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jeudi, 21 décembre 2017

5 ans de prison pour un immigré marocain qui a agressé six jeunes filles dont la plus jeune avait 11 ans à peine

Sabir El Mansour est un immigré marocain de 25 ans, arrivé en France en 2014. Il vient d’être condamné à cinq ans de prison ferme par le tribunal correctionnel d’Avignon.

L’individu est reconnu coupable de l’agression de six jeunes filles. La plus jeune de ses victimes avait onze ans au moment des faits. Sabir El Mansour plaçait sous la gorge de ses très jeunes victimes un couteau de cuisine et dérobait leur téléphone portable et leur argent liquide. Il était également accusé d’avoir commis une agression sexuelle sur l’une de ses victimes

Les faits se déroulaient quartier des Sources à Avignon.

Les avocats des parties civiles ont souligné le traumatisme qui affecte encore les victimes.

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Deux reporters danois poignardés au Gabon au cri de Allah Akbar

Gabon – Samedi, à Libreville, deux journalistes danois, en reportage au Gabon pour la chaîne National Geographic, ont été poignardés par un Nigérien au cri de Allah Akbar.

L’individu  a été interpellé sur le champ. Âgé de 53 ans, il résidait au Gabon depuis 19 ans. Selon Etienne Massard, ministre de la Défense, qui s’est exprimé à la télévision, l’assaillant, « dans ses premières déclarations, a dit avoir agi en représailles aux attaques des États-Unis contre les musulmans et à la reconnaissance américaine de Jérusalem comme capitale de l’État d’Israël ».

 L’agresseur a été identifié sous le nom d’Arouna Adamou. Le ministre de la Défense a indiqué qu’« une enquête judiciaire a été immédiatement ouverte sous la direction du parquet de Libreville » pour savoir si cette attaque « relève d’un acte isolé ou concerté

Les deux victimes ont été hospitalisées dans une clinique de Libreville et l’une d’elles est dans un état grave et en soins intensifs, a précisé le porte-parole du gouvernement et ministre de la Communication, Alain-Claude Bilie-By-Nze.

Il s’agit de la première attaque de ce genre au Gabon.

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Attentat raté dans la gare de Veddel (Hambourg)

La presse allemande signale une petite explosion à la gare de Veddel (Hambourg). Un individu avait déposé dans un abri pour usagers, sur le quai de la gare, un sac en plastique contenant un petit engin pyrotechnique. L’engin a explosé dimanche soir sans faire de victime ni même de gros dégâts, faisant simplement éclater une vitre de l’aubette qui doit protéger les usagers du vent. Mais l’incident a causé l’arrêt des trains pendants quelques heures.

 Les enquêteurs sont toujours à la recherche du coupable.

Si l’explosion n’a pas atteint son objectif, elle visait bien à faire des victimes. La police a en effet découvert sur le quai des clous projetés par l’explosion de l’engin.

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« Épidémie » d’enlèvements et de mariages forcés pour les chrétiennes d’Égypte, selon Release International

En Égypte, des jeunes filles chrétiennes sont prises pour cibles, enlevées, mariées et converties de force. C’est ce que révèle Release International qui soutient les chrétiens persécutés à travers le monde.

Des centaines de filles chrétiennes coptes d’Égypte ont été kidnappées, forcées à se convertir et à épouser leurs ravisseurs. Des sources égyptiennes affirment que 40% des filles ont dans un premier temps été violées, certaines ont été abusées lors de viols en réunion. Beaucoup de ces enlèvements ont lieu en Haute-Égypte, une zone rurale pauvre, à des kilomètres du Caire, où les attitudes sont extrêmement conservatrices et où la persécution des chrétiens est la plus sévère. Pour protéger ceux qui travaillent en Egypte, les humanitaires chrétiens ont dû changer de nom. Kate Ward travaille avec Release. Elle affirme que leurs partenaires égyptiens sont en contact direct avec 2 500 familles qui font quotidiennement face au problème des enlèvements.

Suite, source et document

Immigration: le monde compte 258 millions de migrants, soit 3,4% de la population mondiale

Selon une estimation des Nations Unies, le nombre de migrants dans le monde s'élève à 258 millions. Avec près de 50 millions de personnes, les États-Unis sont le pays qui accueille le plus de migrants.

Le nombre de migrants dans le monde est estimé à 258 millions, ont annoncé les Nations Unies lundi lors de la journée internationale des migrants. Ce chiffre a augmenté de moitié depuis le début du XXIe siècle.

Les migrants - les personnes résidant dans un autre pays que celui de naissance - représentent ainsi 3,4% de la population mondiale, souligne l'ONU dans un rapport sur les développements et tendances migratoires. Sur ce total, une personne sur dix est un réfugié ou un demandeur d'asile, précise-t-elle.

 "Des données fiables et des preuves sont cruciales pour combattre les idées fausses sur la migration et pour éclairer les politiques migratoires", dit Liu Zhenmin, sous-secrétaire général à l'économie et aux affaires sociales de l'ONU. Les droits des migrants et le recours à des politiques migratoires adaptées sont évoqués dans les Objectifs de développement durable (ODD) adoptés à l'unanimité par les Nations unies en 2015.
 

L'immigration, un débat explosif Crise des migrants - Majorité

«Il y a 95 000 demandes d'asile par an, c'est-à-dire une grande ville chaque année» Invité sur RTL, Gérard Collomb a tenté, hier, d'endiguer la polémique qui enfle, mais sans grand succès.

Alors qu'une réforme de la politique migratoire est actuellement préparée par le gouvernement, le ministre de l'Intérieur s'est montré ferme. Dans une circulaire, Gérard Collomb a demandé l'accélération des expulsions et l'examen des situations des migrants accueillis en centre d'hébergement d'urgence. «Aujourd'hui, nous ne savons qui se trouvent dans ces centres. On pense qu'il y a à peu près un tiers des personnes qui sont des réfugiés, un tiers qui sont des déboutés et un autre tiers dont il faut évaluer la situation», a-t-il détaillé évoquant environ 103 000 personnes. Une annonce qui fait bondir les associations. Plusieurs grands acteurs de l'hébergement d'urgence ont annoncé leur intention de saisir le Défenseur des droits sur ce recensement, craignant une «atteinte aux droits» des personnes étrangères.

Un projet de loi en préparation

Dans son projet de loi le gouvernement prévoit, de plus, la réduction du délai moyen de traitement des demandes à six mois alors qu'actuellement, celui-ci est fixé à quatorze mois. Il serait aussi question d'allonger la durée maximale de rétention pour les étrangers en situation d'expulsion qui pourrait passer de 45 à 90 jours.

Le débat qui s'ouvre n'est pas sans risque pour la majorité. Il a divisé toutes les précédentes : des lois Debré sous Jacques Chirac à la question de la juste répartition de l'accueil des réfugiés en Europe sous François Hollande en passant par la polémique Léonarda… Au sein de la République En Marche on entendait déjà, hier, certaines paroles discordantes, s'offusquant du manque d'humanité du gouvernement alors que chez les LR d'autres attendaient avec impatience de pouvoir attaquer Emmanuel Macron sur son aile droite. Entre humanisme et principe de réalité, le débat sur l'immigration et le droit d'asile a toujours été un marqueur politique fort qui s'affranchit difficilement des clivages. Le Chef de l'Etat aborde donc là, peut-être, sa première véritable épreuve.

Source et Video

journée internationale des migrants

 

Lien direct car document lourd

mercredi, 20 décembre 2017

Le rappeur « Fianso » tourne un nouveau clip sauvage

rappeur

Paris Vox – Cela devient véritablement la marque de fabrique du rappeur de Seine-Saint-Denis, « Fianso » ( Sofiane Zermani )  a une nouvelle fois fortement perturbé la circulation sur plusieurs voies publiques en tournant un clip sans autorisation.


