L'@IfopOpinion en une de l'@LEXPRESS cette semaine avec le grand sondage "ce que veulent les Français" en matière d'immigration, économie, éducation, société, sécurité, écologie : goo.gl/to3LpY
samedi, 13 janvier 2018
Immigration : forte augmentation des demandes d’asile
Les demandes d’asile ont augmenté de 17 % en 2017. Le chiffre de ces demandes s’établit aujourd’hui à 100.412. Un « niveau historique », selon Pascal Brice, le directeur général de l’OFPRA.
Face à cette explosion des demandes d’asile, le sénateur (LR) des Hauts-de-Seine, Roger Karoutchi, a déploré que l’asile soit « détourné en passoire pour l’immigration économique ». De son côté, la présidente (LR) de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a demandé au gouvernement de publier les résultats mensuels des reconduites à la frontière.
Le premier pays d’origine des demandeurs d’asile l’an dernier était l’Albanie (7630 demandes), pourtant considérée comme un pays dit « d’origine sûre ». Viennent ensuite l’Afghanistan (5987 demandes), Haïti (4934) et le Soudan (4486). 36 % des demandeurs ont obtenu une réponse positive en 2017.
L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) a annoncé qu’il va lancer « dans les prochaines semaines » des missions, d’abord au Niger puis au Tchad (l’hypothèse libyenne ayant été écartée) pour « identifier des personnes pouvant bénéficier du droit d’asile sur des listes proposées par le Haut-Commissariat de l’ONU pour les Réfugiés (HCR) » et « pour prévenir un afflux de migrants économiques non éligibles au droit d’asile ». Mieux vaut tard que jamais diront certains…
Ces opération sont lancées à la demande du président Emmanuel Macron qui a par ailleurs annoncé que la France « ouvrira sur les deux prochaines années 10 000 places » pour les réfugiés « réinstallés » depuis le Niger, le Tchad, mais aussi de Turquie, du Liban et de Jordanie
La France compte aussi réaliser des « modifications législatives et règlementaires dans les prochaines semaines » pour rapprocher sa politique d’organisation de l’asile avec celle de l’Allemagne, des réformes auxquelles « le HCR sera associé ». Une perspective pas forcément rassurante à la vue de la situation de l’immigration en Allemagne, entre main d’œuvre payée 1 euro de l’heure et multiplication des faits divers et des drames liés aux migrants.
Le Chef de l’Etat pour part assure que ces réformes permettront d’assurer « un droit d’asile garanti et une immigration maîtrisée ».
Ces deux articles sont parus sur le site ParisVox.
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Immigration : pourquoi le pape François a tout faux !
Marc Rousset ♦
Économiste, auteur, essayiste.
Max Weber dans son ouvrage « Le savant et le Politique » a mis en évidence la contradiction abyssale entre l’éthique de la responsabilité (verantwortungsethisch) et l’éthique de la conviction (gesinnungsethisch). Le pape François, fort de ses convictions chrétiennes, s’en remet à Dieu en ce qui concerne le résultat de son action. L’éthique de la responsabilité nous dit au contraire que nous devons répondre des conséquences prévisibles de nos actes.
Si la politique migratoire se traduit par la guerre civile ou une catastrophe, le pape François s’en prendra à la méchanceté, à la sottise des hommes et à la volonté de Dieu. Au contraire le partisan de l’éthique de la responsabilité compte avec les défaillances propres à l’homme car comme disait Fichte, on n’a pas le droit de présupposer la bonté et la perfection de l’homme.
De plus, pour le partisan de l’éthique de la responsabilité la fin justifie les moyens et mieux vaut prendre des décisions efficaces moralement dures si c’est pour atteindre des fins « bonnes » et sauver le troupeau.
Un homme politique doit répondre des résultats concrets de son action vis-à-vis de ses compatriotes et oublier les conseils suicidaires des bonnes âmes du style Emmanuel Kant. L’homme politique, contrairement à la conviction et à l’éthique chrétienne individualiste, ne peut évacuer le réel !
Le pape François de plus ne respecte même pas le dogme chrétien puisque Jésus, selon Matthieu ( XII,13-17), selon Marc (XXII,21,selon Luc (XX,25) a dit aux pharisiens qui lui demandaient s’il fallait payer l’impôt aux Romains : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ».L’immigration de masse est avant tout un problème holiste d’Etat qui implique le temporel et non pas un problème spirituel individualiste pour sauver l’âme d’un chrétien.
Le pape François se fourvoie également en tombant dans le piège de l’amour « Agapé » chrétien sans fin qui peut conduire au suicide de l’intéressé. Un citoyen européen responsable ne peut pas accepter le discours du « Sermon sur la Montagne » rapporté par Matthieu : Si quelqu’un te gifle sur la joue droite, tends aussi l’autre ».
Et le bouquet c’est le « Sermon dans la Plaine » de Saint Luc qui reprend à nouveau l’expression de Matthieu, mais qui ajoute : « Si quelqu’un prend ton manteau, ne l’empêche pas de prendre ta chemise ». C’est exactement ce que viennent faire les immigrés économiques en Europe face à des Européens lobotomisés et peu courageux qui ne réagissent pas et se laissent tondre, envahir comme des moutons. La généralisation de l’Agapé catholique ne peut mener qu’à la guerre civile et au chaos social. A noter que les chrétiens orthodoxes sont proches des idées de Poutine et moins naïfs que les catholiques romains.
Les Grecs distinguaient quatre sortes d’amour : l’Agapé, Eros, Philia et Storgè (amour familial). Le pape François, obnubilé par l’amour catholique universaliste Agapé, oublie l’amour « Philia » grec qui nous dit que l’on aime davantage ses compatriotes que des étrangers car ils nous ressemblent davantage. L’amour « philia » grec est donc en opposition frontale avec la naïveté de l’amour universaliste chrétien. Albert Camus préférait aussi sa mère, ses proches et ses cousins aux étrangers.
L’immigration de masse extra-européenne pose donc le problème holiste d’identité, de survie d’un peuple. Elle n’a rien à voir avec la morale individualiste chrétienne, de Kant ou des droits de l’homme.
