Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 29 septembre 2017

Immigration: l’UE prête à accueillir 50000 réfugiés d’Afrique et du Moyen-Orient

 
Dimiris Avramopoulos
Le Commissaire européen aux Migrations, affaires intérieures et citoyenneté, Dimitris Avramopoulos, annonçant le nouveau programme de «réinstallation» des réfugiés, le 27 septembre 2017, à Bruxelles. © JOHN THYS/AFP

Avec la fin du programme de «relocalisation» des demandeurs d’asile, la Commission européenne s’est fixé un nouvel objectif dans le cadre d’un programme dit de «réinstallation». Elle se dit prête à accueillir 50.000 réfugiés en deux ans dans l’UE directement depuis des pays tiers d’Afrique et du Moyen-Orient. Une alternative à la périlleuse traversée de la Méditerranée.


La Commission européenne a rendu public, le 27 septembre 2017, son  nouveau programme d’accueil de demandeurs d’asile. Elle s’est fixé comme objectif d’accueillir «au moins» 50.000 réfugiés en deux ans depuis des pays tiers africains ou moyen-orientaux.

Une alternative à la traversée périlleuse de la Méditerranée 
Un programme dit de «réinstallation», en remplacement de celui dit de «relocalisation» arrivé à échéance, qui consiste cette fois-ci à organiser directement l’accueil des réfugiés en Europe, avant qu’ils ne se lancent dans une traversée dangereuse voire trop souvent mortelle, de la Méditerranée.
 
Les «arrivées irrégulières» sur les côtes européennes «ont chuté de manière drastique», a fait valoir le Commissaire chargé des Migrations, Dimitris Avramopoulos. «Nous devons augmenter nos efforts pour améliorer des voies légales» vers l’Europe et la «réinstallation doit devenir la voie préférentielle pour le réfugiés afin d’obtenir une protection», a-t-il expliqué.
 
Un budget de 500 millions d’euros a même été «mis de côté» pour soutenir les pays qui accepteront d’accueillir les personnes les plus vulnérables ou ayant besoin d’une protection internationale. Soit une aide de 10.000 euros par personnes.

Une attention accrue aux réfugiés du continent africain
«Une attention accrue devrait être portée sur la réinstallation» de personnes depuis «la Libye, l’Egypte, le Niger, le Soudan, le Tchad et l’Ethiopie», a insisté la Commission, tout en encourageant à poursuivre l’accueil de personnes venues de la Turquie et du Moyen-Orient.
 
Au cours des deux années écoulées, l’ancien programme controversé de «relocalisation», lancé pour soulager les deux pays en première ligne de la crise migratoire, avait permis de répartir 29.000 personnes (sur un objectif initial de 160.000) à partir de l’Italie et la Grèce.
 
Parallèlement au renoncement à l’idée de quotas permanents qui avait créé la polémique, l’exécutif européen a une nouvelle fois appelé les Etats membres à adopter rapidement une réforme durable des règles communes de l’asile en Europe. Les discussions sont enlisées depuis plus d’un an en raison du refus catégorique de la Hongrie et la Pologne d’accueillir des réfugiés sur leur sol.
 
Les Etats membres sont également appelés à être «plus efficaces» dans les renvois des migrants ne pouvant prétendre à l’asile. Leur nombre devrait atteindre 1,5 million de personnes «dans un futur proche» selon la Commission et seul 36% d’entre eux sont effectivement renvoyés après avoir fait l’objet d’une décision dans ce sens.

Source

Refugees not welcome !

 

 

Ce que la bien-pensance et les humanistes de pacotille refusent d’avouer, alors que de nombreux éléments le confirment, c’est que la majorité des pseudo-réfugiés, ne fuient pas la guerre ou une dictature mais sont bel et bien des réfugiés économiques !

Certains, dans le secteur social; sont bien au courant des magouilles et se taisent, soit par complicité idéologique, soit par peur d’être traités de « racistes », ou horreur suprême, d’être qualifiés “d’extrême-droite” .

La réalité c’est que ces “réfugiés”, pour la grande majorité, ne fuient pas la guerre mais cherchent juste à s’implanter en Europe,pour profiter des avantages sociaux vantés dans leurs pays d’origines, par des organisations mondialistes et pseudo humanitaires . D’autres veulent rejoindre l’Angleterre, terre d’accueil des islamistes de tout bords .

Plusieurs documents, que l’on peut trouver sur Google ou Youtube, démontrent que les vrais réfugiés de guerre, dont des millions de Syriens, sont restés à proximité de leur pays pour pouvoir y rentrer au plus vite, une fois le conflit terminé.

Il est prouvé également que de nombreux candidats au passage en Europe ont déboursé des milleirs d’euros pour prendre la mer. Nombre d’entre eux ont des smartphones dernier cri, avec lesquels ils arrivent , alors qu’ils sont toujours en mer, à téléphoner via les satellites, aux organisme d’accueils en Europe. Un média avait aini fourni le n° de téléphone d’un organisme d’aide aux réfugiés, situé à Strasbourg, que les migrants appelaient pour faire intervenir les sauveteurs des gardes-côte et organiser des faux sauvetages avec le concours d’une presse aux ordres. Pour se faire,, des migrants avaient fait semblant d’avoir basculer par dessus bord (voir photo) .

Mais quels avantages les attirent donc par ici ?

  • Ils ont droit aux soins médicaux gratuits
  • Les rares familles avec enfants obtiennent assez facilement un logement, dès que leur statut de réfugié est établi. Les enfants sont scolarisés gratuitement également .
  • Ils reçoivent de l’aide vestimentaire, alimentaire, via des organismes tels Fedasil, la Croix Rouge, ou les « Refugees Welcom » .
  • Ils sont logés soit dans des centres fermés ou ouverts, selon le cas OU dans des casernes réaffectées pou dans les infrastructures de la Croix Rouge
  • Ceux qui sont reconnus comme réfugiés et ceux qui sont inscrit au registre de la population, reçoivent le RIS ((Revenu d’Intégration Sociale) .
  • Une aide financière est accordée à ceux qui sont inscrit au registre des étrangers.
  • Les demandeurs d’asile ont droit à l’aide aux frais de logement .
  • Ils ont droit aux allocations familiales et même à la prime de naissance .
  • Certains arrivent à travailler au noir, pour des profiteurs négriers. Et ceux qui se font prendre utilisent ce fait comme alibi, pour réclamer une régularisation qui “éviterait qu’ils travaillent au noir”..