Suite à ce tournage sauvage, une enquête préliminaire a été ouverte et le rappeur de 34 ans, a été interpellé dans un quartier de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) et placé en garde à vue pendant 24 heures au commissariat de la ville.  Un autre homme participant au clip a également été interpellé car porteur d’une arme de poing.

« Fianso » a ensuite été laissé libre, sans poursuite à ce stade, dans l’attente de compléments d’information.

Ces tournages sauvages sont le moyen privilégié choisi par le rappeur pour se faire de la publicité,à quelques semaines de la sortie de son nouvel album.

En avril dernier, il avait déjà bloqué pendant plusieurs minutes l’autoroute A3 pour tourner un autre clip. Il sera jugé pour ces faits, ainsi que pour un autre tournage sauvage à Aulnay-sous-bois, le 22 janvier 2017.

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Clandestins : La Chapelle toujours sous tension

En juillet dernier, Emmanuel Macron avait promis que d’ici à la fin de l’année, il n’y aurait plus personne dans la rue. Cinq mois plus tard pourtant, rien n’a changé, notamment à Paris. Près de la porte de La Chapelle, des centaines de clandestins dorment chaque jour dehors. À l’occasion de la journée internationale des migrants ce lundi, un rassemblement avait lieu devant les locaux de France Terre d’Asile

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L’État islamique revendique l’attaque contre une église au Pakistan

 

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Et si le tueur de Magnanville n’avait pas agi seul ?

Paris Vox – Larossi Abballa a-t-il agi seul dans le cadre du double meurtre d’origine terroriste de Magnanville ? De nouveaux éléments laissent penser qu’il aurait été aidé par un complice.


Un double meurtre réalisé au couteau

La sanglante attaque de Magnanville en juin 2016 reste dans les mémoires collectives (https://www.parisvox.info/2016/06/14/hollande-reconnait-caractere-terroriste-meurtre-de-magnanville/). Ce double meurtre d’inspiration islamiste a été commis par un jeune terroriste de 25 ans, Larossi Abballa. Ce dernier avait été abattu lors de l’intervention de la police qui avait trouvé dans la maison le jeune enfant de 3 ans, seul survivant de cette effroyable attaque.

Cette affaire a laissé de nombreuses marques chez les fonctionnaires de police devenus cibles des terroristes jusque dans leur propre maison.

Larossi Abballa vraiment seul ?

Si jusqu’ici tout semblait indiquer que Larossi Abballa avait agi seul, contre toute attente, il pourrai,t en fai,t avoir bénéficié d’une complicité dans cette attaque.

En effet, selon nos confrères du Parisien, l’enquête est relancée depuis quelques jours. Des extraits ADN d’un autre homme ont été retrouvés sur l’ordinateur des victimes. L’ADN a été identifié et son origine remonte à un homme proche de Larossi Abballa. Il se nomme Mohamed Lamine A., selon le journal francilien.

Cet homme serait en outre lié à d’autres affaires terroristes telle que l’affaire des bonbonnes de gaz près de Notre-Dame de Paris ou encore l’assassinat par égorgement du père Hamel à Saint-Étienne du Rouvray.

Mohamed Lamine A. est actuellement en garde à vue depuis lundi 11 décembre. Les enquêteurs tentent de comprendre comment son ADN a pu se retrouver sur l’ordinateur des victimes. Notons qu’il avait déjà été interrogé dans cette affaire au même titre que son frère. Son frère avait par ailleurs été mis en examen dans cette affaire.

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Hollande et Abdel Hadi Doudi : islamo-gauchisme

 

 

 

YQuelques jours après les attentats de novembre 2015, 14 prédicateurs salafistes de mosquées de France écrivirent une lettre à François Hollande pour "redire [qu’ils n’ont] aucun lien avec Daech, al Qaida, Boko Haram", et condamnent fermement les attentats tout en exprimant leur solidarité avec les victimes. L’un de ces prêcheurs, l’imam Abdel Hadi Doudi, affirme alors avoir reçu un message personnel de remerciements du président de la République.
 
Cet imam est aujourd’hui mis en cause pour ses positions radicales, qui ont menées à la fermeture provisoire de sa mosquée, à Marseille. La préfecture de police a pointé du doigt la gestion de l’imam Hadi Doudi, "référence du salafisme" et membre de "la mouvance islamiste radicale". Selon le préfet, l’imam "légitime le djihad et la mise à mort des auteurs d’adultère et des apostats".
 

L'Etat islamique avait récupéré du matériel de guerre livré aux groupes rebelles anti-Assad

 

Selon un rapport qui a nécessité 3 ans d’enquête de terrain entre Kobané, en Syrie, et Bagdad, en Irak... alors que les spécialistes avaient en vain mis en garde l'Occident sur l'aide apportée aux rebelles :

C1-n6HQWQAAZPha.jpg-large"40 000 pièces récupérées sur les lignes de front et soigneusement analysées, des dizaines de contrats d’achat et d’exportation passés au crible : le rapport sur les armes de l’organisation Etat islamique (EI), publié jeudi 14 décembre par l’ONG Conflict Armament Research (CAR), est l’étude la plus complète produite à ce jour sur ce sujet aussi explosif que complexe.

Il fait la lumière sur les filières d’approvisionnement souvent tortueuses mises en place par l’organisation djihadiste, via la Turquie en particulier, pour constituer et entretenir son arsenal. Il démontre qu’au-delà des saisies réalisées dans les stocks des armées syrienne et irakienne, l’EI est parvenu à récupérer beaucoup d’armes fournies aux groupes rebelles syriens par leurs parrains étrangers, notamment les Etats-Unis et l’Arabie saoudite. Il révèle enfin que ces livraisons ont été effectuées quasi systématiquement en violation des accords conclus avec les pays où ces armes ont été produites – principalement des Etats d’Europe de l’Est – qui incluaient une clause de non-réexportation.

[...] l’EI a su détourner à son profit une partie du flot d’armes introduit en Syrie par les soutiens de la rébellion syrienne. Grâce aux numéros de série relevés sur les pièces auxquelles ils ont eu accès, les experts de CAR sont parvenus à retracer une partie du circuit suivi par ces armes : de leur fabrication, dans une usine de Bulgarie ou de Roumanie par exemple, à leur exportation vers les Etats-Unis ou l’Arabie Saoudite, puis leur livraison à des formations rebelles syriennes, et leur réapparition, pour des raisons inexpliquées, du côté de l’EI.

Dans un cas précis – un lanceur de roquettes anti-tanks de type 9M111MB-1 ATGW – le rapport affirme que seulement deux mois se sont écoulés entre son achat en Bulgarie par les Etats-Unis, en décembre 2015, et sa saisie dans un stock de l’EI, à Ramadi en Irak, en février 2016. Le rapport signale, photo à l’appui, qu’une batterie anti-char portative du même genre, portant un numéro de lot similaire et un numéro de série proche, a été utilisée en décembre 2016 par une unité rebelle syrienne, Jaysh Al-Nasr. Une même remarque est faite concernant une autre formation anti-Assad, The New Syrian Army. [...]"

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La crèche non, mais dîner avec les islamistes de l'UOIF, oui

Au Conseil régional de Bourgogne, Julien Odoul (élu FN) dénonce l'attitude de la présidente Marie-Guite Dufay (PS) qui refuse les crèches de Noël au Conseil régional mais dîne publiquement avec les islamistes de l’UOIF.