Le pape François a donc tout faux. Les Africains en Afrique, les Européens en Europe, les Asiatiques en Asie, les musulmans dans les pays musulmans et les belles âmes chrétiennes semblables à celles du Saint Père, au Ciel dans le royaume de Dieu !
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Des cours d’arts martiaux pour les migrants clandestins
Paris Vox – Quelle meilleure idée que d’enseigner des sports de combats aux migrants clandestins hébergés par la Ville de Paris ? Aucune apparemment, puisque des cours de taekwondo sont dispensés au centre d’accueil des migrants du boulevard Ney dans le 18e arrondissement, sous la férule, excusez du peu, de Pascal Gentil, ex-champion du monde de la discipline.
Loger nourrir, soigner les migrants clandestins ne suffit pas, il faut aussi les occuper et les distraire.
C’est pourquoi chaque mardi, au centre d’accueil des migrants du boulevard Ney, trois enseignants de la Fédération de taekwondo donnent des cours évidemment gratuits.
Ces séances sont « un défouloir » pour les immigrés clandestins qui s’y présentent en grand nombre.
Les cours de taekwondo ne sont cependant pas les seules activités proposées aux migrants clandestins, une session de cricket avec des membres de l’équipe de France ayant aussi été organisée ainsi que divers concerts.
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Le centre pour migrants du boulevard de la Villette va déménager
Paris Vox – C’est une victoire et un soulagement pour les riverains du 127, Boulevard de la Villette à Paris. En effet, depuis maintenant un an et demi le seul centre pour clandestins célibataires de Paris était situé à cette adresse. Les riverain, accablés par les nuisances de tous ordres, ont finalement eu gain de cause avec le déménagement annoncé du centre cette année.
C’est lors d’une réunion à la préfecture que les riverains ont appris la bonne nouvelle. Le préfet a en effet acté le déménagement du centre géré par « France Terre d’Asile ». En un peu plus de 18 mois ce sont près de 40 000 demandes d’asile qui ont été enregistrées. (voir : https://www.parisvox.info/2018/01/11/immigration-forte-augmentation-demandes-dasile/)
Comme toujours, la présence d’un tel centre n’était pas sans conséquence pour le voisinage. En effet des files d’attentes de clandestins devant la porte du centre, jour et nuit, sont venues à bout de la patience des riverains dont certains menaçaient de se mettre en grève de la faim si le centre ne fermait pas prochainement.
Si ce centre avait autant de « succès », outre le nombre exponentiel de migrants, c’est notamment parce que c’était le seul centre d’accueil pour les hommes célibataire de Paris. Avec le système du « premier arrivé premier servi », personne ne voulait partir avant d’être reçu causant donc une occupation totale et sans interruption de l’espace public.
Ce chiffre de 40 000 hommes célibataires ayant fait une demande d’asile met d’ailleurs à mal l’argumentaire des associations pro-immigration qui voudraient imposer l’image de familles, de femmes et d’enfants fuyant la guerre et tentant de venir s’installer en Europe.
Bien sûr, le centre ne ferme pas, il déménage seulement sur un site situé au Boulevard Ney appartenant à la préfecture. “France Terre d’Asile” a “accepté” (sic) sur le principe le déménagement mais veut en négocier les termes. Encore une fois, on déplace le problème à défaut de le résoudre…
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La République tchèque vit-elle à l’heure de Trump?
Les Tchèques votent ce vendredi et samedi pour le premier tour d’une élection présidentielle qui sert de référendum pour ou contre le président populiste Milos Zeman. Au micro d’Europe 1, la chronique du rédacteur-en-chef international du JDD, François Clemenceau.
C’est vrai que lorsqu'on voit ou écoute Milos Zeman, 73 ans, la démarche titubante et le propos souvent grossier pour vanter une politique pro-russe et islamophobe, on se dit qu'on tient là le clone du président américain version Europe centrale. Bien entendu, Milos Zeman ne se réduit pas à cette caricature et le président sortant de la République tchèque peut se flatter d’être à la tête d’un pays avec une croissance forte et un chômage faible, un pays membre de l’UE mais sans avoir adopté l’Euro, membre de l’OTAN mais avec de bonnes relations avec la Russie de Poutine, mais une nation de 10 millions d’habitants qui, comme sa voisine la Slovaquie, n’aime pas trop les mélanges. C’est ainsi qu’elle a refusé, plus férocement que la Hongrie ou l’Autriche, d’être solidaire dans l’accueil des migrants lors de la crise de 2015.
Milos Zeman réélu?
A-t-il des chances d’être réélu? Probablement pas, mais rien n’est fait. Car l’humeur du pays reste au populisme comme on l’a vu en octobre avec la victoire aux législatives du milliardaire Andrej Babis, surnommé lui aussi le "Trump tchèque", pour ses prises de position simplistes et provocatrices qui rompent avec la politique traditionnelle du centre droit et du centre-gauche qui se sont succédé au pouvoir depuis la Révolution de velours de 1989.
Babis a eu, malgré tout, les plus grands difficultés pour former une coalition avec l’extrême droite et d’autres partis anti-système et il a choisi de diriger le pays avec un gouvernement minoritaire. Il est possible alors que le challenger de Milos Zeman soit élu pour redonner un peu d’assise au pouvoir exécutif. L’homme en question s’appelle Jin Drahos, 68 ans, c’est l’ancien patron de l’Académie des sciences, farouchement pro-européen mais réservé sur la question des quotas migratoires. Ce serait le parfait contrepoids au populisme ambiant même s’il manque d’expérience politique. Pour beaucoup, il rappelle Vaclav Havel, l’ancien dissident et écrivain devenu le premier président de la République tchèque post-communiste.
L'Europe : enjeu central
En fait, on a vraiment l’impression que l’Europe reste un enjeu central de ces élections dans les anciens pays de l’Est. Si l'on fait le compte avec la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie, la Bulgarie, ce n’est pas tant l’appartenance à l’UE qui pose problème que le respect de ses règles et de ses valeurs.
