Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 14 février 2018

Qui sont les pays de m… ?

 

Source et Video

Les étapes de la longue Reconquista espagnole : un modèle ?

Les étapes de la longue Reconquista espagnole : un modèle ?

Légende de la carte :

La « Reconquista » nomme depuis le XIXe siècle l’ensemble des opérations qui, de 722 à 1492, ont permis à l’Espagne chrétienne de se libérer de la domination arabo-musulmane.

En effet, c’est en 711 que, commandés par un certain Tariq, les « Arabes » — dont les troupes étaient surtout formées de Berbères d’Afrique du nord — franchirent le détroit qui serait plus tard « de Gibraltar », puisque ce nom fut à l’origine le Djebel Tariq, la montagne de Tariq (!). En un rien de temps, il s’emparèrent de toute la péninsule ibérique, alors aux mains des Wisigoths, à l’exception d’une étroite bande dans les mont Cantabriques (le long du Golfe de Gascogne), les Asturies (en rouge  sur la carte).

Là, à l’initiative d’un noble nommé Pelayo, une petite troupe de Chrétiens battit un faible contingent d’Arabes en un lieu nommé Covadonga,. Ce fut le début d’un refus armé de l’invasion, suivi de plus de victoires chrétiennes que de revers. Après 1470, il ne resta plus aux musulmans que le royaume de Grenade (en violet ), finalement repris après le départ de son roi Boabdil le 2 janvier 1492.

Dans l’euphorie de cette victoire, les Rois catholiques donnèrent à Christophe Colomb leur accord… et le financement pour son projet de navigation ; et le 12 octobre, il accostait en Amérique !

Source et Document

Le bras d’honneur d’Orban à l’UE : gardez vos migrants musulmans, on ne les prendra pas

Bon sang, si l’Europe avait des dirigeants comme en Hongrie, l’Europe, et la France en particulier, seraient restées ce qu’elles étaient : des pays purement de civilisation judéo-chrétienne, des pays où rèignerait la paix, avec des écoles où on enseignerait l’Histoire du pays, où la JUSTICE serait rendue, où les touristes voulant visiter la Tour Eiffel ne se trouveraient pas nez à nez avec à un mur de vitres blindées, où la capitale de la France redeviendrait la ville des lumières. 

Jack

 

« La Hongrie d’abord ». Orbán promet de « combattre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de l’Europe »

8 février 2018, par Victoria Friedman sur Breitbart, retranscrit sur le site de Pamela Geller le 9 février

L’Union européenne menace de forcer la Hongrie à accepter les migrants musulmans. À cela, le courageux Premier ministre hongrois Viktor Orbán déclare : « Notre présidence a pris position : nous ne pouvons pas céder à l’extorsion. Pour nous, la Hongrie passe d’abord. Nous combattrons ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie et de l’Europe ».

Bravo. Viktor Orbán dit qu’il ne participera pas au suicide de l’Europe. Tous les dirigeants européens devraient dire la même chose, mais ils veulent faire l’inverse.

Faisant écho au cri de ralliement « America First » du président américain Donald J. Trump, le Premier ministre conservateur Orbán a critiqué son collègue belge Charles Michel qui a déclaré que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accepter les migrants dans des termes décrits par le parti hongrois au pouvoir Fidesz comme une « extorsion ».

« La présidence du Fidesz a examiné hier l’annonce du Premier ministre belge, selon laquelle les pays d’Europe centrale, y compris la Hongrie, seront obligés, si nécessaire par la force, d’accepter des migrants », a déclaré mercredi le Premier ministre hongrois.

« Selon leur plan, cela se fera en juin au sommet des Premiers ministres à Bruxelles » a ajouté Viktor Orbán : « Notre présidence a pris position : nous ne pouvons pas céder à l’extorsion . Pour nous, la Hongrie passe d’abord »… « Nous combattrons ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie et de l’Europe ».

Dans une interview au site d’information belge Le Soir, le Premier ministre Michel a évoqué l’envoi d’un « ultimatum » aux pays du groupe Visegrád qui « rejettent la solidarité ».

L’ultimatum serait que si un consensus n’était pas atteint lors du Conseil européen de juin, les réformes prévues seraient adoptées à la majorité qualifiée, ce qui ferait passer outre la position de dissidents (tels qu’autres mouvements anti-migration de masse, nations pro-souveraineté).

En réponse aux commentaires du ministre belge, le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Péter Szijjártó, a déclaré : « La Hongrie ne deviendra pas un pays d’immigration, n’a jamais admis et n’admettra jamais d’immigrants illégaux » lors d’une conférence de presse mardi.

Péter Szijjártó a ajouté que les commentaires du Premier ministre belge étaient « révoltants » et « scandaleux », car « c’est la première fois que Bruxelles planifie ouvertement de faire passer le quota de réinstallation obligatoire par la force tout en ignorant totalement la volonté de certains Etats membres ».

« La Hongrie n’a jamais admis et n’admettra jamais d’immigrants illégaux, qu’il y ait ou non des pressions dans ce sens le long des frontières ou de Bruxelles », a-t-il ajouté.

Traduction pour Résistance républicaine par Jack

https://gellerreport.com/2018/02/hungary-first-orban.html/

 

Note de Christine Tasin

On n’a vraiment pas de chance. On n’a ni Trump, ni Orban, et on a Macron… Mais sans doute que les Français l’ont mérité…

Source

L’excision courante en France ? Les migrants arrivent par milliers de pays où elle est pratiquée

 

Lien Direct

Macron va organiser l’islam de France avec l’institut Montaigne : voilà ce qui est décidé

https://fr.news.yahoo.com/macron-veut-poser-jalons-lorgan...

Il se prend pour le deus ex machina voulant sortir l’islam de ce qu’il est au niveau international, autrement dit, il veut inventer un nouvel islam… Un nouvel islam ? Cela ne sera plus l’islam, il n’existera jamais, mais les Boubakeur et autres dhimmis feront semblant de dire oui, le temps d’entériner tous leurs acquis énumérés ci-dessous.

Macron le nouveau mahomet… Ça lui plairait sans doute beaucoup. Peu importe le flacon pourvu que le Macron ait l’ivresse du pouvoir et de la fonction.

En attendant, il est décidé à faire de l’islam une « religion comme les autres ». C’est stupide, c’est suicidaire, nous le savons et Macron le sait aussi, forcément.

Le but affiché : « mieux intégrer le culte à la République et lutter contre le fondamentalisme ».

http://www.europe1.fr/politique/macron-travaille-a-la-str...

Il travaille avec tous les islamo-collabos, l’islamo-collabo et menteur Kepel en tête et l‘Institut Montaigne. Institut Montaigne dirigé par un proche de Macron, Henri de Castries… très influent également à Bilderberg.

Il est lauréat du programme Young Leaders de la French-American Foundation en 19946. En 2012, il est nommé président du comité de direction du groupe Bilderberg6. En novembre 2013, il est désigné cinquième personnalité française la plus influente du monde par la version française du magazine Vanity Fair13. Source wikipedia.

Macron est aussi soutenu par Terra Nova :

http://resistancerepublicaine.eu/2016/09/07/macron-souten...

Ils sont partout… Nous pouvons donc nous attendre au pire, allant jusqu’à l’abolition de la loi de 1905 ou l’invention d’un Concordat spécial islam sur toute la France.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/02/22/euro-marine-c...

Outre cela, nous pouvons donc vous annoncer à l’avance les décisions qui seront prises, ce sont celles prônées par le dit institut  dans le rapport qu’il avait produit l’année dernière :

Le contribuable va payer, la formation des imams, le salaire des imams, la construction de nouvelles mosquées, leur entretien et leurs réparations

Généralisation de l’enseignement de l’arabe à l’école

Abolition de la loi de 2004 sur les signes ostentatoires à l’école

Naturellement il faut s’attendre à voir disparaître certains de nos jours fériés pour les voir remplacés par la fête de l’égorgement pour tous….

L’islam va être mis exactement sur le même plan que le catholicisme et le protestantisme…

 

« Un islam français est possible », tel est le nom d’une étude inédite, dévoilée ce dimanche par le JDD et l’AFP. Si elle bat en brèche plusieurs clichés négatifs, certains chiffres inquiètent. Ainsi, 28% des interrogés adoptent des valeurs jugées « incompatibles » avec celles de la République.

[…]

http://resistancerepublicaine.eu/2016/09/19/29-des-musulm...

D’ailleurs on avait déjà eu quelques idées de ce que mijotait le bonhomme avec les Macronleaks que la presse officielle s’est bien gardée de faire circuler :

http://resistancerepublicaine.eu/2017/05/08/macronleaks-i...