Quant à la régularisation, elle ne sert leur sert essentiellement qu’à leur donner accès à encore plus d’avantages sociaux.

Voilà la réalité, une réalité dont tous les politiques sont au courant. Ils savent que cette immigration qui dure depuis 1987, avec des pics et des accalmies, met notre sécurité sociale à mal. Les caisses se vident au détriment de nos pauvres dont plus de 17.000 SDF, de nos ménages en situation de précarité, ou encore, de nos retraités qui doivent survivre avec une pension de misère .

NATION s’insurge contre ce système, et demande que soit appliqué l’article 77 et 77 bis de la loi du 15/12/1980 sur l’accès au territoire, le séjour, l’établissement et l’éloignement des étrangers . Il faut que ceux qui aident les réfugiés économiques soient punis judiciairement! Car aider des migrants sur notre sol, c’est clairement de la complicité au trafic d’êtres humains !

Jean-Pierre DEMOL

SAMEDI 30 SEPTEMBRE A 17 H A LA GARE DE COUVIN : VENEZ MONTRER QU’A COUVIN COMME DANS LE RESTE DE NOTRE PAYS : » REFUGEES ARE NOT WELCOME ! »

FAUX REFUGIES ! FAUX NAUFRAGE ! ON VOIT A DROITE DE LA PHOTO QU’ILS ONT PIED !

Le Vlaams Belang lance une campagne pour «mettre fin à l'immigration»

 

Belga

 

Le parti d’extrême droite Vlaams Belang a annoncé jeudi le lancement cet automne d’une campagne pour «mettre fin à l’immigration», seul moyen selon lui de maintenir en l’état la sécurité sociale en Belgique.

 

 

Le slogan de cette campagne sera «Het geld is op, immigratiestop» ( »l’argent est épuisé, stop à l’immigration"), ont expliqué le président du parti, Tom Van Grieken, et la cheffe de groupe VB à la Chambre, Barbara Pas, lors d’une conférence de presse. Selon les calculs du Vlaams Belang, l’immigration coûte chaque année au moins 987 euros à chaque contribuable.

 

Le parti se présente comme une alternative «entre le modèle du PS - qui combine selon lui une sécurité sociale pour tous à des frontières ouvertes - à celui de la N-VA». Ce dernier consiste, selon M. Van Grieken, à dire qu’il n’y pas d’autre choix que de faire des économies au sein de la sécurité sociale et combine de facto cela avec l’ouverture des frontières.

 

«Nous souhaitons une sécurité sociale forte. Mais il faut coupler cela à un arrêt de l’immigration si l’on veut continuer à rendre la sécurité sociale accessible aux chômeurs et aux malades en conservant des pensions correctes», a affirmé le président du VB. Il a comparé les économies réalisées l’an dernier dans la sécurité sociale, soit 1,3 milliard d’euros, qui correspondent aux surcoûts engendrés par l’accueil des demandeurs d’asile.

 

«Alors que la pension moyenne après une carrière complète s’élève à 1.100 euros par mois, le coût moyen de l’accueil d’un demandeur d’asile est de 1.295 euros», a dit M. Van Grieken.

 

Source

 

 

Quelques réflexions sur l’Europe !

 

 

C’est une tout autre Europe qu’il aurait fallu bâtir que l’Union européenne technocratique et mondialiste que nous connaissons actuellement. Pas une Europe technocratique, aux ordres des forces de l’argent et à la solde de l’impérialisme américain. Nous sommes pour une Europe puissante qui défendrait son économie et pèserait sur la politique internationale tant sur un plan militaire que diplomatique.

Certaines personnes voudraient que l’Europe soit une sorte de zone tampon qui permettrait aux USA de pouvoir isoler et déstabiliser la Russie. C’est pourquoi il est important que les partis comme NATION, et d’autres en Europe, essaient de ne pas laisser se développer un sentiment russophobe artificiellement créé par des médias et des politiques aux ordres de Washington et de Wall Street.

Nous pensons qu’il existe au sein de l’Europe ? un « Parti Américain » horizontal, c’est à dire qu’il comprend des gens se situant aussi bien à l’extrême droite qu’à l’extrême gauche, en passant par les partis traditionnels. Et quelque soit leur couleur politique, ce sont toujours les intérêts américaines, cachés ou non, qu’ils défendent.

Poutine a déjà montré qu’il partageait cette analyse. Il est sans doute conscient de la haute puissance de ce « Parti Américain ». Ce qui explique qu’elle, se tourne de plus en plus vers des partis patriotiques, qui veulent une Europe indépendante des USA.

Selon nous, l’Europe va de Brest à Vladivostok. La Russie fait donc partie de l’Europe! Et cette Europe serait une Europe puissante sur un plan économique, diplomatique et militaire.

Cette Europe-là est encore possible. Si nous arrivions à empêcher les fauteurs de guerre pro-américains d’arriver à leurs fins. Si les forces patriotiques et opposées à l’impérialisme américain prennent de plus en plus d’importance.

Et nous y travaillons tous les jours!

Irak: l'EI s'empare bièvement de trois villages dans l'ouest

Des jihadistes du groupe Etat islamique (EI) ont occupé mercredi durant quelques heures trois villages dans l'ouest de l'Irak avant d'être tués par les forces gouvernementales, selon des sources de sécurité.