La Russie a énormément investi dans un travail de mise en doute des bienfaits que peut apporter l’Europe, non pas pour flatter les nostalgiques de l’Union soviétique mais pour enfoncer un coin dans la solidarité européenne afin de gagner en influence. C’est de bonne guerre mais quand ça se traduit dans les urnes, il est difficile de faire machine arrière.
François Clemenceau
09:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
Sondage : 71% des 25-34 ans jugent le rythme de l’immigration «trop élevé», plus que leurs aînés
Huit mois après l'élection présidentielle, un sondage réalisé par l'Ifop pour L'Express en décembre 2017 et publié le 10 janvier 2018, révèle que 64% des Français juge le rythme de l'immigration «trop élevé». Un jugement transversal à toutes les tranches d'âge. Ainsi, une petite majorité des plus jeunes (18-24 ans) estime que le rythme de l'immigration est trop important. Mais leurs aînés de quelques années, les 25-34 ans, sont eux 71% à s'inquiéter d'un afflux trop intense d'immigrés, soit plus que toutes les autres tranches d'âges : 70% chez les 50-64 ans et 66% pour les 65 ans et plus.
L'@IfopOpinion en une de l'@LEXPRESS cette semaine avec le grand sondage "ce que veulent les Français" en matière d'immigration, économie, éducation, société, sécurité, écologie : https://t.co/nFGgk52vpkpic.twitter.com/FFGqEdegpz
— Ifop (@IfopOpinion) 10 janvier 2018
Dans le détail, l'enquête confirme que la position des Français quant à l'immigration dépend fortement de leur couleur politique (précisément de leur vote déclaré aux sondeurs au 1er tour de l'élection présidentielle). Ils sont ainsi seulement 31% parmi les électeurs de Benoît Hamon, candidat du Parti socialiste, à considérer que l'immigration s’effectue à un rythme trop élevé.
#Immigration : près de 50% des Français croient au «remplacement»
➡️ https://t.co/LQ1wfjUb2Bpic.twitter.com/Y1Skn3ro6b— RT France (@RTenfrancais) 8 janvier 2018
Sans surprise, en revanche, ils sont 95% des sondés déclarant avoir voté pour le Front national à juger ce rythme trop élevé, suivis de près par les électeurs déclarés du Républicain (LR) François Fillon, à 75%. Plus surprenant, ils sont tout de même 51% parmi les électeurs de La France insoumise (LFI) à partager l'opinion selon laquelle le rythme auquel s'effectue l'immigration est trop effréné.
Enfin, l'électorat d'Emmanuel Macron semble partagé avec 47% des sondés jugeant, en décembre donc, ce rythme trop élevé. Le président de la République devrait-il rendre sa politique migratoire plus lisible pour son propre camp ?
09:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
Donald Trump ne veut pas d'immigrés venant de «pays de merde»
VIDÉO - Discutant jeudi d'une réforme de l'immigration avec des sénateurs démocrates et républicains invités à la Maison-Blanche, le président américain a provoqué un nouveau tollé avec des remarques jugées « racistes ». Ce dernier a démenti avoir utilisé cette expression qui provoque un tollé international.
De notre correspondant à Washington
Le dédain de Donald Trump pour le «politiquement correct», son sens aléatoire de la diplomatie et ses positions radicales en matière d'immigration se sont combinés jeudi pour provoquer un nouveau dérapage verbal, qui a déclenché des hauts cris chez ses adversaires, sans risque de choquer pour autant ses partisans.
09:13 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 12 janvier 2018
Sondage : 71% des 25-34 ans jugent le rythme de l'immigration «trop élevé», plus que leurs aînés
Si les Français de toutes tranches d'âge trouvent que le rythme auquel s'effectue l'immigration est trop fort, les jeunes adultes abondent tout particulièrement dans ce sens, d'après un sondage d'Ifop.
Huit mois après l'élection présidentielle, un sondage réalisé par l'Ifop pour L'Express en décembre 2017 et publié le 10 janvier 2018, révèle que 64% des Français juge le rythme de l'immigration «trop élevé». Un jugement transversal à toutes les tranches d'âge. Ainsi, une petite majorité des plus jeunes (18-24 ans) estime que le rythme de l'immigration est trop important. Mais leurs aînés de quelques années, les 25-34 ans, sont eux 71% à s'inquiéter d'un afflux trop intense d'immigrés, soit plus que toutes les autres tranches d'âges : 70% chez les 50-64 ans et 66% pour les 65 ans et plus.
Dans le détail, l'enquête confirme que la position des Français quant à l'immigration dépend fortement de leur couleur politique (précisément de leur vote déclaré aux sondeurs au 1er tour de l'élection présidentielle). Ils sont ainsi seulement 31% parmi les électeurs de Benoît Hamon, candidat du Parti socialiste, à considérer que l'immigration s’effectue à un rythme trop élevé.
Sans surprise, en revanche, ils sont 95% des sondés déclarant avoir voté pour le Front national à juger ce rythme trop élevé, suivis de près par les électeurs déclarés du Républicain (LR) François Fillon, à 75%. Plus surprenant, ils sont tout de même 51% parmi les électeurs de La France insoumise (LFI) à partager l'opinion selon laquelle le rythme auquel s'effectue l'immigration est trop effréné.
Enfin, l'électorat d'Emmanuel Macron semble partagé avec 47% des sondés jugeant, en décembre donc, ce rythme trop élevé. Le président de la République devrait-il rendre sa politique migratoire plus lisible pour son propre camp ?
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Pas-de-Calais : un détenu islamiste poignarde trois surveillants
Lu dans Le Parisien du 11 janvier 2018 :
L’un des blessés est sérieusement touché. Le détenu purge une peine de 18 ans pour complicité dans l’attentat de Djerba de 2002.
Trois surveillants du centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) ont été blessés ce jeudi après-midi à coups de ciseaux par un détenu islamiste, Christian Ganczarski. L’un des blessés, sérieusement touché, a été transporté en urgence à l’hôpital.