On y avait aussi appris que Bauberot était l’un de ses conseils, Bauberot qui veut faire abolir la loi de 2004 sur les signes ostentatoires à l’école.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/05/13/dramatique-ba...

 


Christine Tasin
Christine Tasin

Présidente de Résistance républicaine ; professeur agrégé de lettres classiques.

Mennel Ibtissem : deux nouvelles preuves de l’entrisme islamique en plein primetime

Ah, que n’a-t-on entendu sur ces « raciiiiiistes » qui s’offusquent d’un petit turban et de quelques tweets-erreurs-de-jeunesse ! On aurait dû laisser faire, n’est-ce pas ? On aurait dû la laisser chanter, la pauvre petite aux grands yeux, n’est-ce pas ? Qu’importe son petit turban, si minimal qu’il en devient presque élégant, n’est-ce pas ?

Sauf que…

Sauf que nous avons appris, depuis, que ITV, détenteur de la franchise française de « The Voice », a briefé intensément les candidats : avant le début des diffusions de la nouvelle saison de l’émission, VIDEZ vos réseaux sociaux de TOUT ce qui peut prêter à critique, de TOUT ce qui peut « dépasser ». Et, semble-t-il, l’instruction fut répétée… Alors les tweets de Mennel Ibtissem ont-ils donc été laissés là intentionnellement ? Il y a de quoi se poser la question, non ? Dieudonné ? Ramadan ? Barakacity ? Un peu de conspi et d’anti-France ? Autant de signaux envoyés à un public précis, qui sait les décoder. Tout ça en passant par un prime-time un samedi soir sur TF1, c’est quand même plus efficace qu’en créant un groupe sur Telegram…

Et il y a autre chose…

Il était mignon, son petit turban, non ? Pas de quoi fouetter un infidèle…

Sauf que…

 Sauf que les gamins qui seraient devenus fans de Mennel Ibtissem se seraient rués sur son compte officiel sur YouTube, pour découvrir toutes les facettes de son talent. Et là… surpriiiiiiiiiiiiiise ! Plus de « discret » turban mais un vrai hijab.

Je vous laisse découvrir vous-mêmes :

Source et Video

L’islam est devenu LE clivage majeur entre la gauche et la droite

Alors que le Président Macron, interrogé par le JDD, dévoile sa méthode et ses consultations pour organiser l’islam de France, le même journal publie une enquête réalisée par l’IFOP sur l’image de cette religion auprès des Français. Plus exactement sur sa « compatibilité avec les valeurs de la société française ». Et, cette fois-ci, surprise : les Français seraient désormais en majorité convaincus que l’islam est bien compatible avec les valeurs de la société et de la République françaises, à 56 %. C’est un renversement car, en septembre 2016, la proportion était inversée.

Comment expliquer cette évolution « islamophile » ? Plus d’attentats meurtriers d’envergure depuis Nice, la précédente enquête ayant été réalisée juste après cet « été meurtrier » 2016 ? Victoire contre Daech en Irak ? Élection du Président Macron faisant souffler un vent d’apaisement et incitant à l’optimisme ? Sans doute.

Si cette perception plus favorable de l’islam était due à ces circonstances très conjoncturelles, on peut imaginer qu’elle ne sera que passagère et fragile.

Mais, structurellement, le positionnement par rapport à l’islam est devenu un vrai clivage politique, et peut-être même, à l’heure où il se dit ici ou là que droite et gauche ne recouvrent plus rien, LE clivage politique majeur. En effet, ce même sondage révèle que 73 % des électeurs du PS, 60 % de ceux de La France insoumise et 58 % de La République en marche pensent que l’islam est compatible avec nos valeurs. Quand 63 % des sympathisants Les Républicains et 62 % de ceux du Front national pensent qu’il est incompatible.

Cette enquête confirme plusieurs données politiques qui vont structurer le débat et la recomposition en cours.

 D’abord, la majorité centriste LREM au pouvoir se situe, précisément, au point central de ce clivage : un ventre mou qui peut basculer d’un côté comme de l’autre, ou s’effondrer, au gré de l’évolution de l’opinion sur l’islam. Et l’on sait combien cette opinion est malléable selon les événements, comme les aléas de l’affaire Mennel viennent de le montrer.

Ensuite, il y a une grande homogénéité, sur cette question de l’islam, entre les électorats LR et FN. Malgré la rivalité stérile à laquelle se livrent les deux appareils, les électeurs iront, le moment venu, vers l’homme qui saura dessiner un avenir clair pour la France et fixer les lignes rouges que l’islam ne doit pas dépasser en France.

Enfin, cette enquête montre bien que l’islamo-gauchisme n’est pas un fantasme, et il se pourrait que l’islam soit même l’avenir de la gauche. Après tout, elle aura bien embrassé le libéralisme et le capitalisme financier le plus débridé, et elle n’en est plus à un reniement près de ses valeurs, notamment sur la liberté, la laïcité, l’émancipation à l’égard des religions et la place des femmes. Il faudra bien, un jour, que cette gauche vienne nous expliquer à quoi pourrait ressembler une république démocratique où l’islam serait majoritaire. Je ne vois, pour ma part, que dictatures, monarchies autoritaires ou républiques… islamiques. L’islam majoritaire n’a jamais été compatible avec autre chose que cela. Mais pour la gauche, c’est finalement une longue histoire : en 1979, elle applaudissait, déjà, à l’avènement de la République islamique en Iran…

Si l’islam plonge la gauche dans ses contradictions et ses reniements, il offre à la droite la possibilité de se ressaisir et de retrouver ses valeurs, au premier rang desquelles l’amour de la France et la défense de sa civilisation. Plus que jamais, la cohérence et la lucidité sur l’islam exigent d’être de droite. Et tout Français sera invité à l’être un jour ou l’autre.

Source

Rennes : 3000 migrants musulmans d’Albanie bientôt accueillis sur fond d’implantation de la mafia albanaise en Bretagne .

 
 
  La région rennaise devrait secrètement recevoir entre 2,000 et 3,000 migrants albanais musulmans en 2018 avec l’aval du gouvernement central et de la majorité socialiste du département de l’Ille-et-Vilaine.
 

Contrôler le marché breton

Cette implantation, déjà anticipée par la mafia albanaise, permettra à cette dernière de créer une tête de pont pour le crime organisé albanais en Bretagne. Objectif : contrôler le marché de la drogue et développer massivement le marché de l’héroïne.

La mafia albanaise est déjà engagée dans le travail préparatoire de mise en coupe réglée de la Bretagne. Elle envoie ainsi des membres du syndicat du crime albanais prendre le contrôle de diverses villes bretonnes, à l’instar de Brest. Bénéficiant de l’appui de filière de passeurs membres de l’extrême-gauche locale, notamment du militant trotskiste Olivier Cuzon , de nombreux clandestins albanais s’établissent dans la cité portuaire pour y implanter les futurs réseaux de distribution de drogue.

On a pu noter ces derniers mois des opérations d’intimidation contre les réseaux de dealers turcs et maghrébins « traditionnels » qui géraient jusqu’à lors le marché de la dope sur Brest. En novembre dernier par exemple, un ressortissant albanais clandestin était ainsi interpellé après avoir mené des représailles contre des turcs .

Faute d’un front politique breton dur, à la différence de la Corse, l’infiltration albanaise devrait s’opérer sans difficulté et accroître considérablement l’affaiblissement de la population bretonne, déjà affectée par l’usage de diverses drogues. Les partis loyalistes français entendent accompagner le mouvement, Parti Socialiste en tête, tandis que la police française se contente de limiter les aspérités les plus visibles de cette évolution!

Le cas de la Vallée de la Tarentaise

Pour donner un ordre d’idée au lecteur, on soulignera que la frontière franco-italienne est déjà sous la coupe de la mafia albanaise.

Le journal de gauche Libération s’en faisait l’écho récemment (source) :

Depuis deux ou trois ans, la vallée de la Tarentaise est touchée par l’implantation du trafic d’héroïne et de cocaïne tenu par les Albanais. «Ce sont des réseaux durs, qui suivent un axe Genève-Annemasse-Annecy et maintenant Chambéry et Albertville, explique Anne Gache, procureure de la République à Albertville. Ils ont investi le terrain. Si un point de vente saute, il est immédiatement remplacé. Ils ont déployé des stratégies commerciales, avec un système de fidélisation. Mais les Albanais montent rarement en station, leurs techniques ne seraient pas assez rentables avec une clientèle de passage.» A Albertville, un noyau croissant d’héroïnomanes est alimenté par cette filière, qui propose une «dope très pauvre en héroïne mais pas chère et tout aussi addictive», note un connaisseur.

