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mercredi, 17 janvier 2018

Le nombre de visas de « tourisme » pour les algériens et marocains a encore augmenté en 2017

C’est la grande technique migratoire : rentrer légalement avec un visa touristique de trois mois, et rester illégalement après le délai dépassé. On ne les voit jamais sur nos sites touristiques. Châteaux de la Loire, cathédrales, Mont-Saint-Michel, musées… mais où se cachent les 414 000 algériens ayant obtenu un visa touristique en 2017, contre 332 000 en 2014, et les 323 000 marocains (contre 214 000 en 2014) ? (AFP et Obs-i pour les chiffres 2014). Combien repartent effectivement dans une Algérie en crise ? Alors que seuls 5% des clandestins arrêtés sont expulsés de France, ils ont tout à gagner à rester, d’autant que les soins hospitaliers sont gratuits avec l’AME. 

Le droit du sol permet aux femmes enceintes d’obtenir la nationalité française automatique pour leurs enfants, et elles deviennent inexpusables.

Source

Islamisation de nos prisons et surdélinquance musulmane

Chaque nouvelle semaine nous informe sur une nouvelle agression de surveillants pénitentiaires dans les prisons françaises et ce n’est là que la face visible de l’iceberg. Aucune information ne filtre sur les menaces qui pèsent sur les familles de ces surveillants, sur leurs enfants, leur femme, leurs parents, surveillés, contactés, avertis, terrorisés, sur tout ce qui pourrait leur arriver si le surveillant, le chef de famille, ne se pliait pas aux exigences du terroriste, du criminel incarcéré dont il assure la surveillance !

Depuis des années, et pour une fois, tous les experts sont d’accords sur ce sujet : La radicalisation dans les prisons ne fait que s’amplifier et toutes les tentatives de déradicalisation ont été vouées à un échec total.

Depuis des années nous l’écrivons, nous prévenons, nous conseillons, mais surtout nous prêchons dans le désert et pourtant, il s’agissait des seules solutions possibles, les seules qui mettraient un point final à ce danger permanent et irréversible, si la même politique laxiste est poursuivie !

Et, sachant tout cela, aucune décision n’est ni prise, ni même envisagée, par les responsables aveugles chargés de ce très grave problème, qui préfèrent s’intéresser à l’inscription de la « baguette » au patrimoine de l’humanité et, pourquoi pas, demain du béret basque !

Il y a environ, pour le moment, 400 prédicateurs dans nos prisons qui, en toute liberté, en toute impunité, radicalisent à longueur de journée les jeunes délinquants qui leur arrivent par dizaines (et les centaines qui ne sont pas incarcérées, justement pour ne pas les mettre entre les mains de ces prédicateurs, ce qui n’est pas la solution puisqu’ils poursuivent ainsi leurs méfaits).

A ces 400 prédicateurs reconnus viennent s’ajouter les djihadistes, les terroristes, les criminels, de retour des zones de conflits et qui sont considérés comme des héros et donnés en exemple.

De l’extérieur des prisons des organisations aident, financièrement et matériellement, tous ces radicalisés. Des organisations subventionnées par l’Etat, comme sont subventionnées également par l’Etat toutes les organisations qui « aident » les migrants et qui ne pourraient plus exister si, justement, il n’y avait plus de « migrants » !

La première mesure impérative est l’isolement total de ces prédicateurs dans une prison qui leur serait exclusivement réservée, loin de toute agglomération et de tous contacts extérieurs.

Ces prédicateurs, ainsi que les djihadistes radicalisés de retour, doivent être tenus à l’écart des autres délinquants.

Les sources de radicalisation n’ont que deux origines, en dehors évidemment des réseaux sociaux, d’internet, etc. : les mosquées et les prisons !

Si la question des mosquées semble se régler partiellement et lentement, celle des prisons reste toujours éludée, on ne veut pas s’y atteler par peur de mécontenter la ligue des droits de l’homme ainsi que les associations racistes ou pro-islamistes.

La double peine doit être appliquée immédiatement, ne serait-ce que pour désengorger les prisons. Tout étranger doit être expulsé et les binationaux déchus de leur nationalité française renvoyés dans leur pays d’origine.

Tous ces délinquants n’ont plus rien à faire en France !

Tout le reste n’est que du « bla bla bla » et surtout qu’on ne remette pas sur le tapis la surveillance par bracelet électronique et l’assignation à résidence, solutions qui n’ont jamais empêché un terroriste ni de passer à l’acte ni de s’enfuir, dès que l’envie lui en a pris. Ce ne sont pas les exemples qui manquent !

Manuel Gomez

Source

Le spot de l’armée britannique pour recruter des musulmans

Lu sur Saphirnews « Dans un spot mis en ligne samedi 13 janvier et qui a pour slogan « Garder ma foi » (« Keeping my faith », en anglais), on y voit un soldat britannique qui, en pleine mission, choisit de faire une pause pour faire ses ablutions et accomplir une prière. Le tout en présence de camarades qui, certes, ne partagent pas sa foi mais le laissent faire en restant calme par respect pour ses croyances. L’un d’eux éteint même temporairement son talkie walkie afin de ne pas gêner le soldat en prière. »

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Un candidat évoque la défense de la «race blanche» en Italie

Les déclarations dimanche d'un candidat aux élections du 4 mars sur la défense de la «race blanche» ont provoqué un tollé en début de semaine et mis en lumière le rapprochement toujours plus affirmé de Silvio Berlusconi avec ses alliés d'extrême droite.

Pour Attilio Fontana, candidat à la présidence de la région Lombardie de la Ligue du Nord (LN, extrême droite) avec le soutien de Forza Italia (FI, parti de droite de M. Berlusconi), l'Italie doit «faire des choix» face aux migrants.

«Nous devons décider si notre ethnie, si notre race blanche, si notre société doit continuer à exister ou si elle doit être supprimée», a-t-il déclaré lors d'un long entretien dimanche à la radio.

Allié de la Ligue pour les législatives et les régionales du 4 mars en Lombardie (région de Milan) et dans le Latium (région de Rome), le patron de FI, Silvio Berlusconi, a regretté publiquement «une expression malheureuse» et admis plus discrètement, selon la presse, qu'il n'était pas convaincu au départ par la candidature de M. Fontana.

Mais il a aussi estimé que ce serait «une grave erreur de focaliser l'attention sur une parole de trop et non sur le risque que l'Europe perde son identité». «Les faux bons sentiments (...), sous la poussée de vagues migratoires incontrôlées, peuvent miner les bases de notre société», a-t-il insisté.

Des propos qui se rapprochent de ceux que le chef de la Ligue, Matteo Salvini, partenaire du Front National français à Bruxelles, répète en boucle sur la menace d'une «substitution ethnique» plus religieuse que raciale.

«Nous sommes attaqués. Notre culture, notre société, nos traditions et notre mode de vie sont menacés. Une invasion est en cours, la couleur de la peau importe peu, mais le risque est réel: des siècles d'histoire risquent de disparaître face à une islamisation encore sous-évaluée», a-t-il affirmé lundi.

Alors que l'Italie a vu débarquer sur ses côtes plus de 600 000 migrants depuis 2014, pour la plupart africains, musulmans comme chrétiens, Matteo Renzi, chef du Parti démocrate (PD, centre gauche, au pouvoir), a jugé de son côté que «le derby entre la rancœur et l'espérance sera le vrai défi» du scrutin.

Source

Face au tollé provoqué par ses propos, il a plaidé lundi le «lapsus», avant d'assurer mardi qu'il faudrait «changer la Constitution parce qu'elle est la première à dire que les races existent», alors que le terme ne figure que dans l'article établissant l'égalité de tous sans aucune distinction.

Un tiers de demandes d'asile en moins en Allemagne l'année dernière

Le nombre des demandeurs d'asile arrivés en Allemagne a diminué d'un tiers en 2017, selon des chiffres annoncés mardi, en pleine controverse sur la politique migratoire du possible futur gouvernement allemand.

L'an passé, environ 186.600 personnes, originaires essentiellement de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan, sont venues dans la première économie européenne pour demander l'asile, selon une statistique dévoilée à Berlin par le ministre de l'Intérieur sortant, le conservateur Thomas de Maizière.