Ganczarski, un Allemand converti à l’islam, a été condamné à dix-huit ans de réclusion criminelle pour complicité dans l’attentat contre la synagogue de Djerba, en Tunisie (21 morts en avril 2002).
Il se trouvait à l’isolement depuis ce week-end. A l’ouverture de sa cellule, l’agresseur présumé se serait jeté sur les agents en criant : «Allaou Akbar». »
Commentaire de l’Observatoire de l’islamisation :
L’homme a été incarcéré en 2009, donc il aurait dû sortir en 2027. Cette attaque va heureusement prolonger son incarcération. Lire sur le même sujet 70 condamnés pour terrorisme sortiront de prison dans les deux ans
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Les chiffres de l'immigration en France
Ce jeudi 11 janvier, le gouvernement présente son projet de loi sur l'asile et l'immigration. Un projet qui vise notamment à raccourcir les délais de demande d'asile. Retour sur les chiffres-clés de l?immigration en France avec Vincent Fahandezh.
12:29 | Lien permanent | Commentaires (0)
Deux membres d’Identitaires Ardenne poursuivis pour incitations à la haine
En octobre dernier, le procureur du Roi, Damien Dillenbourg, annonçait que le parquet du Luxembourg avait ouvert un dossier concernant le groupuscule Identitaires Ardennes, à la suite de la diffusion sur Internet d’articles incitant à la haine et à la violence à l’égard essentiellement de la communauté musulmane.
Deux auteurs, Olivier Buys, le président du groupement, et Dimitri François, porte-parole, avaient été identifiés. L’enquête avait été confiée au service d’enquête et de recherches de la Zone Famenne-Ardenne. Des perquisitions avaient eu lieu avec saisie des ordinateurs et des téléphones portables à Hatrival (Saint-Hubert) et Transinne (Libin). "À la fin des auditions, nous avons été rappelés à l’ordre avant d’être relâchés. Il s’agit déjà d’une sanction", confie Olivier Buys.
Ce rappel à la loi a, en ce qui le concerne, été entendu cinq sur cinq. "Les sites Internet ont été fermés et personnellement, j’en suis resté là", indique-t-il. "Dimitri François ne fait plus partie d’Identitaires Ardenne. Nous ne travaillons plus ensemble. Il a créé son propre groupement, Alliance identitaire ardennaise."
C’est sous cette bannière que Dimitri François envisage de se présenter aux élections en octobre prochain. "La liste AIA provinciale est complète", précise-t-il. "En ce qui concerne les communales, les listes sont presque clôturées à Saint-Hubert, Libramont, Arlon, Marche, Bouillon, Paliseul et Bertrix. Il ne s’agit pas d’extrême droite, mais de droite autonomiste."
Selon nos informations, l’analyse de documents informatiques est à présent terminée. Les ordinateurs et les téléphones portables ont été restitués. Les deux hommes seront-ils poursuivis devant le tribunal correctionnel ? Si le dossier n’est pas classé sans suite, soit l’affaire est mise à l’instruction, soit le parquet décide de poursuivre l’enquête avec le SER de Marche-en-Famenne.
Si les charges sont jugées suffisantes, les deux hommes devraient être renvoyés devant le tribunal correctionnel.
Nadia Lallemant
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Sondage : 64% des Français jugent le rythme de l’immigration « trop élevé », seulement 4% des Français le jugent « pas assez élevé »
11:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
Allemagne : 1 élève musulman sur 3 se déclare prêt « à se battre et à mourir pour l’islam »
Lu dans Die Welt du 10 janvier 2018. Traduction Fdesouche.com
Dans une enquête réalisée en Basse-Saxe, huit pour cent des étudiants musulmans soutiennent la propagation violente de l’État islamique. Certains montrent même de la sympathie pour les attentats terroristes. Cette surprenante conclusion controversée apparaît dans le chapitre 4, sous-section 1. « L’extrémisme et l’islamisme fondamentaliste » est le sous-titre de ce paragraphe et comprend seulement quelques pages. Il fait partie de l’étude remise la semaine dernière sur les causes de la criminalité des migrants, menée par le scientifique criminel Christian Pfeiffer.
Pfeiffer, qui a effectué des recherches pour le compte du ministère fédéral des Affaires familiales, examine principalement dans son étude, le lien entre la violence et l’immigration. Les auteurs rapportent, entre autres, les résultats d’un sondage réalisé en 2015 auprès des étudiants, qui n’avait pas encore été rendu publique. Ils indiquent une proportion considérable d’élèves musulmans qui approuve la violence et la terreur islamiques.
Depuis 1998, l’Institut de recherche criminologique de Basse-Saxe (KFN) sonde régulièrement les étudiants de Basse-Saxe au sujet de la criminalité – en 2015, des données sur les attitudes islamistes ont également été collectées et ce, pour la première fois. 10.638 adolescents de neuvième année ont été interrogés, dont 500 ont déclaré être de confession musulmane. Tous les musulmans n’ont pas commenté l’ensemble des déclarations qui leur ont été présentées – environ 280 d’entre eux y ont répondu. Les auteurs soulignent que le groupe est relativement restreint, mais ils considèrent tout de même que les résultats sont dignes d’intérêt.
L’analyse a montré qu’une personne sur trois (29,9%) parmi les élèves musulmans qui ont fourni des réponses, peut « très bien imaginer devoir se battre et risquer sa vie pour l’islam » . L’affirmation selon laquelle « les lois islamiques de la charia, pour lesquelles, par exemple, l’adultère ou l’homosexualité doivent être sévèrement punis, sont bien meilleures que les lois allemandes » a trouvé un écho favorable chez 27,4% des sondés.