 

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Soutenir Alain Finkielkraut, c’est soutenir la liberté d’expression !

La polémique récente autour des propos tenus par l’académicien Alain Finkielkraut en marge des obsèques de Johnny Hallyday pourrait, somme toute, être considérée comme une tempête dans un verre d’eau (une de plus) dont les médias sont friands. La chose est pourtant bien plus grave.

En effet, à l’initiative d’un militant de gauche, par ailleurs proche de Mediapart, en la personne de David Nakache, une pétition en ligne a été lancée le 11/12/2017, demandant ni plus ni moins le renvoi d’Alain Finkielkraut de l’Académie française.

Relayée par des sites communautaires, dont l’inénarrable Oumma.com, cette pétition a rapidement engrangé plusieurs milliers de signatures, s’appuyant sur un argument de poids : le philosophe aurait tenu des propos allant « à l’encontre du vivre ensemble et de la cohésion sociale » (sic).

Bien entendu, nul ne peut objectivement douter du fait que la demande des pétitionnaires n’a aucune chance d’aboutir. Cela n’enlève rien à leur intention : celle de nuire à ceux qui ont l’outrecuidance de ne pas penser comme eux et, pire encore, de l’exprimer !

D’aucuns se souviennent sans doute de la démarche de Dominique Sopo, président de SOS Racisme, lorsqu’il a écrit une lettre (ouverte) à la présidence du Conseil supérieur de l’audiovisuel afin de demander que le journaliste Éric Zemmour soit interdit d’antenne. La logique est strictement la même : à la volonté de museler la parole de ceux qui expriment des idées qui dérangent s’ajoute celle de les atteindre dans leur vie sociale et professionnelle.

 Dans ce contexte, exit tout débat d’idée, toute confrontation d’arguments permettant d’extraire une opinion forgée librement. Il y a tout simplement ceux qui « pensent mal », contre lesquels tous les coups sont permis, et ceux qui se croient dans « le camp du bien ». La charia avant l’heure, en quelque sorte… Cela n’est pas acceptable.

C’est pourquoi j’ai pris l’initiative de lancer, sur le même site, une pétition demandant l’exact contraire, en l’occurence qu’Alain Finkielkraut soit maintenu à l’Académie française, non pas que cela puisse influer sur son statut d’immortel (soyons réalistes), mais pour que nous puissions exprimer notre attachement à la liberté d’expression, et notre opposition la plus ferme à ces méthodes dignes des régimes totalitaires qui se banalisent dangereusement.

Soyons nombreux à réagir !

Sébastien Jallamion

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Le Conseil national du numérique, une nouvelle tribune antiraciste ?

Selon l’article 1 du décret n° 2017-1677 du 8 décembre 2017, « le Conseil national du numérique est chargé d’étudier les questions relatives au numérique, en particulier les enjeux et les perspectives de la transition numérique de la société, de l’économie, des organisations, de l’action publique et des territoires. Il est placé auprès du ministre chargé du numérique. »

On est donc en droit d’attendre de cette institution une certaine sérénité pour appréhender les questions relevant de sa compétence. Dans cette perspective, le secrétaire d’État au Numérique, Mounir Mahjoubi, a demandé à « Marie Ekeland, présidente du CNNum, de revoir sa copie, quelques jours à peine après avoir dévoilé son équipe. Le gouvernement réclame le remplacement de la militante antiraciste Rokhaya Diallo, qui dénonce régulièrement ce qu’elle qualifie de “racisme d’État” et avait appelé fin novembre le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer à porter plainte contre elle pour l’usage de cette expression » (Le Figaro).

En plus de ce qui lui est reproché par le secrétaire d’État, rappelons que Rokhaya Diallo vante aussi les mérites du rigorisme vestimentaire imposé aux femmes par l’islam radical ; défend l’initiative d’un camp d’été décolonial, réservé aux personnes non blanches ; nie évidemment le racisme anti-blanc et, enfin, se trouve être une proche des Indigènes de la République, où sévit Houria Bouteldja, dont Pascal Bruckner a fort justement confié à Robert Redeker qu’elle glisse « d’une protestation anticoloniale classique à un discours raciste et prosélyte au point de devenir un Ku Klux Klan islamiste » (L’Express). Cela fait beaucoup pour une seule personne, et son éviction coule de source, à mon humble avis.

De plus, Rokhaya Diallo ne saurait être rémunérée pour une mission au service de la France et, dans le même temps, l’invectiver sans cesse. Comme on dit, on ne peut vouloir le beurre et l’argent du beurre ! Ce que l’intéressée ne semble pas comprendre, qui déclare sur Twitter : « Donc je n’ai pas le droit de collaborer avec les institutions de mon propre pays parce que j’ose dire publiquement qu’elles sont imparfaites ? Quelle étrange conception de la démocratie. »

 Je ne crois cependant pas que la dénonciation des institutions, effectivement imparfaites, soit en cause dans cette affaire, mais plutôt la véhémence de Rokhaya Diallo. Au fait, caractériser un individu par sa couleur de peau – blanche, en l’occurrence –, est-ce vraiment démocratique, Madame ?

Reste maintenant le rappeur Axiom – dont la place n’est pas menacée pour l’instant – qui, outre sa discutable légitimé, pose problème parmi ce Conseil. Car il s’agit là d’un autre militant antiraciste, armé des poncifs afférents – voir les paroles de son ironique chanson « Des youyous dans ma mairie » – qui pourraient infléchir les décisions prises par le Conseil du numérique. À moins qu’il ne s’agisse là d’une autre officine idéologique bien-pensante ; auquel cas, il a toute sa place !

Charles Demassieux

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mardi, 19 décembre 2017

Europe : Ses églises « converties » en mosquée

 

Sur le Vieux continent, les églises se vident et les mosquées se remplissent… se remplissent tellement que les églises désaffectées deviennent, non seulement restaurants, hôtels, appartements, mais aussi mosquées !

Il y avait une fois une Europe des cathédrales, des clochers et des petites chapelles romanes… Il y avait ! Parce qu’aujourd’hui bien trop de clochers ne sonnent plus l’Angelus. Et rares ne sont pas les cas où ils se retrouvent transformés en minarets… L’Europe vend ses églises aux envahisseurs mahométans : là où se trouvait l’autel il y a maintenant des tapis, les bancs et les agenouilloirs ont disparu pour laisser place à des tables, et l’arabe retentit sous les nefs où pendant des siècles les fidèles ont prié en latin, la langue sacrée de la Chrétienté. Pendus au murs, ce ne sont plus des tableaux des saints et de la Vierge mais des horloges qui donnent l’heure et la position de La Mecque.

Une enquête réalisée par le quotidien italien La Stampa raconte ce changement d’identité, ce grand remplacement, qui parcourt l’Europe de la Sicile à la Scandinavie. Dans le nord de la Hollande, ces dernières années, presque un tiers des églises a changé de destination, et certaines sont devenues des mosquées. Même chose en Allemagne, en France, en Suède, en Belgique et au Royaume-Uni. Dans la nouvelle Angleterre, multi-ethnique, multi-culturelle et multi-confessionnelle, ce sont des dizaines d’édifices chrétiens qui ont été achetés à des prix avantageux par les représentants de la communauté islamique de Manchester, Bradford ou Londres. En Allemagne depuis les années 2000, pour 500 églises qui ferment leurs portes, ont été inaugurées plus de 100 mosquées, grâce aux donations provenant surtout de Turquie. A Duisburg, dans la région du Nord Rhin-Westphalie où se concentre la plus importante communauté salafiste allemande, la mosquée de la ville a pris la place d’une église. Même chose à Hambourg où une église abandonnée est devenue le centre islamique Al Nouar.