"Les forces de sécurité et les tribus ont repris le contrôle des localités d'al-Tach, Majar et la 'zone 7 km' au sud et à l'ouest de Ramadi. Tous les membres de Daech (acronyme arabe de l'EI) ont été tués", a affirmé aux journalistes le chef de la police de la province d'al-Anbar, le général Hadi Razij Kassar.

Il a précisé que les forces de sécurité procédaient à un ratissage dans ces zones pour débusquer des jihadistes qui pourraient encore se cacher.

"Il y a eu deux morts dans les rangs des forces de sécurité et 18 civils ont été blessés dont des femmes", selon une source militaire à l'hôpital de Ramadi.

Auparavant, un général de l'armée qui n'avait pas voulu être identifié avait indiqué que "des renforts de l'armée et de la police avaient été dépêchés sur place où se déroulaient de violents affrontements".

"Un couvre-feu total avait été imposé dans la ville de Ramadi et ses environs", selon ce général. 

Ramadi, chef-lieu de la vaste province majoritairement sunnite d'Al-Anbar a été conquis par l'EI en mai 2015 avant d'être repris par les forces gouvernementales le 9 février 2016. Cette ville est située à une centaine de km à l'ouest de Bagdad.

Source

Alternative pour l'Allemagne: des élus très à droite

Ils sont magistrats, universitaires ou banquiers et se proclament "patriotes". Mais derrière leur profil de notables, les 93 nouveaux députés de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) véhiculent pour beaucoup une idéologie flirtant avec le révisionnisme et la xénophobie.

 

"Un groupe parlementaire très à droite", résume l'hebdomadaire Der Spiegel.

Le parti anti-immigration a créé un séisme en Allemagne lors des élections législatives dimanche en devenant le premier mouvement de ce type depuis la guerre à entrer avec un tel score, près de 13%, à la chambre des députés.

Et depuis, le pays scrute les biographies des nouveaux venus, peu connus au plan national. Ils promettent "une véritable opposition" à la chancelière Angela Merkel au Bundestag.

Des 94 députés élus sous la bannière de l'AfD, un manque toutefois déjà à l'appel. Il s'agit de l'une des dirigeantes du parti, Frauke Petry, qui a claqué la porte au lendemain du scrutin en dénonçant "la radicalisation" de la formation.

Détail piquant: elle était elle-même considérée il y a encore deux ans comme tenante d'une ligne dure lorsqu'elle fit de l'AfD, né dans la contestation de l'euro, un parti populiste anti-migrants, avant de se faire à son tour déborder.

- Fin de la repentance -

La fin de la repentance allemande pour les crimes nazis revient désormais comme une antienne dans le parti.

Le porte-drapeau de la campagne électorale, Alexander Gauland, vient de créer la polémique en invitant ses compatriotes à être "fiers" des soldats allemands durant la Deuxième guerre mondiale.

Cet ancien cadre du parti conservateur CDU d'Angela Merkel emboîtait le pas à un autre héraut de cette tendance, Björn Höcke, qui peut compter sur le soutien de plusieurs dizaines de nouveaux députés AfD. Höcke a qualifié le Mémorial de la Shoah à Berlin de "monument de la honte".

Son collègue, Jens Maier, juge à Dresde en Saxe, a exprimé de la sympathie pour le néo-nazi Anders Behring Breivik, qui a tué 77 personnes en 2011 en Norvège, estimant qu'il avait agi "par désespoir" face au multiculturalisme. Il s'est aussi récemment inquiété de "la création de peuples de sangs-mêlés".

Outre des procureurs et des juristes et plusieurs anciens membres de la CDU déçus du virage centriste d'Angela Merkel, on trouve des policiers et militaires, un ancien journaliste de radio, un ex-pilote et même un ancien informateur de la Stasi, la police secrète de la RDA communiste.

Ce dernier, Detlev Spangenberg, a également milité jadis pour une Allemagne dans ses frontières de 1937.

- L'ex-RDA place forte -

Comme lui, une large majorité des députés sont des hommes originaires de l'ex-RDA, là où l'AfD est la plus populaire, notamment en Saxe où le parti est arrivé en tête dimanche.

C'est dans cet Etat frontalier de la Pologne et de la République tchèque que les liens entre les élus de l'AfD et le mouvement d'extrême droite Pegida, pour "Patriotes contre l'Islamisation de l'Occident", sont les plus étroits.

C'est là aussi que la chancelière s'est fait conspuer le plus souvent, traitée de "traître à la patrie" pour avoir ouvert les portes du pays à plus d'un million de demandeurs d'asile.

Selon les médias allemands, d'autres élus ont pour leur part des liens avec des confréries radicales, les ultra-nationalistes russes, des mouvements identitaires ou sont conspirationnistes.

Les nouveaux élus aux parcours disparates se sont retrouvés cette semaine pour une première réunion au Parlement à Berlin.

Objectif: mettre en sourdine les déchirements internes sur la ligne à suivre, que la victoire électorale a paradoxalement ravivés.

Le parti est traversé de différents courants aux frontières changeantes, notamment l'un dit modéré et très libéral sur le plan économique avec une trentaine de députés et un national-identitaire. Le plus radical a pris le dessus dans la bataille idéologique.

Dans l'immédiat, "il est temps de se mettre au travail", clame Beatrix von Storch, membre elle du courant chrétien ultra-conservateur et devenue la figure de proue du mouvement à Berlin.

"Nous voulons limiter le nombre de réfugiés, nous sommes contre l'islamisation, nous voulons préserver notre culture", dit-elle. "Rien que des thèmes très normaux".

Source : AFP

Source

Écoles catholiques : le texte sur la multiculturalité qui fait le lit de l’islamisation

Ici même, je me félicitais de ce que Lidl ait annoncé le retour des croix

sur les coupoles des églises de Santorin que la firme allemande avait effacées sur ses produits grecs, précédée ou suivie, d’ailleurs, par la plupart des grands distributeurs comme Leclerc et Carrefour. Mais que dire du grand chambardement qui se prépare dans les écoles dites catholiques ?