Il est frappant que même l’État islamique (EI) et les attentats terroristes soient perçus positivement par certains d’entre eux. Par exemple, 8,0% des jeunes musulmans qui ont répondu croient qu’il est juste que leurs frères croyants du Moyen-Orient essaient de fonder un État islamique par la guerre; 3,8 pour cent ont même répondu positivement à la phrase suivante: « Les musulmans sont autorisés à atteindre leurs objectifs, au besoin par des attaques terroristes. »
Près d’un cinquième des élèves était d’accord avec la déclaration: «Les musulmans sont opprimés dans le monde entier; ils doivent donc se défendre par la force»(19,8%). Presque autant tiennent pour exacte l’expression: « Il est du devoir de chaque musulman de combattre les incroyants et de répandre l’islam dans le monde » (18,6%). Un peu moins d’un cinquième a également trouvé que «les ennemis de l’Islam» doivent être attaqué avec la plus grande sévérité (17,7%). Le niveau d’approbation est légèrement plus élevée chez les élèves masculins que chez les femmes – mais les différences ne sont pas significatives.
11:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
Immigré clandestin et déséquilibré : le réseau validé par le ministère
Lu dans Minute :
"[...] Norbert Nabet, le directeur-adjoint de l’Agence régionale de santé de Provence-Alpes-Côte d’Azur, signant « pour le directeur général et par délégation », a adressé le 7 dé- cembre à sept établissements psychiatriques des Bouches-du-Rhône [une] missive [...] Or, souligne le texte, « parmi les personnes prises en charge par vos services [...], quelques patients se trouvent en situation irrégulière et ont vocation à quitter le territoire national » dès lors qu’est levée leur hospitalisation « sous contrainte » (ce qu’on appelle communément l’internement d’office).
En conséquence de quoi, le directeur de l’ARS de Paca demandait aux responsables des établissements psychiatriques de notifier aux étrangers sans papiers qu’ils hébergent que le préfet, en application de la loi, avait décidé de les expulser : « Dans la mesure où ces patients sont pris en charge par vos équipes, je vous informe que mes services vous communiqueront [...] la décision d’obligation de quitter le territoire français, ainsi qu’une notification à faire signer par le patient », plutôt que de continuer à lui délivrer des soins – aux frais de qui, au fait ? – une fois qu’il serait sorti de l’hôpital. [...]
[P]endant des années, l’autorité préfectorale, après l’avis autorisé du corps médical, a offert l’asile psychiatrique à des sans-papiers et des migrants pourtant jugés cinglés et dangereux, alors qu’il aurait été urgent de les expulser sur-le-champ, de les renvoyer illico aux maisons mères responsables de leurs vices de fabrication.
Qu’aujourd’hui les autorités comprennent enfin la nécessité d’éloigner ces nuisibles aurait pu constituer une bonne nouvelle en ce début d’année. Mais cela restera un vœu pieux ! Car le courrier du directeur-adjoint de l’ARS-Paca a soulevé une incroyable polémique. Les bonnes âmes se sont indignées que l’on puisse demander au monde hospitalier d’apporter son concours à une opération pourtant de salubrité publique. Rapidement interpellée, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a plié. Elle a fait savoir que cette circulaire était une « initiative malheureuse » et qu’elle était nulle et non avenue. [...]
Deux dirigeants d’associations à « vocation humanitaire » proposaient à des « sans papiers » venus d’Afrique de l’Ouest et du Maghreb de rester en France en obtenant le statut d’« étranger malade » par le biais de faux certificats médicaux, facturés 5 000 euros pièce ! Tous les dossiers montés pour tromper les services de l’immigration faisaient état de... « pathologies mentales » ! Pour fournir ces faux certificats, le réseau s’appuyait sur une bande de cinq médecins dont trois psychiatres. [...]"
09:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Gwen, policier caillassé : “Chez les jeunes délinquants, il y a un sentiment d’impunité grandissant”
Gwen est policier à Stains, en Seine-Saint-Denis; et membre du syndicat Alliance. En décembre, il a été caillassé alors qu’il sauvait une famille d’un incendie avec les pompiers :
08:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
Xavier Raufer : Délinquance - « Le minimum syndical n’est pas assuré dans ce pays. »
Xavier Raufer dénonce le mensonge éhonté que constitue la prétendue baisse de la délinquance affichée par l’Observatoire national de la délinquance.
Il cible les trois sources principales d’insécurité, sur lesquelles doivent se concentrer les actions pour lutter contre la criminalité.
08:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un imam gay va ouvrir une mosquée ouverte aux personnes LGBT !
Un Imam gay australien a révélé son intention d’ouvrir une mosquée LGBT à Melbourne ! Ce serait la deuxième mosquée ouverte aux homosexuels dans le monde.
Et de deux ! Après Muhsin Hendricks, cet imam sud africain qui a ouvert il y a quelques années, non sans heurts, sa “mosquée arc-en-ciel” dans la ville du Cap, Nur Warsame, un imam somalien vivant en Australie, vient d’annoncer son intention de faire de même dans sa ville de Melbourne.
Cet imam a fait son coming-out en 2010, et s’est rendu compte que bon nombre d’adolescents musulmans qui venaient le voir étaient tourmentés par leur sexualité et n’arrivaient pas à affronter “l’avalanche de misère” qui tombait sur eux.
Cet homme de cœur travaille avec quelques philanthropes qui l’aident financièrement pour la construction de cette mosquée, qui serait le refuge idéal pour les jeunes musulmans qui se sont fait rejetés par leur famille et communauté à cause de leur sexualité.
Il a expliqué à ABC news qu’il avait déjà dû héberger lui-même des adolescents qui n’avaient nulle part où aller après s’être faits virer de chez eux :
“J’ai déjà hébergé sept personnes à la fois dans mon appartement une pièce parce que c’était une question de vie ou de mort pour eux.”
Nur Warsame a aussi expliqué qu’il était très difficile pour les musulmans de concilier religion et homosexualité, et que la grande majorité d’entre eux n’étaient toujours pas tolérants sur ce point là :
“Réconcilier la spiritualité et la sexualité est une travail très difficile. Il y a le nom de la famille que tu dois protéger, le nom de la communauté de laquelle tu viens. La raison pour laquelle il est difficile d’assumer son homosexualité dans le monde musulman c’est parce que les pertes sont trop grandes, les risques trop élevés… Je veux dire, il y a même un risque pour sa propre vie.”
