleur de l’enjeu. Du coup, l’idée de proposer aux Suisses de défaire ce qui a été fait pouvait se défendre.

Reste qu’une telle démarche a été jugée trop risquée par à peu près l’entier du champ politique. Le Souverain n’aime pas revoter: le risque de creuser le fossé entre la Suisse et l’UE était par trop risqué. Le Brexit est aussi passé par là.

D’où une solution «à la Suisse», un compromis boiteux, illisible. Et dangereux. Car, au-delà du pragmatisme des initiants – dont on peut comprendre qu’ils rechignent à aller au casse-pipe sans soutien aucun –, ce retrait est une nouvelle victoire pour la droite extrême.

Le message subliminal qui restera dans le néocortex des Suisses est qu’on peut voter pour une initiative délirante et dangereuse; il se trouvera toujours quelques bonnes âmes pour mettre les mains dans le cambouis et trouver une porte de sortie qui satisfasse tout le monde ou du moins sauve la face.

Un message dangereux à quelques encablures du vote sur l’initiative «No Billag» – qui croira les messages alarmistes maintenant? – et qui va donner des ailes au populisme udéciste, guère avare en matière de propositions à même de nous exploser à la figure. Le recul peut être inévitable de mardi risque tout de même d’être amèrement regretté.

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France : Fermeture d’une mosquée à cause de prêches radicaux

Une mosquée située en plein cœur de Marseille, dans le sud-est de la France, va être fermée pendant six mois à partir de jeudi prochain par les autorités françaises en raison des prêches radicaux de son imam, un influent prédicateur salafiste.

Dirigée par l'imam El Hadi Doudi, la mosquée Assounna "s'inscrit dans la mouvance islamiste radicale" et est devenu "une référence du salafisme", affirme le préfet de police, a rapporté hier, lundi 11 décembre 2017 l'AFP.
Depuis la fin de l'état d'urgence en France, début novembre, deux mosquées, qui avaient déjà été frappées d'interdiction ont été fermées, et trois autres n'ont pas rouvert, selon des chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur.

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mercredi, 13 décembre 2017

Des Tunisiens agressent deux jeunes femmes à la sortie de la messe

Immigration. L’un d’eux, clandestin, a frappé l’une des filles au visage. Il a été condamné à six mois de prison ferme.

Jeudi 7 décembre, lors de la première soirée de la Fête des Lumières à Lyon, dans le Rhône, plusieurs Tunisiens alcoolisés ont harcelé et agressé deux jeunes femmes qui sortaient de la messe, sur le parvis de l’église Saint-Nizier, rapporte Lyon Mag, ce mardi.

“L’un d’eux a notamment eu des gestes déplacés et a frappé l’une des filles au visage”, précise le média local. Tandis que la victime trouvait de l’aide auprès des policiers de la BAC, l’auteur du coup de poing en situation irrégulière était interpellé. Il a depuis été condamné à six mois de prison ferme.

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La mosquée d'un influent prédicateur salafiste fermée à Marseille

Une mosquée située en plein coeur de Marseille est sous le coup d'un arrêté de fermeture de six mois en raison des prêches radicaux de son imam, El Hadi Doudi, un influent prédicateur salafiste.

Trois feuilles A4 sont scotchées sur la porte principale de la mosquée As-Sounna: par arrêté du préfet de police des Bouches-du-Rhône, ce lieu de culte qui a pignon sur rue depuis plus de 10 ans fermera jeudi.

En cause? Les prêches qui y sont tenus et la personnalité de son dirigeant, l'imam algérien El Hadi Doudi, arrivé en France en 1981 et qui "s'inscrit dans la mouvance islamiste radicale". Au point de devenir "une référence du salafisme", actif dans sa mosquée marseillaise et sur internet, selon l'arrêté.

Depuis la fin de l'état d'urgence en France, début novembre, deux mosquées, qui avaient déjà été frappées d’interdiction ont été fermées, et trois autres n'ont pas rouvert, selon des chiffres communiqués par le ministère de l'Intérieur.

"On a attendu longtemps cette décision", témoignait mardi le vice-président du Conseil représentatif du culte musulman (CRCM) en région Paca, Abderrahmane Ghoul. L'imam El Hadi Doudi est "le chef spirituel d'une tendance qui appelle à la haine et à la violence", martèle-t-il. "On l'a averti, on a essayé de le convaincre, mais malheureusement il n'écoute pas".

M. Doudi "est l'un des principaux référents de courant salafiste quiétiste" en France, a estimé sur Twitter le chercheur spécialiste de l'islam Romain Caillet. Ce courant fondamentaliste rejette la violence armée, contrairement au salafisme jihadiste qui la promeut.

A l'appui de sa décision, la préfecture relève des prêches qui légitiment "le djihad armé et la mise à mort des auteurs d'adultère et des apostats".

"Leçon"

Certains discours "appellent à la défaite et à la destruction des mécréants", "incitent à l’application de la loi du Talion à l’encontre de ceux qui combattent Dieu et son prophète et à l’égard desquels la sentence de Dieu est la mort ou la crucifixion" ou "présentent les Juifs comme des +impurs+, +les frères des singes et des porcs+ et incitent à prononcer la formule +Allah akbar+ dans les lieux publics pour +effrayer les mécréants+", poursuit-elle.