Le journal Présent s’est intéressé à un document de quarante pages adressé aux directeurs de ces écoles sous le titre « Éduquer au dialogue : l’interculturel et l’interreligieux en école catholique ». Tout un programme. Le document est long et souvent ambigu, se contredisant tout au long de ses pages.

Il est basé sur l’amour du prochain, ce qui est très bien, mais en bannissant tout prosélytisme. Un idéal parfait si cet appel à la fraternité n’était pas, de fait, une soumission cachée à l’islam, omniprésent désormais dans nos écoles, où il arrive même parfois que les élèves musulmans soient majoritaires.

Alors, est-ce à dire que l’application de l’interculturalité souhaitée par ce document conduira à la déchristianisation des écoles catholiques, parfois bien avancée, il faut le reconnaître ? Je ne le pense pas. Pas encore. Mais il est clairement expliqué que ces écoles sont appelées à devenir interreligieuses, c’est-à-dire sans professer la foi catholique. L’interreligieux deviendra, un jour, l’irréligieux. Le caté ? Mais vous n’y pensez même pas, sauf demande expresse des parents… Les professeurs doivent donner l’exemple par la pratique de leur foi, par leur charité, par leur compréhension. Il paraît que c’est suffisant pour convaincre les élèves non catholiques de la supériorité de notre religion.

Et tout cela avec l’approbation du Vatican, puisque le document est d’origine papale et date de 2013. Avec comme évidence un seul but, caché : celui de privilégier l’islam, sa charia et ses exigences. Surtout ne pas troubler les consciences de nos frères et sœurs musulmans ! Notre Seigneur Jésus-Christ doit se révolter, là-haut, de voir ainsi disparaître la Vérité qu’il a incarnée et qui nous demandait, dans saint Matthieu : « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » L’Église n’est plus missionnaire. Il n’est plus question, pour elle, d’éduquer chrétiennement les Terriens. Pas de prosélytisme! Surtout pas.

« L’école doit devenir un espace de pluralisme où l’on apprend à dialoguer sur les significations que les personnes des différentes religions attribuent à leurs signes respectifs, afin de pouvoir partager des valeurs universelles telles que la solidarité, la tolérance, la liberté. »

​‌”

Tout est dit dans l’introduction de ce texte diffusé le 8 juillet 2016 par le Centre national de l’enseignement catholique et adressé à tous les directeurs et professeurs des écoles catholiques. Comme vous le verrez dans l’animation-propagande de ce document, mise en ligne le 13 septembre dernier, on propose aux élèves de « Vivre en Frères » par opposition au « Vivre Ensemble » des laïcards.

 

La fraternité, c’est, bien sûr, un bel idéal. Mais à condition que cela ne soit pas à sens unique, et c’est bel et bien ce que ce document exige de nos écoles.

« Un tel itinéraire passe par certaines étapes qui mènent à découvrir la multiculturalité dans le propre contexte de vie, à surmonter les préjugés dans l’existence et le travail partagés, à se former “à travers l’autre” à la mondialité et à la citoyenneté. Promouvoir la rencontre entre des personnes différentes favorise la compréhension mutuelle. »

​‌”

Or, l’on sait pertinemment que l’autre avance en force, et nullement animé des intentions de dialogue, d’échange mais bien, plutôt, avec un projet d’affirmation culturelle et religieuse qui ne nous laissera le choix qu’entre la soumission ou la dhimmitude.

Ce n’est pas vraiment ce qui s’appelle la fraternité. Et ce n’est pas une belle rencontre. Car derrière « multiculturalité » se cache évidemment, dans le contexte actuel, une culture, et derrière cette culture, indissociable, une religion. Ne nous voilons pas la face.

Il faut lire ce document, quand on est catholique, que l’on enseigne dans une école catholique ou que l’on y inscrit son enfant.

Et il n’est pas interdit aux catholiques de faire preuve d’esprit critique, y compris envers les textes et les institutions… catholiques.

Source

 

Que prévoit le projet de loi sur l’immigration ?

 

Le gouvernement envisage notamment de doubler la durée de rétention des étrangers en attente d'expulsion et d'investir dans l'intégration des réfugiés.

Le Premier ministre, Edouard Philippe, quitte le palais de l'Elysée, le 27 septembre 2017 à Paris.
Le Premier ministre, Edouard Philippe, quitte le palais de l'Elysée, le 27 septembre 2017 à Paris. (CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP)
 

Le président de la République avait promis de la fermeté. Les mesures prévues dans le projet de loi sur l'immigration, qu'a pu consulter l'AFP, semblent aller dans le sens défini par Emmanuel Macron. Ce texte précise les orientations données par le chef de l'Etat lors de la réunion des préfets, mardi 5 septembre. Il avait annoncé une "refondation complète" de la politique migratoire.

Allongement de la durée de rétention des étrangers, hausse des reconductions à la frontière, investissement dans des mesures d'intégration... Voici ce qu'il faut en retenir.

La durée de rétention va doubler

Pour mieux lutter contre l'immigration irrégulière, le gouvernement envisage d'allonger à 90 jours la durée de la rétention pour les étrangers en attente d'expulsion. Elle est de 45 jours aujourd'hui. "A titre exceptionnel", le juge pourrait ensuite ordonner une prolongation "de 15 jours", dans le cas où l'étranger ferait "obstruction" à son éloignement.

En Allemagne, le délai de rétention administrative est deux fois plus long, soit 180 jours. Décriée par les associations, la rétention donne le temps aux pouvoirs publics de mener les démarches de renvoi auprès du pays d'origine, souvent ralenties par ces derniers. Le régime de la "retenue" pour vérification du droit au séjour serait également durci, puisqu'elle passerait de 16 heures à 24 heures.

Les reconductions vont augmenter

"Nous reconduisons beaucoup trop peu", avait affirmé Emmanuel Macron le 5 septembre. Le texte prévoit de la fermeté sur la rétention des "dublinés", ces migrants censés être renvoyés dans le premier pays européen où ils ont été enregistrés. La procédure est longue, complexe, et peu appliquée : seuls 10% étaient effectivement transférés l'an dernier.