La Bretagne devrait connaître une évolution similaire en raison de la politique de remplacement de population voulue par le gouvernement français. Politique dûment mise en place localement par les partis français sur le territoire breton.

La mafia albanaise, connue pour ses méthodes particulièrement violentes (tortures filmées, y compris sur des enfants, etc.), est si crainte que même la mafia italienne évite de s’y confronter !

Source

Bretagne : victoire des riverains face au centre de migrants

 

La Video

L’islam est remis en question à l’intérieur de ses terres

 

Mohammed Christophe Bilek, ancien musulman converti au christianisme en 1970, fondateur de l’association Notre-Dame de Kabylie consacrée à l’évangélisation des musulmans et à leur accueil dans l’Eglise catholique, fondateur du Forum Yeshua el Messiah (Jésus le Messie), répond à Olivier Bault sur Reinformation.Tv. Extraits :

Unknown-18"La loi musulmane est le gros problème pour ceux qui veulent se débarrasser de l’islam, car il y a justement un grand mouvement de remise en question de l’islam. Mais il faut faire ici la distinction entre les pays de tradition chrétienne et les pays musulmans où l’islam domine. C’est là où l’islam domine qu’il y a une remise en question de l’islam. Le fait le plus incroyable qui s’est passé l’année dernière, c’est la suppression en Tunisie de la loi qui interdisait aux musulmanes de se marier à un non-musulman. Il y a même eu une réaction de l’université [égyptienne] d’Al-Azhar et aussi de l’université Zitouna en Tunisie. C’est la preuve que les choses sont en train de bouger, mais dans les pays musulmans. On a encore, dans une moindre mesure, ce qui vient de se passer en Arabie saoudite : l’autorisation donnée aux femmes de conduire et surtout, semble-t-il, la détermination du prince héritier à mettre de l’ordre dans les hadiths afin de moderniser la loi musulmane. La première chose à laquelle il va certainement s’atteler, c’est la loi sur l’apostasie, qui fait que celui qui quitte l’islam est d’office condamné à mort s’il ne se rétracte pas dans les trois jours. Il y a donc ce mouvement de fond.

En Egypte, il semblerait qu’il y ait quatre millions de personnes – ce sont des chiffres donnés par des Egyptiens – qui ont apostasié l’islam, et certains le déclarent ouvertement, par exemples chez les intellectuels. Je ne parle pas ici de conversions au christianisme, mais de personnes qui ont rejeté l’islam. Cela, on le voit bien en Algérie, et même au Maroc. En Tunisie, cela fait longtemps qu’il y a des personnalités qui remettent en cause des choses dans l’islam. Ce mouvement de fond vient du début du XIXe siècle, il est dû à l’Europe et à la confrontation avec les civilisations chrétiennes qui a amené cela. Progressivement, il y a eu une réaction musulmane qualifiée de renaissance, à la fin du XIXe siècle, qui a abouti à la naissance des nationalismes locaux un peu partout, puis à un repli sur les positions pures et dures de l’islam, avec le salafisme, le wahhabisme. Mais ces tendances pures et dures sont en train de s’essouffler après la défaite d’Al-Qaïda puis de l’Etat islamique. Quelque chose est en train de changer mais l’Occident ne le voit pas : l’islam est remis en question à l’intérieur de ses terres.

Qu’en est-il de la France pour les gens qui veulent abandonner l’islam au profit du christianisme ? Constatez-vous une évolution ?

En France, il se passe quelque chose d’assez curieux, que je pense vrai aussi pour l’Angleterre et pour l’Allemagne. On y constate au contraire un repli des Algériens, des Tunisiens, des Marocains et des autres musulmans. La France est marquée par le relativisme ambiant, militant, des médias et des hommes politiques favorisant l’islam, avec une conjonction de trois éléments qui contestent le christianisme. Pour parler de façon générale, il s’agit d’une part de la franc-maçonnerie et de la tendance anticléricale, mais il y a aussi, qu’on le veuille ou non, un travail contre le catholicisme de la part de ceux qui se réclament du judaïsme. Dans mon chemin de conversion, les juifs que je rencontrais étaient toujours surpris de m’entendre dire que je quittais l’islam. C’est anachronique, mais pour eux, l’islam vaut beaucoup mieux que le christianisme. Il y a donc aussi une tradition judaïque militante à l’égard du catholicisme. Enfin, depuis en gros Mai 68, il y a dans la société française cette idée que c’est le catholicisme qu’il faut abattre. Même l’islam vaut mieux pour certains – pour une grande partie de la gauche. Aujourd’hui, dans tous les pays occidentaux importants, y compris aux Etats-Unis, mais à l’exception des pays de l’Est, on constate un phénomène de remise en question de la tradition chrétienne la plus ancienne, et c’est ce qui est dangereux. [...]

Mais le phénomène qui m’étonne le plus, indépendamment de ces trois courants qui militent contre le catholicisme, c’est que même au sein de l’Église catholique en France et dans d’autres pays, notamment en Allemagne et en Espagne, certains sont presque favorables à l’islam. C’est assez incroyable. Pour moi, ce n’est pas l’islam en tant que tel qui est en train de se battre contre le catholicisme : ce sont plutôt des éléments issus de la tradition chrétienne ancienne. [...] Le problème rencontré en France aujourd’hui par les musulmans qui se convertissent, ou qui sont en voie de conversion, est celui d’un aspect identitaire de l’islam, très nouveau. Depuis la Marche des Beurs, sous Mitterrand, il y a eu un retournement. Ce n’est plus le nationalisme algérien, tunisien ou marocain, mais l’identité musulmane qui est désormais la référence – une identité beaucoup plus difficile à remettre en question que celle des origines. C’est pour cela que les conversions se font dans le silence, car il y en a, même si les médias n’en parlent pas. Elles se font aussi dans la peur, d’autant plus que cette identité est devenue visible avec le voile, le port d’une tunique pour les hommes, la barbe, le halal, la prière manifestée publiquement, etc. C’est pour cela que ceux qui veulent quitter l’islam le font avec beaucoup plus de discrétion. [...]

Source

lundi, 12 février 2018

Propagande : hier sur la 2, le plus vieil Anglais était Noir …

OUF !

L’honneur est sauf puisque, au moment où on apprend que Nefertiti était blanche, un reportage télévisé de la 2 nous apprend que des hommes à peau noire (le Cheddar Man, dont les traits sont d’ailleurs non négroïdes et les yeux bleus), peuplaient la Grande Bretagne il y a 10 000 ans.

Avec, bien entendu, de la part de crétins sélectionnés questionnés dans la rue, toutes sortes de commentaires visant à nous prouver que les migrants, c’est l’avenir!

Personnellement, si j’avais été interrogé, j’aurais pu répondre que, en toute logique on peut en déduire que lorsque l’Homme évolue, il devient blanc, mais bon, on ne m’a pas demandé mon avis….!

Source

Risques d’attentats dans les aéroports : les salariés sont-ils vraiment sous haute surveillance ?

Dans son livre « Les Mosquées de Roissy » paru en 2006, Philippe de Villiers dénonçait déjà, arguments et enquêtes à l’appui, l’islamisation d’un site aussi sensible qu’un aéroport. Outre la radicalisation alarmante des salariés de Roissy, Philippe de Villiers nous alertait également sur la présence de salles de prière clandestine, la corruption de certains syndicats et comités d’entreprise diffusant une propagande radicale et le maillage musulman de tout l’organigramme du personnel de l’aéroport. Plus grave encore, ce livre affirmait que des islamistes étaient parvenus à infiltrer les services de sécurité de ce grand aéroport parisien pour prendre le contrôle de zones entières où transitent bagages et passagers, avec la possibilité de faire passer librement des armes et des explosifs.

 En 2006, le témoignage de Philippe de Villiers souleva une vague d’indignation et personne ne prit au sérieux son cri d’alarme. Tout le monde s’étrangla devant les révélations de ce livre jugé à la fois raciste et islamophobe, que ce soient les médias, les associations musulmanes ou encore Dalil Boubakeur, le Recteur de la Grande Mosquée de Paris. Philippe de Villiers fut accusé de détourner les problèmes de sûreté à des fins politiciennes et personnelles.

Toutefois, après les attentats de 2015 en France, la polémique sur l’islamisation des aéroports refit surface avec l’arrestation de plusieurs salariés de la société ADP (Aéroport de Paris) soupçonnés de radicalisation. La montée du fait religieux et la multiplication d’incidents liés à la pratique fondamentaliste parmi les salariés de nos aéroports sont aujourd’hui avérées avec des pratiques prosélytes et agressives sur le lieu de travail. Le Préfet de Paris fut contraint notamment de supprimer les habilitations permettant l’accès à certaines zones sensibles des aéroports pour des salariés convertis à un islam radical ou faisant l’objet d’une fiche S. A l’aéroport d’Orly, quelques jours après les attentats de Paris, la Direction du Personnel exigea que ses salariés de sexe masculin ne portent plus une barbe trop longue ou mal entretenue, sous peine de licenciement

Source et Video

La Constitution belge ne permet absolument pas d’éviter de manière préventive l’installation de la charia !