La plus grande mosquée de Scandinavie a été inaugurée, le printemps dernier à Malmö, en Suède, par la Wafk, fondation islamique sunnite suédoise, proche des Frères musulmans. Elle a été financée avec 3 millions d’euros provenant du Qatar.

En France aussi, les églises deviennent lieux de culte musulman. En chaire, à la place du curé, prêche l’imam en chair et os, turban et djellaba… Le cas le plus fameux est celui de l’ancienne église de Saint-Jean de-la-Rive-de-Graulhet qui en 1981 a été reconvertie en la mosquée Nour El-Mouhammadi. A Marseille, où les musulmans représentent, écrit le journal La Stampa, 40 % de la population, la synagogue à côté du Vieux Port a été vendue et transformée en un centre islamique. Et selon l’enquête du quotidien italien, reprise par Vatican Insider, l’association marseillaise islamique Al Badr a des vues sur d’autres édifices religieux du sud de la France : « Je ne serai pas étonné, déclare Omar, jeune algérien, soutien de al Badr, que d’ici quatre ou cinq ans, les églises et les synagogues converties en mosquée deviennent cinq à dix sur la côte d’Azur. Mais ce n’est pas une guerre de position, que cela soit clair, c’est simplement le monde qui change. »

En Italie, pour l’instant, seules deux églises ont été transformées en mosquées. Toutes deux dans la Sicile d’où les Normands chassèrent les arabes musulmans, au XIe siècle. Depuis les années 90, dans l’église de San Paolino des Jardiniers, à la place du Credo on récite la Shahādah. Ce fut la première église d’Italie à avoir été désacralisée et attribuée comme lieu de culte pour la communauté musulmane. L’autel baroque ad orientem a été enlevé pour laisser place aux tapis des fidèles tunisiens qui s’agenouillent dans la même direction mais pour prier vers la Kaaba.

Dans la capitale de la Chrétienté, les centres culturels islamiques se multiplient à vue d’œil. Dans les quartiers périphériques romains, comme celui multi-ethnique de Tor Pignattara, dans un rayon d’une centaine de mètres on compte des dizaines de mosquées dans des garages, des caves, des magasins. Les lieux de culte musulmans semblent être très bien intégrés dans le tissu social urbain. Parfois même, et c’est le cas de celui de Via Moncenigo, dans le quartier des Prati, ils se trouvent à deux pas de la Basilique Saint-Pierre…

Et il y en a qui osent parler de Grand Remplacement…

Francesca de Villasmundo

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Censure : Leetchi ferme la cagnotte des identitaires de Poitiers… et fermait les yeux sur les cagnottes islamistes !

 

Le site participatif de don en ligne Leetchi, qui a récemment fermé la cagnotte de cinq militants identitaires condamnés pour avoir déroulé une simple banderolle sur le chantier de la mosquée de Poitiers, a été épinglé en retour par des internautes engagés : plusieurs de ses cagnottes serviraient des causes islamistes.

Leetchi avait récemment fermé la cagnotte des militants identitaires qui avaient été condamnés à 5 ans de sursis le 7 décembre pour avoir occupé le toit d’une mosquée en construction à Poitiers en 2012. La cagnotte devait rembourser les frais d’avocat du dossier, ce qui est légal, mais Leetchi, après avoir défendu la démarche, a fini par se rétracter : dans un mail envoyé à Damien Rieu, l’un des cinq condamnés, l’équipe du site explique qu’elle n’a « pas pu collecter assez d’informations concernant la provenance des fonds » et qu’elle est dans l’obligation de bloquer la collecte.

En réponse, les militants identitaires ainsi que le site Fdesouche ont relevé plusieurs cagnottes douteuses, très vraisemblablement affiliées aux salafistes, que Leetchi avait visiblement contrôlé avec bien moins de zèle que la leur.

Leetchi avait donc laissé passer, par exemple, un appel aux dons qui a récolté plus de 11 000 euros pour la mosquée « Masjid Sounnah » du boulevard National, à Marseille. Mosquée dont la préfecture de police de la ville a ordonné la fermeture lundi pour six mois. Son imam est présenté par le préfet comme « une référence du salafisme » qui s’inscrit « dans la mouvance islamiste radicale »

D’autres cagnottes du même ordre ont été épinglées, comme celle qui totalise plus de 8000 euros, collectés auprès de 190 participants pour rembourser les dettes de la mosquée Abou Bakr Essedik, à Roubaix. La Voix du Nord indiquait en 2015 que cette mosquée a accueilli trois fois un cheikh saoudien interdit d’accès en France en tant « qu’individu susceptible de troubler l’ordre public en raison de ses prêches islamistes radicaux ».

Une autre demande d’argent vient en aide à une « famille muhajirun » (entendez : qui a quitté son pays), recommandée par plusieurs prêcheurs : l’un d’eux, Youssef Abou Anas, est cité comme un prédicateur « au discours extrémistes » par Libération, tandis qu’un autre, Abou Luqman, a été gouverneur de la ville de Raqqa, en Syrie, sous l’égide de l’État Islamique. etc ....

(Source : Valeurs Actuelles)

Curieux paradoxe que de vouloir vivre dans un pays qui les a tant oppressés …

 

Lu dans Minute :

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François Billot de Lochner : Non à la république islamique de France

 

Le document video

Relocalisation des immigrants illégaux : les pays du groupe de Visegrád ne reculeront pas

Jeudi dernier, la Commission européenne a porté devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) l’affaire de la relocalisation des demandeurs d’asile arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Le plan adopté par le Conseil de l’Union européenne en septembre 2015 prévoyait que 120.000 immigrants illégaux, en plus des 40.000 qui avaient déjà été convenus, seraient « relocalisés » dans un autre pays de l’Union européenne selon un système de quotas obligatoires.

Aucun pays ne s’est dégagé de ses obligations, mais trois revendiquent officiellement leur refus de prendre ne serait-ce qu’un seul immigrant illégal : la Pologne, la Tchéquie et la Hongrie, au nom de leur souveraineté nationale. Ils expliquent que le système de relocalisation a fait la preuve de son inefficacité, ce qui ne semble pas perturber les eurocrates.

La veille de la procédure engagée par la Commission, le gouvernement portugais, bon élève du système de relocalisation, confirmait que sur 1.500 « réfugiés » accueillis, plus de 820 s’étaient déjà enfuis et l’on ne sait rien de leur lieu de séjour.

Dès jeudi, le Fidesz hongrois parlait d’une attaque de Bruxelles « à l’arme automatique » du fait que, le même jour, la Commission européenne avait également engagé une procédure devant la Cour de justice de l’Union européenne dans deux autres dossiers concernant la Hongrie au sujet des établissements supérieurs et des ONG. Dans un communiqué, le Fidesz accusait Bruxelles d’être sous l’influence de George Soros, ce qui n’est pas faux puisque le milliardaire américain était venu au printemps discuter de ces lois hongroises directement avec les dirigeants de la Commission européenne.

 Viktor Orbán affirme, par ailleurs, que Bruxelles s’en prend à la Hongrie à cause de son opposition au « plan Soros » (Dans un document publié en septembre 2015, George Soros: Here’s my plan to solve the asylum chaos, M. Soros explique que l’Union européenne doit accueillir au moins un million de demandeurs d’asile par an, et ce chiffre a été repris plus tard par Dimítris Avramópoulos, le commissaire européen grec chargé des questions d’immigration pour plaider pour une plus grande ouverture de l’Union européenne.)

