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dimanche, 07 janvier 2018

Tous les médias avaient diffusé la Fake News « pas de terroristes chez les migrants »

 

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Le soir du Nouvel An, des « gangs de Nord-Africains » ont semé la terreur à Florence

Lu sur FDesouche :

"Les places au pied du Ponte Vecchio ont été investies par une violence insensée, œuvre de gangs de Nord-Africains , dans une explosion d’agressions qui rappellent à quelque chose près ce qui s’est produit il y a deux ans à Cologne. (…) plusieurs victimes de ces bandes se sont retrouvées à l’hôpital. Elles ne se connaissaient pas mais ont partagé ce Nouvel An 2018 gâché.

Diego Capolongo, 28 ans, place de la Repubblica, vers 4h du matin. Résultat : 30 jours d’Itt et des blessures encore bien visibles. Mais il n’est pas le seul, un garçon de 17 ans figure aussi parmi les victimes des violences gratuites. Devant la boutique Apple, il a été frappé d’un coup de tête qui lui a fracturé le nez.

Quatre victimes affirment que les auteurs de ces violences seraient des nord-africains d’une vingtaine d’année. La police enquête en espérant que les caméras de surveillance auront enregistré ces agressions. (…)

Le premier à dénoncer publiquement la violence était Massimo Paesani, oncle de Capolongo et militant au mouvement 5 étoiles. « A 04h10, Place de la République, des dizaines d’Africains du Nord ont effectué un raid contre des citoyens italiens qui venaient de célébrer et de porter un toast à la nouvelle année, » a-t-il déclaré dans un post Facebook."

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Le père Hamel a-t-il été victime d’une bavure ?

Mediapart a publié une enquête comme quoi Adel Kermiche, l’un des terroristes musulmans ayant égorgé le père Jacques Hamel, aurait singulièrement manqué de discrétion sur une messagerie électronique. Les détails qu’il a donnés sur lui auraient permis de l’identifier, et il aurait été assez explicite sur ses intentions.

Un policier de la préfecture de police de Paris en charge de la surveillance des réseaux aurait donc rédigé une note afin d’alerter qui de droit. Pas de chance : il faut quatre validations hiérarchiques avant que qui de droit ne soit informé, et nous étions au mois de juillet 2016 : trop de vacanciers parmi les éminents gradés en charge de statuer sur l’information. Elle reste donc en attente. Et le père Hamel subit le sort que l’on sait.

Au vu de la boulette, la hiérarchie de ce policier lui aurait intimé de falsifier sa note pour lui donner une date postérieure, ce qu’il aurait fait. Sauf que les falsifications d’un système informatique laissent des traces quasi indélébiles. Et Mediapart, en ces temps où Anastasie reprend du service sur l’injonction de notre Président, se sent assez sûr de lui pour publier le scoop : la police fait comme si la boulette n’existait pas, même au prix de tripatouillages honteux.

Le zéro défaut n’existe pas, nulle part. Il serait vain de l’espérer, et c’est mentir que de le promettre. C’est vrai dans l’industrie comme dans le commerce, dans l’éducation ou dans la médecine, ou dans la police. Mais l’air du temps nous vend du risque zéro, alors chacun veut être exonéré de toutes les menaces qui pourraient peser sur lui. Toutes ? Toutes !

 Le travail de renseignement en matière de prévention du terrorisme, ce n’est pas une science exacte et c’est comme le diagnostic : il y a des faux positifs et des faux négatifs. Les faux négatifs, c’est le drame de celui qui, jusqu’à son passage à l’acte, est resté sous le radar. Le vrai positif est traité discrètement et c’est très bien ainsi : en dire le moins possible sur l’identification et la neutralisation des terroristes potentiels permet, dans une certaine mesure, d’éviter aux réseaux de s’adapter. Il n’est pas choquant qu’une validation intervienne pour tenter d’évaluer si l’information recueillie n’est pas un faux positif, parce qu’un faux positif, c’est une logistique d’investigation lourde et coûteuse déployée en pure perte là où ça ne fait pas mal (et, par conséquent, pas ailleurs). Mais quatre validations sont-elles vraiment nécessaires avant d’agir ?

C’est triste à dire, mais savoir si le père Hamel aurait pu être sauvé est une spéculation intellectuelle dont l’intérêt est limité : les faits sont passés. Que la police tente de ne pas ébruiter sa carence constatée ne me choque pas : la place publique n’est pas le meilleur endroit pour faire sa lessive. Les seules questions qui importent vraiment sont : le nombre de validations a-t-il été réduit ? Une amélioration de la rapidité et de la fluidité des transmissions d’informations a-t-elle été constatée ? Le génie qui a organisé cette bureaucratie a-t-il été viré ou mis en retraite ? À moins que la préfecture de police n’ait préféré ne rien changer à une méthode qui perd. Auquel cas, il conviendrait de nettoyer les écuries d’Augias.

Rémy Mahoudeaux

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Pour le migrant, ils ont tout prévu : il aura sa carte bancaire, et les sous !

Nous en avions vaguement entendu parler puis, le fil de l’actualité déversant quotidiennement son lot de nouvelles insupportables, nous l’avions oublié. C’est Bernard Monot, FN, député européen pour la circonscription Massif-Central-Centre, qui, par l’intermédiaire de sa page Facebook, nous le rappelle. Depuis avril 2016, les demandeurs d’asile bénéficient d’une carte de retrait bancaire (via La Banque postale, la Caisse d’épargne et le Crédit agricole) leur permettant de profiter de l’ADA (allocation pour demandeur d’asile), délivrée par l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) et octroyée généreusement par l’État. Service-public.fr se fait un plaisir de donner la procédure à suivre pour l’obtenir.

On apprend, ainsi, que les étrangers de plus de 18 ans (entrés par effraction dans notre pays… un détail) en possession de leur attestation de demandeur d’asile y ont droit. Mais, attention : ils devront « avoir accepté les conditions matérielles qui [leur] ont été proposées par l’OFII ». Eh oui, après avoir vécu l’enfer sur terre en fuyant leur famille abandonnée dans un pays en guerre, certains ne trouvent pas leur hébergement gratuit à leur goût. Quant à leurs ressources mensuelles, elles ne devront pas dépasser l’équivalent du RSA. Mais quand on sait que la traversée de la Méditerranée coûte entre 4.000 et 6.000 dollars par personne (chiffre rapporté par le chef de mission à l’Organisation internationale des migrations, pour TV5 Monde), on s’interroge, pour débourser pareille somme, sur leurs revenus perçus dans leur pays d’origine…

Le montant, maintenant. 6,80 euros pour une personne seule et par jour, soit 204 euros mensuel. 10,20 euros pour deux, et ainsi de suite jusque 37,40 euros pour dix personnes. Service-public.fr ne s’aventure pas au-delà de ce chiffre. 5,40 euros supplémentaires si le demandeur d’asile n’est pas hébergé. Pas de quoi faire la noce, rétorqueront les indécrottables immigrationnistes. Sauf qu’il y a cumul. Quand vous touchez l’ADA, vous êtes non seulement hébergé, mais vous avez droit « au transport, aux soins médicaux et à l’éducation ». 80.000 personnes étaient enregistrées en tant que demandeurs d’asile en 2015, plus de 85.000 en 2016, 100.000 en 2017, souligne Bernard Monot. Une courbe exponentielle que le gouvernement n’a, de toute évidence, aucune intention d’inverser.

Il serait vain d’énumérer tout ce à quoi d’autres ont droit, les étrangers illégaux ou légaux, pendant que dix millions de Français (ou quelque chose d’approchant) tirent le diable par la queue. Pendant que la classe moyenne, chez nous, mais aussi en Europe, décline lentement mais sûrement (Le Figaro, 2 mars 2016). Pendant que nos étudiants peinent à financer leurs études ou que des milliers de familles modestes attendent des années un logement social alors que, chaque nuit, rien qu’à Paris, 35.000 migrants sont logés gratis, s’insurge Bernard Monot, parfois même depuis des années…

 Et après cette énième « insulte à la France qui travaille », comme s’émeut ce député, le gouvernement, pour qui l’argent ne manque jamais pour les immigrés, en même temps qu’il nous demande à nous de faire des « efforts », a prévu pour cette année 300 millions de plus pour en accueillir encore plus. De son côté, l’Union européenne se servira des fonds de la PAC pour en implanter encore davantage dans nos campagnes, ajoute-t-il. Nos paysans apprécieront…

Cette ADA, aucun de nous jamais ne l’aura. Que penserait-on de parents qui légueraient leur héritage à de parfaits inconnus ? On les dirait injustes, indignes, immoraux. On dirait qu’ils ont trahi leurs enfants. Nos gouvernants ne font pas autre chose.

Caroline Artus

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Un homme condamné à 15 ans de prison pour avoir laissé de la viande de porc devant une mosquée !

Michael Wolfe , de la Floride, qui a vandalisé une mosquée à Titusville, Brevard County, en janvier 2016, laissant un morceau de bacon à la porte, a été condamné à 15 ans de prison après avoir plaidé coupable aux accusations.