Leur nombre a "nettement diminué" comparé aux quelques 280.000 de 2016, et surtout aux 890.000 migrants de 2015, lorsque la chancelière Angela Merkel leur avait ouvert en grand les portes de son pays.

Mais il reste "beaucoup trop élevé comparé aux autres pays européens", a estimé devant la presse M. de Maizière, alors que les partenaires européens de l'Allemagne refusent la mise en place d'un système de répartition des réfugiés à l'échelle de l'UE.

Il a aussi appelé à des solutions européennes contre les "passeurs criminels" qui "décident qui vient en Europe ou en Allemagne".

La France a elle récemment annoncé avoir enregistré un peu plus de 100.000 demandes d'asile l'an passé, un record.

La politique migratoire est l'un des principaux thèmes de discorde entre les conservateurs de la chancelière et les sociaux-démocrates qui tentent de former un gouvernement, plus de trois mois et demi après les législatives.

Dans un accord de principe vendredi, les partis ont convenu de fixer une limite, voulue par les conservateurs, au nombre de demandeurs d'asile arrivant annuellement dans le pays comprise entre 180.000 et 220.000.

Le regroupement familial va certes reprendre comme le souhaitait les sociaux-démocrates, mais de façon très restrictive. Ces mesures ont du mal à passer au SPD et certains réclament qu'elles soient renégociées.

Dépassée dans un premier temps par le flux des arrivées en 2015, l'Allemagne a fait des progrès significatifs dans le traitement des demandes, a par ailleurs assuré M. de Maizière.

Le pays a démarré l'année avec près de 435.000 cas à régler qu'il a réduit à quelque 68.000 à la fin de 2017, a-t-il dit, soit le niveau antérieur à la crise migratoire.

Le gouvernement d'Angela Merkel a considérablement réduit sa politique d'accueil notamment face à la popularité croissante du parti d'extrême droite AfD qui a gagné près de 13% des voix aux législatives de septembre.

Avec AFP

Source

Immigration : comment Le Monde relativise les chiffres

Ou comment manipuler l'opinion en donnant de vrais chiffres. Voici le titre de l'article :

CaptureC'est factuellement vrai : les 2 chiffres sont en hausse.

Mais le chiffre du nombre de titres de séjour est passé de 227 500 en 2016 à 262 000 en 2017, soit une augmentation de 13.7%.

Comparativement, l'augmentation de 10,8% de 27 373 expulsions est donc ridicule et il est proportionnellement en baisse.

Source

Immigration : 262.000 titres de séjour délivrés à des étrangers en France en 2017

 

 

La France a délivré 262.000 titres de séjour à des étrangers l'an dernier, soit une hausse de 13,7 % sur un an, du fait notamment du plus grand nombre de réfugiés et d'étudiants accueillis, a indiqué mardi le ministère de l'Intérieur.

 
Les éloignements d'étrangers en situation irrégulière ont pour leur part augmenté de 14,6 %, avec un total de 14.859 retours forcés, selon le rapport de la Direction générale des étrangers en France (DGEF) publié le jour de la visite d'Emmanuel Macron à Calais pour évoquer la politique migratoire de la France.
 
L'an dernier "85.000 personnes" ont été "non admises", a par ailleurs indiqué le ministre de l'Intérieur Gérard Colomb sur France 2.
 
La hausse des titres de séjour s'explique par l'augmentation de 35 % de ceux accordés à des réfugiés, alors que le nombre de demandeurs d'asile a pour la première fois franchi la barre des 100.000 l'an dernier en France.
 
Les titres accordés à des étudiants, notamment venant de Chine et du Maghreb, ont bondi de 19,6 %, avec 88.100 au total, qui talonnent désormais l'immigration familiale au classement des principaux motifs d'arrivés en France. Les titres de séjour pour cette immigration familiale ont faiblement augmenté (+2,2 % à 91.070), avec un recul de 3,8 % du "regroupement familial" stricto sensu (qui concerne les titres accordés aux membres de famille d'étrangers en situation régulière).
 
L'immigration économique a pour sa part augmenté de 20,5 % avec 27.690 titres.
 
[...]
 
En savoir plus sur lepoint.fr
 
 

» Quand le droit d’asile concerne des centaines de milliers de personnes, c’est une invasion » Eric Zemmour

 

La Video

L’immigration fournit des réseaux de prostitution pédophile

L’immigration massive qui submerge l’Europe est une bonne affaire pour les pervers en tous genres, les réseaux de traite des êtres humains et les filières de prostitution, y compris pédophile.

A Bruxelles, les autorités s’inquiètent de la recrudescence de la prostitution de très jeunes filles africaines, principalement originaires du Nigeria. Il s’agit de jeunes filles mineures. La plupart ont entre 14 et 16 ans. Elles sont sous la coupe de « mamas » africaines, véritables esclavagistes sans conscience.

Selon la police, dans plusieurs endroits de Bruxelles, des jeunes filles de cet âge se prostituent pour cinq euros par client ! Le phénomène s’observe dans différents pays européens. En France et en Italie, notamment, des cas similaires ont déjà été signalés.

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Le secrétaire général de la CGT estime que la France doit accueillir tous les immigrés, sans tri, mais il n’en prend aucun chez lui

Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, intervient une fois de plus pour réclamer que la France accueille tous les immigrés, considérant « scandaleux » le « tri » voulu selon lui par le gouvernement entre les « bons » et les « mauvais » immigrés. Le patron de la CGT a déclaré qu’il était du « devoir » de la France de « les accueillir tous ».

« L’histoire de notre pays et le devoir de notre pays c’est d’accueillir des gens qui sont dans la souffrance, les accueillir tous, tous » et « dans de bonnes conditions », a-t-il martelé sur France inter.

Mais le journaliste n’a pas eu la présence d’esprit de demander à M. Martinez combien d’immigrés il était prêt à loger et nourrir chez lui. Et combien au siège de la CGT ?
Il faudrait remplir un car avec des immigrés et les déposer devant le domicile du secrétaire général de la CGT. Un coup de sonnette, ding dong, nous vous avons entendu, M. Martinez, il faut « les accueillir tous, tous » et on compte sur vous pour montrer l’exemple !
 

Gardiens de prison : la grogne se propage en Ile de France

 

gardiens de prison

Vendin-le-Vieil, point de départ de la contestation des gardiens de prisons

Tout a commencé par l’agression de gardiens à la prison de Vendin-le-Vieil. Un détenu islamiste radicalisé s’en est pris à ses surveillants. Le détenu aurait voulu tuer les surveillants de la prison située dans le Pas de Calais. Le personnel pénitentiaire s’est alors mis en grève pour dénoncer les conditions de travail jugées précaires. Le personnel réclame aussi la démission du directeur de la prison. Le personnel ne s’estimant pas écouté, les négociations ouvertes avec les syndicats n’ont pour l’heure pas abouti.

Les revendications des gardiens de prisons semblent inchangées depuis l’an dernier( voir notre entretien avec Ludovic, gardien de prison : https://www.parisvox.info/2017/04/12/entretien-ludovic-su...

Mouvement national 

Les syndicats Unsa, CGT et FO ont appelé à bloquer les différentes prisons et maisons d’arrêts de France. Le message semble avoir été entendu. Ainsi Emmanuel BAUDIN, le Secrétaire Général du SNPFO-PS de Nanterre appelle à la mobilisation sur Facebook :

“Demain lundi, TOUS les personnels de tous grades et corps confondus sont appelés à se mobiliser devant tous les établissements de métropole et d’outre-mer, reconductible chaque jour jusqu’à obtention de nos revendications. Ce mouvement ne doit pas être un mouvement pour rien, comme nous en avons trop connu dans le passé.
Ce mouvement, l’intersyndicale le veut dur ! Nous souhaitons un blocage total de TOUS les établissements.
Nul doute que l’administration va vouloir nous mettre la pression et nous menacer de sanction, nous devons rester solidaires et ne pas céder. Voilà pourquoi il est important que sur chaque établissement les consignes soient suivies.
Ce mouvement doit nous permettre d’aller chercher la sécurité à laquelle nous avons le droit et pour cela nous exigeons :
Une classification des établissements en fonction du profil des détenus, le rétablissement d’une sécurité républicaine dans les prisons françaises, le renforcement de l’autorité des personnels avec de réelles mesures législatives, un recrutement massif, une reconnaissance statutaire et indemnitaire des personnels à leur juste valeur. Le statut et la paye ! ! 
Chers collègues, TOUS devant les portes demain matin dès 6h pour enfin faire changer. 
Je compte sur vous !”