J’ai des correspondants en Belgique depuis 20 ans et pour la première fois, l’année dernière, alors qu’on n’a jamais parlé de politique étant liés par une autre passion commune, ils m’ont écrit : « on n’en peut plus, on se sent envahis » !

Si la Déclaration de 1789 pourrait être mieux rédigée afin d’éviter les mouvements sectaires, la Constitution belge est carrément mauvaise à ce sujet. On comprend mieux pourquoi Molenbeck est en Belgique, pourquoi les djihadistes aiment tant se retrouver en Belgique avant d’agir en France, en Allemagne, en Espagne…
https://www.senate.be/doc/const_fr.html

D’abord, cette constitution se préoccupe de questions de mon point de vue négligeables : faut-il que le mariage civil précède ou suive, dans l’ordre, le mariage religieux ?
Article 21 : « le mariage civil devra toujours précéder la bénédiction nuptiale, sauf les exceptions à établir par la loi, s’il y a lieu ».
C’est purement symbolique à mes yeux : signifier que la loi civile générale est plus forte que la loi religieuse.
Je trouve même que la règle selon laquelle on doit d’abord se marier à la mairie n’a pas de sens, elle viole la liberté religieuse car les mariages civil et religieux sont distincts. Chacun évolue dans sa propre sphère. D’ailleurs, c’est au nom de cette distinction que les églises peuvent rester attachées au principe d’un mariage spirituel hétérosexuel même dans les pays où le mariage civil homosexuel est admis par ailleurs, puisque les liens sacrés et les liens temporels sont distincts. Mais c’est une autre question.

La Constitution belge ne permet absolument pas d’éviter de manière préventive l’installation de la charia !
Elle ne permet que la « répression des délits » sans davantage les préciser.

Si l’on est libre de manifester ses opinions « en toute matière », comme elle le prévoit, alors, on peut penser que cela interdit par exemple d’incriminer l’apologie au terrorisme islamique ou d’expulser un « fou d’Allah » ayant déclaré son intention de mener le djihad !

« Art. 19 – La liberté des cultes, celle de leur exercice public, ainsi que la liberté de manifester ses opinions en toute matière, sont garanties, sauf la répression des délits commis à l’occasion de l’usage de ces libertés ».
Certes, l’article 20 dispose : « nul ne peut être contraint de concourir d’une manière quelconque aux actes et aux cérémonies d’un culte, ni d’en observer les jours de repos ».

Mais rien n’est fait pour éviter que la Constitution soit renversée pour instaurer la charia qui impose le contraire. Il manque un dispositif préventif.

Pire encore, si l’on en croit l’article 21, l’Etat ne pourrait pas imposer la révocation ou d’expulsion d’un imam développant des prêches haineux, à moins de considérer que l’islam n’est pas une religion malgré le lieu commun en sens contraire :
« L’État n’a le droit d’intervenir ni dans la nomination ni dans l’installation des ministres d’un culte quelconque, ni de défendre à ceux-ci de correspondre avec leurs supérieurs, et de publier leurs actes, sauf, en ce dernier cas, la responsabilité ordinaire en matière de presse et de publication ».

L’article 11 paraît confirmer ce travers :
« La jouissance des droits et libertés reconnus aux Belges doit être assurée sans discrimination. A cette fin, la loi et le décret garantissent notamment les droits et libertés des minorités idéologiques et philosophiques ».

Et tout cela a lieu dans un « royaume »… preuve encore que le régime républicain n’y est pour rien !

En raison de l’article 19, la Constitution belge paraît s’opposer à ce que soit interdite une religion qui prône l’inégalité de l’homme et la femme, alors même que l’article 10 de leur Constitution consacre l’égalité sexuelle. Le texte français est meilleur sur ce point car notre Déclaration de 1789 permet que de telles opinions ne puissent être exprimées quand elles troublent l’ordre public : c’est une ré-daction plus ouverte que celle de la Constitution belge qui, elle, ne vise que les délits prévus par ail-leurs par la loi générale, laquelle apparemment ne peut restreinte la liberté d’expression consacrée très amplement « en toute matière ».

Mais encore faut-il en France qu’une loi intervienne et le moins qu’on puisse dire est que les différentes législatures qui se sont succédé n’ont jamais été très ambitieuses à ce propos. Tout reste à faire.

Alors, que peuvent faire les Belges face à un texte aussi mauvais ?

Restreindre l’immigration, la contrôler pour empêcher l’islamisation de leur société. Mais ils ne pourront le faire qu’en quittant l’Union européenne.

En effet, selon l’article 10 de leur Constitution, « il n’y a dans l’État aucune distinction d’ordres. Les Belges sont égaux devant la loi; seuls ils sont admissibles aux emplois civils et militaires, sauf les exceptions qui peuvent être établies par une loi pour des cas particuliers ».

En revanche, cette égalité ne profite pas aux immigrés non belges, avant leur naturalisation, qu’il est donc possible de sélectionner.
Finalement, si la France comme la Belgique veulent garder leurs textes consacrant de larges libertés à leurs citoyens, elles ne pourront le faire, si l’on est pragmatique et prévoyant, qu’en maîtrisant mieux leur immigration.
Tant que la libre circulation des personnes découlera de l’appartenance à l’UE, cet objectif sera impossible à réaliser.

Source

La soeur de Mennel Ibtissem abonnée à la mosquée UOIF de Besançon

Le compte Twitter de la soeur de Mennel, « ma principale source d’inspiration » selon la chanteuse, est abonné au Centre culturel islamique de Franche-Comté (CCIFC), affiliée à l’UOIF, connue sous le nom de mosquée de Fontaine Ecu.

Les prédicateurs fréristes de l’UOIF assurent les conférences dans cette mosquée, à l’instar de Hassan Iquioussen, pro califat (ses prêches ultras sont retranscrits ici) dont les conférences sont justement relayées compulsivement sur les comptes sociaux de Mennel. On retrouve aussi Larabi Cherbi , « professeur de charia » à l’école d’imâms de l’UOIF, l’IESH. Diplômé en shari’a de l’université de Médine, Cherbi est, indique la mosquée, membre du Conseil Européen de la Fatwa et de la Recherche et de l’Union Internationale des Savants Musulmans, deux institutions présidées par Youssef Al-Qaradawi qui prescrit de tuer les apostats, tuer les juifs et qui voit la Shoa comme un « châtiment divin » (biographie). Est également venu en conférence dans cette mosquée Moncel Zenati, autre pilier de l’UOIF. Pour Zenati, la charia est supérieure qualitativement aux lois humaines (droit positif) « La Charia correspond à la Loi Divine. La Charia correspond à l’ensemble des Lois, toutes les Lois, concernant tous les domaines. […] Le droit positif reflète l’imperfection de l’être humain et sa faiblesse » (Conférence « Qu’est-ce que la charia ? » du 12 avril 2014 à Paris). Il s’opposa vigoureusement  au « Forum mondial pour une réforme islamique » lancé par les musulmans réformistes Ghalib Bencheikh et le converti Félix Marquardt.

Le président du Centre Culturel Islamique de Franche-Comté, Khalid Jarmouni, a fomenté des manifestations contre l’interdiction du voile à l’école et a fait pression pour l’obtention de menus sans porc dans les cantines. Par ailleurs, il a réussi à créer des liens avec une petite association de femmes qui a le projet d’ouvrir la première école confessionnelle musulmane de Besançon, avec le soutien de l’UOIF.

http://islamisation.fr/2018/02/10/la-soeur-de-mennel-ibti...

Source

Pour lutter contre l’antisémisme, l’Obs veut faire venir encore plus de « migrants »

Et de deux !

Après un reportage consacré à « l’inquiétant exode des juifs de Seine-Saint-Denis » en novembre 2017,  l’Obs récidive avec « les nouvelles haines antisémites » avec, en couverture, des jeunes (des jeunes quoi, au fait ?) brûlant un tissu imprimé de l’étoile de David.

Les médias se réveillent petit à petit de leur torpeur subventionnée mais quand on lira, au Monde ou à Libé, une tribune défendant l’honneur des Identitaires ou de Christine Tasin, les poules auront des dents…

La couverture de l’Obs montre donc des « jeunes de la diversité », attifés des traditionnels torchons de la cause palestinienne, immolant à Berlin, en décembre 2017, un Magen David de tissu.