Âgé de 37 ans, Michael Wolfe doit purger une peine de 15 ans dans une prison d’État, suivi de 15 ans de probation pour son indiscrétion à la mosquée Masjid Al-Munin de la Société islamique de Floride centrale.

Le récit du bureau du procureur :

Selon les sources émanant du bureau du procureur de la ville, la condamnation avait été prononcée après délibération avec la police de la Société islamique de Floride centrale et de Titusville.

Un homme condamné à 15 ans de prison pour avoir laissé de la viande de porc devant une mosquée !

Selon Todd Brown, le porte-parole du 18ème district judiciaire de Floride, il a plaidé coupable mardi à un méfait criminel envers un lieu de culte, pour avoir commis un acte qui constitue un crime haineux.

 » Wolfe a renoncé à son droit à une enquête préalable à la sentence et a conclu un accord de plaidoyer en plaidant coupable d’avoir vandalisé la mosquée elle-même avec le renforcement du crime de haine « .

La vidéo de surveillance de l’incident qui remonte à 2016 montre un homme avec une tête rasée et portant un équipement de camouflage brisant les fenêtres, les caméras et les lumières de ladite mosquée à l’aide d’une machette, puis a placé le morceau de porc à sa porte.

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Attentats : les Français de moins en moins "Charlie"

Loin de l'union nationale qui a suivi l'attentat de Charlie Hebdo, les Français se sentent de moins en moins "Charlie", selon un sondage Ifop.

Qu'il est loin le temps où l'Hexagone se dressait comme un seul homme derrière la barbarie djihadiste. Trois ans après les attentats de Charlie Hebdo, l'esprit "Charlie" n'est plus aussi présent chez les Français, comme l'indique un sondage Ifop publié par Marianne ce vendredi 5 janvier.

"Être Charlie", une notion subjective

 

61% des sondés se disent ainsi "Charlie" en ce début 2018, contre 71% en janvier 2016. Une baisse non négligeable, particulièrement observée chez les sympathisants de droite et d'extrême droite, mais relativisée par Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop. "Nous étions encore sous le coup des attentats du Bataclan", explique-t-il.

Surtout, l'étude révèle une autre information précieuse : "être Charlie" n'a pas la même signification pour tous les sondés, 46% d'entre eux estimant que cela signifie défendre la liberté d'expression. Pour 17%, il s'agit plutôt de la défense de la liberté de critiquer les religions. Enfin, 15% des sondés y voient la revendication d'un droit à caricaturer.

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Le nouveau texte anti-immigration de l'UDC validé par la Chancellerie

La Chancellerie fédérale a validé l'initiative "pour une immigration modérée" de l'UDC et de l'ASIN, a annoncé vendredi soir le président du parti Albert Rösti à la télévision alémanique SRF.

Le texte vise à mettre fin à la libre circulation des personnes avec l'UE. L'initiative (dite "de limitation") stipule que la Suisse règle de manière autonome son immigration. Si elle était acceptée par le peuple, le Conseil fédéral aurait un an pour négocier la fin de la libre circulation avec Bruxelles. Au cas où aucune solution ne serait trouvée, il faudrait dénoncer dans le mois qui suit les accords bilatéraux I, dont fait partie l'accord de libre circulation.

Répondre à la volonté du peuple

Pour la droite dure, la loi d'application de la première initiative contre l'immigration de masse, acceptée le 9 février 2014, ne répond pas fidèlement à la volonté du peuple. Avec cette deuxième initiative, le Conseil fédéral n'aurait plus aucun moyen d'esquiver une mise en oeuvre stricte.

La récolte de signatures devrait débuter le 16 janvier.

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samedi, 06 janvier 2018

Musulmans en Europe : Des chiffres, des débats et des inquiétudes

Les statistiques, auxquelles on reproche de surestimer le nombre de Musulmans, nourrissent la peur en France, en particulier en lien avec l’immigration, l’altérité et le terrorisme

L'estimation du nombre de Musulmans en Europe anime de plus en plus les débats politiques ces dernières années. Lequel débat porte essentiellement sur la proportion de la population musulmane dans l’ensemble de la société européenne, notamment celle de la France.

Après l’étude publiée le 29 novembre 2017 par l’Institut de recherche américain Pew sur la population musulmane d’Europe d’ici 2050, les scénarios révélés sur le nombre de Musulmans ont suscité des discussions sur la méthode selon laquelle ces données ont été établies.

D’après le premier scénario (scénario d’immigration zéro), en 2050, le nombre des Musulmans en Europe pourrait passer à 7,4% de sa population totale (12,7% de celle de la France). Ceci s’explique par la fertilité (les Musulmans sont plus jeunes et ont un enfant de plus par femme que les autres européennes).

Un second scénario, à portée moyenne (la poursuite des migrations régulières vers l’Europe), suppose que les Musulmans pourraient représenter 11,2% de la population européenne en 2050 (dont 17,4% en France).

Enfin, le troisième scénario prévoit une forte immigration (l’accroissement des flux de réfugiés ajoutés au flux annuel des migrations régulières), où la population musulmane pourrait atteindre 14% de l’ensemble de la population européenne (18% en France). 

Les débats sur les chiffres de ces trois scénarios reflètent également les inquiétudes en rapport, d’une part, avec l’avenir de la société (la perception de la laïcité menacée) et, d’autre part, avec la question de la sécurité, liée au faits migratoires en Europe (la peur des salafistes ou des djihadistes). 

- Des réactions contre les chiffres de Pew : qu’est-ce qu’un Musulman ? 

Le rapport produit par l’Institut américain a suscité des réactions dans le monde scientifique, remettant en cause la fiabilité des chiffres avancés par ces projections.

La principale réaction concerne l’établissement des statistiques religieuses. D’après le monde scientifique, il faut d’abord donner une définition sur ce qu’être Musulman.

Il serait, d'après cette thèse, plus juste de partir sur la base du niveau de religiosité au lieu de l’appartenance religieuse pour dresser une statistique sur le nombre des Musulmans.

Ce point de vue avance qu’il faut faire la distinction entre le Musulman sociologique (la personne venant d’une famille musulmane) et le Musulman réel (la personne qui se considère comme musulman et qui pratique l’Islam).

Car, selon les chiffres projetés, toute personne d’origine musulmane en France est perçue comme musulmane, alors que ce n’est pas le cas pour certaines d’entre elles. Ce qui se traduit par une surestimation du nombre de Musulmans.

Un autre facteur de cette surestimation consiste en l’ajout à ces chiffres des descendants nés des mariages mixtes et qu’on ne peut présumer qu’ils sont tous Musulmans.

De part ces réactions, on constate une critique sur l’usage du terme «Musulman» qui agrège des pratiquants et des non-pratiquants.

Si on prend en compte les personnes qui s’auto-déclarent Musulmans et ceux qui pratiquent l’Islam au sens du terme, on estimerait le nombre de Musulmans en France à environ 2 millions. Ces débats sont accompagnés de recherches effectuées sur l’opinion religieuse des Musulmans.

Dans ce contexte, des discussions sur l’athéisme chez les Musulmans ont commencé à voir le jour dans toute la géographie musulmane (un article sur le Monde vient d’être publié dans ce sens).

- Pourquoi cette inquiétude sur le nombre des Musulmans ? 

Les statistiques, auxquelles on reproche de surestimer le nombre de Musulmans, nourrissent la peur en France, en particulier en lien avec l’immigration, l’altérité et le terrorisme en distinguant les différentes catégories d’Islam tels que les salafistes, les djihadistes, etc.

l’Islam et l’intégration surgissent comme deux faces de cette peur. Dans les débats sur l’intégration qui persistent depuis des décennies, le discours de la laïcité menacée domine l’opinion publique.

D’après l’enquête réalisée en octobre 2017 par Opinionway pour le compte de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), 57% des personnes interrogées estiment que la laïcité n’est pas suffisamment défendue en France et 53% pensent qu’il ne faut pas modifier la loi de 1905 sur la laïcité pour tenir compte des évolutions de la société.

90 % de ces personnes interrogées pensent qu’il ne faut pas tenir compte de l’appartenance religieuse dans le domaine sportif, 89% dans les entreprises et les services publics, 87% dans les écoles et 81% dans les hôpitaux.

À cet effet, tant dans la société que dans le milieu politique, l’inquiétude sur la proportion de la population musulmane en France provient d’une part de la gestion de l’Islam par rapport au discours de sécurité (le djihadisme croissant).

D’autre part, cette inquiétude provient du discours sur la laïcité qui est devenue la valeur la plus défendue face aux revendications identitaires et communautaires et face à la visibilité de l’Islam dans les débats sociaux.

Ainsi, l’affirmation du monde scientifique selon laquelle le nombre des Musulmans n’est pas aussi élevé que le prétend l’étude américaine, devient de plus en plus compréhensible, au vu de ces inquiétudes que vivent la France et les Français. 

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Erdogan pas le bienvenu en France !

 


Erdogan pas le bienvenu en France !



