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lundi, 01 janvier 2018

France : un imam en passe d’être expulsé au Maroc

Mohammed Tlaghi, Imam marocain exerçant en tant que suppléant à la mosquée de Torcy pourra être expulsé au Maroc. C’est ce qu’a décidé la commission d’expulsion composée de magistrats qui vient de rendre un avis favorable à l’arrêté d’expulsion.

On lui reproche des prêches tenus en 2016 et 2017 dans cette mosquée qui a été fermée par les autorités françaises en avril dernier car les deux imams y « ont explicitement légitimé le djihad armé en appelant les fidèles à prier pour les djihadistes du monde entier afin de détruire les ennemis de l’Islam en France et dans le monde » et d’avoir « apporté leur soutien aux fidèles de la mosquée mis en cause dans le cadre du démantèlement de la cellule terroriste dite de "Cannes-Torcy" ».

L’avocat du Marocain dénonce un dossier politique et rappelle que la loi exige qu’existe « une impérieuse nécessité pour la sûreté de l’État ou la sécurité publique » et rappelle que la perquisition effectuée en son domicile de même que les enquêtes ouvertes n’ont donné lieu à aucune suite judiciaire.

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Invasion migratoire : Europe centrale, terre de résistance

Les pays de la Mitteleuropa ne considèrent pas l’immigration comme une chance…  Paru en ce jour sur le site FdeSouche, une carte mise en ligne sur Twitter le 22 décembre par le site Europe Elects révèle les résultats d’un sondage posant la question suivante : « Pensez-vous que l’immigration extra-européenne est plutôt un avantage ou un inconvénient pour l’Europe ? »

Les résultats sont sans appels :

Hongrie : AVANTAGE 4 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 7 %

Slovaquie : AVANTAGE 8 % – INCONVENIENT 89 % – SANS OPINION : 3 %

Tchéquie : AVANTAGE 9 % – INCONVENIENT 88 % – SANS OPINION : 7 %

Bulgarie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 80 % – SANS OPINION : 6 %

Croatie : AVANTAGE 14 % – INCONVENIENT 74 % – SANS OPINION : 12 %

Serbie : AVANTAGE 19 % – INCONVENIENT 73 % – SANS OPINION : 8 %

Roumanie : AVANTAGE 20 % – INCONVENIENT 75 % – SANS OPINION : 5 %

Slovénie : AVANTAGE 23 % – INCONVENIENT 68 % – SANS OPINION : 9 %

Pologne : AVANTAGE 25 % – INCONVENIENT 59 % – SANS OPINION : 16 %

Autriche : AVANTAGE 26 % – INCONVENIENT 63 % – SANS OPINION : 11 %

Allemagne : AVANTAGE 33 % – INCONVENIENT 58 % – SANS OPINION : 9 %

Oui, même l’Allemagne… Décidément, cet élargissement de l’Union Européenne à l’Europe centrale est intéressant. Notons également qu’à l’exception de l’Autriche, tout ces pays ont connu une longue période de communisme, donc de résistance à une occupation étrangère, résistance fondée sur la religion et le nationalisme. La chanson disait : « A l’est la dictature des barbares communistes, à l’ouest la pourriture de l’égout matérialiste ». Visiblement, on survit mieux au premier qu’au second…

Hristo XIEP

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Viktor Orbán aux dirigeants européens: « Accepter la volonté des peuples sur l’immigration et la culture. Ou prendre la sortie »

Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a déclaré que les Européens « affirmaient leur volonté » en soutenant les dirigeants qui rejettent l’immigration de masse et soutiennent les fondations chrétiennes, et a mis en garde les politiciens qui nient « l’ordre naturel de la démocratie ».

Le chef du parti conservateur Fidesz a déclaré aux auditeurs de la radio Kossuth  que 2.3 millions de Hongrois ont participé à la consultation nationale contre le plan de migration de masse soutenu par George Soros, et qu’il avait maintenant l’intention de passer les prochains mois à convaincre ses opposants que l’Europe a raison de protéger ses frontières et sa culture.