En Tchéquie, le nouveau Premier ministre Andrej Babiš a remporté les élections en promettant de refuser les quotas de demandeurs d’asile de la Commission, et il pourra difficilement se dédire. Comme ses partenaires du groupe de Visegrád, il propose l’aide de son pays pour garder les frontières de l’Union européenne, mais pas pour faire venir des immigrants illégaux.

En Pologne, le ministre de l’Intérieur Mariusz Błaszczak a mis en avant l’impératif de sécurité face à la menace terroriste qui accompagnerait immanquablement la venue d’une partie des immigrants musulmans arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Il a aussi fustigé les zones de non-droit dans les pays de l’ouest du continent, dont il a rappelé qu’elles étaient le produit de l’immigration et une base arrière du terrorisme islamique. Il a nommément cité la France comme l’exemple de ce qu’il ne fallait pas faire en matière d’immigration. Dans sa première interview télévisée jeudi soir, le nouveau Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a confirmé son refus du système de relocalisation.
Les graves agressions antisémites qui ont eu lieu en Europe ces derniers jours et la toute nouvelle tentative d’attentat par un immigré musulman à New York (arrivé dans le cadre du regroupement familial) donnent encore une fois raison à ces pays et ils ne céderont pas.

Olivier Bault

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Antiracisme : la chasse au Michel Leeb est ouverte

À chaque jour sa dinguerie. En trois huit, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept. Les antiracistes jamais ne se reposent. Quelle énergie. Dernier trophée en date de ce safari permanent : Michel Leeb et ses fameux sketches sur les Africains. À la manœuvre, une certaine Eva Doumbia, cofondatrice du collectif Décoloniser les arts. Lequel appelle, ce jeudi 14 décembre, à un sit-in devant le Casino de Paris, là où l’humoriste donnera son prochain spectacle. S’asseoir pour mieux montrer qu’on se tient debout, en quelque sorte.

Eva Doumbia :

« Pour moi, c’est un grand retour en arrière, ce retour de Michel Leeb. C’est le retour d’une espèce de France raciste, où on peut se permettre de dire n’importe quoi, où on peut se permettre de ne pas prendre en compte 30 % de la population qui n’est pas blanche en France et qui est complètement niée et moquée. »

​‌”

Ah bon ?

Car ce qui est grave aujourd’hui l’est encore plus qu’hier, à l’en croire :

« Si, dans les années 1980, on subissait cette chose-là parce que nos parents étaient dans un grand souci d’intégration, donc en fait, il ne fallait pas faire de vagues. Les parents que nous sommes devenus, ayant ce souvenir-là, on n’a absolument pas envie que nos enfants subissent cette chose-là. Comme on ne peut plus mettre des Noirs en cage, on ne peut plus se moquer des Noirs et les comparer à des singes. Cela n’est plus possible, cela n’est pas drôle. »

​‌”

Vraiment ?

 

Si l’on résume, pour ne heurter personne, la seule poilade citoyenne consistera bientôt à ne railler que les blondes et les Belges, en attendant que ces derniers ne s’organisent à leur tour en collectif. Mais, petit détail, Michel Leeb incarnerait une « espèce de France raciste », parce que Blanc se moquant des Noirs. Et seuls les Noirs auraient donc le droit de se moquer des Noirs. Mais alors, quid d’un Dieudonné, fils d’un père noir et d’une mère blanche, qui brocarde indifféremment les Blancs et les Noirs ? Dans quelle case le ranger ? Celle de l’oncle Tom ? Non, on plaisante, évidemment.

Et quand Patrick Timsit, humoriste juif, se paye la tête des Juifs, faut-il le traîner en justice pour antisémitisme ? On pourra, bien sûr, doubler la mise avec Gad Elmaleh, autre humoriste juif et marocain, qui en sort souvent de belles sur les Marocains et les Juifs, pour judéophobie et arabophobie aggravées. On allait oublier Michou et ses plaisanteries de garçon de bain. Michou est un peu homosexuel, dit-on, mais n’hésite pas à faire rire des homosexuels. Homophobie ? Et quid des poursuites à engager si la cible de ses flèches, non contente d’être de la jaquette, se révélait être un Juif noir, genre Falasha, vivant en couple avec un Marocain ?

Il est probable qu’Eva Doumbia n’aille pas chercher aussi loin, car pour elle l’affaire est simple et déjà entendue de longue date : la seule victime qui vaille ne saurait être autre que noire. Soit un assez bel exemple de racisme inversé, puisque cantonnant ses frères et sœurs de peau en un éternel état d’infériorité.

Comme quoi tout n’est pas tout blanc bleu dans cette histoire, comme dirait le Schtroumpf noir.

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ACP du PNF : Non à l’invasion à Villars les Dombes !

Des militants de Savoie, de Haute Savoie, de Bourgogne et de l’Ain du Parti Nationaliste Français se sont réunis afin de dire non à l’accueil des envahisseurs (que les médiats menteurs et politiciens complices baptisent pudiquement « migrants ») à Villars les Dombes !

Pour la France aux Français !

Avec nous avant qu’il ne soit trop tard !

 

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Quelques mesures simples pour renforcer la sécurité des offices de nos paroisses

 Par ces temps troublés, où les éléments résiduels de l'État islamique défait en Syrie comme en Irak, vont porter ailleurs qu'au Levant le fer sanglant du Djihad, Stratediplo nous propose quelques mesures simples pour renforcer la sécurité des offices de nos paroisses. Comme il le conclut lui-même, "Cette fiche pratique pourrait utilement être discutée dans chaque conseil paroissial. Les compléments constructifs sont bienvenus en réponse à cet article. Pour mémoire, il est interdit de porter une arme blanche mais pas d'en posséder, il est loisible à un gendarme ou un policier d'aller à la messe en tenue, et rien n'empêche les chasseurs de tenir un rendez-vous cynégétique au café en face de l'église."

Les profanations d'églises se multiplient, les attaques de foules aussi et il y aura d'autres sacrifices de prêtres. Cependant le gouvernement, qui continue de protéger les synagogues et sécurise maintenant les manifestations religieuses mahométanes illégales dans la rue, laissera les églises sans défense jusqu'au jour où il interdira la célébration des offices de Noël, au prétexte de quelques attaques de marchés de parvis. Dans ce contexte la fiche sur la sécurité des rassemblements ecclésiaux, rédigée par Stratediplo il y a deux ans pour diffusion discrète par réseaux interparoissiaux mais malencontreusement objet d'une publication sensationnaliste sur internet, reste d'actualité. Tous les curés n'étant pas Dom Camillo, c'est une responsabilité collective des laïcs. Cette fiche se base sur le quadruple constat d'une montée de la violence commandée, de son inflexion de la terrorisation aléatoire des foules vers l'intimidation ciblée de communautés, de la défaillance de l'État à protéger les populations, et du caractère durable de cette situation. Son objet immédiat est la sécurisation des célébrations de Noël qui ne seront pas interdites.

1- Introduction

A terme l'orientation gouvernementale tendra certainement plus à faire fermer les églises qu'à les faire protéger par la police. Même l'effectif militaire maximum prévu en cas de crise majeure, récemment déployé avec solennité et à contre-emploi, n'y suffirait et n'était de toute façon pas tenable. Déjà pour la fête d'Hannoucah 2015, le gouvernement avait dissuadé les Israélites d'allumer leurs chandelles rituelles. Noël étant la fête chrétienne qui imprime le plus la vie civile en France, elle est le symbole que beaucoup de christianophobes veulent abattre.