Il était clair que ce n’étaient plus les mêmes allemands qui scandaient « morts au juifs » pendant la Nuit de Cristal (1938).

L’Obs allait-il mettre les points sur les i et appeler un chat… un chat ? La lecture de l’hebdomadaire de Jean Daniel promettait d’être alléchante.

« Que s’est-il donc passé pour qu’on assiste à l’expression décomplexée de cette haine nauséabonde vis-à-vis des juifs d’Europe ? » demande sa fille, Sara, journaliste spécialiste du Moyen-Orient.

Depuis longtemps, les lecteurs de Résistance Républicaine et toute la réinfosphère ont bien une petite idée du péril qui menace, et l’Europe, et les juifs, mais, classés définitivement « fachos » et n’ont pas droit au chapitre médiatique (ou si peu), sauf à se contenter de remplir les actualités judiciaires de la 17e chambre correctionnelle de Paris.

Jean Daniel et sa fille retombent dans le même travers en posant un parallèle entre antisémitisme musulman et montée des « populismes ». Pour parler des nazislamistes, on met d’abord en avant le bon vieux « facho » européen et on les renvoie dos à dos.

« Il y a d’abord eu, bien sûr, la montée des extrêmes : de la démocratie « illibérale » (NDA : néologisme macronien signifiant qu’un président « populiste » ne peut être légitime, même démocratiquement élu) de Victor Orbàn en Hongrie ; de l’AfD devenu troisième force politique du Bundestag ; du FPÖ en Autriche ou du Parti nationaliste flamand en Belgique. Ces partis institutionnalisent au cœur de l’État leur révisionnisme. »

Bon, les heures les plus sombres de l’histoire sont encore de retour, on connaît la chanson.

« L’Europe est confrontée à une vague de judéophobie ». Ha la peur du juif ? Nouveau ça. C’est peut-être la crainte d’être circoncis de force par un mohel fou ou de mourir empoisonné par un gefilte fish, un soir de shabbat ?

On sent bien quand même le rapprochement avec l’islamophobie, cette crainte qu’il est urgent de criminaliser.

Allez, direction la Suède, paradis des féministes dingos et du migrant-roi :

Rebecca Gellert, 19 ans, juive de Malmö, a « déjà intériorisé les interdits de sa communauté. Peur des skinheads ? Toujours. La mouvance néonazie, qui réserve la plupart de ses exactions aux musulmans – mosquées incendiées et ratonnades-, se rappelle aussi régulièrement au bon souvenir des juifs ».

Tandis que le cœur battant de Malmö est « désormais le quartier chatoyant de Möllevangen, avec son marché, ses épiceries irakiennes, ses cafés à chicha et ses restaurants de falafels », l’Obs note un petit problème : « Mais tandis que la communauté musulmane s’agrandit, que les bulbes des mosquées sortent de terre, les juifs plient bagage. Ils ne sont plus que […] 1500 tout au plus, tandis que les musulmans seraient plus de 60 000. »

Quittons la Suède pour l’Allemagne, là où de vieux démons ressurgissent :

« […] 470 actes antisémites ont été recensés par la police en 2016, et 681 rien que pour la première partie de 2017. »

A qui la faute ?

« Entre les déclarations révisionnistes des leaders d’Alternative pour l’Allemagne (AfD), la propagation de la haine sur les réseaux sociaux, et les agressions par des néonazis, les derniers tabous semblent sauter un à un. »

L’antisémitisme allemand, c’est l’AfD, d’accord… Mais là aussi, dure confrontation à la réalité pour l’Obs : « deux manifestations en faveur de la Palestine ont dégénéré à Berlin […] où des manifestants ont brûlé des drapeaux israéliens et crié « mort aux juifs ». Problème : des réfugiés faisaient partie des manifestants. »

Diantre, l’antisémitisme prussien n’est plus ce qu’il était.

Passons par la Belgique : il est où l’antisémitisme belge, hein, il est où ?

Et bien chez les salauds de la N-VA, le puissant parti nationaliste flamand tenu par Bart De Wever, bourgmestre d’Anvers.

« Historien de formation, il sait en revanche la collaboration proactive du bourgmestre et de la police d’Anvers durant la guerre. Il sait surtout la complicité entretenue par la Ligue nationale flamande avec le national-socialisme […] Il sait d’ailleurs que des enfants et petits-enfants de collaborateurs et de Waffen-SS adhèrent à son parti, la N-VA. »

En France, c’est pareil. Si ça se trouve, les arrière-arrière-petits-enfants de Drieu la Rochelle ou de Fernand de Brinon votent FN. L’antisémitisme, c’est bien sûr héréditaire : on ne le tête pas qu’avec le lait de sa mère, c’est génétique.

Pourtant, la haine contemporaine des juifs provient essentiellement de ces « nouveaux Belges » peuplant les quartiers « défavorisés » d’Anvers ou de la capitale.

« Plus d’un tiers des jeunes Bruxellois sont musulmans et, selon une étude de l’Université flamande de Bruxelles, la moitié d’entre eux se déclarent ouvertement antisémites. »

« Plus il y a de personnes provenant de pays musulmans  qui immigrent en Europe, plus l’antisémitisme augmente » conclut, lucide, le rabbin Menachem Margolin.

 


Mohsin Hamid, écrivain anglo-pakistanais

 

Lucidité que ne partage vraisemblablement pas l’Obs qui appelle à accueillir toujours plus de « migrants ». Preuve en est cet entretien avec l’écrivain anglo-pakistanais Mohsin Hamid intitulé « Macron ne peut empêcher l’arrivée des migrants ».

Il souligne que ceux-ci vont arriver en masse en Occident et qu’il y voit UNE CHANCE (mis en majuscules par l’hebdomadaire) pour l’humanité.

L’Obs fait la promotion de son livre « Exil West » qui narre la fuite de Nadia et Saïd du Moyen-Orient dévasté à Mykonos, puis à un squat anglais pour finir s’installer en Californie.

Mohsin Hamid dépeint une Grande-Bretagne « débordée par le flux migratoire, auquel elle répond par la haine et la coercition ». C’est fou comme ces gens peuvent cracher sur leur terre d’adoption. Mais pour l’Obs, c’est du « Voltaire et Orwell, qui écriraient avec la sensualité d’un conte oriental. »

Pour Hamid, le nombre de migrants finira par dépasser largement celui des autochtones. C’est logique, dans l’ordre des choses, inévitable et souhaitable.

Parce que c’est le sens de l’Histoire d’aller « vers plus d’égalité », de lutter contre les disparités : « pourquoi un individu né au Mozambique n’aurait pas les mêmes chances qu’un enfant né en Suède ? » s’offusque-t-il avant d’ajouter, « comment accepter le fait que, si vous êtes né à Mogadiscio, vous soyez condamné à mourir sous les bombes, alors que si vous êtes né à Minneapolis, vous puissiez mener une vie passionnante et jouir de l’existence ? ».

Bienvenue donc aux Mozambicains et aux Somaliens, NOS futures CHANCES pour l’humanité.

Quel sera alors le futur de l’Europe ? C’est simple : les vieilles générations identitaires vont crever.

« Que vous le vouliez ou non, les gens vont arriver […] La bonne nouvelle, c’est que ce que la génération d’avant jugeait intolérable […] finit par apparaître normal aux yeux de la génération suivante. […] Ce qu’il faut, c’est se demander comment on peut transformer cette apocalypse annoncée – l’arrivée massive des migrants – en quelque chose de très beau. »

Et pour lui, à l’instar de nombreux gauchistes du monde entier, l’État islamique et Trump, c’est du pareil au même car le langage de Trump est « raciste, xénophobe et violent ; très similaire à celui de l’État islamique. Et je ne sais pas qui a plus de sang sur les mains […] Il y a, entre les deux, une similarité très forte. »

Les Américains sont donc aussi sanguinaires que les nazislamistes, l’Occident toujours aussi raciste et xénophobe mais l’écrivain anglo-pakistanais et les « migrants » préfèrent quand même y vivre, dans l’attente de remplacer les générations précédentes. Si ce n’est pas de l’apologie du grand remplacement… ça y ressemble.

Mais il est vrai que pour la plupart des médias, cette thèse est complotiste. Et l’Obs, à propos de l’antisémitisme virulent des nouveaux-venus, de poser la question :

 « Est-ce à dire qu’il faut cesser d’accueillir des migrants […] ? Évidemment non ».

L’Obs n’a toujours rien compris.

