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lundi, 29 janvier 2018

Surdélinquance africaine : faut-il que les Français vivent dehors pour surveiller les gosses étrangers ?

Les enfants d’Africains commettent 3 à 4 fois plus de délits que les nôtres.  Et les jeunes Maghrébins, 2 fois.

Pourquoi s’obstiner ? Pourquoi nous vendre le vivre ensemble, le monde multiculturel ? Deux mondes, deux civilisations, incompatibles. Point barre. Eux chez eux et nous chez nous. Il n’y a pas d’autre solution.

C’est la conclusion logique qui nous vient à l’esprit quand on lit l’article du Figaro intitulé Délinquance : les enfants d’Africains surreprésentés

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/09/22/01016-...

J’en connais qui vont encore crier au racisme et à la discrimination. J’en connais qui vont nous sortir l’excuse des ghettos, du chômage, du colonialisme, de la ségrégation, de la discrimination…

Et d’ailleurs le sociologue n’ose pas aller jusqu’au bout de ses analyses…

Il dit clairement que les pères africains sont habitués à utiliser la violence pour élever leurs enfants et qu’ils sont perdus en France devant l’interdiction qui en est faite. les enfants aussi. Il n’y a pas de solution à cela, sauf le retour au pays. Chacun ses coutumes, chacun son monde. Et la France ira mieux.

Il dit clairement également qu’en Afrique l’éducation des enfants est confiée à tout le monde, à tous les adultes du clan, du voisinage… et que cette rupture avec la coutume génère pour les enfants la tentation de se laisser aller à leurs instincts.

Les imbéciles heureux vont sans doute en déduire que ce serait à nous de prendre le problème à bras de corps  : peut-être encore plus d’animateurs, de psys… dans les cités. Et puis pourquoi ne pas former les parents français d’origine à devenir comme leurs homologues africains, à cuisiner dehors en bas des immeubles pour surveiller les  rejetons  de leurs voisins africains ? En voilà une solution qu’elle serait bonne !

Le sociologue non seulement n’ose pas, mais  pointe, évidemment, la « relégation dans les quartiers ghettos »… Parce que dans un immeuble du XVIème le père pourrait compter sur les autres parents ? Plutôt parce que les enfants ne pourraient pas compter sur les autres et former une bande. Mais les malheureux qui voient arriver dans leur immeuble ou leur quartier une ou deux familles d’immigrés ignorant ou refusant de connaître et appliquer nos us et coutumes pleurent toutes les larmes de leurs corps… Et, très vite, ils fuient, laissant la place à d’autres immigrés, ce qui permet de reconstituer le clan original…

Les témoignages sur l’impossibilité de mixité venant des immigrés eux-mêmes se multiplient. Tel conseiller municipal qui raconte qu’ils ont beau mixer les logements et leurs occupants, quelques années plus tard on a un bâtiment de Maliens, un autre d’Algériens etc.

Le psy de service  signale ( voir ci-dessous ) que les « médiateurs  » ( payés avec nos sous ) invitent les mères africaines à aller dehors pour surveiller leurs enfants. Mais la vraie médiation serait de leur faire comprendre qu’en France on éduque les enfants à la maison et non dehors, on vit à la maison et non dehors.  Et puis pourquoi devrait-on « aider les pères à exercer leur autorité » en France ? Dehors, retour à la terre ancestrale, tout le monde sera content.

Tant que l’on considèrera que leurs us et coutumes sont légitimes on vivra tous l’horreur.

 

Merci à Butterworth de nous avoir signalé l’article ci-dessous :

 

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