Les militants de Génération Identitaire Paris étaient ce matin au bord de l'autoroute A1 pour adresser un message à Erdogan lors du passage de son convoi : « Islamistes hors d’Europe ! Erdogan tu n’es pas le bienvenu en France ! »

Celui qui a déclaré dans le passé que « les mosquées sont des casernes et les minarets des baïonnettes » et qui encore récemment disait que « les Européens ne seraient nulle part en sécurité s’ils offensaient les Turcs » n’a pas sa place en France.

Son pays a largement contribué au développement de l’État islamique et soutient encore aujourd’hui des milices salafistes armées. On se souvient aussi que c’est en Turquie que la minute de silence en honneur des victimes du Bataclan a été sifflée.

La Turquie ne sera jamais l’Europe et son gouvernement islamiste actuel est particulièrement dangereux. Turquie hors d’Europe !

 


 

 

Retour des djihadistes : on n’en veut pas ! Qu’Émilie König reste là où elle est !

Arrêtée en Syrie, détenue par les forces kurdes avec d’autres Françaises, on nous a montré Émilie König en larmes, implorant l’État français de la récupérer avec sa progéniture. Enfin, quand je dis montrer, j’exagère, puisqu’elle était planquée sous sa burqa. Disons qu’on l’a entendue sangloter et demander pardon à sa mère, à ses concitoyens, à la France.

Il y a longtemps que les avocats connaissent la combine : l’accusé doit se tordre les mains, pleurer abondamment et se couvrir la tête de cendres devant les caméras. Il lui faut dénoncer d’affreuses conditions de détention, le viol et la torture, et battre sa coulpe en public pour arracher des sanglots à la ménagère puis aux jurés. Sur ce plan, les avocats d’Émilie König sont de grands professionnels. Ainsi Me Bruno Vinay a-t-il déclaré à l’AFP qu’il demande le rapatriement de sa cliente aux autorités françaises parce qu’elles « ont l’obligation de la juger ». Et puis, dit-il, elle « est la mère de trois enfants français » et « tout doit être mis en œuvre pour faciliter leur rapatriement, conformément aux engagements internationaux de la France ».

Pour ce qui est de la mère de famille exemplaire, on rappellera ici que lorsqu’elle est partie porter les armes en Syrie, en 2012, Émilie König a laissé ses deux premiers enfants au pays. Comme quoi l’amour maternel a des limites. On se demande, alors, ce qui fait du petit garçon âgé de quatre ans et de ses sœurs jumelles âgées de un an seulement des petits Français ! Qui est leur père ? Un barbu fanatique, sans doute, puisque la Lorientaise était, là-bas, l’égérie des fous d’Allah.

L’argument entendu de la bouche de son avocat dans un entretien télévisé ne manque pas de sel : sa cliente « se tient à la disposition de la justice […] dans un esprit de coopération ». Sans blague ?

Émilie König est l’une des pires furies que les islamistes aient pu produire, alors son « esprit de coopération », on s’assoit dessus. Radicalisée au sortir de l’adolescence, devenue propagandiste zélée puis recruteuse pour Daech, appelant à attaquer les institutions françaises et à s’en prendre aux épouses de nos soldats, elle a été placée en septembre 2014 par l’ONU sur la « liste noire des combattants les plus dangereux ». Et il faudrait, aujourd’hui, la sauver d’un sort qu’elle réservait aux autres ?

Le Figaro écrit aujourd’hui qu’une trentaine de djihadistes français ayant été arrêtés par les forces kurdes et les Irakiens, « le cas des femmes et de leurs enfants est le plus épineux ».

Pourquoi ? Est-ce parce qu’elles sont femmes, donc d’office présumées irresponsables et victimes, ou bien à cause de leurs enfants ? L’argument des avocats est, là aussi, connu : ces femmes, forcément abusées, ont servi de simples « génitrices », leurs ventres seulement recrutés pour fabriquer des combattants.

 Émilie König n’est pas une victime. Elle a revendiqué ses choix devant les caméras, entraîné des adolescents dans sa folie meurtrière, porté les armes contre son pays. Pourquoi devrait-on l’exonérer de ses crimes ?

Emmanuel Macron a affirmé, en novembre dernier, que le sort des djihadistes françaises serait examiné au « cas par cas ». Alors, si je peux émettre un avis : qu’Émilie König reste là où elle est ! Tentée par l’exotisme, qu’elle en profite pleinement et croupisse chez les Kurdes. Je ne veux pas devoir débourser un centime pour elle et ses enfants.

Je finirai sur une anecdote qui date de quelques années. J’étais avec un ami à attendre le métro quand sont venues s’asseoir à côté de nous deux adolescentes fièrement voilées jusqu’aux pieds et gantées. On voyait encore leur visage : teint de porcelaine, yeux bleus qui fixaient avec arrogance le petit peuple ébahi.

Répondant à leur regard insistant, mon ami leur a alors lancé cette remarque : « Décidément, le costume breton a bien changé ! »

Il ne croyait pas si bien dire…

Marie Delarue

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La mosquée de Paris quitte le Conseil Français du Culte Musulman

La mosquée de Paris a annoncé son retrait du Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) après que son recteur Dalil Boubakeur n’a pas été convié aux traditionnels voeux du président aux instances religieuses qui ont lieu jeudi matin, ont révélé les médias français.

Les grandes instances religieuses et les représentants de culte ont été invités à la traditionnelle présentation des voeux, jeudi matin par le Président Macron. Dalil Boubakeur, recteur de la grande mosquée de Paris et président du CFCM jusqu’en 2015 n’a pas reçu d’invitation. La mosquée de Paris a décidé, en signe de protestation, de se retirer du CFCM, d’après l’Express.

« Prenant acte de cette injuste et inexplicable mise à l’écart, la grande mosquée de Paris décide de se retirer de toutes les instances du CFCM et de ne plus participer à toute initiative émanant des pouvoirs publics sur l’organisation du culte musulman », a expliqué Dalil Boubakeur, cité par l’Express.

Le CFCM, créé sous la présidence de l’ancien président Nicolas Sarkozy, est l’interlocuteur officiel de l’Etat concernant le culte musulman. Il sera représenté cette année aux voeux d’Emmanuel Macron par Ahmed Ogras, son actuel président d’origine turque, et par Anouar Kbibeche qui fût à sa tête de 2015 à 2017 après le départ de Dalil Boubakeur.

Son éviction aux traditionnels voeux présidentiels pourrait être liée au fait que Dalil Boubakeur ait refusé de s’impliquer dans le projet de construction de « l’islam de France » portée par Jean-Pierre Chevènement, Président de la fondation pour l’islam de France, et qu’il se soit également vivement opposé à la diffusion dans le pays d’une « charte de l’imam », comme le rappelle l’Express.

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vendredi, 05 janvier 2018

Les migrants au coeur des discussions entre CDU et SPD

Une étude pour le ministère allemand de la Famille attribue une hausse récente de la criminalité aux migrants. Elle devrait nourrir les consultations qui débutent dimanche entre la CDU de Merkel et le SPD.

Un rapport attribuant aux réfugiés une hausse récente de la criminalité en Allemagne relance le débat sur l'immigration alors que la CDU d'Angela Merkel et le SPD de Martin Schulz débutent dimanche des consultations visant à former un gouvernement.

Selon une  étude réalisée en Basse-Saxe par trois chercheurs pour le compte du ministère fédéral de la Famille, la criminalité a augmenté de plus de 10 % en 2015 et 2016 dans ce Land où siège Volkswagen,  alors qu'elle y avait reculé de près de 22 % entre 2007 et 2014.

Selon les auteurs du rapport, 92 % de cette hausse peut être attribués aux migrants, dont le nombre a plus que doublé sur la période. Ils seraient à l'origine de plus de 13 % des actes criminels qui ont été rescencés, contre seulement 4 % à fin 2014.

Une adolescente poignardée

La publication de cette étude intervient quelques jours après le décès très médiatisé d'une adolescente de quinze ans, poignardée par un réfugié afghan se prétendant du même âge dans une droguerie à Kandel en Rhénanie-Palatinat.

 Ces conclusions devraient animer les discussions entre l'Union chrétienne-démocrate (CDU) et son alliée bavaroise (CSU) d'un côté, et le Parti social-démocrate (SPD) de l'autre. Les deux camps s'affrontent notamment sur la question du regroupement familial.

Le rapport souligne en effet que près des deux tiers des crimes violents attribués à des réfugiés proviennent de jeunes hommes de quatorze à trente ans, surreprésentés parmi les migrants. Or cette catégorie, quelle que soit son origine, est souvent plus violente.

Regroupement familial

« La demande en faveur du regroupement familial trouve ici sa justification en matière de criminologie », écrivent les auteurs, qui voient dans l'absence de présence féminine un facteur renforçant le risque de « spirale de violence » auprès de ces jeunes hommes.

Or la CDU-CSU veut prolonger la suspension du regroupement familial décidée en 2016 pour une période de deux ans pour certains migrants. Le SPD, qui avait soutenu la décision dans le précédent gouvernement, veut maintenant rétablir l'ancien régime.