Mais cet imam n’est pas du genre à se laisser intimider et continue de penser que le meilleur est possible pour l’avenir :
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jeudi, 11 janvier 2018
Ce ne sont pas des réfugiés, mais une force d’invasion musulmane
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a rendu visite au dirigeant bavarois Seehofer à deux jours des négociations pour la formation d’un gouvernement en Allemagne. Et dans un entretien au grand journal allemand Bild, l’homme fort de Budapest n’a pas mâché ses mots, comme à son habitude : pour lui, l’immigration massive affaiblit la démocratie en Europe et les « réfugiés » sont en fait « une force d’invasion musulmane ».
À deux jours du début des négociations pour la formation d’un gouvernement en Allemagne, le Premier ministre national-conservateur Viktor Orbán s’est rendu en Bavière pour y rencontrer son allié Horst Seehofer, allié de Merkel et patron du CSU, le parti frère du CDU d’Angela Merkel, bien que beaucoup plus prudent et sceptique quant à l’immigration. Et cette visite n’a rien d’accidentelle : à travers la Bavière, bien plus proche historiquement et culturellement de l’Europe centrale représentée par le groupe de Visegrád que le nord de l’Allemagne, plus « prussien », Viktor Orbán, qui jouit d’une grande popularité dans l’opposition de droit en Allemagne, sait qu’il peut influencer la politique allemande de façon indirecte. Dans son discours à la presse donné à l’issue des discussions, Viktor Orbán a rappelé son opposition à l’immigration et son rôle pour protéger la Bavière de l’immigration illégale depuis 2015 et pour le respect du droit, « alors qu’ailleurs en Europe le chaos et l’illégalité étaient célébrés ».
« 2018 sera l’année de réaffirmation de la volonté du peuple [concernant l’immigration], » a ajouté le chef du gouvernement hongrois, grand favori des sondages en vue des élections d’avril 2018, pour briguer son 3e mandat consécutif – et quatrième de sa carrière. Selon Viktor Orbán, l’immigration est devenue « un problème pour la démocratie » car les gouvernants de nombreux pays ne font pas ce que les gens attendraient d’eux concernant l’immigration ». Le lien entre terrorisme et immigration est évident pour le Premier ministre hongrois, qui rajoute que la majorité des Européens ne veulent pas vivre avec des gens qui, comme il l’a déclaré dans un entretien accordé au grand journal allemand Bild, « ne sont pas des réfugiés mais une force d’invasion musulmane », ou encore des « gens qui traversent quatre pays sûrs, où leur vit n’est pas en danger, avant d’arriver en Hongrie, et continuer vers l’Allemagne ». Il s’agit « de migrants économiques, qui veulent une vie au niveau de celle des Allemands ».
La lutte contre Soros au cœur de la campagne électorale
Autre combat célèbre du Premier ministre hongrois, George Soros et ses réseaux. Interrogé par Bild sur sa campagne d’affichage contre George Soros, Viktor Orbán a expliqué que le soutien du spéculateur et financier milliardaire à environ 60 ONG pro-immigration constitue un risque pour la sécurité nationale. Le Premier ministre hongrois a également rappelé que la Hongrie n’était pas le seul pays à avoir une barrière anti-immigration (l’Espagne, la Bulgarie, la France ou encore la Lettonie en ont, par exemple) ni le seul pays à avoir refusé les quotas de migrants que Bruxelles cherchait à imposer (rappelant aussi que plus de 20 États membres n’ont pas rempli leurs obligations sur cette question).
Ce mardi 9 janvier, l’eurodéputé des Verts hollandais, Judith Sargentini, est arrivée en Hongrie afin « d’observer la situation » de l’État de droit dans le pays pour le compte du Parlement européen. Ceci malgré sa proximité affichée pour les ONG anti-gouvernementales, la direction de la CEU mise en cause au printemps dernier par le gouvernement de Viktor Orbán et George Soros lui-même, comme l’ont révélé les DC Leaks : malgré sa présence sur les listes des « alliés fiables » de George Soros, Judith Sargentini sera le rapporteur pour l’Union européenne sur ce dossier sensible. De quoi donner encore plus d’eau au moulin de Viktor Orbán, à trois mois des élections.
Article paru sur le site VPost.
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Viktor Orban : les réfugiés sont plutôt des envahisseurs musulmans
Dans un entretien avec le journal allemand Bild le 7 janvier, Viktor Orban s'est livré sur les raisons du refus de Budapest d'accueillir des réfugiés.
«Nous ne considérons pas ces gens comme des réfugiés musulmans», précisant les voir plutôt comme des «envahisseurs musulmans».
«Si quelqu'un veut venir dans votre maison, il frappe à votre porte et demande : "Pouvons-nous entrer, pouvons-nous rester ?" Ils ne font pas cela, ils ont franchi la frontière illégalement».
Poursuivant son raisonnement, le Premier ministre de la Hongrie a qualifié le multiculturalisme d'«illusion», jugeant que les sociétés musulmane et chrétienne «ne s'unir[aient] jamais». Quant à l'arrivée d'un grand nombre de musulmans sur le Vieux continent, elle aurait résulté selon lui en l'apparition de «sociétés parallèles».
«Je n'ai jamais compris comment le chaos, l'anarchie et le franchissement illégal de frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l'Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi».
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Plus important que l'interdiction du porc à la cantine : l'islamisation à l'école
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400 € d'amende pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles
Nous avions relayé le harcèlement judiciaire subi par Claudine Dupond-Tingaud, militante historique de la droite nationale, pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles le 11 novembre dernier à Quimper. Elle avait même subi 5 heures de garde à vue !
La justice a rendu son verdict et, en plus d'un rappel à la loi, elle a reçu une amende de 400 € pour "outrage à agent public". Voici la réaction de ses proches :
"Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !
Ce jour-là, 11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…
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En Marche infiltré par des islamistes et leurs idiots utiles
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Toulouse : profs en grève et lycéens fichés S tentés par le djihad
Une soixantaine d’enseignants du lycée Joseph-Gallieni (sur 120) à Toulouse sont en grève, devant l’entrée de l’établissement qui accueille plus de 1 000 élèves du CAP au bac professionnel et technologique. Les cours ont été suspendus et remplacés par des ateliers pour que la parole s’exprime et atténue les maux d’un lycée qui est devenu un espace de non-droit. Les profs sont au bord de la crise de nerfs, certains pleurent en racontant leur quotidien fait d’incivilités et de violences.