Une mobilisation d’envergure est attendue à Fresnes, Nanterre, Réau, Meaux, Poissy…  A Fleury-Mérogis le blocage aura lieu le soir comme point d’orgue du mouvement.

Source et Document

11e arrondissement : une bagarre entre bandes rivales fait un mort

 

bagarre

Paris Vox – Nouvel épisode de la guerre que se livrent diverses bandes ethniques dans plusieurs quartiers de Paris. Cette fois c’est dans le 11e arrondissement, rue de la Roquette, que la confrontation s’est déroulée, faisant une victime, un jeune homme de 15 ans, poignardé.


La victime avait été transportée d’urgence, dans un état critique, à l’hôpital de la Salpétrière, mais elle a succombé à ses blessures. Les faits se sont déroulés samedi soir entre 19h30 et 20h dans le quartier de la Bastille, entre la place Voltaire et le cimetière du Père Lachaise, rue de la Roquette, haut lieu de la vie nocturne parisienne avec ses nombreux bars et restaurants.

Une cinquantaine  de jeunes voyous  appartenant à des bandes du XIe et du XXe arrondissement de Paris se sont affrontées pour une raison encore inconnue, les motifs étant généralement le contrôle de trafics ou la concurrence territoriale. Au cours de l’affrontement, un des participants, âgé de15 ans, a été frappé d’un coup de couteau dans le dos. Il est décédé à 21 heures.

Deux jeunes hommes ont été interpellés et placés en garde à vue. Par ailleurs, la police a déployé des renforts dans le secteur pour éviter les opérations de « représailles ».

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Selon la Ligue du Nord, l'islam est un danger pour la société italienne

ROME (Reuters) - L'islam menace l'avenir de la société et de la culture italiennes et il est nécessaire de mettre fin à l'"invasion" migratoire, a déclaré lundi le dirigeant de la Ligue du Nord, Matteo Salvini, un allié de l'ancien président du Conseil Silvio Berlusconi.

Un autre responsable de la "Lega", Attilio Fontana, candidat à la présidence de la région Lombardie, a déclaré sur les ondes de Radio Padania que la "race blanche" risquait d'être "balayée" d'Italie si des mesures rigoureuses n'étaient pas prises pour bloquer l'arrivée des migrants qui viennent en majorité d'Afrique.

L'immigration s'est imposée comme l'un des thèmes principaux de la campagne pour les élections législatives du 4 mars en Italie, pour lesquelles la Ligue du Nord a conclu une alliance avec le mouvement Forza Italia de Berlusconi.

"Nous devons décider si notre ethnie, notre race blanche, notre société doivent continuer à exister ou doivent être balayées", a dit Attilio Fontana.

Ces propos ont suscité un tollé et Fontana a ensuite déclaré qu'il avait fait un "lapsus" et s'était "mal exprimé".

Il a cependant reçu un soutien sans équivoque du dirigeant de la Ligue.

"Nous sommes attaqués. Notre culture, notre société, nos traditions, notre mode de vie sont en danger", a déclaré Salvini dans un communiqué.

 
 
 "La couleur de la peau n'a rien à voir avec ça mais le risque est bien réel. Des siècles d'histoire risquent de disparaître si l'islamisation, qui a été sous-estimée jusqu'ici, finit par s'imposer", a-t-il ajouté.

Plus de 600.000 migrants sont arrivés par bateau en Italie ces quatre dernières années.

L'ancien président du Conseil Matteo Renzi, du Parti démocrate, a accusé la Ligue du Nord de chercher à semer la peur dans le pays.

Pour le Mouvement 5 Etoiles (M5S), les propos de Fontana montrent bien que l'alliance de droite est "extrémiste".

Forza Italia, la Ligue du Nord et un parti d'extrême droite, Frères d'Italie, sont donnés en tête des intentions de vote pour les élections du 4 mars mais ne devraient pas obtenir la majorité absolue au Parlement.

 (Crispian Balmer, Guy Kerivel pour le service français)

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Philippe de Villiers : "Macron aura rendez-vous avec l’Histoire s’il affronte la question du Grand remplacement"

Extraits des propos tenus par Philippe de Villiers sur BFM TV :

"Je suis très inquiet pour mon pays car les Français vivent dans un sentiment de dépossession de leur territoire, de leur mémoire, de leur histoire et de leur identité. C’est l’heure de vérité, du destin d’Emmanuel Macron. Ou bien il a rendez-vous avec l’Histoire, ou bien avec les histrions à la fin de son mandat. Pourquoi ? Il faut qu’il ose affronter avec courage, je pèse mes mots, le face à face angoissant sur notre territoire de deux populations. Une de plus en plus nombreuse et jeune, transplantée, et qui là où elle est transplantée voudrait continuer à vivre avec ses racines, son art de vivre, ses croyances, sa civilisation. Et une autre population, de moins en moins nombreuse, de plus en plus vieillissante, qui se coupe de ses racines. J’attends de lui qu’il préserve la survie de la France, c’est-à-dire la civilisation de la France. Il aura rendez-vous avec l’Histoire s’il affronte la question du Grand remplacement (...)

Quant à Laurent Wauquiez et Marine Le Pen, il semble les renvoyer dos-à-dos :

"Wauquiez me fait penser à un souvenir d’enfance. Quand j’étais petit, il y avait une serre bretonne avec des lampes rougeoyantes et des artichauts qui montaient très haut. Quand on les mangeait, on disait à notre maman, “ces cœurs d’artichauts sont fades, ils n’ont pas de gout”

La dernière fois que je l’ai vue à la télé, elle m’a rappelé une Une de l’Humanité sur Poincaré. Il a le soleil dans les yeux à un enterrement. L’Humanité titre : “l’homme qui rit dans un cimetière”. Le soir de l’élection, j’ai vu Marine Le Pen danser. Une femme qui danse sur sa défaite n’a pas d’avenir"

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Yvan Rioufol : " Macron, ce faux dur en matière d'immigration"

Extrait de l'excellente tribune d'Yvan Rioufol :

"La gauche angélique et irresponsable fait faussement passer Emmanuel Macron pour un opposant déterminé à l’immigration de peuplement (...) Cet étalement de bons sentiments en dit long sur l’aveuglement face au raidissement de l’opinion. Partout en Europe, et singulièrement en France, les gens rejettent majoritairement une immigration qui ne s’assimile plus et qui porte en elle un nouvel antisémitisme.

Reste que Macron n’est pas l’homme à poigne que croient voir les inconditionnels de l’accueil pour tous. Son soutien à la politique d’Angela Merkel, qui a fait entrer en Allemagne plus d’un million de "migrants" musulmans en 2015, ajouté à son mépris des "populistes" qui réclament le retour aux frontières, ne font pas du président un obstacle sérieux à l’idéologie immigrationniste.

Tandis que les pays d’Europe de l’Est, qui ont déjà sauvé l’Europe de l’envahisseur ottoman en 1683, sonnent une nouvelle fois l’alarme sur une histoire qui se répète, Macron joint sa voix à celle de l’Union européenne pour accabler la Pologne ou la Hongrie. Le député Guy Verhofstadt a récemment sermonné ces deux nations : "Il n’y a pas de place pour des pays qui rejettent nos valeurs. Toute référence à l’identité nationale est potentiellement fanatique". Pour sa part, le commissaire européen aux migrations, Dimitris Avramopoulos, a admis (Le Figaro, vendredi), parlant d’"impératif moral" mais aussi d’impératif "économique et social" : "Il est temps de regarder en face la vérité. Nous ne pourrons pas arrêter la migration". Macron l’européen demeure, jusqu'à présent, dans cette logique de l'ouverture et du remplacement."

