Contrôler le marché breton
Cette implantation, déjà anticipée par la mafia albanaise, permettra à cette dernière de créer une tête de pont pour le crime organisé albanais en Bretagne. Objectif : contrôler le marché de la drogue et développer massivement le marché de l’héroïne.
La mafia albanaise est déjà engagée dans le travail préparatoire de mise en coupe réglée de la Bretagne. Elle envoie ainsi des membres du syndicat du crime albanais prendre le contrôle de diverses villes bretonnes, à l’instar de Brest. Bénéficiant de l’appui de filière de passeurs membres de l’extrême-gauche locale, notamment du militant trotskiste Olivier Cuzon , de nombreux clandestins albanais s’établissent dans la cité portuaire pour y implanter les futurs réseaux de distribution de drogue.
On a pu noter ces derniers mois des opérations d’intimidation contre les réseaux de dealers turcs et maghrébins « traditionnels » qui géraient jusqu’à lors le marché de la dope sur Brest. En novembre dernier par exemple, un ressortissant albanais clandestin était ainsi interpellé après avoir mené des représailles contre des turcs .
Faute d’un front politique breton dur, à la différence de la Corse, l’infiltration albanaise devrait s’opérer sans difficulté et accroître considérablement l’affaiblissement de la population bretonne, déjà affectée par l’usage de diverses drogues. Les partis loyalistes français entendent accompagner le mouvement, Parti Socialiste en tête, tandis que la police française se contente de limiter les aspérités les plus visibles de cette évolution!
Le cas de la Vallée de la Tarentaise
Pour donner un ordre d’idée au lecteur, on soulignera que la frontière franco-italienne est déjà sous la coupe de la mafia albanaise.
Le journal de gauche Libération s’en faisait l’écho récemment (source) :
Depuis deux ou trois ans, la vallée de la Tarentaise est touchée par l’implantation du trafic d’héroïne et de cocaïne tenu par les Albanais. «Ce sont des réseaux durs, qui suivent un axe Genève-Annemasse-Annecy et maintenant Chambéry et Albertville, explique Anne Gache, procureure de la République à Albertville. Ils ont investi le terrain. Si un point de vente saute, il est immédiatement remplacé. Ils ont déployé des stratégies commerciales, avec un système de fidélisation. Mais les Albanais montent rarement en station, leurs techniques ne seraient pas assez rentables avec une clientèle de passage.» A Albertville, un noyau croissant d’héroïnomanes est alimenté par cette filière, qui propose une «dope très pauvre en héroïne mais pas chère et tout aussi addictive», note un connaisseur.
La Bretagne devrait connaître une évolution similaire en raison de la politique de remplacement de population voulue par le gouvernement français. Politique dûment mise en place localement par les partis français sur le territoire breton.
La mafia albanaise, connue pour ses méthodes particulièrement violentes (tortures filmées, y compris sur des enfants, etc.), est si crainte que même la mafia italienne évite de s’y confronter !
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