2- Risques

Le risque à prendre en compte ici n'est pas celui de l'attaque chimique sur une ville, de la prise en otage d'une communauté par une bande armée ou du lancer d'un camion sur une foule, il est la commission d'actes spectaculaires par des individus isolés ou en très petit groupe, ciblant les communautés qu'ils sont chargés d'intimider : en clair, le massacre d'une église. Il s'agit d'un risque élevé et saupoudré, car il y a autant de cibles possibles que de paroisses, avec dans chacune des centaines de victimes potentielles, mais ces attaques sont imprévisibles et exceptionnelles. On peut considérer trois modes opératoires, le jeter d'une grenade ou d'une bombe artisanale, l'auto-explosion d'un "kamikaze", et la rafale d'arme automatique. Les deux premiers cas imposent d'être au milieu de la foule cible, le troisième cas impose d'en être proche et à vue.

3- Facteurs déterminants

Les attaquants gardent l'avantage de la surprise, du lieu et du moment ; tant qu'ils comptent sur l'impréparation de leurs cibles ils ne prendront pas la peine de se cacher, surgissant en pleine lumière les armes à la main (sans longue approche nocturne par les fourrés). D'autre part, et cela fait partie de leur stratégie de communication pour frapper les esprits et paraître une fatalité imparable, ils sont généralement consommables et agissent sans esprit de retraite ; prêts à mourir pour tuer, ils ne sont ni prêts à se battre, ni préparés ou équipés pour cela. Et leur apothéose finale étant aussi une déclaration, ils sont enclins à la commettre en tenue de "départ", en noir et avec la barbe (tant que ça n'est pas une entrave à leur circulation). Ceux qui prévoient d'en réchapper éviteront d'attaquer des églises urbaines.

4- Moyens de parade

Eu égard au devoir de protection on peut envisager une parade en trois temps, à savoir alerte, fixation et neutralisation.

Devant une église à l'heure de la messe (pas dans un quartier 24 heures sur 24) et selon la configuration des lieux, le dispositif d'alerte peut consister en une seule personne, qui ait une vision sur l'entrée de l'église et sur l'aire de stationnement. Compte tenu du délai très court (l'assaillant parcourt cinq mètres par seconde) il faut proscrire tout moyen d'alerte compliqué ou indirect comme radio où l'émetteur doit mettre en œuvre et parler, et le récepteur doit écouter et diffuser. Il faut un avertisseur instantané, même au prix de la vie du guetteur, et immédiatement entendu à l'intérieur du bâtiment (en dépit des chants) par tous, intervenants et public : sifflet puissant, pistolet d'alarme, sirène, klaxon de voiture ou gros gong.

Le dispositif de fixation, ou piquet d'intervention, a pour objet d'interdire ou de retarder l'irruption du ou des intrus dans le bâtiment. Il est donc constitué d'une poignée à une dizaine d'hommes, qui participent normalement à l'office mais restent groupés près de l'entrée sensible car ils n'auront que quelques secondes pour réagir et ne pourront pas traverser alors l'assistance.

Pour cette même raison leur équipement doit être sur eux (matraque téléscopique ou bombe de gel) ou aligné au mur près de l'entrée (manches de pioche). Dans la plupart des cas une poignée d'hommes suffira à fixer à l'extérieur un à trois agresseurs porteurs d'une bombe artisanale ou d'une ceinture explosive. Ceux-ci seront alors immobilisés jusqu'à l'arrivée des forces de l'ordre, ou se feront exploser sans avoir pu entrer. Dans le cas d'armes automatiques, le piquet d'intervention ne suffira pas à arrêter les agresseurs, bien qu'il leur fasse dépenser une partie de leurs chargeurs (ces gens-là pratiquent l'arrosage intensif), mais il aura retardé leur entrée d'une minute ou deux.

Le dispositif de neutralisation est subsidiaire, car plus délicat à mettre en place et moins systématiquement utile. Il s'agit d'une personne portant une arme à feu et chargée d'éliminer un terroriste porteur d'arme automatique. Si elle est équipée d'une arme d'épaule elle doit se trouver à l'extérieur, ou dans un bâtiment voisin, avec vue sur l'entrée où le piquet d'intervention retardera les attaquants pendant une minute. Si elle n'est équipée que d'une arme de poing elle doit rester cachée dans l'entrée pour neutraliser les assaillants par derrière lorsqu'ils feront irruption dans la nef, concentrés vers l'avant.

5- Conclusion

Alors que beaucoup d'établissements recevant du public ne sont que des lieux de passage, les paroisses sont des communautés organiques disposant d'un noyau de réguliers. De même qu'on organise un tour de quête ou de lecture, toute paroisse où se retrouvent régulièrement des habitués devrait pouvoir organiser au moins un tour de guet extérieur et un piquet d'intervention. Cela ne coûte rien, maintient l'affluence des fidèles rassurés, et peut sauver des centaines de vies. C'est aussi un début de responsabilisation, qui extrait de la passivité et prépare à d'autres relèvements. Le Chrétien a mission de témoignage, à l'opposé de la soumission ("islam" en arabe), et si la terreur soumet, la sécurisation libère. Les banques ont des vigiles pour rassurer les clients et les manifestations de rue ont des services d'ordre pour écarter les provocateurs.

Cette fiche pratique pourrait utilement être discutée dans chaque conseil paroissial. Les compléments constructifs sont bienvenus en réponse à cet article. Pour mémoire, il est interdit de porter une arme blanche mais pas d'en posséder, il est loisible à un gendarme ou un policier d'aller à la messe en tenue, et rien n'empêche les chasseurs de tenir un rendez-vous cynégétique au café en face de l'église.

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Des « familles syriennes » mendient dans le trafic sous le nez d’une police aveugle

Les policiers sont très peu attentifs quand une prétendue famille syrienne joue les toréros dans le trafic, enfants et vieillards compris, avec une pancarte en arabe en guise de muleta. Leur inattention provient parfois du fait qu’ils flashent les automobilistes au lieu de s’en prendre à ces piétons intouchables et surtout insolvables.

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À Castenaso, en Italie, l’Enfant Jésus de la crèche est un migrant !

Dans les sociétés devenues multiculturelles, ce qu’il reste de festivités chrétiennes est l’occasion de repartir à la charge contre toute manifestation de culture européenne.

Laïques contre chrétiens, musulmans contre catholiques, laïques contre musulmans (non, pardon, cela n’arrive étrangement jamais !), on s’en donne à cœur joie pour tenter de dégommer les dernières bribes de coutumes et traditions enracinées des peuples autochtones, comme si le consumérisme ambiant et l’athéisme prosélyte ne leur en avaient pas déjà porté un coup fatal.

Noël, syncrétisme entre les fêtes païennes célébrant le solstice d’hiver et l’anniversaire de la naissance de Jésus, en est le paradigme.

Et le plus souvent, les déconstructeurs proviennent de l’intérieur, comme ce fut le cas dernièrement à Castenaso, dans la province de Bologne, où la coutumière crèche sur la place du village a été quelque peu remaniée par le maire Partito Democratico 1 de la ville, qui a « voulu mettre en évidence le problème lié à l’accueil des migrants » selon ses propres propos.

Ainsi, la mangeoire où est traditionnellement déposé l’Enfant Jésus est représentée par un bateau pneumatique, faisant explicitement référence aux embarcations utilisées par les migrants qui traversent la Méditerranée. L’image a été reprise sur les cartes de vœux de ville.

 Une véritable action militante de la part des institutions locales, dénoncée sur le plan politique par l’association Terra Nostra – Italiani con Giorgia Meloni, qui a manifesté devant la crèche ; et critiquée sur le plan religieux par Mgr Ernesto Vecchi, évêque auxiliaire émérite de Bologne, pour qui la représentation de la Nativité devrait au moins refléter son sens originel : « Jésus dans une mangeoire pour animaux, c’est le signe qu’étant riche, il s’est fait pauvre pour nous… » Rien à voir, donc, avec une quelconque obligation morale à accueillir toujours plus d’immigrés.