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"L'islam est désormais perçu comme une menace par une frange importante des chrétiens"

 

Extrait de l'entretien accordé par Jérôme Fourquet au Figaro :

XVM9bb5abb0-f7ad-11e7-8019-2c6b598f24bb-150x220"Vous estimez également qu'il y a eu un changement dans la perception qu'ont les catholiques de l'islam?

Même si on ne peut jamais dater précisément un tel changement, il semble que l'assassinat du Père Hamel dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray ait cristallisé cette évolution. On observait déjà un bruit de fond auparavant: les agressions sexuelles survenues à Cologne, les attentats terroristes ou encore les meurtres de populations chrétiennes commis par Daesh ont provoqué un raidissement des catholiques sur la question de l'islam.

Puis dans un second temps, les catholiques ont progressivement pris conscience qu'ils étaient minoritaires dans leur propre pays. En face, une population musulmane cohabite désormais avec eux sur un territoire qui a de plus en plus de mal à revendiquer ses racines chrétiennes. Le choc des images est important: on voit d'un côté des églises fréquentées par des personnes de plus en plus âgées, et qui ne sont plus remplies, tandis que de l'autre côté la population musulmane est plus jeune, et surtout, elle est confinée dans des salles de prière qui ne suffisent plus à contenir toute la communauté. Cette concurrence visible inquiète de plus en plus une partie des catholiques.

Quand le Père Hamel meurt assassiné en juillet 2016, l'islam est désormais perçu non plus comme une religion concurrente mais comme une menace par une frange importante des chrétiens. Cette menace physique potentielle se rappelle régulièrement à eux: les catholiques peinent à accepter de devoir se rendre à la messe de Noël sous la vigilance de soldats en armes. Symboliquement, le message qu'ils ressentent est très fort."

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Et avec ça le "grand remplacement" est une "fake news"

 

20180114_ducthMohammed est le prénom le plus donné aux nouveaux-nés aux Pays-Bas. Les statistiques indiquent que c'est Noé (Noah) le prénom le plus donné, mais Mohamed arrive en fait en tête quand on fait la somme des différentes versions orthographiques :

  • Mohammed,
  • Mohamed,
  • Muhammed,
  • Mohammad,
  • Muhammad
  • Mohamad,
  • Muhamed,
  • Muhammet,
  • Mouhamed,
  • Muhamad
  • Mahamuud

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Les clandestins de Calais “refusent l’aide humanitaire que l’État leur propose”

Invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFM TV et RMC ce lundi, le maire LR de Calais Natacha Bouchart a assuré que les clandestins de Calais “refusent l’aide humanitaire que l’État leur propose”. “Ils se mettent eux-même dans des situations ingérables”, a-t-elle ajouté :

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À Fresnes, les forces de l’ordre ont délogé les gardiens qui bloquaient la prison

pour dénoncer leurs conditions de travail :

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Surveillants agressés : grève dans deux tiers des prisons françaises

Ce lundi 15 janvier a été marqué par un mouvement de grève des surveillants de prison : 2/3 des 188 prisons ont été perturbées :

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Présentation de l’Organisation de Lutte Contre le Racisme Anti-Blanc

par son fondateur :

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Une Hindoue convertie de force : mon mari voulait me vendre comme esclave sexuelle à l’Etat islamique

Une Hindoue convertie de force : mon mari voulait me vendre comme esclave sexuelle à l’Etat islamique

Illustration : « Une femme du Kerala » convertie de force « dit que son mari avait l’intention de la vendre comme esclave sexuelle à l’EI », par Ramesh Babu, Hindustan Times, le 11 janvier 2018. 

Une piqûre de rappel pour tous les candidats à la conversion à l’islam. La traite d’êtres humains est parfaitement intégrée dans les écritures islamiques et consacrée par le coran. 
Les djihadistes pratiquent aussi une forme de prostitution sacrée nommée djihad de la fornication https://www.reflexiondz.net/Une-tunisienne-a-exerce-le-dj..., les « musulmanes » ne sont donc pas à l’abri d’être vendues pour la prostitution. Les mafieux n’ont pas de complexes, ni de limites.
Laveritetriomphera

Inde: Une Hindoue convertie de force à l’islam, rapporte que son mari avait l’intention de la vendre à l’État islamique comme esclave sexuelle. 

Le 11 Janvier 2018  par Robert Spencer

La réduction à l’esclavage sexuel des « mécréantes » est approuvée par le coran. Selon la loi islamique, les musulmans peuvent utiliser les « captives que leur main droite possède » (Coran 4: 3). Le Coran dit: « Ô Prophète! Nous t’avions rendu licites tes épouses à qui tu avais apporté leur salaire d’honneur, celles aussi des esclaves en ta possession qu’Allah t’avait données en butin  » (33:50). Les versets 4: 3 et 4:24 étendent ce privilège aux musulmans en général. Le coran (23 1-6) dit qu’un homme peut avoir des rapports sexuels avec ses femmes et ses esclaves :

SOURATE 23
AL-MU˓MINŪNE (LES CROYANTS)(1) 

118 versets
Pré-hég. nº 74 

 

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. 

1. Bienheureux sont certes les croyants(2),

2. ceux qui sont humbles dans leur Ṣalāt,

3. qui se détournent des futilités,

4. qui s’acquittent de la Zakāt,

5. et qui préservent leurs sexes [de tout rapport],

6. si ce n’est qu’avec leurs épouses ou les esclaves qu’ils possèdent(3), car là vraiment, on ne peut les blâmer;

Le viol des captives de guerre est aussi légitimé par la tradition islamique :

« Abu Sirma a dit à Abu Sa’id al Khadri (Allah soit satisfait de lui) : Ô Abu Sa’id, tu as entendu le Messager d’Allah (paix soit sur lui) mentionner au sujet d’Al-azl ? Il a dit, « oui », et a ajouté : « Nous sommes sortis avec le messager d’Allah (paix soit sur lui) sur l’expédition au Mustaliq et avons rendu captives quelques excellentes femmes arabes ; et nous les avons désirées car nous souffrions de l’absence de nos épouses, (mais en même temps) nous avons également désiré une rançon pour elles. Ainsi nous avons décidé d’avoir des rapports sexuels avec elles mais en observant l’azl « (retirer l’organe sexuel masculin avant émission de sperme pour éviter la conception). Mais nous avons dit : « Nous faisons un acte tandis que le messager d’Allah (paix soit sur lui) est parmi nous ; pourquoi ne pas lui demander ? » Ainsi nous avons demandé au messager d’Allah (paix soit sur lui) et il a dit : « Il n’importe pas si tu ne le fais pas, pour chaque âme qui doit être soutenue jusqu’au jour de la résurrection sera soutenue. » (Sahih Muslim, livre 008, Numero 3371).

La loi islamique stipule également : « Lorsqu’un enfant ou une femme est capturé, ils deviennent des esclaves, et le mariage précédent de la femme est immédiatement annulé. » (Umdat al-Salik O9.13).

Le cheikh égyptien Abou-Ishaq al-Huwayni a déclaré en mai 2011 que « nous sommes à l’ère  du djihad » ce qui signifie que les musulmans peuvent acquérir des esclaves. Par la suite dans une interview il a exprimé :

Le djihad est déclaré uniquement contre les infidèles. Les musulmans ne peuvent acquérir du butin, des esclaves et faire des prisonniers que durant la guerre qui les oppose aux mécréants. Les musulmans ont été des conquérants, ils ont envahi des territoires et ils ont pris le contrôle de pays. Tous les érudits islamiques acceptent cette version, aucun n’est en désaccord avec un autre quelle que soit sa position au sein de la hiérarchie islamique alors qu’il est question de butin et de prisonniers. Les captifs et le butin sont distribués aux combattants, incluant les hommes, les femmes, les enfants, les richesses et ainsi de suite.

