Jawad la pourriture.
C’est Aurore Bonnet, qui a perdu son mari au Bataclan, qui le dit.
« Ce monsieur, qui fait un drôle de personnage, j’aimerais bien que, tout simplement, il n’embobine pas les gens et que l’on se rende compte, que c’est vraiment… je suis désolé… une pourriture. Voilà »
http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/proces-de-jawad-be...
Mais qu’elle ne s’excuse pas, Mme Bonnet, « pourriture » étant bien le terme adéquat pour cette engeance surnuméraire sévissant sur notre sol.
Le Monde, qui chérit si bien ces cloportes malveillants et l’arrivée massive de nouvelles « chances pour la France » a crée une sorte de mémorial virtuel pour les victimes des attentats du 13 novembre 2015.
Pour le mari d’Aurore Bonnet, ancien chauffeur de bus devenu formateur à la RATP, on apprend que, parmi ses tueurs, figurait un ancien chauffeur de la régie de transport.
Raphaëlle Bacqué (auteur avec Ariane Chemin d’un ouvrage sur la communauté « attachante » de Trappes) précise évidemment que, pour Mme Bonnet, « la haine n’aurait aucune chance de l’emporter dans la famille » et qu’elle a participé « avec les enfants à un concert de rock pour se prouver qu’aucun terroriste ne peut anéantir une famille qui aime la vie ».
Après tout, c’est son choix.
Mais il est douteux que ce discours, les fleurs, les ballons et les bougies qui vont avec, ne fassent reculer les futurs candidats au « martyr ». C’est même le contraire : ils jouissent de nos faiblesses et de cette pathologie de l’amour inconditionnel de l’autre (souvent au détriment des siens).
Pourtant, si les médias leur donnaient voix au chapitre, de nombreuses victimes aimeraient crier, à leur tour, « vous aurez toute ma haine et on aimerait vous voir crever la gueule ouverte dans un océan de douleurs » (version légère)
Mais non, apparemment, ceux qui ont perdu un mari, une compagne, un enfant, un bras, une jambe, semblent tous mus par l’amour du prochain.
C’est vrai, les médias aiment le rappeler : les premières victimes du terrorisme sont avant tout musulmanes (à Nice, en Syrie, en Afghanistan…), alors ne nous plaignons pas.
Et puis, comme le dit si bien Pascal Boniface, de l’IRIS, ce n’est rien par rapport à l’alcoolisme, ce fléau si français de souche (La Croix).
Il y avait donc Mohamed la crevure, Abdelkader l’enflure, Salah la raclure, Yacine l’ordure, il y aura aussi Jawad la pourriture.
Ce qui les réunit, nonobstant leur amour de l’islam, c’est leur vie de merde. Une vie à voler, mentir, haïr, frapper, à pourrir celle des autres. C’est, paraît-il, la faute à l’État raciste et colonialiste.
Pourtant, ce même État leur a offert subsistance, logement, voire un emploi et de belles médiathèques pour devenir les futurs Victor Hugo de la pensée.
Jawad Bendaoud, lui, ne connaît ni Victor Hugo, ni Abdelhamid Abaaoud.
Qu’il accepte malgré tout de loger avec Chakib Akrouh et Hasna Aït Boulahcen. « Pour rendre service » dira-t-il, « parce qu’on me l’avait demandé ». Gentil et serviable le gars Bendaoud, cinq jours après les attentats du 13 novembre 2015 !
Filmé « à l’insu de son plein gré », le logeur de terroristes devient la risée de toute la France en affirmant en direct qu’il ne connait pas ses hôtes.
En revanche, la police et la justice connaissaient bien Jawad : dealer notoire, meurtrier de son « ami » (à la feuille de boucher, comme c’est délicat…), violent et ingérable en prison mais aussi « radical et prosélyte » […] Jawad Bendaoud, personnage ambigu, tantôt charmeur, tantôt violent ou impulsif, sera bien au cœur du procès qui s’ouvre ce mercredi. Récidiviste, il risque 6 ans de prison pour « recel de malfaiteurs terroristes« . (Le Dauphiné)
Deux autres frères de taqîya, Mohamed Soumah et Youssef Aït Boulahcen, comparaissent avec lui. Leurs interrogatoires se résument à « je suis innocent, j’t’i jure, sur la tête de la présidente Prévost-Desprez » (NDA : présidente de la XVIe chambre correctionnelle de Paris).
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/24/01016-...
https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaq...
Autre comique, bien français, lui, mais sorti du formol, Stéphane Peu, député PC de Seine-Saint-Denis (ce laboratoire de l’islam en marche), ex-maire de St-Denis, estime que sa ville a été « une victime directe du terrorisme» (Le Parisien). Pourrait-on aussi considérer que le 93, mais aussi la France, sont des victimes collatérales de la politique pro-immigrationniste du PC et de ses affidés ?
En ce qui me concerne, depuis les attentats de janvier et novembre 2015, je ne voterai plus jamais pour les partis traditionnels et j’attends l’homme ou la femme providentiels qui saura nous débarrasser définitivement de toutes ces « pourritures » qui encombrent les prisons.
Mais j’aurais bien une solution.
Puisque Madame Taubira voulait « vider les prisons » car « vides de sens » (Libération), je propose une peine alternative : un débarquement de tous ces assassins et leurs complices sur une quelconque île australe, sans eau ni pain noir, avec juste en lecture, peut-être, « Les châtiments » de Victor Hugo. Ils pourraient ainsi méditer sur l’expiation de leurs crimes au milieu des lapins et des choux de Kerguelen.
Attention : si vos enfants affirment connaître Jawad, c’est qu’ils confondent avec Jabba, personnage du film « La guerre des étoiles ». Jabba le Hutt est, selon sa fiche wikipedia, « issu d’une puissante famille du crime organisé, il s’installe sur la planète Tatooine pour y fonder sa propre entreprise criminelle et vit notamment de la contrebande. Il est célèbre pour sa cruauté, son sadisme, son machiavélisme et ses nombreux vices ».
Avec des petites lunettes, la bouche en cul de poule et des cheveux gominés, il pourrait effectivement ressembler à Jawad…
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