Le rapport devrait également raviver la question des « pays d'origine sûrs », dont les ressortissants peuvent se voir refuser plus facilement leur demande d'asile. Les conservateurs et les sociaux-démocrates veulent ajouter les Etats du Maghreb à la liste actuelle.

Selon l'étude, les migrants issus d'Algérie, Tunisie et Maroc représentent 0,9 % de ceux inscrits en Basse-Saxe mais sont à l'origine de 17 % des violences commises par des réfugiés. Les auteurs évoquent notamment leurs « mauvaises perspectives de séjour ».

Thibaut Madelin

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L’homme de l’année : le migrant. Le scénario Raspail mais sans « camp des saints »

Raoul Fougax ♦
Journaliste.

On ne parle que d’eux. Ils sont l’objet de toutes les compassions médiatiques. Ils permettent à notre démagogie pleurnicharde de continuer sa stratégie de culpabilisation pour vitrifier toute résistance identitaire. Le migrant, le réfugié, le clandestin, l’ immigré… voià en France, l’homme de l’année.

Il est présenté comme une victime que l’on doit aider. Même le pape s’y met.

On est bien dans le scénario de notre prophète de la disparition sous les masses migratoires du « camp des saints ».

Il y a quand même des différences

Cette migration essentiellement musulmane s’inscrit dans un contexte où une partie de l’islam mène une guerre mondiale contre tout ce qui n’est pas elle et contre nous en particulier.
Et puis surtout il n’y a pas de camp des saints. On a cru un moment que le Fn pourrait, au niveau politique institutionnel, jouer ce rôle. Même cet espoir c’est envolé.
Mais un camp des saints est encore possible, une forteresse, un réduit, d’où pourrait éventuellement partir la reconquista de nos valeurs historiques et de notre identité.

Quand on voit le phénomène Macron, pourquoi pas un Macron de chez nous? Certains y pensent. Quand ils voient les succès en librairie des livres d’un général de Villiers ou ceux historiques de son frère, ceux d’un Buisson ou la résistance d’un Ménard, ils se disent que tout peut-être n’est pas définitivement perdu. Ils pensent à l’émergence d’un grand capitaine.

J’entends même parfois que finalement Macron pourrait jouer ce rôle.

Il est vrai que tout n’est pas à jeter dans le Macron et que parfois on le sent se croire investi d’une mission divine et président providentiel du retour de la France. Mais il est prisonnier de l’idéologie qui l’a façonné. Pour lui la colonisation et la guerre d’Algérie sont des crimes contre l’humanité. Il bégaye l’histoire qu’on lui a enseigné. Il ne ressent rien vis-à-vis d’une œuvre civilisatrice, de grandeur mondiale et de sa gloire. Sur l’immigration et les migrants, il sent bien qu’il faut arrêter, mais il ne le pourra pas, car ceux qui l’ont porté au pouvoir et notamment cette masse d’élus incultes de notre histoire et abrutis par la propagande de l’idéologie médiatique, ne le lui permettront pas.

Toute cette fin d’année les médias ont valorisé le migrant au nom de la lutte contre le racisme et l’exclusion. C’est le levier qui doit permettre d’imposer l’immigré, serai- il clandestin comme au cœur de leur république anti-nationale.

Oui c’est le migrant, l’homme de l’année et Raspail le prophète de la submersion démographique, de la misère mondiale des nations européennes qui après avoir conquis et dominé le monde lui apportant le meilleur et le pire sont au risque de disparaître.

Y aura-t-il chez nous un camp des saints… pas sûr et pourrait- il mieux résister que celui du roman, sans doute pas.

Mais nous ne sommes pas seuls en Europe et, de l’Allemagne à la Bulgarie en passant par l’Autriche, la Pologne et la Hongrie, des nations refusent la culpabilisation mortifère et le déferlement d’une invasion qui n’est pas que pacifique et humanitaire.

Aucun peuple ne veut disparaître même par bonté pour les autres. Le totalitarisme de la compassion se heurte de plus en plus à l’instinct de survie.
Le migrant est l’homme de l’année certes, mais l’Européen pourrait être celui de l’année prochaine, car si à l’ouest rien de nouveau, ça bouge à l’est.

Là bas, il y a des camps des saints. A quand le nôtre ?

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Progrès en terre d’islam : l’Égypte s’apprête à faire de l’athéisme un crime !

C’est, en quelque sorte, le cadeau de Noël des sunnites aux citoyens égyptiens : la préparation d’un projet de loi visant non seulement à interdire (!) mais à criminaliser l’athéisme.

Il ne suffit pas, à ces gens-là, de pourrir concrètement le quotidien des braves gens, il leur faut aussi prétendre régner sur les esprits, les consciences et les cœurs.

Le site JeuneAfrique.com nous livrait cette information le 29 décembre dernier, reprise par Marianne et Valeurs actuelles, mais force est de constater qu’elle n’est pas du type à défrayer la chronique. Par peur, sans doute, pour les grands médias, de se faire accuser d’islamophobie primaire, systématique et viscérale…

C’est le député Amr Amroush, président du Comité religieux du Parlement égyptien, qui porte cette belle idée. Il est soutenu dans son projet par Al-Azhar, la plus haute autorité religieuse sunnite. Au programme, des peines allant de l’amende à la prison ferme pour tenter d’éradiquer ce « fléau qui se propage surtout au sein de la jeunesse égyptienne », a-t-il confié au quotidien Al Chourouk. Et qu’importe si la Constitution du pays est censée garantir « la liberté de croyance », c’est son article 2 qui l’emporte puisqu’il déclare l’islam « religion d’État » et fait de la charia le fondement de la législation. Fort de quoi le grand mamamouchi du régime Mohamed Zaki, chef du Conseil suprême d’Al-Azhar, a renchéri :

« Il est nécessaire de promulguer des lois qui dissuadent les gens de violer les instincts naturels de l’homme et de punir ceux qui ont été séduits par l’athéisme. La force de dissuasion doit être sévère pour empêcher la propagation de cette pensée empoisonnée parmi les musulmans. »

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On ne sait pas si la foi en un Dieu est considérée comme « un instinct naturel de l’homme » ou si cette mise en garde vise l’homosexualité, autre obsession des barbus, mais l’un et l’autre peuvent désormais conduire en prison.

 

Cette histoire, scandaleuse dans l’instant, peut, si l’on y réfléchit bien, cacher une bonne nouvelle. Une seconde, je m’explique… Comme le dit très bien Pascal Bruckner dans le dernier chapitre de son livre Un racisme imaginaire(Grasset) :

« Une partie du monde musulman se radicalise non parce qu’il s’éloigne de nous pour revenir aux premiers temps du califat, mais parce qu’il se rapproche de l’Occident et se sent menacé, moins par les innovations scientifiques que par les libertés octroyées. »

​‌”

Ce qui se passe aujourd’hui en Égypte, et depuis quelques jours en Iran, en est une parfaite illustration. Beaucoup de fidèles du Coran, dit Bruckner, « voudraient avoir la possibilité, permise aux autres religions du monde, de croire à leur rythme et à leur guise, et surtout de ne pas croire, de laisser le Tout-Puissant sous la forme d’une interrogation ou d’un peut-être ».

La panique des mollahs est celle de voir s’effondrer leur monde d’hier, fait d’interdits et de contraintes par lesquels ils terrorisent et asservissent les populations. Or – et je pense que Bruckner a, là aussi, tout à fait raison – « ce dont les peuples veulent être libérés, ce n’est pas tant de la foi que du cléricalisme, de la bigoterie, de la superstition, de la bêtise ».

Même les tribus du fin fond de l’Amazonie ne peuvent plus ignorer le monde qui s’agite à la lisière de la forêt. Pourquoi en serait-il autrement des jeunes musulmans ?

Marie Delarue

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Le conseiller « immigration » du pape François : un Bilderberg, banquier d’affaire de Goldman Sachs !

Les médias du système le dépeignent comme le pape des pauvres, nouveau François des temps modernes ! Et si cette image idyllique n’était que du vent, une illusion pour mieux tromper les fidèles et les faire avancer vers une société globale sans nations souveraines ?

« Nous savons désormais depuis des années, écrit le journaliste catholique italien Maurizio Blondet sur son blog, que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans barrières et sans frontières. »

Son dernier message immigrationniste de la nuit de Noël et ses vœux pour 2018 en font une une figure de proue et une « autorité suprême » de l’idéologie mondialiste. Au point que Blondet se demande

« si les discours du pape argentin ne sont pas écrits par Georges Soros, le multi-milliardaire qui finance l’invasion de l’Europe et travaille à l’abolition des États et des confins. Qu’il en soit conscient ou pas, le pape Bergoglio, continue le journaliste, s’est mis au service des intérêts du grand capital financier qui œuvre pour les mêmes objectifs : un nouvel ordre mondial multi-culturel et globalisé où les entités supra-nationales auront la gestion du pouvoir. »

Le pape François se retrouve donc du côté de certains puissants et riches… qui sont bien loin des pauvres. Voisinage qui n’est pas qu’idéologique mais aussi pratique puisque il a nommé, en février dernier, révèle toujours Blondet, à la présidence de la Commission catholique internationale pour les Migrations et qu’il a fait conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité de l’establishment mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland.