Source

 

 

Des musulmanes dénoncent le harcèlement et les agressions sexuelles lors du pélerinage à la Mecque

#MosqueMeToo : des musulmanes dénoncent le harcèlement et les agressions sexuels lors du pèlerinage à La Mecque

#MosqueMeToo. (« #MosquéeMoiAussi ») Sur Twitter, les témoignages de femmes musulmanes affluent. Elles relatent le harcèlement sexuel voire les agressions dont elles disent avoir été victimes, notamment lors du hadj, le pèlerinage à La Mecque, qui rassemble quelque deux millions de pèlerins venus du monde entier chaque année en Arabie saoudite.

Le hashtag a été initié par une journaliste et féministe américano-égytienne, Mona Eltahawy, lundi 5 février, raconte la BBC (en anglais). « J’ai partagé mon expérience d’agression sexuelle pendant le hadj en 1982 alors que j’avais 15 ans dans l’espoir que cela aiderait les femmes musulmanes à briser le silence et le tabou qui entourent leur expérience de harcèlement ou d’agression sexuelle pendant le hadj ou dans des lieux sacrés », explique-t-elle dans un tweet.

 

Mona Eltahawy (@monaeltahawy) 6 février 2018

« 

Je n’ai jamais été autant harcelée que dans la ville sainte »

Dans la foulée, plus de 6 000 tweets ont été publiés sur le réseau social. « Une de mes amies a subi des attouchements durant le hadj et quand elle a fait des histoires, ses camarades de hadj lui ont demandé de laisser tomber », affirme Farisa Nabila. « Une des raisons pour lesquelles je ne dis jamais : ‘Oui’ quand les gens ont demandé, ‘Voulez-vous aller à La Mecque une fois de plus ?’ Je n’ai jamais été autant harcelée que dans la ville sainte », poursuit la jeune femme.

 

Aisha Sarwari (@AishaFSarwari) 6 février 2018

Farisa Nabila (@risanab) 6 février 2018

 

« C’était dégueulasse »

« J’ai aussi été harcelée à La Mecque et à Médine pendant le hadj quand j’avais une vingtaine d’années. C’était dégueulasse et ça m’a déroutée. Je l’ai dit à mes parents tout de suite, mais je n’ai pu donner les détails que l’année dernière », confie Bunga Manggiasih.

 

Bunga Manggiasih (@bungamanggiasih) 6 février 2018

 

D’autres témoignent avec pudeur de leur douleur intime. « Je trouve difficile de penser à la omra [le pèlerinage] maintenant, quelque chose qui aurait dû être l’un des meilleurs souvenirs de ma vie et qui aurait dû me rapprocher de Dieu a gâché ma vie« , écrit Mariha Syed.

 

Mariha Syed (@MarihaSyed) 6 février 2018

 

Pour beaucoup, la lecture de ces milliers de tweets a fait remonter à la surface d’« horribles souvenirs ». « Les gens pensent que La Mecque est l’endroit le plus sacré pour les musulmans, donc personne n’y ferait rien de mal.[C’est] totalement faux », assène Anggi Lagorio, qui se remémore son pèlerinage de 2010.

 

Anggi Lagorio (@AnggiAngguni) 6 février 2018

« Les femmes musulmanes comme toutes les femmes subissent du harcèlement, mais quand cela arrive dans un contexte religieux, on leur demande de se taire pour une cause plus importante qu’elles. C’est à la fois injuste et oppressif », dénonce Aisha Sarwari, éditorialiste et féministe.

 

Aisha Sarwari (@AishaFSarwari) 6 février 2018

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/mo...

Christine Tasin

Ce n’est pas drôle, mais si au moins cela pouvait servir à faire comprendre aux musulmans ( surtout aux femmes ) et aux dhimmis que le voile n’a rien à voir avec la pudeur, qu’il n’empêche ni le harcèlement, ni les agressions ni le viol… On aurait fait un grand pas en avant.

Mais c’est sans doute trop tôt en ces temps de haine de la France et d’utilisation politique et fanatique du voile.

Source

Immigration choisie : Éric Brunet se trompe. Voici pourquoi…

Les lecteurs de Valeurs actuelles avaient déjà noté l’évolution très libérale d’Éric Brunet dont les chroniques sont surmontées de la devise « Liberté chérie ». Oubliant, au passage, un autre vers de « La Marseillaise » : « Amour sacré de la Patrie ». Dans le dernier numéro, Éric Brunet titre que « l’avenir, c’est l’immigration choisie » et sous-titre que « faire des migrants un atout économique, c’est possible ». Nous démontrerons qu’il se trompe ; plusieurs fois.

D’abord par l’emploi du mot fourre-tout de « migrant », car il faut distinguer les situations juridiques de « candidat à l’immigration », réfugié, clandestin, candidat à la régularisation, naturalisé, « regroupés familiaux », bénéficiaire de visas et permis de séjour d’études, de travail…

Mais, surtout, Éric Brunet se trompe gravement en laissant croire que l’immigration serait un fait acté, inéluctable, pour lequel la seule marge de manœuvre ne serait plus que le contrôle plus ou moins rationnel, selon les seuls critères économiques…

Or, le principe majeur est le « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes » introduit en 1945 dans la Charte des Nations unies. Plusieurs résolutions de l’Assemblée générale des Nations unies ont réitéré ce droit : résolution 1514 (15/12/1960, octroi de l’indépendance aux peuples colonisés et résolution 1541); résolution 2621 (12/10/1970) ; résolution 2625 (24/10/1970), Pacte de 1966 fondant la juridicité du droit des peuples. Ce droit des peuples est un droit de l’homme collectif, rappelé partout : article 4 du Pacte des Nations unies pour les droits civils et politiques : « Dans le cas où un danger […] menace l’existence de la nation, [celle ci] peut prendre des mesures [de sauvegarde] » ; article 1er de ce Pacte : « Les peuples assurent librement leur développement social et culturel » ; et la Convention africaine des droits de l’homme et des peuples affirme même (art. 22) « le droit au respect de l’identité des peuples ».

C’est à la nation française seule de décider de son immigration : zéro, négative ou positive. Or, elle n’a jamais été consultée sur cette grave question. Pire : ses dirigeants, trahissant la volonté souveraine des Français (référendum de 2005 sur la Constitution européenne), ont confié notre fragile destin sociologique de nation cohérente à Bruxelles (traité de Lisbonne 2008), notamment sur la question « migratoire ».

 Alors, que pèse la théorie de Brunet ? Rien. Notamment lorsqu’il s’en prend à la phrase de Laurent Wauquiez : « Il y a trop d’immigration en France […] nos capacités d’intégration sont saturées », ce qui, selon Brunet, suffit à « réveiller les vieux affrontement » droite-gauche ». Or, ce clivage n’existe plus et, sur le thème de l’immigration, il y a un consensus, y compris chez les Français issus de l’immigration, pour fermer la porte car : 12 % de chômeurs, 15 % de travailleurs et retraités pauvres, la jungle de Calais, la menace islamiste, les banlieues et l’école hors contrôle, les budgets sociaux exsangues…

La planète est confrontée à une expansion démographique sans précédent historique (de 1 milliard à 7 milliards et demi en un siècle) : l’humanité doit savoir que ce n’est plus possible et que l’Europe n’a pas vocation à absorber le boom nataliste des pays pauvres. Les démographies doivent être stabilisées.

Le vieillissement ? Il est la donnée désormais incontournable de cette stabilisation. On doit l’accepter et s’y adapter.

Les « exemples » du Canada et de l’Australie ? Que Brunet compare les densités ! Canada : 4 habitants au km² ; Australie : 3 ; France : 117 ; Allemagne : 232. Et les pays de départ ? Côte d’Ivoire : 63 ; Congo : 13 ; Soudan du Sud : 18 ; Maroc : 74 ; Algérie : 16. Quant aux USA, malgré leurs espaces, ils voient se constituer des communautés musulmanes refusant l’intégration, voire agressives (même numéro de Valeurs actuelles). L’expansion continue de l’humanité est finie. Il est temps de le comprendre et d’en tirer les conséquences. Migrationnismes libéral et gauchiste, même combat ?

Henri Temple

Source

Que révèle notre fascination pour le crime et les criminels ?

Le psychiatre, expert judiciaire, Daniel Zagury a écrit un grand livre, La Barbarie des hommes ordinaires, sous-titré Ces criminels qui pourraient être nous. Il explore brillamment « la clinique de la banalité du mal » et les basculements dans toutes sortes de crimes.

Si des gens ordinaires peuvent tomber dans la barbarie, la barbarie ne laisse jamais indifférents les citoyens ordinaires.

On se demande souvent, comme s’il s’agissait d’une curiosité honteuse, pourquoi les citoyens éprouvent une appétence pour les faits divers, voire une « fascination de l’horreur ». Une passion pour l’univers criminel en général et pour certains crimes en particulier, ceux de sang qui s’inscrivent dans une quotidienneté familière.