Quand un marché aux esclaves est organisé, les captifs et les femmes qui sont destinées à être vendues comme esclaves sexuelles sont désignés sous le nom de milk al-yamin ce qui signifie : « ce que votre main droite possède » [coran 4:24]. Ce verset est toujours en vigueur, il n’a pas été abrogé. Les « milk al-yamin » sont des esclaves sexuels. Vous vous rendez au marché, vous appréciez l’esclave sexuelle qui vous tente et vous l’achetez. Elle devient comme une épouse, (mais) le contrat (de mariage) ou l’acte de divorce ne sont pas nécessaires à l’inverse d’une femme libre, elle n’a pas non plus besoin d’un wali. Tous les érudits sont unanimes sur ce sujet – aucun n’est en désaccord sur ce point […] Quand je veux une esclave sexuelle, je vais juste au marché et je choisis la femme qui me plaît et je l’achète.

 À la même période, le 25 mai 2011, une femme politique koweïtienne, Salwa al-Mutairi, s’est également prononcée en faveur de la pratique islamique de l’esclavage sexuel des femmes non musulmanes, soulignant que cette pratique est conforme à la loi et morale islamiques.

Un marchand m’a dit qu’il aimerait avoir en sa possession une esclave sexuelle. Il m’a assuré qu’il ne la négligerait pas, et que l’islam permet cette pratique. Il dit vrai. J’ai exposé sa situation aux muftis de La Mecque. Je leur ai dit que j’avais une question à leur poser, puisque ces hommes savent ce qui est halal, quel est le bon comportement et qu’ils aiment les femmes. Je leur ai demandé : « Que dit la loi sur les esclaves sexuelles ? ». 

Le mufti a répondu : « La loi sur les esclaves sexuelles implique une guerre opposant un pays musulman à une nation chrétienne, ou à toute autre nation qui ne serait pas musulmane, et des prisonniers de guerre. ». 

J’ai demandé « l’islam interdit-il cette pratique ? ». 

Absolument pas, la possession d’esclaves sexuelles n’est pas interdite par l’islam. Au contraire, les esclaves sexuelles et les femmes libres sont régies par des lois différentes. La femme libre doit être voilée sur tout le corps hormis le visage et les mains. Mais l’esclave sexuelle peut être nue à partir de la taille. Son statut est très différent de celui de la femme libre. Alors qu’un contrat de mariage est nécessaire pour la femme libre, il ne l’est nullement pour l’esclave sexuelle – elle est achetée par son mari, et rien de plus. Donc le statut de l’esclave sexuelle diffère de celui de la la femme libre. ». 

En janvier 2016, un professeur d’al-Azhar a déclaré qu’Allah permettait aux musulmans de violer des femmes non-musulmanes afin de les humilier.

L’exploitation sauvage des filles et des jeunes femmes est, malheureusement, un phénomène interculturel, mais c’est seulement dans la loi islamique qu’elle est légitimée par les écrits religieux.

La police du Kerala a arrêté mercredi deux personnes originaires du nord de Paravur près de Kochi pour présomption de conversion forcée dont aurait été victime une femme de 24 ans. Les prévenus sont soupçonnés d’avoir projeté de la vendre comme « esclave sexuelle » à des islamistes radicaux en Syrie. 

AV George, le commissaire de la commune rurale d’Ernakulam a déclaré que les deux suspects, Fawaz Jamal et Mohamed Siyad, ont été inculpés en vertu des articles de la loi sur la cybercriminalité et sur la prévention d’activités illicites. 

La femme a accusé son mari Mohamed Riyaz (26 ans), originaire du nord du Kerala, d’avoir projeté de la vendre à l’État islamique (EI), qui est actif dans certaines parties de la Syrie.

Le nord du Kérala est l’un des foyers de l’islam fondamentaliste en Inde, et plus de 100 personnes – y compris des femmes et des enfants – auraient rejoint des islamistes radicaux en Syrie, en Irak et en Afghanistan pour participer au « djihad ». 

Lors de son audition la femme rapporte avoir été emmenée de force dans un centre religieux à Paravur, et avoir été torturée par les prévenus qui suivaient les instructions de son mari, avant d’être acheminée vers l’Arabie Saoudite.

En décembre dernier, la police indienne a été confrontée à un problème similaire suite à un dépôt de plainte d’une femme au tribunal. Les forces de l’ordre indiennes tentent également de contacter Interpol et d’autres instances pour que soit expulsé le mari, un habitant de Kannur, qui serait actuellement à Djeddah. 

Le commissaire de police a déclaré : « Nous cherchons à savoir si les personnes arrêtées ont un lien avec l’État islamique. ». 

Alors qu’elle se trouvait en Arabie Saoudite, la plaignante affirme avoir été enfermée dans une pièce, mais grâce à un téléphone portable elle a pu contacter ses parents à leur domicile. Elle a fui l’Arabie saoudite pour retourner en Inde en octobre grâce à l’aide d’expatriés indiens. 

La plaignante, originaire de Pathanamthitta dans le centre du Kerala, a résidé au Gujarat et étudiait à Bangalore. Elle rapporte que lors de son séjour à Bangalore en 2015, elle a rencontré Riyaz avec qui elle a eu des rapports intimes. 

Elle ajoute que Riyaz a filmé leurs moments intimes à son insu, et a utilisé les vidéos pour la faire chanter. Elle dit qu’elle a été obligée par la suite d’intégrer une madrassa située dans le nord de Paravur, et forcée d’apprendre les principes de l’islam.

Leur mariage a été ensuite confirmé par un religieux musulman en mai 2016. Cependant, elle aurait réussi à quitter son mari, mais il a fini par déposer une requête en habeas corpus devant la haute cour en affirmant qu’elle était illégalement retenue par ses parents.

Elle déclare avoir subi une pression toujours plus forte et des menaces provenant du voisinage, elle a donc été forcée de réintégrer le domicile conjugal. Elle ajoute que son mari s’est comporté correctement pendant un certain temps, puis en août dernier il l’a emmenée en Arabie Saoudite avec un visa touristique, et il l’a enfermée dans une pièce d’où elle s’est échappée.

Elle soutient avoir intercepté une conversation entre son mari et d’autres personnes et aurait ainsi appris qu’ils projetaient de la livrer à l’EI en Syrie …

 

Traduit de l’anglais par Lavéritétriomphera.

Source : https://www.jihadwatch.org/2018/01/india-hindu-woman-forc...

Source

Le Djihad silencieux : « l’islam fera son retour et nous contrôlerons l’Europe et l’Occident »

Nous avions lancé un appel à traduction à nos lecteurs pour la bande annonce du documentaire sur le djihad tourné par un journaliste israélien qui s’est fait passer pour un cheikh payé par les Frères musulmans pour recruter des djihadistes.

Suite, Source et Video

 

« Nique la France », le rappeur condamné à l’euro symbolique !!!

« Nique la France », le rappeur condamné à l’euro symbolique !!!

C’est une « victoire » pour l’AGRIF, puisque, déboutée en première instance puis en appel ( merci et bravo les juges…), elle avait fait un recours à la Cour de Cassation, recours qu’elle avait gagné. La Cour de cassation avait cassé le jugement d’appel, et le nouveau procès en appel, près le tribunal de Lyon a été gagné.

Nous nous étions réjouis avec l’AGRIF de cette victoire il y a un an :

La Cour de Cassation annule cette décision en jugeant, selon l’évidence du bon sens et du droit, que les propos litigieux du morceau de rap Nique la France désignent « à travers les références constituées par la représentation symbolique de la République, le drapeau français et l’hymne national, des personnes appartenant à la nation française ». L’affaire est renvoyée devant la Cour d’Appel de Lyon.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/02/28/victoire-les-...

 

Nous ne pavoisons pas, néanmoins, parce que, un euro symbolique d’amende pour « nique la France », comparé aux sommes exorbitantes demandées aux patriotes pour mille fois moins, c’est du délire, du n’importe quoi. D’autant que la Cour de Cassation a clairement identifié, derrière la République, le drapeau et la Marseillaise les Français, donc des personnes traînées dans la boue à cause de leur « origine ethnique ». C’est comme ça qu’on parle, à présent que les races n’existent pas et que le nationalisme se porte fort mal. Un euro pour piétiner la France qui donne asile, argent, éducation… C’est un cadeau royal fait aux ennemis de la France, ce n’est pas cela qui empêchera une Obono de soutenir sa copine Bouteldja, au contraire… Comme si les juges mouraient de peur à l’idée de condamner un Alien… On ne débouchera pas le champagne ce soir, cette victoire a un arrière-goût de défaite.