L’Italien lambda commence, d’ailleurs, à être las de ce genre de chantage spirituel, fatigué qu’il est des continuelles et à peine voilées accusations de manque de foi, dont ce nouveau pape François est particulièrement friand, n’ayant de cesse de réitérer que tout clandestin est le Christ en personne et que nous sommes tous des réfugiés. 2

Par un curieux hasard, vous ne rencontrerez pas plus de migrants dans les rues du Vatican que dans les demeures des bobos en faveur du Grand Remplacement.

Notes:

  1. Partito Democratico, conduit par l’ex-Premier ministre Matteo Renzi

« Chacun de vous, réfugiés qui frappent à nos portes, a le visage de Dieu, et est la chair du Christ. Votre expérience de douleur et d’espoir nous rappelle que nous sommes étrangers et pèlerins sur cette Terre, accueillis par quelqu’un avec générosité et sans aucun mérite. » 19/04/16

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Damien Rieu : « Nous sommes très lourdement condamnés, mais nous irons jusqu’au bout si nous sommes soutenus par la communauté des patriotes ! »

Pour avoir occupé pacifiquement le chantier de la grande mosquée de Poitiers, Damien Rieu et quatre autres militants de Génération identitaire ont été condamnés en première instance à un an de prison avec sursis, une forte amende et la déchéance de leurs droits civiques pour cinq ans.

Une « cagnotte » a été ouverte sur le site Leetchi.com pour aider les condamnés à s’acquitter de leurs frais d’avocat. Cet appel aux dons vient d’être bloqué par le site.

Damien Rieu s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.

Source et Document audio

France, Malte, Italie…, même invasion, même solution : foutons-les dehors !

Caen (Calvados) : le poumon perforé par 4 Pakistanais

Vers 17 heures, le mardi 28 novembre 2017, rue des Jacobins à Caen (Calvados), près du commissariat de police, 4 Pakistanais clandestins frappent un jeune homme à terre. De leurs fenêtres, des riverains hurlent d’arrêter. Le quatuor sera interpellé sous les arcades du théâtre, 100 mètres plus loin. La victime, un couteau planté dans le dos laiss derrière elle des traînées de sang sur le trottoir : poumon perforé sur 5 cm de profondeur.

Les quatre jeunes envahisseurs, arrivés « mineurs isolés » en France, sont encore scolarisé. En comparution immédiate au tribunal de grande instance de Caen, Abdul Saad, 19 ans et Arslan Afzal, 18 ans, écopent de six mois de prison ferme ; Qasim Ali, 18 ans, porteur du couteau et qui a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français à Caen depuis deux ans, écope de 10 mois ferme, tout comme le porteur du poing américain, Ahsam Raza, 20 ans.

Des mesures d’éloignement non-exécutées qui auraient pourtant sans doute permis d’éviter ce nouveau drame de l’échec d’un « vivre-ensemble » imposé et qui est pourtant totalement utopique.

Ferrara (Italie) : une jeune femme passée à tabac par 5 envahisseurs

Sandra a été battue par 5 étrangers qui voulaient la voler. C’est arrivé à Ferrara, dans la région d’Acquedotto, il y a quelques jours. Son visage porte encore les marques des blessures et des coups violents : « Je ne me souviens pas s’ils m’ont frappé avant que je m’évanouisse ou si je m’étais déjà évanoui et s’ils ont continué à me frapper. La seule chose dont je me souviens est ma tête qui touche le banc et leurs poings sur le côté droit du visage. Je me suis réveillé avec des douleurs dans les côtes. »

Les cinq envahisseurs extra-européens n’ont pas encore été interpellés. « Ils n’ont pas été encore reconnus parce que je ne me souviens pas de leurs visages, et les caméras-surveillance ne les ont pas pris ».

« Être attaqué, battu, laissé inconsciente dans un endroit froid… Je ne pense pas que ce soit le résultat d’une ville tranquille », ajoute Sandra, approuvée en cela par Nicola Lodi, élu de la Ligue du Nord. Celui-ci a été l’un des premiers à réagir à ce fait divers. Il a appelé à la création de patrouilles citoyennes dans la zone où Sandra a été agressée.

Paris : 700 000 € pour les Marocains mineurs de la Goutte d’Or

La capitale française doit faire face à un arrivage incontrôlé de jeunes marocains errant dans le quartier de la Goutte d’or. Réfugiés là, ces envahisseurs âgés de 14 à 17 ans environ (aucune preuve ne pouvant attester de leur âge), dorment dans un square et vivent de larcins. Depuis le mois de février 2016, le quartier voit affluer ces silhouettes juvéniles. Les premiers arrivants avaient 9 ou 10 ans. La seconde vague, entre 14 et 17 ans. Certains sont à peine majeurs.

Côté sécurité, la police a procédé à 395 interpellations depuis septembre, essentiellement pour des vols, certains avec violence. « On n’est pas dans le simple chapardage », ajoute Michel Delpuech. « Ces clandestins sniffent de la colle, boivent, agressent les passants, volent et refusent les prises en charge proposées ». « Ils ont tous transité par l’Espagne où ils sont passés par des foyers d’accueil avant de poursuivre vers la France », assure la présidente de l’Amesip (Association marocaine d’entraide aux mineurs en situation précaire), Touraya Bouabid, mandatée pour une mission sur place fin octobre.

Et elle confirme qu’ils ne sont ni pauvres ni persécutés : « Presque tous sont issus de la classe moyenne et ont un membre de leur famille au Maroc », a-t-elle écrit dans son rapport…

Réaction d’Anne Hidalgo de la Ville de Paris : lors du prochain Conseil, le 11 décembre, une subvention de 684 967 euros sera soumise au vote de l’assemblée. Elle servira à lancer plan d’ampleur, sous convention avec le Centre d’action sociale protestant (CASP) qui travaillera en partenariat avec des associations rompues à la prise en charge des jeunes en errance : « Aux Captifs la Libération » et « Trajectoires ». La ville veut ainsi augmenter les dispositifs tels que les maraudes, les aides sociales à l’enfance et les suivis psychiatriques. L’enveloppe permettra également de financer un centre d’hébergement de nuit.

Malte : l’armée en renfort contre la criminalité des envahisseurs

La montée des « comportements antisociaux », imputable principalement à la communauté des envahisseurs provenant de Libye résidant dans la localité de Marsa, a poussé le gouvernement à faire appel à l’armée pour venir en aide à la police. Le ministre de l’Intérieur maltais Michael Farrugia a annoncé des mesures fortes afin d’assurer le maintien de l’ordre public, et tout particulièrement dans les points chauds frappés par la délinquance et la criminalité. « L’armée va aider la police en effectuant des patrouilles dans des zones problématiques telles que Marsa, Birzebbuga, Paceville et la Baie de Saint Paul », a ainsi déclaré le membre du gouvernement lors d’une conférence dans la localité de Marsa.

Une mesure adoptée pour faire face aux préoccupations croissantes des habitants quant à la multiplication des « comportements antisociaux », selon un quotidien, qui rapporte que ceux-ci, à Marsa, sont principalement imputables à la présence d’une importante communauté locale de ce que les médiats menteurs et politiciens complices nomment pudiquement « migrants »… 

Pourtant l’expulsion des fauteurs de troubles n’est même pas envisagée. Au contraire Michael Farrugia affirme que le pays a trop longtemps négligé les questions d’intégration. Et il a ainsi souligné la nécessité de renforcer les mesures d’éducation et d’intégration à l’égard de cette population sensible, précisant que son ministère consacrerait des fonds de l’Union européenne à des programmes visant à sensibiliser les communautés de ces étrangers aux lois et coutumes du pays…

A Lyon et Grenoble des universités occupés par les colons étrangers

A l’université Lumière Lyon-II puis à l’université Grenoble Alpes, des associations et des étudiants ont investi des locaux tout en demandant à l’Etat d’apporter une solution pérenne aux clandestins extra-européens qui déferlent un peu partout dans les grandes villes françaises.