Irlandais, sioniste, ancien élève des jésuites, cet homme d’influence, « aux poches richement remplies », fut président de Goldman Sachs International (2005-2015) et du groupe Bilderberg dont il est toujours un membre actif du comité directeur, de BP (British Petroleum) et de la section Europe de la Commission Trilatérale. Technocrate bruxellois, agent de la globalisation, il a été notamment commissaire européen à la concurrence (1985-1989), secrétaire-général fondateur de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) (1993-1995). Artisan des grandes libéralisations de l’Union Européenne, il a été qualifié de « père de la mondialisation ». Actuellement directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland et président non exécutif de Goldman Sachs, depuis janvier 2006 il est le représentant spécial du Secrétaire-Général de l’ONU pour les migrations internationales. Il est aussi président honoraire de la Commission Trilatérale et président de la London School of Economics, fondée par la Fabian Society tout en étant chevalier de l’Ordre de Malte et membre de l’Opus Dei… Des connexions qui en disent long sur les dérives de ces groupes ecclésiaux…

Lorsque le pape jésuite l’a intronisé président de la Commission catholique internationale pour les Migrations, il n’a évidemment abandonné aucune de ses charges.

Peter Sutherland, analyse Blondet

« c’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »

Il est vrai que Sutherland se déclara être en faveur « du développement de sociétés multiculturelles », le problème étant selon lui les populations qui cultivent « encore le sens de l’homogénéité et de différence d’avec les autres. Et c’est précisément cela que l’Union Européenne», à son avis, « doit tout faire pour éradiquer. Au nom de la future prospérité. […] C’est une dynamique cruciale pour la croissance économique. »

Cet artisan de la société multi-culturelle affirma de même que « l’on est passé des États qui choisissent leur migrants, aux migrants qui choisissent les États ». Par conséquent avait-t-il ajouté, l’UE ne doit plus sélectionner seulement des migrants « hautement qualifiés » parce que « à la base de tout, les individus doivent avoir la liberté de choix ».

Ainsi commente Maurizio Blondet

« c’est exactement l’idéologie de François, confusion et contradiction comprises. Mais l’on voit bien que l’inspiration vient du capitalisme mondialiste financier ; pour lequel les « homogénéités », c’est-à-dire les identités historiques et culturelles qui font les peuples variés et différents, sont un obstacle et un problème, une odieuse exigence, parce que le consommateur global type doit être littéralement « sans identité », sans communauté, « ouvert » aux « expériences », cosmopolite, nomade, sans « tabous », sans « préjudices » (et sans scrupules), de sexe variable. »

Dans cette exhortation de Sutherland il y a, précise le journaliste italien

« un « mépris » pour la culture qui fait les peuples. Mépris que partage le pape François lorsqu’il affirme que « les Européens ne sont pas une race née ici, ils ont des racines de migrants », évoquant une condition antérieure à la civilisation et à la culture. »

Tant pour le pape François que pour Sutherland, commente Blondet

« l’ »homogénéité » culturelle est un fastidieux lien qui « résiste » à l’ »intégration » sans limites, un « manque de charité » envers « l’accueil ». Dans la confusion éthique que le même Bergoglio a dispersée à pleines mains, l’ »homogénéité » nationale d’un peuple est comparée à un mal moral, et ce sera un mal de la sauvegarder. »

Et c’est à ce riche banquier d’affaires, cet homme du Bildeberg, ce membre influent des cercles mondialistes et capitalistes destructeurs des nations et des peuples, des identités et des cultures, que El papa sud-américain a confié, par idéologie immigrationniste et immigrophile, la Commission Catholique pour les Migrations !

On est loin du vrai amour des pauvres… Car ce qui appartient en propre à tous, aux pauvres comme aux riches, aux malades comme aux bien-portants, aux prisonniers comme aux travailleurs, c’est l’affiliation à une patrie et à une identité, c’est l’adhésion à une culture et à une civilisation, c’est la possession d‘une langue et d’une éducation… Et quand les pauvres n’ont plus rien, ils possèdent toujours cet héritage immatériel et intemporel, ce patrimoine spirituel, artistique, intellectuel et moral, qui a fait grandes les nations d’Europe…

Et c’est de cette richesse civilisationnelle transcendante, supérieure à tous les biens de consommation qu’ils peuvent rêver d’avoir, que les pauvres sont privés par les idéologues du multi-culturalisme et du « vivre-ensemble » !

Francesca de Villasmundo

 Extrait de: Source et auteur

Europe : la Pologne et la Hongrie veulent faire bloc contre l’immigration

Non seulement la politique migratoire de l’Union européenne ne fonctionne pas, mais elle a échoué de manière spectaculaire, a déclaré Viktor Orbán, en marge de sa rencontre avec le Premier ministre polonais ce mercredi à Budapest. Les deux chefs de gouvernement veulent former une alliance en matière économique et de sécurité.

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Halte au racisme anti-policier !

Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

Comme chaque nouvelle année, et en d’autres occasions aussi, des milliers de Français ont retrouvé leurs voitures incendiées par des voyous quasiment jamais arrêtés et jamais condamnés.

Mais désormais, plus grave encore, se développe la pratique criminelle, plus que du tabassage, du lynchage des policiers.

Cette violence sauvage à laquelle se livrent des extrémistes de l’ultra-gauche et de l’islamo-gauchisme est l’expression de la haine raciste contre les policiers qui motive ces groupes, le plus souvent aussi anti-blancs et notamment anti-juifs.

L’AGRIF appuiera donc systématiquement les policiers agressés qui déposeront plainte pour violences racistes envers eux.

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La guérilla de la Saint-Sylvestre : le rapport choc – JT TVL 03/11/18

 

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Banlieues : la guerre qu’on n’ose pas déclarer ?

L’année 2018 a commencé très fort avec deux agressions commises contre des policiers dans la banlieue parisienne, à Champigny-sur-Marne et à Aulnay-sous-Bois. Tout amalgame entre ces événements sans doute liés à l’ambiance festive de la nuit du Nouvel An et l’immigration africaine et musulmane dans les quartiers sensibles de la région parisienne est évidemment à proscrire parce que « politiquement incorrecte ». On sait bien qu’une population particulièrement jeune et qui manque de distractions ne demande qu’à se défouler pour oublier la rigueur du climat, les horreurs de la répression coloniale subie par les parents et les affres du chômage qu’une scandaleuse discrimination à l’embauche accentue dès qu’on n’est pas « souchien ». Alors, un soir de réveillon, il est normal d’allumer le feu, comme disait un grand disparu, de brûler 1.031 voitures (une centaine de plus que l’année dernière), de forcer la porte d’une soirée à laquelle on n’est pas invité, de voler un véhicule et, cerise sur le gâteau, de tabasser les uniformes qui viennent bêtement s’offrir au défoulement collectif. Lorsque c’est une femme qui est en « bleu », c’est encore plus drôle, parce que plus facile, et plus logique. Il faut respecter la seule hiérarchie qui compte : celle de la force physique.

Dans les jours qui suivent, les commentaires vont bon train.

Le président de la République, qui s’était bien gardé d’évoquer ce problème « français » lors de ses vœux, parle de « lynchage », en introduisant une note américaine, qui est une sorte de lapsus révélateur. Ce mot américain désignait l’exécution sommaire d’un présumé coupable par une foule en colère en dehors de toute procédure judiciaire avec, pour exemple caricatural, la pendaison d’un Noir accusé de viol. Ce mot appelle deux remarques : d’abord, la situation est inverse. Ici, c’est un représentant de la loi qui est « lynché » par des barbares, ce mot ayant le mérite de les désigner exactement et d’être identique à lui-même en verlan. En second lieu, l’américanisation de notre société, avec une immigration excessive, une communautarisation ethnique et une ségrégation urbaine, produit des effets qu’il n’était nullement indispensable de provoquer dans le pays alors qu’ils sont inscrits dans l’histoire profonde des États-Unis.

 Nous vivons une catastrophe nationale que l’on se refuse obstinément à nommer, à stopper, et qui est aggravée par la pensée unique imposée par les médias, l’aveuglement des autorités et les contradictions de notre système. La réalité est qu’une immigration non assimilée et même pas intégrée a créé, il y a longtemps, des enclaves où non seulement la loi n’est pas respectée, mais où elle est combattue au travers de ceux qui la représentent.