L’Agrif a au moins gagné le remboursement d’une partie de ses frais puisque le rappeur a été condamné à lui verser 3000 euros.

Voici le communiqué de l’AGRIF

LÉGITIME SATISFACTION POUR L’AGRIF : LA COUR D’APPEL DE LYON CONDAMNE « NIQUE LA FRANCE »

C’est une heureuse décision rendant justice à l’AGRIF que vient de rendre ce vendredi 12 janvier 2018 la Cour d’appel de Lyon. Elle a en effet condamné les injures racistes anti-françaises perpétrées dans une production rapeuse sous le même titre que le livre « Nique la France », ayant pour auteur le dénommé Saïd Zouggagh, plainte dont elle avait été déboutée par la Cour d’appel de Paris.

Mais la Cour de cassation, ayant cassé cet appel d’une manière très sévère sur le fond, avait ordonné que le procès soit déporté devant la Cour d’appel de Lyon. Cette dernière a jugé que les propos poursuivis étaient de nature à mériter une condamnation, certes à la peine symbolique d’un euro de dommages et intérêts, mais condamnation explicite et significative assortie de l’injonction de verser 3000 € à l’AGRIF pour ses frais de procédure et d’avocat.

Cette satisfaction judiciaire marque le combat mené par l’AGRIF face à l’entreprise de haine contre la France, les Français et les blancs, inspiré par madame Houria Bouteldja, porte-parole du PIR ( Parti des Indigènes de la République). Ce parti, fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile, a tenté à ses débuts de s’avancer sous le couvert de l’idéologie de l’antiracisme.

Mais nous en avons démonté la dialectique de camouflage, mettant en évidence le fait que, selon notre expression, l’antiracisme est en fait « un racisme en sens contraire ».

L’AGRIF défend, quelle que soit soient leur race, ou leur religion, tous les Français injuriés ou agressés pour le seul fait d’être français. Elle défend notamment les chrétiens, quelle que soit leur origine, discriminés ou persécutés pour le seul fait d’être chrétien.

L’arrêt de la Cour d’appel de Lyon manifeste combien est nécessaire le combat de l’AGRIF contre le racisme de l’islamo-gauchisme.

http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=ite...

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Bandes : la barbarie au cœur de nos villes

C’était une des missions des renseignements généraux : la surveillance et le suivi des bandes. Dans ce domaine, le service dissous et réorganisé en 2008 sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy, alors président de la République, était même assez bon. Il permettait de contrôler un certain nombre d’individus et de quartiers, limitant de fait l’activité criminelle de ceux qui peuvent aujourd’hui, presque en toute impunité, laisser libre cours à une violence débridée.

On pourra toujours rétorquer que le phénomène des bandes n’est pas nouveau. Et c’est vrai. Déjà, au Moyen Âge, les bandes étaient fort actives. Anciens soldats en rupture de ban ou ribauds de toutes origines, elles sévissaient dans les villes et les campagnes, détroussant bourgeois et citadins. Plus près de nous, au début des années 1900, ce sont les « apaches » qui défraient la chronique, en se rendant coupables des pires exactions. Leur nombre, estimé par Le Petit Journal, en octobre 1907, à 70.000, ne peut qu’inspirer la crainte face aux 8.000 sergents de ville que compte alors la capitale. Dans les années 1950-1960, ce sont les blousons noirs qui prennent le relais, en s’affrontant déjà dans de sanglantes bagarres de rue. Et pourtant, on aurait pu penser que, notre société évoluant, ces dérives d’un autre temps seraient contenues, à défaut d’être éradiquées. Les derniers événements survenus à Paris, en plein quartier de la Bastille, prouvent qu’il n’en est rien. Et il aura fallu la mort d’un jeune adolescent de 15 ans, poignardé au cours d’une rixe avec une bande rivale, pour prendre conscience de ce que la barbarie est toujours aussi présente au cœur de nos villes, et que nos coûteuses politiques de la ville n’ont rien amélioré ni changé.

Elles seraient donc évaluées aujourd’hui à 40, et elles séviraient dans plusieurs arrondissements de Paris. Composées de jeunes de 13 à 18 ans, elles s’affrontent au cours de bagarres éclair pour des motifs pas toujours très bien établis, mais dont on peut supposer que le contrôle des territoires reste un enjeu important. Il n’en demeure pas moins que les habitants sont, aujourd’hui, de plus en plus nombreux à déplorer une augmentation importante de la violence et l’instauration d’un climat d’insécurité qui vient s’ajouter à un mal-être qui se généralise.

 Mais Paris n’est pas la seule ville touchée. Et les bandes qui sévissent un peu partout, même si elles n’empruntent pas forcément au schéma structurel américain, sont tout aussi actives et dangereuses. Elles se distinguent tout d’abord par la jeunesse des éléments qui les composent. Des adolescents, souvent mineurs, ou de jeunes adultes, ce qui rend la répression extrêmement difficile dans le contexte judiciaire qui est le nôtre. Ensuite, l’existence des réseaux sociaux, qui favorise les modalités de regroupement de bandes qui peuvent, en des temps record, fondre sur des adversaires désignés à l’avance. Enfin, l’inadaptation de l’action policière qui, après avoir vu ses outils de détection désorganisés, voit maintenant la priorité de ses missions aller dans d’autres directions. La lutte contre le terrorisme accaparant l’ensemble des moyens des forces de l’ordre.

Ce sont ainsi des pans entiers de notre sécurité du quotidien qui ne sont plus assurés. C’est la raison pour laquelle une véritable réflexion doit être menée, au plus haut niveau, pour repenser nos politiques générales de sécurité. Il ne suffira pas, une fois encore, de déverser des millions d’euros pour répondre à un mal qui est profond et qui demande, certes des moyens, mais surtout une volonté farouche pour restituer l’État de droit qui a disparu de certains de nos territoires.

Olivier Damien

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mardi, 16 janvier 2018

Terres de mission n°61 : Peut-on encore critiquer l’Islam ?

Terre de missions reçoit François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service Politique. Il fait un point sur l’un des combats actuels majeurs de la Fondation : le combat contre la pornographie. Une démarche qui l’a amené à porter plainte contre le ministère de l’Education nationale pour incitation à la débauche.


En deuxième partie, l’abbé Paul Aulagnier parle de son dernier livre : « A la fin, mon coeur immaculé triomphera ». Ce livre consiste en une lecture ligne à ligne, et même souvent mot à mot, des principales hymnes mariales du bréviaire romain traditionnel. Avec une attention toute particulière à la poésie de ces oeuvres magnifiques, de même qu’à leur admirable densité doctrinale.


Enfin dernière partie, l’abbé Guy Pagès, dont la page Facebook vient, une nouvelle fois, d’être suspendue, discute de la curieuse situation actuelle où, en Occident même, les pouvoirs publics et les grandes sociétés appliquent, d’une certaine façon, la charia, puisqu’ils condamnent toute critique de l’Islam comme une sorte de racisme – condamnant ainsi certains musulmans à demeurer enfermés dans leurs erreurs.

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Pour la quatrième année de suite, l'immigration a reculé en Suisse en 2017

Plus de 2 millions d'étrangers vivent en Suisse. Mais ils étaient moins nombreux à entrer dans notre pays en 2017 qu'en 2016. Un recul qui se répète depuis 4 ans. Les Italiens, avec près de 320'000 représentants, sont toujours les plus nombreux, devant les Allemands et les Portugais.

Le nombre de personnes ayant immigré en Suisse a reculé l'année dernière. Environ 137'800 sont arrivées de janvier à décembre, ce qui correspond à une baisse de 4% par rapport à 2016.

C'est la quatrième année consécutive de baisse, a indiqué lundi le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). A fin 2017, la Suisse comptait 2,05 millions d'étrangers, soit 1,2% de plus qu'en 2016.

 

Au 31 décembre, 1,4 million de citoyens d’Etats membres de l’UE ou de l’AELE vivaient en Suisse (+1,1%). S'y ajoutaient près de 648'000 ressortissants d’Etats tiers (+1,4%).