Pour augmenter les taux, les "dublinés" pourraient être placés en rétention dès que la demande a été déposée auprès de l'Etat où ils ont été enregistrés. Jusqu'à présent, il fallait attendre que l'arrêté de transfert ait été pris, selon le texte. Beaucoup d'Etats censés accueillir des réfugiés expulsés d'autres pays renâclent à émettre les "laissez-passer consulaires" nécessaires, ce qui freine les reconduites. Pour convaincre les "récalcitrants", Emmanuel Macron a nommé début septembre un ambassadeur.

Le texte prévoit aussi que l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) pourrait refuser une demande d'asile lorsque le demandeur "peut être réadmis dans un pays tiers sûr" par lequel il aurait transité. Sur la question de l'asile, le projet de loi se veut plus généreux pour les titres de séjour : les personnes ayant obtenu la protection subsidiaire, un titre d'un an, bénéficieraient désormais d'une carte "d'une durée maximale de quatre ans". Douze mille cinq cents places d'hébergement vont aussi être créées pour les demandeurs d'asile et les réfugiés en 2018 et 2019, avait annoncé le gouvernement en juillet.

Le président de la République, qui a demandé que le texte soit adopté "au premier semestre 2018", fait une nette distinction entre les réfugiés et les "migrants économiques", qui n'ont pas vocation, selon lui, à rester sur le territoire.

La politique d'intégration va être développée

Le gouvernement veut de la fermeté, mais affiche aussi une volonté de mieux intégrer les réfugiés. Le budget de la mission Immigration, asile et intégration devrait augmenter de 25% en 2018, selon le projet de loi de Finances dévoilé mercredi 27 septembre. D'ici à 2020, une hausse de "plus de 30%" est prévue pour la politique d'intégration. Le budget de cette mission va augmenter de 300 millions d'euros pour atteindre 1,38 milliard en 2018, pour ensuite se maintenir à ce niveau les deux années suivantes.

L'Ofpra obtiendra 15 postes supplémentaires en 2018. La Cour nationale du droit d'asile (CNDA) aura, elle, 51 emplois de plus, ce qui permettra "la création de deux nouvelles chambres de jugement". Emmanuel Macron a aussi nommé un délégué interministériel pour refonder la politique d'intégration. Aurélien Taché, député LREM du Val-d’Oise, sera ainsi chargé de cette mission, avec un accent sur l’apprentissage du français.

Le projet de loi veut aussi améliorer l'attrait de la France et prévoit des dispositions "en faveur de l'attractivité et de l'accueil des talents et compétences", notamment pour faciliter le séjour des étudiants cherchant un emploi.

Source

Expulsion des étrangers : le gouvernement veut hausser le ton

 


Image d'illustration. Photo © Sevgi/SIPA
 

Immigration illégale. Les autorités envisagent de faire passer la durée de rétention administrative, pour les étrangers en attente d'expulsion, de 45 à 90 jours.

Les expulsions de personnes en situation illégale pourraient connaitre une hausse, dans les mois à venir. Dans son projet de loi sur l'immigration, dont l'AFP s'est procuré copie, le gouvernement voudrait faire passer la durée de rétention administrative, pour les étrangers en attente d'expulsion, de 45 jours actuellement à 90 jous, rapporte Le Figaro.

 

Un durcissement du régime de la “retenue” pour vérification du droit au séjour

Le texte, qui doit encore être transmis au Conseil d'État, précise que “la durée maximale de la rétention ne doit pas (...) excéder quatre-vingt-dix jours” même si “à titre exceptionnel” le juge peut ensuite ordonner une prolongation “de quinze jours” si la personne concernée faisait “obstruction” à son éloignement. La rétention administrative a pour but de retenir un étranger visé par une décision d'éloignement, et ce, dans l'attente de son renvoi forcé.

 

Dans le même temps, une autre mesure pourrait durcir encore davantage la lutte contre l'immigration irrégulière : le durcissement du régime de la “retenue” pour vérification du droit au séjour. Cette dernière passerait ainsi de 16 à “24 heures”, précise le texte. Celui-ci prévoit aussi une révision du régime de la rétention pour ceux qu'on appelle les “dublinés”, soit des migrants enregistrés dans un autre pays européen et supposés y être renvoyés pour le traitement de leur demande d'asile. Avec la nouvelle loi en préparation, ces personnes pourraient être placées en rétention dès le dépôt d'une demande auprès de l'État concerné. Jusqu'à présent, il fallait attendre que l'arrêté de transfert ait été pris. 

Des dossiers jugés irrecevables

Concernant l'asile, le texte prévoit en revanche un assouplissement des règles en matière de titre de séjour : la protection subsidiaire donnerait désormais accès à une carte pluriannuelle “d'une durée maximale de quatre ans” au lieu, comme c'est le cas actuellement, d'un titre d'un an. En revanche, l'Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) pourrait juger un dossier irrecevable si le demandeur “peut être réadmis dans un pays tiers sûr”, soit un État où sa sécurité n'est pas menacée, hors pays d'origine, mais par lequel le demandeur aurait transité.

Source

En signe de protestation, des citoyens font fermer le service immigration

 

En signe de protestation, des citoyens font fermer le service immigration
 

Depuis mardi, membres du Codim et simples citoyens ne se réclamant d’aucune association font fermer le service immigration de la Préfecture.

Entre une quarantaine et une cinquantaine de personnes se rendent le matin sur les lieux et chassent les demandeurs de titres de séjour. « Nous leur avons demandé gentiment de partir, ils ont compris et n’ont pas insisté », témoigne une personne présente sur les lieux hier. Par la suite, les protestataires font un sit-in toute la journée devant le service Immigration fermé. La préfecture reconnaît que le service a été fermé « temporairement » hier et avant-hier : « Nous fermons quand nous estimons qu’il y a un risque pour l’usager et le personnel », a-t-elle expliqué. Les protestataires comptent recommencer aujourd’hui, à l’occasion de la rencontre ce jour entre les parlementaires de Mayotte, le président du Conseil départemental et les représentants du ministère des Affaires étrangères qui se réunissent afin de faire un point sur la feuille de route issue du Haut conseil paritaire qui provoque la colère des habitants du 101ème département français depuis une quinzaine de jours maintenant.