En France, il n’y a que l’État qui détienne le monopole de la violence légitime. Ses agents ne composent pas des équipes qui devraient affronter celles de l’autre camp sous l’arbitrage d’un rappeur ou du réalisateur du brûlot cinématographique La Haine. Ils doivent faire respecter la loi à tout prix, ce que les politiques par couardise, et les juges par idéologie, ont oublié. Pour éradiquer les nids du terrorisme, les foyers d’islamisme, les réseaux de trafics, les repaires de la violence urbaine, ces lieux que fuient nos compatriotes juifs et où une partie de la population vit sous une loi et des coutumes qui ne sont ni celles de la République, ni celles de la France, il faut d’abord, comme le disait le regretté Charles Pasqua, que la peur change de camp, qu’un délinquant ou un criminel qui ne respecte pas la loi, avec le sentiment d’une totale impunité, sache désormais qu’il encourt à coup sûr une longue et pénible perte de sa liberté assortie d’un travail obligatoire, et risque même sa vie s’il s’en prend à un policier armé. Nous en sommes évidemment loin. Lorsqu’on tentera une nouvelle fois de reconquérir les territoires perdus de notre nation, il sera sans doute trop tard…

Christian Vanneste

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Racailles’ blues dans l’Aveyron

Tandis que nos médias nous abreuvent de bêtisiers, tous plus débiles les uns que les autres, pour faire rire le Français lambda, ils font silence sur des saloperies aux conséquences autrement plus importantes.

Les auteurs de ces « bêtises » sont généralement des gamins issus de banlieues difficiles, des « victimes » de la société injuste, raciste, aux relents colonialistes, nauséabonde, qui les laisse à l’abandon, sans argent, sans soutien, sans cadeau de Noël, et blablabla…

Ambulance volée et retrouvée hors d’usage à Millau, agressions violentes à Decazeville : les pompiers de l’Aveyron ont vécu une nuit de Noël compliquée et ont porté plainte après une série d’événements inacceptables alors qu’ils étaient en mission. Titre de La Dépêche du Midi : « Ambulance volée, secouristes agressés : dure nuit de réveillon de Noël pour les pompiers »(1) ; titre du Figaro : « Les pompiers de l’Aveyron ont vécu une nuit de Noël compliquée. »(2)

C’est beau, les faits rapportés par nos journalistes (Notez les « dure nuit » et « nuit compliquée ») !

Des gamins ont décidé de jouer aux pompiers avec un vrai camion, un vrai volant, et de vraies roues et surtout, de vrais médicaments et autres possibilités de s’envoyer en l’air, sans compter la revente pour d’autres défavorisés, voire déséquilibrés.

Au moment de redescendre de l’appartement et d’évacuer la victime vers l’hôpital, les pompiers ont eu la mauvaise surprise de ne pas retrouver leur véhicule en bas de l’immeuble. Après avoir pris soin d’appeler du renfort pour prendre en charge la personne âgée, ils sont partis à pied à la recherche de l’engin dans les rues voisines.

Bref, tout va bien dans ce pays qui se préparait à une prochaine Saint Sylvestre brûlante comme d’habitude, dans les quartiers « déshérités », et à de nouveaux records d’incendies de voitures, de nouvelles agressions de policiers, et surtout de pompiers qui viendront faire le boulot. Un boulot dont les journalistes de la bien-pensance éviteront de parler pour ne pas gâcher la fête et qui redoubleront de bêtisiers pour faire rire le bon peuple et surtout pour le lobotomiser.

Mais rassurez-vous, braves gens, la réaction des autorités ne s’est pas fait attendre et la célérité de celles-ci a été rapide : le Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDIS) de l’Aveyron a déposé plainte pour ce vol et condamne avec une grande fermeté ces atteintes aux personnels et au matériel qui affectent le niveau de sécurité des citoyens. Il ne sera pas dit que rien n’a été fait et nous ne doutons pas un seul instant du déclenchement d’une action policière de grande envergure et d’un classement rapide à la verticale par le procureur. Non mais !

Suite et fin : dans la nuit du 24 au 25 décembre, des pompiers sont agressés à Decazeville. Ils avaient été appelés, dans le quartier de Fontvergnes, pour secourir un homme blessé, mais surtout fortement alcoolisé… qui les a agressés « verbalement et physiquement ». Bilan : deux pompiers volontaires ont reçu des coups. Pour l’un, un coup de genou dans le bas-ventre et pour l’autre, un coup de pied dans l’abdomen.

Là aussi, les autorités du Service Départemental d’Incendie et de Secours (SDS) se sont montrées fermes ! Ils ont aidé les pompiers à déposer plainte.

L’agresseur a été interpellé par la police. Placé en cellule de dégrisement après avoir été examiné au centre hospitalier, puis entendu le lundi matin, il a ensuite été relâché et devra s’expliquer prochainement devant la justice. Notez au passage le « devra s’expliquer prochainement ». Il doit être terrorisé par cette terrible épée de Damoclès judiciaire ! Bon, il est vrai que Damoclès, ce « jeune » ne doit pas trop savoir qui c’est !

Mais il n’y a pas que les pompiers. Des « adolescents » avaient décidé de fêter les vacances en saccageant leur collège, soit sans doute le plus sûr moyen d’éviter la rentrée prochaine ! Ils ont saccagé des ordinateurs, des rétroprojecteurs, renversé du mobilier, cassé des armoires et du matériel pédagogique. Les dégâts se chiffrent en milliers d’euros…

On notera au passage l’édulcoration des faits : « des adolescents » en remplacement des « jeunes ». Comme si la jeunesse appelait à la compréhension, à la compassion. Ce n’est rien, ils sont jeunes, ils s’ennuient, la société ne fait rien pour eux et patati et patata…

L’un d’eux a tenté de frapper un policier à l’aide d’un marteau. Scolarisés dans le collège, ils étaient toujours en garde à vue ce samedi et le parquet des mineurs devra décider des suites judiciaires (on est mort de peur pour eux !).

La justice va statuer, leur dire son fait, sévir… et probablement les libérer en les rappelant à la loi pour cause de peur du MRAP, de la LDH, de la LICRA, de SOS Racisme, du CRAN…

Je ne vous fais pas un dessin sur la suite de ces évènements. Aucun parent ne sera sollicité. Tout juste pour leur dire que ce n’est pas bien. Aucun de ces délinquants ne sera jugé au niveau des dégâts commis. Les frais resteront à la charge des contribuables et aucun dédommagement n’aura lieu sur les aides et autres allocations perçues par les parents…

Bonne année à tous.

Notes

(1) (https://www.ladepeche.fr/article/2017/12/25/2710949-ambul...)

(2) http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/12/25/97001-20171225FILWWW00090-aveyron-agression-de-pompiers-et-vol-d-ambulance-a-noel.php

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Champigny : “Ils se sont acharnés sur eux ” décrit un témoin de l’agression de policiers

Deux policiers, qui intervenaient après une rixe à Champigny dans le Val-de-Marne lors d’une soirée pour la Saint-Sylvestre dimanche soir, ont été pris à partie et tabassés. Les deux policiers de Chennevières-sur-Marne faisaient partie d’un groupe d’intervention appelé aux environs de 23 heures pour évincer un groupe de plusieurs dizaines de personnes qui tentaient de rentrer dans une soirée privée. “Quelqu’un a crié ‘tapez-les! Tapez-les! Ils sont tout seuls’”, relate un témoin qui était présent au moment de l’agression. Ce même témoin est venu en aide à la policière blessée. “Elle baissait la tête, elle saignait de la joue, elle parlait pas du tout, elle était choquée”, explique-t-il. Les auteurs de l’agression sont toujours recherchés :

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“Quelqu’un a crié ‘Tabassez les, prenez leurs armes'”

Deux policiers intervenus après une rixe à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne) dans la nuit de dimanche à lundi ont été pris à partie et tabassés. Ali, témoin de la rixe, raconte :

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Nouvelles agressions sexuelles en Allemagne durant la nuit du Nouvel An

« L’Allemagne de nouveau frappée par des agressions sexuelles pendant la nuit du réveillon malgré la mise en place de zones sécurisées pour les femmes, 2 ans après les événements de Cologne. »

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Alternative Police sur le lynchage d’une policière : « Ils veulent la mort de policiers »

Denis Jacob (Alternative Police) réagit au lynchage de la policière de Champigny-sur-Marne : « C’est un déferlement bestial. On ne peut pas considérer que ce sont des êtres humains qui se sont comportés comme ça, quand on voit notre collègue féminine au sol se faire rouer de coups. Quand on entend des individus allumer le feu, qu’est-ce qu’on veut ? On veut la mort de policiers, on ne veut rien d’autre. »

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Dimitri Casali, historien : “Nous sommes en pleine régression intellectuelle” à cause de la révolution numérique et en terre d’islam

L’intellectuel est interrogé par Le Midi Libre :

Je vois un lien évident avec la révolution numérique. Cela a démarré dans les années 2000 où on a assisté à une surinformation qui a conduit à l’ignorance. Les 15-29 ans ne lisent plus de livres. En revanche, ils lisent davantage sur les réseaux sociaux, les blogs… D’après une étude de l’Université de Yale, la lecture sur internet n’est pas la même : les informations se superposent les unes aux autres alors que la lecture d’un livre permet de pénétrer les pensées de l’auteur et de structurer les informations. Cela organise le cerveau. D’autres études sont à rapprocher de cela : les Français auraient perdu 4 points de QI entre 1989 et 2009, phénomène mesuré aussi en Angleterre ou aux États-Unis. Wikipédia est le plus bel exemple des effets pervers d’internet. On a donné la culture aux imbéciles. Si dans le domaine scientifique, les notices sont rédigées par des experts, dans le domaine de la littérature et en histoire, c’est un agrégat d’informations nivelées par le plus grand nombre. Il n’y a plus de hiérarchisation du savoir. On est à l’époque du relativisme culturel. Tout se vaut. Ainsi la page de Kim Kardashian sera bientôt plus longue que celle de Montaigne et le grand poète grec Homère a déjà moins d’articles que Homer Simpson.