Interrogé par l’animateur de 180 minutes, M. Orbán a répondu qu’après deux ans, depuis la crise des migrants, les dirigeants progressistes l’écoutaient maintenant: « Parce que, dans l’intervalle, des élections ont lieu en Europe. »

« Ceux qui plaident en faveur d’une « population mixte » et de « l’abolition des sociétés basées sur des fondations nationales et chrétiennes » en faveur de la vie dans des sociétés multiculturelles « ne cessent de perdre du terrain aux élections nationales », a-t-il observé.

« Les Européens… affirmeront leur volonté. Examinons les élections qui ont eu lieu en Europe au cours des derniers mois. Et je pense que ce processus va s’intensifier. »

« Tenir jusqu’à ce que les Européens de l’Ouest nous rejoignent »

« Nous devons donc tenir jusqu’ à ce que les Européens de l’Ouest suivent les Européens centraux en devenant assez forts pour utiliser leurs institutions démocratiques, leurs élections, pour forcer leurs dirigeants à poursuivre une politique que les gens favorisent et soutiennent, une politique qui rejette l’immigration », a poursuivi le Premier ministre.

Prédisant en 2016 que l’année suivante serait « l’année de la rébellion  » quand les citoyens voteraient contre l’establishment, le conservateur a noté que même les élections des fédéralistes progressistes de l’UE Emmanuel Macron et Angela Merkel montraient des preuves de la perturbation du système.

En France, « l’ensemble de l’élite politique a été balayée » et en Allemagne, dont il a noté qu’elle reste depuis trois mois sans gouvernement après les élections, « l’immigration a modifié l’équilibre du pouvoir politique ».

Ailleurs en Europe, l’essor du populisme et la résurgence du conservatisme – tous deux célébrés comme en déclin par les médias grand public – ont été observés en 2017 avec un soutien croissant au Parti néerlandais pour la liberté, l’élection de l’eurosceptique Andrej Babiš au poste de Premier ministre en République tchèque, l’effondrement dans les sondages du Parti démocrate en Italie et le soutien populaire record aux gouvernements conservateurs polonais et hongrois.

Notamment, la ligne du Parti populaire autrichien s’est déplacé vers la droite, ce qui a donné lieu à une coalition conservateur-populiste avec le Parti de la liberté.

« En Autriche, c’est la nouvelle réalité », a déclaré le Premier ministre hongrois aux auditeurs, ajoutant qu’il « comptait » sur l’adhésion de l’Autriche au groupe de Visegrád.

En affirmant que les dirigeants européens ne pouvaient pas rester éloignés de la volonté du peuple, le Premier ministre Orbán a déclaré: « Le peuple ne s’est pas rapproché de ses dirigeants mais ces dirigeants ont été contraints de reconnaître que s’ils persistent dans l’approche qu’ils ont suivie, ils seront forcés de prendre la sortie. »

« Ce processus se déroule maintenant sous nos yeux. Je suis sûr que tôt ou tard, la volonté des citoyens européens et la politique de leurs dirigeants devront unir leurs forces et s’aligner à nouveau les uns sur les autres. »

« C’est l’ordre naturel de la démocratie. Parfois, peut-être, il peut y avoir un certain fossé entre la volonté du peuple et les objectifs de ses dirigeants mais à long terme un large fossé est insoutenable. »

Source: Breitbart / Victoria Friedman

Suède – Des patrouilles citoyennes dans les rues pour limiter les viols collectifs

Suède – Après une série de viols collectifs horribles à Malmö, des résidents locaux ont pris les choses en main et ont organisé des patrouilles nocturnes dans la rue pour rassurer les voisins et espérer protéger les femmes contre toutes sortes d’abus.

Hier, un nouveau viol collectif a été révélé. La situation est telle que, depuis le 20 décembre, les autorités conseillent officiellement aux femmes de ne plus sortir le soir. A chaque fois, il s’agit de viols d’une extrême sauvagerie. Les victimes sont systématiquement victimes de plusieurs violeurs. L’une des victimes est une jeune fille de 17 ans, agressée dans une aire de jeux pour enfants dans le quartier de Sofielund. La malheureuse victime avait été véritablement torturée par ses violeurs.