Source

La circulaire qui supprime la notion d'immigration

 
 
 
 

Nouvel Ordre Mondial, Multiculturalisme et Métissage en masse : La circulaire qui supprime la notion d’immigration illégale

 

13/08/2016

Une circulaire du ministère de l’Intérieur et du Logement abolit la distinction entre immigration régulière et immigration illégale. Ce principe ouvre les portes de la France à une immigration encore plus massive.

 

Le 1er août 2016, les ministres de l’Intérieur et du Logement ont publié un communiqué passé totalement inaperçu dans la torpeur de l’été mais d’une importance capitale sur le plan de l’évolution des mentalités et de l’idéologie politique française. Ce texte marque une inflexion profonde de la conception française de l’immigration.

La distinction fondamentale entre l’immigration régulière et l’immigration illégale est désormais officiellement condamnée par l’État.

Jusqu’alors, celle-ci était fondée sur la distinction entre l’immigration régulière et l’immigration illégale. La première, conforme à la loi, était destinée par exemple à accueillir des travailleurs dont la France peut avoir besoin, à former des étudiants dans l’intérêt de la France ou du pays d’origine, ou bien à assurer le principe d’unité familiale. […]

 

Le communiqué qui nie la notion d'immigration illégale

 

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2016/08/12/31001-20160812ARTFIG00401-la-circulaire-passee-sous-silence-qui-supprime-la-notion-d-immigration-illegale.php

 

14/08/2016

|…] Publié vendredi soir, l’article a changé de titre en début d’après midi samedi pour devenir « Le communiqué qui nie la notion d’immigration illégale ». Mais c’est bien sa première version qui a fait réagir les responsables politiques sus-cités.

L’auteur explique que le gouvernement a décidé de faire disparaître cette notion en droit français, privilégiant une immigration massive, ouverte et universelle, offrant un accueil de choix à toute personne arrivant sur le territoire, quel que soit son statut (légal ou illégal). Voilà qui est pour le moins surprenant. Notamment de la part d’un gouvernement qui communique régulièrement sur sa « lutte contre l’immigration clandestine ». […]

Le communiqué en question, disponible sur les sites des deux ministères concernés, est en fait relatif à la « présentation de la Charte de fonctionnement des Centres d’accueil et d’orientation (CAO) des migrants ». Il s’agit donc d’un dispositif en particulier.

 

 

Ces centres « de répit », ouverts en octobre 2015, ont vocation à accueillir « dans de bonnes conditions » et « dignement » des migrants se trouvant dans des campements (comme la « jungle » de Calais ou Grande-Synthe) pour une durée d’un mois, afin de leur permettre de formuler une demande d’asile. Il y en a aujourd’hui 148 en France, selon le ministère de l’Intérieur. […]

 

Beauvau rappelle ainsi que ces centres visent à « mettre à l’abri dans de bonnes conditions des personnes qui étaient arrivées dans l’impasse du campement et qui y vivaient dans des conditions humaines indignes ». Mais aussi qu’une fois la procédure de demande d’asile engagée, les migrants concernés doivent rejoindre un dispositif dédié aux demandeurs d’asile le temps de la prise en charge de leur dossier. Si celui-ci est, in fine, rejeté, « ils sont éloignés », c’est-à-dire expulsés, assure le ministère de l’Intérieur. Et ceux qui, durant ce mois d’accueil, n’auront pas fait de demande d’asile ne seront plus pris en charge dans les CAO. […]

Source

Le gouvernement envisage d’allonger la rétention des étrangers à 90 jours

 

Matignon souhaite doubler la période de rétention administrative dans son projet de loi sur l’immigration.

Par Maryline Baumard

 
Des migrants près du port de Calais (Pas-de-Calais), le 27 septembre.

Le gouvernement avait prévenu. Son projet de loi sur l’immigration serait « ferme ». La première fuite du brouillon de ce texte qui ne devrait pas arriver en conseil des ministres avant fin 2017, confirme cette coloration. Il propose d’allonger à quatre-vingt-dix jours (contre quarante-cinq actuellement), la durée de rétention administrative pour les étrangers en attente d’une expulsion, selon des informations de l’Agence France-Presse, jeudi 28 septembre.

L’entourage du ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, qualifie de « non finalisé » le texte cité par l’AFP et rappelle qu’il est « encore en discussion entre services et n’a pas encore fait l’objet d’arbitrages interministériels ». La Place Beauvau précisait par ailleurs jeudi matin que « des concertations sont planifiées avec les principaux acteurs du secteur dans les prochaines semaines ».

Plusieurs associatifs perçoivent cette fuite comme un « galop d’essai » permettant au gouvernement de tester les résistances et de placer la barre haut « pour arriver finalement à soixante jours de rétention », estime Gérard Sadik, juriste à la Cimade. Ce dernier rappelle au passage que l’allongement de la rétention est davantage symbolique qu’efficace « puisque tout se joue dans les douze premiers jours de privation de liberté ». Les associations, qui tiennent le relevé des renvois, montrent que ceux qui n’ont pas été remis dans l’avion avant le douzième jour le sont très rarement après.

Consignes d’augmenter le taux de transfert

Le projet de loi s’intéresse aussi aux « dublinés » et prévoirait de resserrer leur régime de rétention. Ces migrants, qui ont laissé une trace de leur passage dans un autre pays européen que la France et que Paris tente de renvoyer pour le traitement de leur demande d’asile, pourraient être placés en rétention dès que le transfert vers le pays voisin est demandé et non plus une fois qu’il est accepté. Là encore, il s’agirait d’augmenter la durée d’enfermement pour tenter de renvoyer davantage.