Les Italiens restent le groupe le plus important des étrangers de Suisse. Ils étaient 319'367 à fin décembre. Suivent les Allemands (305'785) et les Portugais (268'012).

Plus de Français, moins de Portugais

Le nombre de ressortissants français a connu la plus forte progression (+4212 personnes). Les Portugais ont connu une évolution inverse, affichant le recul le plus marqué (−1509 personnes).

Le solde migratoire de 2017 est nettement inférieur à celui de 2016, avec un total de 53'221 personnes (−11,7%). Les émigrants, soit les personnes quittant la Suisse, ont augmenté de 2%, à 79 104 personnes. L’immigration nette en provenance de pays qui bénéficient de la libre circulation des personnes (UE-28/AELE) a diminué de plus d'un cinquième. Son niveau est le plus bas jamais atteint depuis 2007.

Comme les années précédentes, le principal motif d'immigration a été l'exercice d'une activité lucrative (près de 47% des cas). Le regroupement familial (31%) arrive en deuxième position.

Source

 

L'hystérie du débat sur l'asile et l'immigration est incompréhensible

Alors que deux textes sont en gestation concernant l'asile et l'immigration, chaque camp hurle son opposition aux mesures proposées. Il n'y a plus aucune sérénité dans le débat.

Est-ce qu’on peut encore débattre sérieusement de l’asile et de l’immigration ?

 
 C’est devenu très difficile. Il faut dire que la France, comme toute l’Europe, comme tout l’Occident, traverse une profonde crise identitaire, une sorte de sentiment d’insécurité culturelle qui ébranle les esprits et les opinions. Aucun gouvernement ne peut l’ignorer sans prendre le risque d’une déferlante populiste, voire extrémiste.

Le gouvernement, pour des raisons qui tiennent à cette crise, aussi sans doute pour des raisons politiques, a mis deux textes au cœur du débat. Il y a la circulaire Collomb, dont on parle depuis plusieurs jours, sur la vérification des droits des migrants, et le projet de loi en gestation sur l’asile et l’immigration.

On n’a jamais de chiffres parfaits dans ce domaine. Il y a d’abord les demandeurs d’asile, ceux qui viennent en France parce qu’ils sont en danger dans leur pays et demandent l’asile à la France, ce qui est un droit traditionnel. Il y en a eu 85 844 en 2016. Par comparaison, en 2010, il n’y en avait que 52 000 et 32 151 ont été admis.

Le solde migratoire, calculé par l’INSEE, là aussi avec toutes les incertitudes dues au fait qu’il y a beaucoup de clandestins, c’est 67 000 par an.

Après, il y a la différence entre les étrangers et les immigrés. 11,6 % des habitants sont nés à l’étranger, c’est à dire 7,6 millions d’habitants français. Là-dessus, 5,9 millions sont nés de nationalité étrangère et sont donc des immigrés. Ça fait 8,9 % de la population. Mais une partie de ceux qui sont nés à l’étranger ont acquis la nationalité française.

C’est donc très compliqué de s’y retrouver et ces chiffres sont à corriger de tout ce qu’on ne connaît pas.

Deux projets. Le projet de loi sur l’immigration et l’asile, d’abord, que certains au gouvernement, paraît-il, appellent plan de dissuasion migratoire, comporte quelques mesures de durcissement. La durée du titre de première admission va passer de un an à quatre ans. On va, en revanche, donner le bénéfice de la réunification familiale pour les mineurs aux ascendants mais aussi aux frères et aux sœurs.

Autre mesure de durcissement, le délai de recours à la commission nationale du droit d’asile va passer de un mois à 15 jours. L’effet de la décision sera probablement à la lecture et non plus à la notification. On va pouvoir vérifier les droits de séjour avec une retenue qui va passer de 16h à 24h. On aura la possibilité de supprimer le délai de départ volontaire ou d’imposer l’assignation à résidence pendant ce délai.

Quelques mesures d’assouplissement, qui ne sont pas négligeables, et des mesures de durcissement, qui font hurler les uns et les autres. Il n’y a plus de sérénité dans ce débat. Le texte, en réalité, ne va pas changer grand-chose. Je pense même que les mesures d’assouplissement ont un potentiel plus grand que les mesures de durcissement, mais qui sont raisonnables même si elles sont technocratiques et administratives.

La circulaire Collomb est encore pire. Elle dit qu’on va vérifier dans les centres d’accueil, les centres d’hébergement d’urgence, les droits de chacun. C’est quand même la moindre des choses ! Il n’y a pas à se scandaliser parce qu’on va vérifier les droits. On va envoyer des fonctionnaires de préfecture, qui vont vérifier et qui ensuite appliqueront la loi. Les hurlements sur le sujet sont incompréhensibles et disproportionnés. Il ne s’agit que d’appliquer le droit.

Dernier sujet, faire passer de 45 à 90 jours la durée de rétention administrative pour ceux qui doivent rentrer dans leur pays. Les associations hurlent que ça ne change rien. Mais si ça ne change rien,il n’y a pas de raison de hurler. En réalité, ça change pour quelques-uns et ce sont des cas qui ne sont pas négligeables. Il faut comparer ce qui est comparable. 180 jours en Allemagne et aucune limite en Grande-Bretagne.

Pour la plupart, les expulsions se font après 15 jours, sous le contrôle du juge des libertés. Il n’y a pas de quoi s’émouvoir à ce point. L’hystérie du débat est radicalement incompréhensible.

Le gouvernement a raison d’aller sur ce terrain. Il faut juste raison garder tout en conservant la dignité nécessaire d’accueil et les droits de ceux qui sont poursuivis dans leur pays.

Il faut rassurer des populations qui sont aujourd’hui extrêmement angoissées.

Écoutez la chronique d'Henri Guaino dans le Grand Matin Sud Radio, présenté par Patrick Roger et Sophie Gaillard

Source et Document

Grand remplacement et disparition des Blancs : l’argument principal contre l’accueil des migrants ?

Parmi les arguments que l’on entend en France contre l’accueil des migrants, on entend souvent le fait qu’il y a « déjà trop de chômeurs en France » et qu’il ne faudrait pas en plus rajouter de la concurrence étrangère. Ou encore, qu’on ne pourrait pas « supporter toute la misère du monde » économiquement (autrement dit, faire en sorte que notre système de protection sociale fonctionne dans une société sans frontière).

A contrario, l’argument principal, celui de la survie ethnique des Européens blancs dans un monde où ils sont minoritaires, n’est jamais repris par aucun responsable politique, le courage n’étant il est vrai pas la principale qualité de ceux qui font le jeu électoral à l’Ouest.

Pourtant, c’est bien cette question du grand remplacement – et à terme de la disparition des Blancs d’Europe sur leurs propres terres d’origine – qui se pose. L’argument serait dit-on inaudible dans une société de l’immédiat, incapable de se projeter deux siècles en avant dans notre histoire. Qu’importe, il est imparable.

Philippe Lemoine, candidat au doctorat en philosophie à l’Université de Cornell (Etats-Unis), l’a d’ailleurs parfaitement expliqué en plusieurs tweets, réagissant au sondage que nous avons commenté à propos de ces Français qui « valideraient la théorie du grand remplacement » jugée complotiste. Son argumentation est imparable.

La véracité du grand remplacement

« Ce qui me frappe » écrit-il, « ce n’est pas que 48% des Français croient à la théorie du grand remplacement, c’est le nombre de gens qui, bien que connaissant les lois de l’arithmétique, en parlent comme si c’était un délire d’extrême droite ». Et M. Lemoine de dérouler ses arguments :

Si par « théorie du grand remplacement », on parle de l’idée selon laquelle, à moins que notre politique d’immigration ou que les données démographiques de base ne changent complètement, les Français d’origine européenne vont à terme devenir minoritaires, alors il ne fait aucun doute que cette théorie est vraie et j’ai vraiment du mal à comprendre comment autant de gens qui sont a priori intelligents peuvent nier cela en dépit du bon sens et souvent (mais pas toujours) de bonne foi.

Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre : dès lors que la population d’origine extra-européenne continue à s’accroître plus rapidement que la population d’origine européenne, elle finira par devenir majoritaire, peu importe qu’elle soit pour l’instant très minoritaire.

Or il suffit de 5 minutes pour constater que, sous le double effet des flux migratoires et d’une fécondité plus importante, la population d’origine extra-européenne s’accroît en effet plus rapidement que la population d’origine européenne.

On entend souvent des gens minimiser l’apport démographique de l’immigration parce qu’ils ne regardent que le solde migratoire global, qui est souvent relativement faible, i. e. entre 50.000 et 100.000.

Mais si on décompose le solde migratoire, on voit que c’est surtout parce que beaucoup de Français nés en France quittent le territoire. Le solde migratoire des immigrés est beaucoup plus importants, i. e. entre 150.000 et 200.000 par an .

Les femmes immigrées d’origine extra-européennes ont en effet un taux de fécondité beaucoup plus important que celui des femmes nées en France. Il est vrai que la fécondité des descendantes d’immigrés d’origine non-européenne est à peine supérieure à celle des Françaises de la population majoritaire, mais quand bien même serait-elle exactement la même, le taux de fécondité des femmes d’origine non-européenne n’en serait pas moins supérieure à celle des femmes de la population majoritaire, puisque c’est une moyenne pondérée du taux de fécondité des femmes immigrées d’origine non-européenne et du taux de fécondité des femmes nées en France d’origine non-européenne.

Il s’ensuit que, en raison des flux migratoires et de cette différence de fécondité, la population d’origine non-européenne s’accroît plus rapidement que la population d’origine européenne. Par conséquent, à moins de rejeter les lois de l’arithmétique (ce qui est rarement une bonne idée), il est absolument indiscutable que, si les tendances démographiques restent les mêmes et qu’on ne change pas notre politique d’immigration, la proportion des individus d’origine non-européenne va augmenter et celle des individus d’origine européenne va diminuer progressivement jusqu’à ce que les premiers deviennent majoritaires.

Est-ce que les tendances démographiques vont rester les mêmes ? Pour vous aider à répondre à cette question, je vous suggère de jeter un coup d’oeil aux projections de population de l’ONU pour l’Afrique et l’Europe : Je vous laisse vous faire une idée..

Bref, il ne fait quasiment aucun doute que, à moins que nous ne changions de politique d’immigration, la population d’origine européenne deviendra un jour minoritaire. On ne peut nier cela sans être complètement irrationnel. Je note d’ailleurs qu’on peut déjà observer ce phénomène dans les données officielles. Voici par exemple l’évolution du profil des naissances depuis 1998 d’après l’INSEE. Voyez ce billet de blog pour les sources et quelques détails .

Certes, il y a également des unions mixtes, mais d’après les données de l’Enquête trajectoires et origines de l’Ined, seuls 43% des enfants nés entre 2006 et 2008 ayant au moins un grand-parent né en dehors de l’UE à 27 avaient un parent qui n’était ni immigré ni enfant d’immigré. C’est mieux que ce qu’on pouvait redouter, mais c’est tout de même limité. On peut aussi craindre que, à mesure que la proportion des individus d’origine non-européenne dans la population s’accroîtra, cette mixité deviendra d’autant moins courante que les descendants d’immigrés d’origine non-européenne auront une probabilité plus importante de tomber sur un membre de leur propre groupe quand ils chercheront un conjoint.

Cette substitution démographique progressive n’est d’ailleurs pas un phénomène uniquement français. C’est quelque chose qu’on observe dans la plupart des pays d’Europe de l’Ouest.

Voici par exemple le résultat des projections démographiques réalisées par le Pew Research Center, qui a estimé la proportion de la population qui sera musulmane dans les pays européens en 2050. 

Il est important de noter que, si l’on s’intéresse à l’évolution de la proportion des individus d’origine non-européenne, cette projection est trompeuse pour plusieurs raisons. D’abord, il s’agit uniquement de projections sur la population *musulmane*, mais 1) les musulmans ne sont qu’une partie des gens d’origine non-européenne et les projections de Pew tiennent compte du fait qu’une partie des gens dont les parents sont musulmans ne se considèrent pas eux-même comme musulmans et 2) les chiffres de Pew donnent la proportion e la population *dans son ensemble* qui sera musulmane en 2050, mais évidemment chez les jeunes, cette proportion sera beaucoup plus importante, car la plupart des gens aujourd’hui seront encore vivants à ce moment-là et pour l’instant les musulmans sont très minoritaires.

Par conséquent, il est fort possible et même probable que, dès 2050, les individus d’origine non-européenne seront majoritaires chez les personnes en dessous d’un certain âge. (J’essaierai de faire une projection avec un modèle démographique sérieux quand j’aurai le temps.) Or, dès lors que nous aurons atteint ce point d’inflexion, il sera devenu inévitable que les individus d’origine européenne deviennent à terme minoritaires. Naturellement, les projections démographiques sont toujours un exercice délicat, et les prédictions dépendent des hypothèses du modèle. Mais si vous avez suivi ce que j’ai expliqué au début de ce thread, vous devez bien voir que, même s’il y a une incertitude sur la date exacte à laquelle les individus d’origine européenne seront devenus minoritaires, il ne fait aucun doute que ça finira par arriver à moins qu’on ne change notre politique d’immigration.

Quand j’explique tout ça, je m’entends souvent dire que ce n’est pas grave si les individus d’origine extra-européenne deviennent majoritaires.

Bien sûr, vous avez tout à fait le droit de penser ça (même si dans 99% des cas les gens qui disent ça n’en pensent pas un mot), mais ne dites pas que c’est un fantasme, à moins que vous ne croyiez que les chiffres de l’INSEE sont faux ou que l’arithmétique est raciste. Je note d’ailleurs que, dans certains pays européens (sans parler des États-Unis), on parle de ça beaucoup plus ouvertement.

Pour qu’il y ait un véritable débat démocratique sur la politique d’immigration, il faut que les gens soient informés des conséquences des différents choix que l’on peut faire dans ce domaine, donc que les journalistes/intellectuels cessent de présenter ce phénomène comme un fantasme d’extrême-droite alors que c’est une réalité. Vu ce que j’ai lu sur Twitter ce matin, il y a encore du boulot.

« un continent où les Blancs ne seraient qu’une minorité parmi les autres »

En Europe, des dirigeants comme les leaders polonais ou hongrois ont parfaitement compris ce qui attendait les populations d’Europe si elles ouvraient leurs frontières – comme l’appellent de tous leurs vœux associations subventionnées, pouvoir politique et économique en France, et même le Pape. Car derrière l’accueil de migrants, qu’ils soient réfugiés ou pas, musulmans ou pas, et pour quel que soit le motif (famine, humanitaire, guerre …) il y a des hommes et des femmes, et des enfants, qui vont être amenés à rester durablement en Europe, à s’y reproduire, dans ce qui s’apparente à une forme de colonisation, pas toujours pacifique par ailleurs.

Les premières vagues d’immigration extra-européennes ont déjà montré toutes les limites de l’intégration et du mélange entre communautés. Ces nouvelles vagues pourraient contribuer à accélérer la transformation à moyen terme d’un continent blanc en un continent métissé, communautarisé, où les blancs ne seraient qu’une minorité parmi les autres.

La réalité, c’est cela, et cela arrivera rapidement, notamment parce que le seul argument opposé aujourd’hui à ceux qui veulent faire de leurs communes des « terres d’accueil » pour les damnés de la terre, c’est celui du chômage, ou celui de l’insécurité possible, ou encore celui des différences culturelles trop importantes. Ce sont des faux arguments de comptoir, qui ne prennent pas en compte le moyen ni le long terme.

La réalité, c’est que demain, l’homme blanc pourrait d’abord devenir minoritaire, puis disparaitre de la terre qu’il a façonné, développé et marqué de son emprise durant toute son histoire.

Certains – qui ont choisi le camp des traitres comme il y en a eu dans toute l’histoire de l’humanité – s’en réjouissent, soit.

Ils savent toutefois parfaitement que la nature de l’homme, cet animal, n’a jamais été de se laisser mourir sans réagir…

Julien Dir

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