Agressions verbales et physiques « qui se généralisent et se banalisent », « intrusion d’élèves extérieurs qui viennent semer le trouble et commettent des infractions », vols en classe, à l’internat, généralisation de bagarres violentes dans l’enceinte de l’établissement, violences sexistes subies par les filles, élèves et parents qui viennent la peur au ventre, souffrance des enseignants, trafic de stupéfiants, etc.
Et puis les professeurs ont découvert que des lycéens sont fichés S. Virginie, professeur de lettres et histoire, raconte :
« À une prérentrée, un collègue a demandé à la police de connaître les élèves qui ont un casier judiciaire et le policier lui a répondu qu’il ne préférait pas lui donner ces informations, pensant qu’on aurait peur de rentrer dans certaines classes. On a eu, une année, des élèves partis pour tenter d’aller faire le jihad. Quand ils sont revenus, le rectorat nous a répondu de faire appel à notre bon sens pour gérer le problème ».
« Dans les 1 000 élèves du lycée, on a des profils très particuliers. Certains sont très volontaires, mais on a aussi une minorité qui relève de structures spécialisées, médicales, ou relatives à la justice : des élèves qui sortent de prison, qui viennent en cours avec le bracelet électronique, d’’autres qui ont un casier judiciaire assez fourni qu’on nous demande d’intégrer. On fait tout pour que la poudrière explose. »
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« Les banlieues brûleront de la Suède jusqu’à Marseille… si nous échouons, les vies de nos petits-enfants seront ruinées » (N°2 du gouvernement hongrois)
ETREBROADEL (09/01/2018) Dans un entretien accordé à la chaîne hongroise Echo TV, le Vice-Premier ministre hongrois Zsolt Semjen a fortement mis en garde contre le caractère « irréversible » des dégâts causés par l’immigration extra-européenne.
« La situation à propos de l’immigration est simple, si nous ratons, nous ne serons plus jamais capables de la redresser. Non seulement nos vies seront ruinées, mais la vie de nos enfants et de nos petits-enfants aussi » a déclaré le numéro deux du gouvernement de Viktor Orban.
Selon le président du Parti Chrétien-Démocrate, la « bureaucratie bruxelloise » veut construire les Etats-Unis d’Europe en détruisant ceux qu’elle considère comme les plus grands ennemis de « l’Empire Européen », les états-nations, et cherche des auxiliaires dans l’immigration extra-européenne, chez des migrants sans attaches nationales.
M. Semjen a ensuite affirmé que les principaux politiciens de Bruxelles mettaient en danger les citoyens européens, tandis qu’ils se présentent comme les « bons Samaritains qui acceptent les migrants », par opposition aux « mauvaises personnes » qui ne le font pas. Le Vice-Premier ministre a souligné que les futures générations souffriraient des conséquences de l’immigration.
« Que se passera-t-il ? Un jeune homme d’origine immigrée violera une adolescente allemande et le père de l’enfant l’abattra en retour. Des émeutes surviendront dans les ghettos de migrants, ils attaqueront un village et ses habitants se protégeront. Les banlieues brûleront de Malmö (en Suède, ndlr) à Marseille« a prédit le représentant du gouvernement hongrois.
M. Semjen a enfin souligné les efforts de la Hongrie en faveur des Chrétiens persécutés dans le monde musulman.
(Source : Voice of Europe)
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Immigration et pape François : où est passée la prudence traditionnelle de l’Église ?
Malgré quelques références à ses prédécesseurs, il est évident que le souverain pontife accorde à la question des migrations une importance beaucoup plus grande qu’ils ne le faisaient, et surtout qu’il abandonne la position équilibrée du Saint-Siège pour développer une conception très favorable à l’immigration.
Le Compendium de la doctrine sociale de l’Église n’évoquait les immigrés qu’à six reprises en 330 pages et ne consacrait, en fait, que deux courts paragraphes au problème, essentiellement sous l’angle du travail.
« L’émigration peut être une ressource, plutôt qu’un obstacle », résume la pensée. L’idée que l’immigration était une nécessité pour les régions les moins favorisées et qu’elle répondait à une offre de travail non satisfaite conduisait à la considérer comme un phénomène bénéfique, mais à réglementer dans un souci d’équilibre et d’équité, en excluant l’exploitation des travailleurs, en respectant les liens familiaux et en encourageant le maintien dans les zones d’origine, grâce à l’aide au développement.
Même si l’on pouvait formuler des critiques techniques sur l’offre de travail non satisfaite ou sur le regroupement familial, l’inspiration morale du texte était clairement évangélique et, par ailleurs, prudente. On retrouve ce même souci d’équilibre dans les déclarations de Benoît XVI qui, dans son encyclique Caritas in veritate, met en regard « la sauvegarde des droits et des exigences des personnes et des familles émigrées » et « ceux des sociétés où arrivent les immigrés ».
Benoît XVI est européen. Il est informé d’un certain nombre de comportements et des réactions qu’ils entraînent chez les chrétiens.
Le Pape François a abandonné cette prudence et cet équilibre. Il a multiplié les gestes symboliques depuis son premier voyage pontifical le 8 juillet 2013 à Lampedusa. Depuis quelques mois, les déclarations se succèdent. Le jour de l’Assomption, il signe un texte destiné à la 104e Journée mondiale des migrants et réfugiés et formule vingt et une propositions. Celles-ci sont, sans retenue, un appel en faveur d’une politique d’ouverture à l’immigration. Les visas doivent être facilités. Un système d’immigration, des corridors doivent permettre de légaliser l’immigration illégale. Il ne faut pas recourir aux expulsions « non adéquates ». Il faut éviter les détentions. Il faut accorder le maximum de droits, de libertés et d’aides aux immigrés, en matière de justice et d’accès au travail notamment. Il faut respecter leur identité culturelle, mais leur offrir une citoyenneté dissociée du travail et de la pratique de la langue… C’est-à-dire sans intégration ni même insertion, pour ne pas évoquer l’assimilation qui ne respecterait pas l’identité culturelle des nouveaux arrivants !