Sur ce point, le gouvernement devra être plus vigilant dans son nouveau texte qu’il ne l’a été dans la rédaction de la précédente loi de 2015, aujourd’hui en vigueur. Mercredi, en effet, un arrêt de la Cour de cassation a déclaré illégal l’enfermement des « dublinés ». Le législateur avait oublié de préciser dans son texte ce qu’est un « risque non négligeable de fuite », seul motif juridiquement invocable pour enfermer cette catégorie d’étrangers. Coup dur donc pour un gouvernement qui veut afficher la fermeté et jouer la dissuasion migratoire, puisque les associations ont désormais un texte de la plus haute juridiction leur permettant de vider une partie des cellules des centres de rétention.

Aujourd’hui, dans les cinq centres de rétention où travaille la Cimade, plus de 21 % des retenus sont des « dublinables » et les privations de liberté de cette catégorie sont de plus en plus fréquentes, estime l’association. Celle-ci ne représentait « que » 10 % des privations de liberté d’étrangers en 2016. Mais le ministère de l’intérieur a donné des consignes pour augmenter un taux de transfert qui plafonne à 10 % des personnes concernées.

Le brouillon de texte comporterait aussi un chapitre que le juriste Gérard Sadik estime déjà « anticonstitutionnel et même anticonventionnel »… Le projet de loi envisagerait ainsi que l’Office français de protection des réfugiés et apatrides juge irrecevable un dossier de demande d’asile lorsque le demandeur « peut être réadmis dans un pays tiers sûr », c’est-à-dire lorsqu’il peut être renvoyé dans un pays par lequel il aurait transité, y compris à l’extérieur de l’Europe.

La mesure, bien que prévue au niveau européen, risque de faire grincer des dents à l’Ofpra : dans un entretien à l’AFP en juin, son patron Pascal Brice avait dit ses inquiétudes sur cette notion qui pour lui n’est « pas compatible avec le droit d’asile ».

Source

Pakistan : une convertie et sa famille chrétienne en grand danger


Encore un cas particulièrement préoccupant…

Une pakistanaise du Pendjab ayant choisi de se convertir de l’islam au christianisme a été menacée de mort et contrainte à abandonner sa maison pour se réfugier dans un lieu tenu secret, où elle vit cachée avec l’ensemble de sa famille. Ainsi que le raconte à Fides Me Mushtaq Gill, avocat chrétien pakistanais qui défend les droits des chrétiens dans le pays, des groupes extrémistes s’organisaient afin de lyncher la femme jugée apostate et l’ensemble de sa famille, à savoir son mari, le chrétien Emmanuel Ghulam Masih, et leurs deux jeunes enfants, sachant que la jeune femme est enceinte d’un troisième. Les menaces sont arrivées d’abord de la famille d’origine de la femme, de religion musulmane. Les membres de la famille en question ont commencé à parler avec la famille du mari et à proférer des menaces afin qu’elle convainque la femme à revenir à l’islam.
Les époux chrétiens se sont adressés à Me Gill qui, remarquant le risque de violence aveugle et même d’exécution sommaire pesant sur eux, a préféré les aider à trouver un nouveau logement et à se cacher.
Interpellé par Fides, Me Gill a déclaré : « L’État devrait protéger et sauver ces personnes qui exercent leur liberté de conscience. Ceci est un cas d’intolérance et de violence. Si l’État ne leur garantit pas une sécurité adaptée, il est difficile pour ce couple de survivre. Le mariage est un sacrement entre deux personnes et il devrait être accepté par la famille musulmane de l’épouse, tout comme son libre choix de se convertir à la foi chrétienne ».
Le Pakistan ne prévoit pas le délit d’apostasie au niveau constitutionnel, mais prévoit en revanche le blasphème. L’apostasie – qui constitue un délit pénal punissable par la mort dans des pays tels que l’Afghanistan, l’Iran, la Malaisie, les Maldives, la Mauritanie, le Nigéria, le Qatar, l’Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, les Émirats arabes unis et le Yémen – est cependant punie suivant la loi islamique devant les tribunaux fédéraux de la charia.
En 2007, certains partis religieux du Pakistan présentèrent une proposition de loi qui punissait de mort le délit d’apostasie commis par les hommes, la peine étant la réclusion à perpétuité pour les femmes, mais elle ne fut pas adoptée par le Parlement.
Il existe au Pakistan de nombreux cas d’exécutions sommaires concernant des apostats. Dans un cas analogue à celui signalé ce jour par Me Gill, les époux Aleem Masih et Nadia Din Meo de Lahore, âgés respectivement de 28 et 23 ans, ont été tués de sang froid parce que la femme, musulmane à l’origine, s’était convertie au christianisme après le mariage.
Ainsi que l’indiquent à Fides des prêtres pakistanais, il existe des cas de crypto chrétiens, personnes converties en secret à la foi chrétienne. Le Père Mario Rodrigues, directeur de la pastorale des jeunes à Karachi, raconte à Fides : « Il m’arrive de connaître des histoires de jeunes musulmans qui entendent se convertir au christianisme au Pakistan mais s’ils le faisaient ouvertement tout musulman pourrait se sentir en droit de les tuer. C’est pourquoi les cas de conversion de l’islam au christianisme sont très rares et que certains se convertissent en secret. Lorsque la Grâce de Dieu illumine le cœur et que le choix se fait, peut débuter un véritable calvaire. Alors, seul le Christ peut donner la force pour affronter les épreuves et les souffrances qui s’annoncent ».