Selon une récente projection de l’ONU, l’an prochain, le monde arabe comptera 25 % d’analphabètes. Et il publie actuellement moins de 1 % du marché mondial du livre. Le monde arabe a publié plus de livres entre VIIIe et le XIIe siècle qu’aujourd’hui. Il y a ces prédicateurs saoudiens qui apprennent à leurs étudiants que la terre est plate et dernièrement, à l’Université de Sfax en Tunisie, qui est pourtant l’un des pays arabes les plus avancés, une chercheuse voulait démontrer aussi que la terre était plate et qu’elle ne tournait pas autour du soleil.

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jeudi, 04 janvier 2018

Enseignement de l’arabe ? Priorité au français quand on ne le maîtrise pas !

Certes, il vaut mieux que la langue arabe soit enseignée dans des établissements publics, par des professeurs formés et recrutés par l’Éducation nationale, que dans des mosquées ou des centres culturels musulmans. Mais la priorité, dans les milieux issus de l’immigration, quand les parents ne parlent que le dialecte de leur pays d’origine, devrait être donnée à la maîtrise de la langue française, qui est le premier facteur d’intégration.

On apprend qu’à Trappes, l’arabe est enseigné en langue vivante 2, dès la 5e, dans les trois collèges de la ville. Tant mieux si l’arabe est considéré comme une langue étrangère semblable aux autres. Mais, en l’occurrence, si l’on en juge par la photo publiée sur 78actu.fr, la très grande majorité de la classe semble issue de la diversité, comme on dit aujourd’hui.

D’aucuns prétendent que mieux l’enfant maîtrisera la langue dominante à la maison, plus il aura de facilité à apprendre une autre langue. C’est sans doute vrai dans des milieux privilégiés, où les parents parlent régulièrement à leurs enfants en alternant les langues ; mais, en la circonstance, il est loin d’être prouvé que l’apprentissage de l’arabe littéraire – bien éloigné des dialectes – soit de quelque utilité pour bien connaître la langue française.

Quand une élève se réjouit d’avoir choisi cette langue « pour pouvoir [s’]en servir avec [sa] mère dans la vie de tous les jours », on lui conseillerait volontiers de lui apprendre des rudiments de français ou de l’encourager à suivre des cours.

Tout le monde admet que la maîtrise de la langue française est fondamentale pour progresser dans toutes les disciplines. Ce devrait donc être la priorité absolue à l’école, avec des cours de soutien, pour ceux qui la connaissent mal – et qui ne sont pas tous d’origine étrangère. Elle est fondamentale, également, pour favoriser l’intégration. Il n’est pas certain que l’enseignement de l’arabe à de jeunes enfants issus de l’immigration y soit propice. Bien au contraire ! Sans compter que les professeurs d’arabe scientifiquement formés manquent cruellement : trois postes sont prévus, en 2018, à l’agrégation, quatre au CAPES !

 Mieux connaître le monde arabe pourrait être utile aux élèves pour comprendre les grandeurs ou les misères de cette civilisation. C’est le rôle des cours d’histoire, si l’enseignement est objectif, et, pour les spécialistes, de l’INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales). Mais pour des enfants qui ont besoin de s’intégrer, ce n’est pas en les plongeant dans la culture de leur pays d’origine qu’on y parviendra. À moins qu’on ne soit partisan d’une société multiculturelle. Si on veut les sortir de leur milieu, leur donner des chances de s’intégrer, leur permettre une promotion sociale sans recourir à la discrimination positive, il faut, au contraire, leur donner tous les moyens de maîtriser la langue, la culture, le patrimoine littéraire du pays dans lequel ils sont destinés à vivre.

On pourrait dire – et je sais à quel point ce propos peut paraître iconoclaste – que la connaissance de la langue et de la culture arabes serait plus utile à ceux qui n’y connaissent rien qu’à ceux qui en sont imprégnés par leurs origines. Pour les premiers, comme le voyage pour Montaigne, le contact avec d’autres civilisations est enrichissant. Pour les seconds, la langue et la culture françaises permettent de s’intégrer et de s’épanouir dans le pays où ils vivent.

Bref, au lieu de cultiver le communautarisme, il faut cultiver l’appartenance à la culture française, qui est le ciment de notre unité, ce qui n’empêche pas l’ouverture sur autrui ni un esprit de tolérance, qui ne consiste pas à tout mettre sur le même plan mais à jeter sur le monde un regard éclairé.

Philippe Kerlouan

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Côte d’Ivoire. Le président Ouattara alerte sur les dangers de l’immigration

L’immigration est souvent critiquée dans les pays d’accueil. Mais, contrairement aux idées reçues, elle l’est aussi régulièrement dans les zones d’où partent les populations. C’est notamment le cas de la Côte d’Ivoire.

Le président alerte

La République de Côte d’Ivoire, état d’Afrique de l’Ouest peuplé par presque 27 millions d’habitants, voit une partie de sa jeunesse attirée par le chant des sirènes de l’Europe. Prenant le phénomène au sérieux, le président Alassane Ouattara a lancé un message à la jeunesse nationale pour stopper son exil. Il a ainsi profité des traditionnels vœux à la Nation du 31 décembre pour évoquer le sujet.

« Ne vous lancez pas à l’aventure au péril de vos vies ! ». Le propos est clair et Alassane Ouattara a aussi tenté de convaincre les jeunes qu’ils seraient bien mieux chez eux que chez les autres.

« Vous êtes mieux au pays »

 Le président de la République de Côte d’Ivoire a fait preuve d’un bon sens élémentaire dans son allocution dont nombre de chefs d’États européens pourraient s’inspirer. « Vous êtes mieux au pays et le pays a besoin de vous ».

Une recommandation qui prend tout son sens compte tenu des rêves souvent déchus des jeunes Ivoiriens candidats à l’exil. Et, signe d’un début de prise de conscience chez certains, les retours au pays se font de plus en plus nombreux. Le directeur général des Ivoiriens de l’extérieur (DGIE), Issiaka Konaté, a ainsi rapporté que quelques 2330 Ivoiriens qui se trouvaient en situation d’immigration clandestine ont choisi de rentrer en Côte d’Ivoire depuis 2015.

La Libye comme épouvantail

Il faut souligner que sur les 2330 retours, 1200 provenaient de Libye. Un pays où les immigrés en situation illégale ont connu des conditions de détention particulièrement difficiles. À la suite d’un travail commun entre le MIAIE (Ministère de l’Intégration africaine et des ivoiriens de l’extérieur) et l’OIM (Organisation internationale pour les migrations), des rapatriements ont pu être mis en place. Le dernier en date a eu lieu le 19 décembre dernier, lorsque 168 migrants ivoiriens ont quitté Tripoli pour Abidjan.

Des retours d’expérience qui pourraient bien freiner les volontés de départ dans la jeunesse ivoirienne.

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Triste période !

 

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Bernard Plouvier

La jonction 2017-2018 a été fêtée à sa façon par la racaille de nos cités : 40% de voitures brûlées de plus qu’un an plus tôt. Et cela mérite quelques réflexions.

D’abord et à l’évidence, « l’état d’urgence » macronien n’est pas plus efficace que le soi-disant état d’urgence du mol Hollande... pour la bonne et simple raison que d’état d’urgence, il n’y a point.

On ne peut faire durer un tel système qu’en y intégrant les meilleurs citoyens et les plus actifs et ce n’est nullement « à gauche », au marais ou dans la droite évanescente qu’il faut les chercher !

En outre, fin décembre, le très chenu ministre de l’Intérieur, payé, et même grassement, pour faire régner l’Ordre (qui n’est pas plus républicain qu’impérial ou monarchique : l’Ordre, c’est avant tout l’ordre public, dans les rues, sur les marchés etc.), déclare qu’il ne « veut plus passer pour le ‘’facho’’ de service ».

C’est assez dire à quel point dé décrépitude est tombée la Ve République, agonisant dans la médiocrité, la corruption, la faiblesse tous azimuts. Même de Gaulle, qui n’était pourtant pas un homme d’État, n’aurait jamais accepté le désordre de deux mille cités de non-droit et un aveu de mollesse d’un ministre, davantage occupé de son ego que de maintenir le Bien commun.