Pourtant, rien de plus normal que cette attention du public pour l’histoire infiniment diverse de ce qui blesse et bouleverse la société. Pour ces séquences si révélatrices où certains d’entre nous se permettent d’accomplir des actes qui nous renvoient avec stupéfaction à nous interroger nous-mêmes : aurions-nous pu commettre les mêmes transgressions ?

Je ne crois pas que « la fascination de l’horreur » soit le ressort fondamental pour expliquer l’intérêt que même ceux qui se prétendent indifférents éprouvent pour ces extrémités criminelles qui disent beaucoup.

D’abord la chose criminelle, une fois qu’elle est médiatisée, est en quelque sorte à la disposition de tous. Elle devient commune, elle crée paradoxalement un lien qui rassemble cette multitude indignée, soupçonneuse, inquisitrice ou vengée. N’importe qui a le droit d’exprimer une opinion et cette légitimité pour débattre et analyser, qui n’est plus seulement dévolue aux spécialistes mais à tous, constitue le crime comme une occasion provocatrice d’unité.

Ce crime qui vient d’être commis dont on n’a pas encore interpellé le ou les auteurs, on sait qu’il a été perpétré par des êtres qui relèvent de notre humanité même si, par facilité, on les qualifie de monstrueux, confondant l’acte avec l’acteur.

 

Ils sont donc de notre monde et quand ils ont été appréhendés, impossible de ne pas les ressentir, malgré toute leur cruauté ou notre ressentiment, pour des personnes qui offrent le visage banal de quelqu’un sur qui le crime n’était pas inscrit, sur qui le crime est survenu comme une odieuse parenthèse.

Ces criminels sont donc nous, évidemment, mais ayant poussé au-delà de nos honorables limites des pulsions, des instincts, des volontés homicides. Ils sont nous, donc, mais ne sont pas nous, nous offrant ce bonheur sombre et un peu malsain de sentir qu’eux ont dépassé honteusement, sans pitié, les bornes mais que nous sommes demeurés en deçà. Que nous sommes restés des humains alors que nous aurions pu nous imaginer dans certaines circonstances, par un cauchemar délibéré, impliqués dans le pire. Mais sans ignorer que nous nous faisons peur pour goûter de loin l’extraordinaire transgression, nous qui sommes des gens ordinaires.

Il y a non pas une fascination de l’horreur mais probablement plutôt une fascination pour les processus qui ont fait d’un humain un humain criminel. Pour cette seconde, ces minutes, ces heures ou ces semaines qui ont fait surgir, de manière organisée ou non, la mort de l’autre comme une option. Le crime étant généralement le plus court chemin, pour des moralités défaillantes ou des faiblesses intellectuelles, pour aller d’un problème à une apparente solution vite battue en brèche par policiers, magistrats et prison.

Nul sadisme, donc, dans cette focalisation citoyenne sur ce qui, tout à coup, a ensanglanté la normalité, souvent dans un cadre qui nous rappelle le nôtre mais sans que l’innommable l’ait sali.

Sang pour cent : le crime, une passion ordinaire…

 Extrait de : Justice au Singulier
 
 

 

Vidéo TERRIFIANTE. Face à face avec un exécuteur de l’État islamique

Cette vidéo est extraite d’un documentaire de la BBC.

Âmes sensibles s’abstenir.

La Video

Pour l’heure, bien peu d’informations sur le lynchage de Montreuil ?

Tout ce que l’on a pu entendre à la radio ou lire dans le Parisien, c’est qu’un homme d’une trentaine d’années, d’origine tunisienne, a été « battu à mort » à Montreuil par une bande d’une quarantaine d’individus. Cela s’appelle pourtant un assassinat par lynchage. 

 

Mais cet assassinat-là, on ne peut semble-t-il l’imputer à quelque bande de « skinheads » (dons assimilés à de l’extrême-droite). Alors les medias n’y accordent qu’une très minimale attention. Comme si toute imputation raciste en était impossible.

 

Ainsi un lynchage caractérisé n’est-il traité que comme un fait divers sans grand intérêt dès lors que l’on ne peut, le commenter à la lumière de la dialectique de l’antiracisme.

 

Nous reparlerons de cela mercredi dans notre émission de la réplique sur Radio-Courtoisie. 

 

 

Élections législatives partielles dans le territoire de Belfort et dans le Val d’Oise.

 

Comme il peut hélas aujourd’hui en être assez souvent, on trouve plus matière à satisfaction en constatant une défaite qu’à la nouvelle des victoires.

 

Dans les deux cas, aucun succès d’un candidat de « droite de conviction » ne se profile pour le second tour.

 

Rappelons brièvement que les valeurs prioritaires d’une authentique droite de conviction sont celles du respect de la vie, de la liberté de l’enseignement (et de l’égalité de financement), de la défense de notre identité de civilisation, de lutte contre les totalitarismes.

 

À Belfort, on enregistre donc avec satisfaction la cinglante défaite de Sophie Montel, vice-présidente du parti jacobin de M. Philippot et militante prosélyte acharnée de l’avortement et autres contre-valeurs sociétales de gauche. Montel, avec moins de 2 % des voix, n’obtient que le quart du résultat du candidat du FN que le duo Philippot-Montel voulait battre. 

 

Cela dit, le score du FN est bien médiocre, ce qui ne nous afflige pas non plus tant ce parti n’est plus depuis longtemps représentatif des valeurs rappelées ci-avant et s’est installé dans une conformiste médiocrité « ni droite ni gauche » dont, sans doute, seul pourrait le tirer un changement significatif d’équipe dirigeante. 

 

 

Mercredi sur Radio-Courtoisie.

 

L’équipe de la réplique sera au grand complet avec Cécile Montmirail, Jeanne Smits, Hortense Sauveur, Pierre Henri et Jérôme Triomphe.

 

Au menu notamment :

 

En première partie : 

 

  • Politique intérieure:
  • La tromperie du nationalisme corse, maçonnique et immigrationniste.
  • Non au retour des jihâdistes
  • La question des prisons.

 

  • Politique internationale :
  • Le Congo de Laurent Kabila (le rôle de l’Église catholique – le poids de la Chine).
  • Les rivalités au Proche-Orient (Turquie – Iran – Syrie – Lybie – les stratégies de la Russie et des États-Unis – la question kurde).
  • Israël et l’immigration.

En deuxième partie : 

 

  • Le crime de Montreuil.
  • Les procès de l’AGRIF.
  • Hidalgo et Che Guevara – la manipulation « Mai 68 – mai 2018 ».

Source

mercredi, 07 février 2018

Migrants: la «route de l’Espagne», itinéraire de tous les dangers

Par Laurent Ribadeau Dumas (avec AFP)

Lien direct car document lourd (geopolis)

Peut-on être issu de l’immigration et contre les migrants ?

 

Lien direct car document lourd

«On n’éradiquera pas l’excision sans changer les hommes»

Le militant marseillais Kélétigui Coulibaly a choisi de s’adresser aux hommes pour lutter contre l’excision.

 

« On n’éradiquera pas l’excision sans changer les hommes » : conteur en langue bambara et militant associatif à Marseille, Kélétigui Coulibaly a choisi de s’adresser aux maris et aux pères pour faire reculer cette mutilation génitale des femmes.

 

 

Vous êtes l’un des rares hommes à vous battre contre l’excision au sein de l’association marseillaise de lutte contre cette tradition, Gams Paca. Pourquoi est-il crucial de s’adresser aux hommes ?

 

 

Kélétigui Coulibaly : Ce sont des mamans elles-mêmes qui m’ont demandé d’aller parler à leur mari, car si un homme y allait, au moins il l’écouterait. Je suis originaire de la Côte d'Ivoire et du Mali, issu d’une caste de forgerons dont les femmes deviennent traditionnellement les exciseuses, donc les hommes savent qu’ils ont affaire à quelqu’un qui les comprend.

 
p>

 

 

Il est fondamental de parler aux hommes, si l’on veut que l’excision s’arrête. Ce sont les hommes qui sont à la base de la demande de l’excision. Pour eux, si la femme n’est pas excisée, elle n’est pas prête pour être mariée. Il faut aller les voir pour leur en expliquer les méfaits : si plus aucun homme n’exige une femme excisée, l’excision va disparaître.

 

 

Comment faites-vous pour les convaincre d’abandonner ce qu’ils estiment être une tradition ancestrale ?