Un amphithéâtre du campus de l’université Grenoble Alpes (UGA) a été investi lundi 4 décembre par des associations afin de « mettre à l’abri » (selon la propre terminologie des anarcho-gauchistes) une centaine d’envahisseurs . « On ne veut pas faire dormir les gens ad vitam æternam ici, mais on veut mettre la pression sur la préfecture, qui est compétente, afin que soit trouvé un hébergement pérenne », a déclaré un militant de Droit au logement Isère, s’exprimant pour les associations et syndicats complices de l’invasion qui veulent la disparition des européens sur leur propre sol : Assemblée des mal logés, La Patate chaude, CNT, CGT, UNEF, Solidaires qui ont mené cette action. Une source à la préfecture a indiqué que celle-ci avait été « avisée » de cette occupation par la direction de l’université, mais qu’« il n’y a pas de demande d’évacuation »…

C’est la deuxième fois en quelques semaines que les militants de la disparition des peuples européens autochtones organisent une occupation illégale d’université par des clandestins étrangers. A Bron, dans la banlieue lyonnaise, un amphithéâtre de l’université Lumière Lyon-II est occupé depuis le 16 novembre par des étudiants qui y « logent » une cinquantaine de colons extra-européens, une situation « indigne » pour la présidente de l’établissement, Nathalie Dompnier, qui avait demandé une solution à l’Etat.

Après deux semaines d’occupation, la préfecture a proposé, vendredi, l’ouverture d’un gymnase à Meyzieu (banlieue est de Lyon) pour les accueillir une dizaine de jours. La solution a été refusée par les intéressés et les étudiants qui les soutiennent…

Paris : le « trottoir des 40 000 » boulevard de la Villette

« Le trottoir des 40 000  », c’est comme ça que l’ont baptisé les riverains. Car depuis près de deux ans, ils ont compté que 40 000 envahisseurs avaient dormi, parfois plusieurs nuits d’affilée, sur une centaine de mètres de ce boulevard de la Villette devant le « Pada » (Plateforme d’accueil des demandeurs d’asile). Étape indispensable pour les demandeurs d’asile primo-arrivants isolés, cet unique centre – un autre existe à Paris pour les familles -, géré par France Terre d’asile, délivre, chaque matin, un certain nombre de rendez-vous, pour l’examen de leur dossier, dans l’une des huit préfectures d’Île-de-France.

Devant l’afflux de ces nouveaux colons destinés à prendre la place des autochtones, le centrel est perpétuellement engorgé. Et aujourd’hui, les habitants sont « à bout ». Le 18 décembre, ils attendent « les élus de tous bords » pour signer leur pétition. « Sans un engagement clair sur la fermeture du système avant le 1er janvier », ont-ils écrit au président de la République, ils entameront une grève de la faim.

Un commerçant explique : « Cela devient invivable. Le matin, on doit enjamber les matelas devant notre porte. On ne peut plus recevoir de clients. » Lors des réunions d’un collectif, « des commerçants ont dit qu’ils allaient acheter un fusil ; qu’ils s’en fichaient d’aller en prison, car c’était ça ou la clé sous la porte »…

 

En Europe, partout le même déferlement d’envahisseurs extra-européens !

Une invasion migratoire encouragée et organisée par les associations de traîtres qui accomplissent le plan du judaïsme politique : le génocide des Européens par l’action conjuguée d’une immigration extra-européenne massive et de l’avortement généralisé. Le tout avec la complicité des gouvernements mondialistes et des médiats-menteurs !

Avec nous, avant qu’il ne soit trop tard, foutons-les dehors !

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Un an de prison avec sursis et plus de 40.000€ d’amende pour avoir occupé pacifiquement le toit du chantier de la grande mosquée de Poitiers !

Un an de prison avec sursis et plus de 40.000€ d’amende à l’encontre de Maxime, Benoit, Alban, Damien et Julien, 5 anciens militants de Génération Identitaire, telle est la décision rendue aujourd’hui par le Tribunal de Grande Instance de Poitiers à l’issue d’un procès intenté par l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF), antenne française des Frères Musulmans, organisation islamiste classée terroriste dans plusieurs pays ...

Leur crime ? Avoir organisé l’occupation pacifique du chantier de la Grande Mosquée de Poitiers en 2012. Plus de 70 militants de Génération Identitaire avaient occupé pacifiquement le toit du chantier de cette mosquée pour réclamer un référendum sur la construction de mosquées et l’immigration.

Les « 5 de Poitiers » et leurs avocats ont annoncé leur intention de faire immédiatement appel et de se battre jusqu’au bout.

Curieusement, lorsque ce sont des immigrés illégaux qui occupent des lieux divers et variés, la justice française se montre alors par contre très clémente. Vous avez dit préférence étrangère ?...

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Des centaines de millions d’euros en subventions annuelles à des associations au service des immigrés

Dans l’un de ses communiqués de la semaine, Civitas rappelle l’importance des montants accordés sous forme de subventions à des associations au service des immigrés.

Et comme le rappelle Civitas, cet argent, c’est le vôtre, celui de vos impôts !

Vous ne voulez plus que vos impôts
continuent à encourager l’immigration ?

L’annexe au projet de loi de finances pour 2018 concernant les subventions de l’Etat aux associations prévoit  que le gouvernement affecte aux associations de son choix un budget de 4 milliards 689 millions d’euros prélevé sur l’argent versé par les contribuables.

Sur ce budget, 306 millions d’euros sont affectés à des associations liées à “l’immigration, l’asile et l’intégration”.
Mais à ce montant astronomique, il faut encore ajouter des centaines d’autres millions d’euros affectés à des associations au service des immigrés sous couvert de programmes de sport, de jeunesse, d’accueil, de solidarité, d’égalité des chances, d’insertion ou de vie associative.

Avec vos impôts, le gouvernement offre des subventions à l’association France Terre d’Asile, à l’Association de Service Social et Familial des Migrants, à l’Association d’Aide aux travailleurs migrants de la région Nord, à l’Inter-Service des Migrants, au programme “Immigration et Asile” de la Croix Rouge, etc, etc. Sans oublier les subventions à la Ligue contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA), à SOS Racisme, à la Maison des Potes, au MRAP et consorts.

Cet argent, répétons-le, c’est celui obtenu grâce aux impôts payés par les Français.

Voulez-vous que cela continue ainsi ? Ne faites rien, versez tranquillement l’intégralité de vos impôts réclamés sur vos revenus de l’année 2017 à ce gouvernement qui se chargera de le redistribuer aux officines de l’anti-France.

Voulez-vous au contraire empêcher que l’intégralité de vos impôts serve à détruire la France ? Profitez des dernières semaines de décembre pour faire à Civitas un don déductible d’impôt. Civitas est le parti qui réclame l’arrêt immédiat de toute immigration extra-européenne, l’organisation d’une rémigration en plusieurs phases et l’arrêt immédiat de toute subvention aux organismes servant la préférence étrangère.

Suivez la procédure ci-dessous pour faire un don à Civitas et obtenir la déductibilité fiscale. Un geste simple au service de la vraie France.

Alain Escada,
président de Civitas