Plusieurs fidèles de la mosquée se sont réclamés ces dernières années d'Al Qaïda ou ont rejoint l'Irak et la Syrie, et des "messages de haine et de discrimination" qui y sont tenus sont relayés dans le quartier, le plus pauvre de France selon l'Insee, et dans ses établissements scolaires, souligne la préfecture.

Reçu début décembre, l'imam a reconnu "avoir produit des écrits qui ont pu inciter à la haine", indique-t-elle. Sollicité par l'AFP, M. Doudi n'était pas joignable mercredi.

A la sortie de la prière de la mi-journée, quelques dizaines de fidèles à la barbe fournie et habillés de qamis, les tuniques amples habituellement portées par les salafistes, exprimaient leur amertume.

"C'est de la diffamation! On est contre la violence, l'imam n'a jamais appelé au djihad ou à suivre Daesh", affirme Ahmed Tameur, un Français de 60 ans, responsable "de la discipline" à la mosquée et membre de l'association qui la gère.

"On ne fait pas de prosélytisme, et on n'a jamais appelé à la rébellion. (L'imam) Doudi est un rempart" contre les djiahdistes, assure de son côté Karim, 25 ans, catholique de naissance converti à 16 ans à l'islam et qui comme plusieurs fidèles se revendique du "salafisme quiétiste".

"On fait du mal à toute la communauté en fermant une mosquée où lors du prêche du vendredi il y a des gens qui viennent de toute la France", abonde Fayçal, un autre jeune fidèle.

Un rare point dont convient le représentant du CRCM, Abderrahmane Ghoul : la fermeture de l'une des cinq plus vastes mosquées de Marseille "peut servir de leçon" à d'autres, mais va encore aggraver la pénurie de lieux de prières pour les musulmans de la cité phocéenne.

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Le Préfet des Bouches-du-Rhône annonce la fermeture de la mosquée Sunna à Marseille

Deux mois après notre article listant les douze mosquées salafistes dirigées par des étrangers présentes à Marseille, le préfet des Bouches-du-Rhône prend la sage décision de fermer la mosquée phare du salafisme en PACA, AS-Sunna, dirigée par un islamiste algérien ancien du FIS, El Hali Doudi, scandaleusement accueilli en France il y a vingt-ans :

Le préfet Olivier de Mazières. précise : « En dépit d’une condamnation des attentats survenus en France », les prêches tenus au sein de cette mosquée et parfois diffusés sur internet « légitiment le djihad armé et la mise à mort des auteurs d’adultère et des apostats« .

Reste à savoir si l’Intérieur osera expulser El Hadi Doudi, né en Algérie, ancien du FIS, et son acolyte Adel.M, né en 1975 en Algérie, fiché comme « appartenant à la mouvance djihadiste ». Car si on les laisse diffuser leur salafisme chez nous, rien ne sert de fermer leur mosquée.

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Saccage de locaux d’aide aux migrants : un identitaire condamné à Montpellier

Un militant identitaire âgé de 42 ans a été condamné mardi à un mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Montpellier.

Un militant identitaire a été condamné ce mardi à un mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Montpellier pour le saccage d’une association d’aide aux jeunes migrants, faits pour lesquels son père, dirigeant du groupuscule La Ligue du Midi, a été relaxé.

 

Olivier Roudier, 42 ans, a également été condamné à verser à l’association 1 500 euros pour le préjudice matériel et 500 euros pour le préjudice moral.

 

Le 5 décembre, le procureur de la République avait requis de la prison avec sursis contre son père Richard, le président de la Ligue du Midi âgé de 71 ans, et deux mois de prison ferme à l’encontre d’Olivier Roudier, déjà plusieurs fois condamné.

Une violente incursion et un saccage des locaux

 

Les prévenus, absents à l’annonce du jugement mardi, étaient poursuivis pour « dégradation de biens publics en réunion » dans le cadre de l’enquête sur une violente incursion menée le 30 juin 2017 dans les locaux de l’association Réseau accueil insertion Hérault (Raih), qui prend en charge des mineurs étrangers isolés à Montpellier.

 

Sur la vidéo postée par des militants du groupuscule d’extrême droite anti-immigration, Richard Roudier est visible, juché sur une table et dénonçant les subventions publiques accordées à des structures aidant les migrants, tandis que des militants, dont son fils, brisent de la vaisselle et jettent classeurs et dossiers au sol.

 

Le 5 décembre, Olivier Roudier, avait affirmé à la barre avoir voulu ainsi « rendre le désordre que cette association installe dans la ville ». Son père s’était présenté comme un « lanceur d’alerte ». Plutôt « un lanceur de haine », lui avait rétorqué Sébastien Etcheverrigarray, l’avocat de l’association visée.

 

L’audience s’était déroulée sous haute surveillance policière. Des dizaines de manifestants antifascistes s’étaient massés devant le tribunal pour dénoncer l’action de la Ligue du Midi à l’appel de plusieurs associations de défense des droits de l’Homme, qui ont déploré que le caractère « raciste » de l’attaque des locaux de l’association n’ait pas été retenu.

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