 

 

Confrontés au choc culturel de l’immigration, les hommes se raccrochent aveuglément aux rares choses sur lesquelles ils peuvent garder la main, dont l’excision de leurs propres filles. Ils n’ont souvent pas conscience des conséquences, des souffrances des femmes. Dans leur tête, quand ils ont un rapport avec une femme, et qu’elle gémit, qu’elle se plaint, c’est un gage de leur virilité, c’est qu’ils sont puissants. Moi je leur dis : « oui, vous êtes puissants, mais elle devrait gémir de plaisir, pas de douleur ». Il y a une grande méconnaissance. Petit à petit, on leur explique : « vous voyez bien que cette femme, elle n’a pas de clitoris », et les gens commencent à comprendre.

 

 

Il faut combattre aussi les idées reçues : ces hommes se disent « le clitoris est un organe qui permet à la femme d’avoir beaucoup de sensibilité. Si ma femme retrouve le sien, elle aura sans cesse envie, elle va passer derrière mon dos, faire l’amour avec le voisin ». Je dois expliquer que les femmes excisées ont le sentiment d’avoir perdu quelque chose, de ne plus être une femme.

 

 

Une fois que les maris ont compris que l’excision est une mutilation génitale, la partie est-elle gagnée ?

 

 

Il est important aussi de faire aussi des actions auprès des jeunes garçons. Systématiquement un papa qui est marié à une dame dont il a exigé l’excision avant le mariage conseillera à son fils de faire de même. Il faut que les jeunes garçons puissent répondre, pour essayer de mettre un frein à ça.

 

 

Et il reste du chemin à faire : en dix ans, je n’ai vu qu’un seul homme avoir l’idée de proposer à sa femme la réparation (chirurgicale). D’une manière générale, les hommes ont du mal à accéder à ce niveau de compréhension. Même lorsqu’ils ont compris que l’excision est un tort qui a été fait à leur femme, pour beaucoup, accepter la réparation, c’est comme accepter qu’ils ne sont pas compétents sexuellement. Un mari m’a dit « si elle veut retrouver son clitoris, c’est qu’elle n’est pas satisfaite. Qu’elle se trouve un autre homme ».

 

LIRE AUSSI >Interactif. Excision : 200 millions de femmes mutilées dans le monde

 

laparisienne.com
 
Source

Un nouveau président élu à la tête de la Grande Mosquée de Clermont-Ferrand

Rédigé par Benjamin Andria

Depuis le décès de Hocine Mahdjoub en octobre 2017, la Grande Mosquée de Clermont-Ferrand n’avait plus de président à sa tête. C’est désormais le cas depuis la tenue d’une assemblée générale extraordinaire vendredi 2 février.

Mohamed Berradi a été plébiscité pour prendre la tête du lieu de culte. Originaire du sud algérien, il a la qualité d’avoir été le compagnon d'école de Hocine Mahdjoub qui était très apprécié des fidèles.

« Comme lui, il est le pur produit des écoles et zawiyas soufies, celle très réputée d'Adrar », en Algérie, signale ainsi la mosquée dans un communiqué. « Lors de son premier prêche en sa qualité d'imam de Clermont, il a rendu un vibrant hommage à son prédécesseur auquel il a juré fidélité et amour indéfectible. »

Une cérémonie d’introduction du recteur aux autorités civiles et religieuses locales sera prochainement organisée.
 

Le Conseil théologique des imams du Rhône voit le jour

Rédigé par Hanan Ben Rhouma

Les imams du Rhône s’organisent. Une trentaine de ces cadres religieux officiant dans le département se sont réunis dimanche 4 février à la Grande Mosquée de Lyon. A l’issue de cette rencontre, ils ont annoncé le lancement du Conseil théologique des imams du Rhône (CTIR).

« Ce conseil, indépendant dans sa réflexion et ses décisions, est un espace organisé qui permettra aux imams de coordonner leurs efforts notamment dans le domaine du culte et d’harmoniser leurs avis religieux (fatwas) », avec pour ambition aux interrogations de musulmans « dans un esprit d’ouverture et de compréhension, loin des excès » expliquent les initiateurs dans le communiqué, qui espèrent « se doter des moyens nécessaires pour parfaire l'intégration du culte musulman au sein de la République » avec le CTIR.

Cinq commissions, répondant à plusieurs défis constatés par les imams, ont été installées : l’enseignement et la formation, la consultation religieuse (fatwas), les rites musulmans, la communication et le dialogue intereligieux, l’éthique et la déontologie.

Le CTIR – à ne pas confondre avec le Conseil théologique musulman de France (CTMF) dont la nouvelle instance est indépendante – indique vouloir travailler « en harmonie avec toutes les instances musulmanes de France dans un esprit de dialogue et de concertation ».
 

Des organisations féminines dénoncent la violence des migrants

La multiplication des meurtres et agressions sexuelles commis par des migrants, venus en masse depuis la politique d’ouverture des frontières engagée par Angela Merkel, inquiète de plus en plus l’opinion allemande, notamment les femmes, qui en sont les premières victimes.

Suite à plusieurs faits divers récents impliquant des réfugiés dans des meurtres de jeunes femmes, les initiatives féminines pour dénoncer l’insécurité qu’elles subissent se multiplient depuis quelques semaines.

Le 28 janvier dernier à Kandel, petite ville à la frontière franco-allemande, un rassemblement de mères de famille locales a organisé une manifestation pour rendre hommage à Mia, une adolescente de 15 assassinée un mois plus tôt par un migrant afghan, ainsi que pour défendre la sécurité à laquelle ont droit leurs enfants. La mobilisation a été un succès et a attiré entre 1 000 et 2 000 personnes.

Le 30 janvier, un groupe de jeunes femmes allemandes a lancé l’initiative « 120 Dezibel », pour appeler à dénoncer à voix haute la violence et les agressions sexuelles « importées » que subissent les femmes européennes.
Le mouvement s’est fait connaître par une vidéo virale diffusée sur plusieurs plates formes internet ainsi que par un site web ( http://www.120db.info/ ) et un hashtag #120dB.

Source et Video

 

Filmé 24h/24, salle de sport aménagée… comment est détenu Salah Abdeslam à Fleury-Mérogis

Le procès de Salah Abdeslam qui doit s’ouvrir lundi à Bruxelles nécessite la mise sur pied d’un dispositif de sécurité hors normes dans et aux abords du palais de justice. Au côté d’un complice, il comparaît pour sa participation présumée à une fusillade avec des policiers le 15 mars 2016 à Bruxelles, trois jours avant son arrestation. Mais sa détention à Fleury-Mérogis est elle-même exceptionnelle :

La Video

« Ils s’en prennent à tout le monde » : le ras-le-bol des Calaisiens concernant les migrants

Après les violents affrontements entre clandestins le 1er février qui ont fait 22 blessés dont cinq par balle, des Calaisiens reviennent au micro de RT France sur les relations difficiles qu’ils entretiennent avec les clandestins :

La Video

Estrosi et ses élus installent une nouvelle mosquée radicale dans des locaux municipaux !

Communiqué FN du 2 février 2018 :

La majorité estrosiste (jusque dans ses composantes les plus « ciottistes ») aura donc voté à l’unanimité la délibération du Conseil municipal qui – sous prétexte de s’opposer à la mosquée En-Nour – entérine l’attribution immédiate d’un local municipal de 500 m² (au 43 route de Grenoble) pour y installer une mosquée qui sera co-administrée par la représentation locale de l’UOIF, émanation notoire des Frères musulmans dans notre pays. Pire, ces locaux ne sont qu’un hébergement provisoire en attendant que soit érigée une immense mosquée de 1000m², sur le terrain municipal de 3000m² mis à disposition par Christian Estrosi dans la plaine du Var.

Dans une ville marquée dans sa chair par le terrorisme islamiste (rappelons que le djihadiste du 14 juillet avait fréquenté la mosquée UOIF de Nice Nord), il s’agit d’une décision scandaleuse, d’une forfaiture qui restera à l’actif de TOUS les élus s’étant compromis par ce vote. Nous nous chargerons de leur rappeler, et de le rappeler à tous les Niçois.

Les élus du Front National, comme aujourd’hui au Conseil municipal, s’opposeront de toutes leurs forces – et par tous les moyens, même légaux – à cette nouvelle compromission de Christian Estrosi et ses élus avec l’islamisme.


Philippe Vardon
Vice-président du Groupe Front National – Région PACA
Responsable du bassin niçois

Marie-Christine Arnautu
Conseillère municipale et métropolitaine de Nice
Député français au Parlement européen

Sur le même sujet, lire notre reportage :  Nice: La librairie de l’imâm modèle d’Estrosi diffuse des livres radicaux (enquête)

Source

Carl Lang et le PdF à Ouistreham contre l'immigration clandestine

 

La Video