Source

"Moi, la fille de musulmans, je crois qu’il n’y a pas d’autre choix pour la France que d’expulser l’islam de la cité"

 

Jeannette Bougrab vient de publier ses Lettres d’exil, sous-titrées La barbarie et nous, écrites depuis la Finlande où elle est partie vivre avec sa fille May. Elle dénonce la bienveillance politico-médiatique au service des promoteurs du communautarisme islamiste : voile, burkini, ramadan. Dans Présent, Caroline Parmentier recense :

2017-09-bougrab-lettre-d-exil-14-59720992888fa"Jeannette Bougrab condamne les choix de perdition faits par la droite comme par la gauche depuis 30 ans : « On veut construire des mosquées alors qu’il n’y a plus de bibliothèques dans les quartiers. Les imams ont remplacé les instituteurs. La situation s’est aggravée depuis mon départ. »

« La violence est omniprésente dans l’islam »

Elle évoque une France « gangrenée par l’islamisme » et égrène la litanie des morts : Charlie, le Bataclan, le 14 juillet à Nice, le père Hamel, le couple de policiers de Magnanville, les militaires français, les adolescents, les enfants… « L’idée qu’en France on est protégé, est une erreur. On n’est plus protégé. »

De son exil géographique, elle fustige « l’exil intérieur » auxquels sont assignés avec elle les millions de Français meurtris par la terreur et exaspérés par ce qu’elle appelle « l’empire du déni » : « La guerre contre Daesh est une chose. Mais le combat contre les bien-pensants occidentaux en est une autre, à bien des égards plus complexe et sournoise. Il est vital que nous commencions, dès à présent, cette déradicalisation des esprits. »

Plus politiquement incorrect encore et plus précis, celle qui se déclare Française, Arabe et musulmane se dit « excédée d’entendre autour d’elle que sa culture est pure tolérance, alors que la violence y est omniprésente » :

« Qu’on cesse de m’opposer la religion de l’amour d’un islam imaginaire par crainte de m’entendre proférer la vérité. Moi, la fille de musulmans, je crois qu’il n’y a pas d’autre choix pour la France que d’expulser l’islam de la cité. (…) N’avons-nous plus le désir et l’amour de la France ? »

Source

Immigration : la Commission européenne cède devant les Polonais, Hongrois, Slovaques et Tchèques

 

Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

Unknown-4"On sait que la Commission européenne a lancé des procédures contre les pays qui refusaient de recevoir des « migrants », et que la Cour de Justice de l’UE a donné tort à la Hongrie et à la Slovaquie qui contestaient la légalité de la décision, au motif notamment que le texte remanié n’avait été avalisé que par deux Etats membres… mais ça fait une majorité selon les graves juristes de la CJUE.

Quoi qu’il en soit, le texte est caduc aujourd’hui 27 septembre. Donc on ne peut plus l’appliquer chez les récalcitrants.

Ce même jour, la Commission européenne « recommande un nouveau programme de réinstallation pour conduire en Europe au moins 50.000 des personnes les plus vulnérables ayant besoin d'une protection internationale dans les deux prochaines années ». Et elle a déjà « mis de côté » 500 millions d'euros pour soutenir les Etats membres qui accepteront d’en accueillir (donc 10.000 euros par personne).

Mais, grande nouveauté : la Commission parle bien des Etats qui « accepteront » d’accueillir des « réfugiés ». Il n’est plus du tout question de « relocalisations » forcées décidées de Bruxelles.

Autrement dit les méchants Polonais, Hongrois, Slovaques et Tchèques ont gagné sur toute la ligne…

Les chiens aboient, la caravane passe. Mais les chiens sont fatigués d’aboyer, on dirait…"

Loi antiterroriste : l'Assemblée nationale adopte une autre mesure controversée

 

Les perquisitions décidées par la seule autorité administrative sous l'état d'urgence seront remplacées par le régime des "visites domiciliaires".

Source AFP
 
L'Assemblée nationale donne son feu vert aux perquisitions hors état d'urgence.
L'Assemblée nationale donne son feu vert aux perquisitions hors état d'urgence. © citizenside.com
 

Tuez-les tous ! Allah reconnaîtra les siens !

 
 

Il y a 3 ans, par un message audio du 22 septembre 2014, l’imam Abou Mohamed al-Adnani s’adressait ainsi aux musulmans :

« La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés. Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, jetez-le dans le vide, renversez-le avec votre voiture, étouffez-le ou empoisonnez-le ! »

C’est très exactement ce à quoi nous avons assisté mois après mois dans la plupart des pays d’Europe… alors que nos gouvernements se sont pitoyablement réfugiés derrière des arguments imbéciles : « pas de stigmatisation », « pas d’amalgame », « Je suis…idiot», pour ne pas perturber le « vivre ensemble ».

Durant tous ces mois qui ont vu s’additionner les assassinats de victimes civiles innocentes, de nombreux imams takfiristes et wahhabites ont continué à prêcher leur haine envers les  européens dans de multiples mosquées radicales et salafistes.  On peut se demander si ceux qui nous gouvernent ont fait preuve d’un déni des réalités ou s’ils ont toléré la présence de ces propagateurs du Djihad par une complaisance coupable, comme cela a été le cas à Molenbeek en Belgique depuis 2005.

Le dernier exemple en date est celui de l’imam marocain Abdelbaki  Essatti, de la mosquée de Ripoll en Catalogne, et qui avait fait l’objet,  après sa seconde sortie de prison le 29 avril 2014,  d’un arrêté d’expulsion  qui n’a jamais été appliqué.

La Justice se fout du monde, car déjà il était classé comme « radical salafiste » depuis plus de 10 ans !

Et on apprend aussi que de janvier à mars 2016  il a résidé à Vilvoorde  (dans la grande banlieue de Bruxelles) alors que les attentats à l’aéroport et dans le métro de Bruxelles ont été commis le 22 mars.

Coïncidence ?  Bizarre ? Vous avez dit « bizarre » ?

Nul doute que d’autres imams du calibre d’Abdelbaki existent en Europe. L’urgence  qui se pose est de maintenant les dénicher et de les mettre hors d’état de nuire ! Car c’est la sécurité de nos familles qui est en cause  et l’on constate  que le déploiement  de milliers de policiers et de militaires n’a  pas empêché les centaines de morts et les milliers de blessés partout en Europe, victimes innocentes de musulmans fanatiques.

Pieter Kerstens