Devant l’incapacité des autorités suédoises d’assurer la sécurité des femmes suédoises, plusieurs initiatives ont émergé pour assurer des patrouilles de volontaires dans les rues de Malmo. Même le Parti communiste suédois a décidé d’organiser des patrouilles !

Des manifestations ont également rassemblé des centaines de femmes dans différentes villes de Suède pour protester contre ces viols collectifs.

Mais le tabou imposé par la dictature du politiquement correct empêche la plupart des personnes qui s’expriment sur le sujet d’oser souligner que ces violeurs ne sont pas des Suédois.

Faire le lien entre ces viols collectifs et l’immigration massive et incontrôlée qui résulte de la politique laxiste du pays envers les demandeurs d’asile, voilà bien la clé indispensable pour résoudre le problème. Mais cela signifierait rompre avec la logique multiculturaliste qui prévaut en Suède aujourd’hui…

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Hôpital : le tabou des médecins aux diplômes étrangers

Face à la pénurie de personnel, nombre d’établissements, en particulier dans les zones peu attractives, ont de plus en plus recours à des praticiens formés à l’étranger et contraints à la précarité. Symptôme de la crise de l’hôpital.

 

«En France, ajoute le SNPADHUE (Syndicat national des praticiens à diplôme hors Union Européenne), il y aura 30 % de départs à la retraite à partir de 2020 et environ 12 500 postes de praticiens hospitaliers vacants.»

 

D’un point de vue démographique, ces médecins ont en moyenne 50 ans, 43,1 % sont de nationalité française, et 29 % sont naturalisés français.

C’est l’angle mort de la crise des hôpitaux publics : les «médecins à diplômes étrangers». On évite d’en parler, on fuit le sujet. Les directeurs d’hôpitaux, par exemple, ne veulent surtout pas l’aborder. […]

L’hôpital de Château-Thierry, couplé avec celui de Soissons, emploie 30 médecins titulaires de diplômes français, 10 venant de l’Union européenne et 19 de pays hors UE, soit en tout 11 nationalités différentes. Autre cas, l’hôpital François-Mitterrand de Nevers : l’établissement fonctionne, lui, avec 62 médecins à diplôme français, 15 issus de l’Union européenne, et 21 de pays hors UE. Le maire reconnaissait récemment devant la presse : «La proportion de médecins étrangers pose question, elle n’est pas toujours comprise.» […]

A Dreux (Eure-et-Loir), même taux : 102 médecins à diplômes français, 68 à diplômes étrangers, issus de 21 pays différents. Et même refus de la direction d’aborder la question. «Il ne faut pas jeter de l’huile sur le feu», nous répond, agacée, la directrice de l’établissement. Certes, mais à Dreux leur nombre a presque doublé en l’espace de sept ans. […]

Un médecin, qui vient de partir à la retraite : «Evidemment, la question de la qualité des soins est posée, mais que peut-on en dire ? Il est impossible d’en discuter. Il y a de très bons médecins, d’autres moins. Le problème est que la santé n’est pas qu’une affaire technique, l’aspect culturel et relationnel est important. C’est peut-être là le point noir.»[…]

Le mois dernier, le Conseil national de l’ordre des médecins (Cnom) a rendu publique une analyse très fouillée de la situation, aussi bien dans les hôpitaux qu’en ville. «Au 1er janvier 2017, la France compte 26 805 médecins titulaires d’un diplôme obtenu à l’étranger, parmi lesquels 22 619 exerçaient de façon régulière, soit 11,8 % du total des médecins en activité régulière, en hausse de 7,8 points par rapport à 2007.» Puis ce constat : «Le nombre des médecins exerçant en France avec un diplôme européen ou extra-européen a quasiment été multiplié par deux entre 2007 et 2017 et devrait atteindre les 30 000 en 2020.» Avec quelques particularités notables, dont, ces dernières années, la montée en puissance des médecins diplômés en Roumanie qui sont aujourd’hui 4 254. «Ce nombre a été multiplié par sept depuis 2007, date de l’entrée du pays dans l’Union européenne. Ils devraient être 4 711 en 2020, soit un effectif proche de ceux diplômés en Algérie, dont le nombre a cru de 56 % en dix ans. » […]

Libération