En réalité, le titulaire de l’Intérieur, dans la Ve Ripoublique, comme dans les IIIe et IVe de lamentable mémoire, a surtout pour but de préparer les nouvelles échéances électorales, de façon à maintenir les prébendiers du régime dans leurs sinécures... et le seul ennemi dangereux du macronisme, platement soumis à l’Internationale de la Finance, c’est ce populisme qui ne règne pour l’heure qu’en quelques États d’Europe danubienne et de l’Est.

Il est plus urgent pour les princes qui font semblant de nous gouverner, à coup d’effets d’annonce et de tweets, de faire passer Poutine et sa Russie pour le Grand Méchant Loup de service, qu’il faut absolument abattre, plutôt que de protéger la Nation française et faire ce pourquoi on les paie : assurer l’Ordre et la protection du Bien commun.

En outre, la chienlit du passage 2017-18 annonce-t-elle un regain d’activité, en France, de la racaille la plus dangereuse : l’islamique ? Nul ne sait comment les maîtres du lobby de la haine anti-européenne vont orienter les fous furieux, maintenant que les terres pétrolifères en milieu mahométan sont presque toutes reprises en mains par la finance cosmopolite et que le tracé des oléoducs a été modifié pour ne plus être une cible facile pour des maîtres-chanteurs utilisant l’islam comme arme.

Ou bien les maîtres vont tenter de déstabiliser l’Europe danubienne, en excitant les haines ancestrales ou en multipliant les actes terroristes de mahométans (mais les pays populistes sont réfractaires à l’immigration bizarre et n’hésitent pas à donner l’ordre à leurs polices de « traquer au faciès »), et tenter de gêner le colosse russe par l’action de ses minorités mahométanes.

Ou bien, constatant l’état d’aveulissement extrême des populations d’Europe occidentale, encore amollies moralement par les prêches d’un pape fou d’amour mal ciblé ou vendu à la finance cosmopolite, les maîtres vont frapper et rudement, en activant davantage les réseaux de trafic de drogues pour détruire la jeunesse en voie de crétinisation accélérée par la propagande scolaire et télévisée, et en reprenant la série d’attentats mahométans, auxquels les molles populations occidentales réagissent par des pleurs et des paroles œcuméniques.

Il faut reconnaître qu’avec les Français, les Belges, les Allemands et les Scandinaves actuels, les nouveaux maîtres jouent gagnants sans prendre trop de risques. Comment leur reprocher de vouloir transformer en esclaves d’ignobles créatures qui ne demandent que de manger, boire et s’amuser. Face au consommateur idiot à force de béatitude, il y a peu, très peu, de citoyens en Europe occidentale.

Quant à la France, le mouvement populiste, sottement confié à une femme médiocre et à un dévirilisé roublard, il a été savamment démoli de l’intérieur... sans que personne ne veuille comprendre que là aussi s’applique l’adage : cherchez à qui profite le crime.

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Violences et mensonges de la presse télévisée : 2018 commence bien !

Ce lundi 1er janvier, RTL consacrait un sujet à la gestion de la nuit de la St Sylvestre par la police de Bruxelles en titrant : « Réveillon, aucun incident ».

Pourtant, dès le matin, de nombreux autres sites d’information reprenaient une dépêche de l’agence Belga qui annonçaient que la nuit en question avait été parsemée de nombreux actes de violence et de vandalisme : voitures incendiées, pompiers et policiers caillassés, etc… Au total, plus d’une quarantaine de personnes ont d’ailleurs été interpellés dont une quinzaine ont été arrêtées judiciairement.

Le « top » de la nuit aura consisté en une tentative d’incendie d’un commissariat de la région bruxelloise.

Ce qui démontre deux choses.

D’abord que malgré les rodomontades des « Jambon » et autres soi-disant « durs » de la NVA, l’insécurité est toujours aussi présente dans nos rues.

Ensuite qu’on a la preuve que la presse télévisée ment sur ordre. En effet, il est impossible que RTL n’ait pas été au courant de la dépêche Belga qui annonçait la série d’incident s de la nuit. Et donc titrer « Pas d’incidents » est un mensonge volontaire pour plaire au monde politique en place.

Alors s’il y a de bonnes résolutions à prendre pour 2018, ce serait par exemple d’aider un mouvement patriote comme NATION à se développer, à grandir, à avoir des élus afin qu’il puisse faire pression sur nos gouvernants pour qu’ils prennent enfin des mesures VRAIEMENT énergiques et efficaces contre l’insécurité de tout type.

PS : ce mardi soir, la même chaine RTL a bien été obligée de parler de ce qui s’était passée sans se remettre en cause, un seul instant. Autre démonstration que la presse dit tout et son contraire, sans état d’âme…

 

Émilie König, la Bretonne devenue VIP de l'État islamique

PORTRAIT - Cette Lorientaise, considérée comme "une personnalité dans la communauté djihadiste", avait quitté la France pour la Syrie en 2012. Elle vient d'y être arrêtée par les forces kurdes.  

"Quand je croise des militaires dans la rue, ma seule pensée est de prendre leurs armes pour m'en servir." En 2012, le propos d'Émilie König est déjà on ne peut plus clair. La jeune femme n'a pas 30 ans et l'organisation État islamique n'existe pas encore. Mais, filmée par la sociologue et documentariste Agnès de Féo, spécialiste des sujets sur les femmes et l'islam radical, elle raconte sa solitude, sa conversion à l'islam et son choix de porter le voile intégral, après le vote de la loi l'interdisant. Quelques mois plus tard, la Bretonne s'envole pour la Syrie et devient l'un des visages phares de la propagande djihadiste. Elle vient d'y être arrêtée par les forces kurdes.

Vendeuse en alternance. Rien ne prédestinait pourtant Émilie König à embrasser l'islam, et encore moins l'islamisme radical. Née à Lorient d'un père gendarme, elle est la benjamine d'une famille de quatre enfants. Ni bonne ni mauvaise élève, elle abandonne un cursus de sport-études en gymnastique acrobatique et décroche un CAP de vendeuse en alternance. D'anciens collègues du magasin de vêtements où elle travaille se souviennent auprès de Ouest-France d'une "gentille fille", "coquette", "joyeuse, heureuse de vivre". "Et puis, elle s'est imprégnée de la culture musulmane."

La jeune femme se marie une première fois à un Algérien, emprisonné pour trafic de drogue. Elle apprend l'arabe, se fait appeler Samra et se convertit à l'âge de 17 ans. "Depuis l'enfance, quand j'entrais dans une église, j'avais envie de prier", confiera-t-elle à Agnès De Féo. "Je suis devenue musulmane car j'ai toujours côtoyé des musulmans." Émilie König devient barmaid dans une boîte de nuit. Elle a deux enfants.

 "Elle était très seule". En 2010, Émilie Köning ne sort plus sans niqab. "Elle venait prier le vendredi à la mosquée, à Lorient", a raconté à Ouest-France un responsable de l'Association culturelle et islamique locale, dont elle a été éloignée après avoir distribué des tracts salafistes. Deux ans plus tard, elle se rend au tribunal de Lorient intégralement voilée et filme son altercation avec un agent de sécurité, qui lui demande de se découvrir. La vidéo est postée sur Youtube.

 Elle est en Syrie ? Qu'elle y reste !

Le père d'Émilie König, à Ouest-France
 
La même année, Émilie König déménage en banlieue parisienne et traque l'amour sur les réseaux sociaux salafistes. "Elle cherchait un homme désespérément, elle était très seule", se souvient Agnès de Féo. À distance, elle épouse un combattant se trouvant déjà en Syrie et décide de le rejoindre, confiant ses fils à sa mère.

Une propagande intense. Émilie devient alors "Ummu Tawwab" (la mère qui pardonne). Sur les réseaux de propagande, elle diffuse des dizaines de vidéos appelant au djihad, entièrement voilée, maniant parfois des armes. Dans l'une d'entre elles, elle s'adresse à ses enfants : "n'oubliez pas que vous êtes musulmans". Dans d'autres, elle appelle à commettre des actions violentes. Selon Libération, la jeune femme aurait convaincu plus de 200 femmes françaises de rejoindre l'organisation État islamique. "C'est une dure. Sur zone, elle a très probablement été en contact avec Hayat Boumedienne, la veuve d'Amedy Coulibaly, le terroriste de l'Hyper Cacher", juge un policier du renseignement intérieur, interrogé par la même source.

En 2015, la Bretonne est la première femme à rejoindre la liste américaine des "combattants terroristes étrangers". "C'est une personnalité dans la communauté djihadiste, elle est très active sur les réseaux sociaux, sert à la propagande et au recrutement de volontaires", confie alors un responsable de la lutte antiterroriste. "Elle est en Syrie ? Qu'elle y reste !" lance son père, interrogé par Ouest-France. Sa mère continue, elle, d'élever ses deux petits-enfants. Émilie König, qui a eu un autre fils de son deuxième mari, mort en Syrie, puis deux filles, est désormais emprisonnée dans un camp de réfugiés kurdes. Les modalités de son éventuel retour en France, où elle est visée par plusieurs procédures judiciaires, ne sont pas connues.

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