Sa cinquième proposition est inacceptable : « Toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale », autrement dit, la sécurité du migrant passe avant la sécurité de l’État qui accueille.
En novembre dernier, à l’occasion de la 5 1e Journée mondiale de prière pour la paix, le Saint-Père avait fixé quatre objectifs : accueillir, promouvoir, protéger, intégrer. Ce cadre s’accompagnait d’une critique de la suspicion dont témoigneraient les populations locales. Et il concluait en appelant les médias à démasquer les stéréotypes qui en seraient responsables.
Il est éprouvant, pour un catholique qui balance entre charité et responsabilité, de trouver dans les propos du pape non une source d’inspiration, mais exactement les mêmes arguments que ceux répandus par le mondialisme et la pensée unique. Le grand Autre n’est plus le prochain mais le lointain, sans souci du petit peuple. Les papes nous avaient habitués à plus de sagesse et à plus de lucidité.
Christian Vanneste
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Hexagone – La barre des 100 000 demandes d’asile franchie en 2017
La France a enregistré un peu plus de 100 000 demandes d’asile en 2017, un niveau “historique”, alors que le gouvernement prépare une loi sur l’immigration déjà à l’origine de débats animés.
“C’est un niveau historique”, a déclaré hier Pascal Brice, directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Il y avait moins de 20 000 demandes en 1981, année la plus ancienne pour laquelle l’Ofpra a fourni des données.
“Nous assistons à une augmentation exceptionnelle” de la demande d’asile, intervenant “alors même que la demande chute de près de moitié dans les pays européens”, a, de son côté, affirmé le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb.
Alors qu’un gros tiers des demandeurs ont obtenu le statut de réfugié l’an dernier, ces chiffres ne devraient pas manquer de nourrir le vif débat sur la politique migratoire, qu’Emmanuel Macron veut à la fois plus digne s’agissant de l’accueil des étrangers ayant obtenu l’asile et plus stricte dans les reconduites de déboutés.
Le sénateur Les Républicains (LR) Roger Karoutchi, rapporteur d’un récent rapport très critique sur l’intégration des réfugiés, a réagi en déplorant que l’asile soit “détourné en passoire pour l’immigration économique”. La présidente LR de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a, pour sa part, exhorté le gouvernement à publier chaque mois les chiffres mensuels des reconduites aux frontières.
“Nous avons éloigné 26 000 personnes l’an dernier, avec une hausse de 14 % des éloignements forcés” qui ont ainsi atteint “14 000 au cours des onze premiers mois de 2017”, a affirmé Gérard Collomb, assurant que “le but, demain, est de continuer à améliorer les conditions de retour, qu’il soit contraint ou volontaire”.
Un projet de loi sur l’asile et l’immigration, préparé par Gérard Collomb, doit être présenté dans les deux mois en conseil des ministres.
Face aux inquiétudes des associations de défense des étrangers et aux divisions de la majorité, le Premier ministre Édouard Philippe a promis en décembre une “consultation” avec des réunions cette semaine.
Les demandes d’asile ont augmenté de 17 % l’an dernier, atteignant 100 412 au total (dont 19 141 mineurs), après une progression de 6,5 % en 2016.
“Cela confirme que la France est dans les tout premiers pays de la demande d’asile en Europe”, a ajouté Pascal Brice, notamment derrière l’Allemagne qui s’attend à examiner près de 200 000 dossiers.
Toutefois, pour avoir une vision exhaustive, il faut ajouter à ces chiffres ceux des migrants n’ayant pas encore déposé leur dossier à l’Ofpra.
La première étape de la procédure se fait en effet en préfecture, qui examine si les personnes relèvent d’un autre pays européen où ils sont déjà enregistrés (au titre du règlement “Dublin”).
Dans une circulaire fin novembre, Gérard Collomb estimait qu’“aujourd’hui, près de 52 % des demandeurs” relevaient de cette procédure “Dublin”. Au nom de la “fermeté”, le ministre de l’Intérieur a annoncé avoir “doublé le nombre de transferts à 2 330” l’an dernier.
Le “taux d’accord”, qui permet aux demandeurs de devenir réfugiés, a fléchi, passant de 38 % en 2016 à 36 % l’an dernier.
Une baisse qui s’explique, selon Pascal Brice, par le fait que beaucoup de personnes venaient de pays où l’absence de conflit ou de persécution justifiait peu la demande d’asile.
L’an dernier, le premier pays d’origine a en effet été l’Albanie, avec 7 630 demandes (hors mineurs accompagnants), soit une hausse de 66 %. L’Albanie étant considéré comme “d’origine sûre”, l’Ofpra n’a accordé sa protection qu’à 6,5 % des demandeurs.
Viennent ensuite les Afghans avec 5 987 demandes (+6 %), les Haïtiens (stable à 4 934), puis les Soudanais (-24 % à 4 486), et les Guinéens qui ont été 3 780 à solliciter l’asile, soit un bond de 62 %.
On observe en effet une forte progression des ressortissants de pays d’Afrique de l’Ouest et francophone, notamment des Ivoiriens dont le nombre a plus que doublé (3 243) et des ressortissants de République démocratique du Congo (+15 %, à 2 941).
Malgré un taux de protection de 95 %, les Syriens ont en revanche été moins nombreux à solliciter l’asile, avec une baisse de 10 % à 3 249 demandes.
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mercredi, 10 janvier 2018
Viktor Orban : les migrants doivent être considérés comme des “envahisseurs musulmans”
Immigration. “Le multiculturalisme n’est qu’une illusion”, a répété le populaire Premier ministre hongrois, en tête des sondages, à quelques mois des élections.
Une nouvelle fois, Viktor Orban a redit son opposition à la politique européenne en faveur des migrants imposée par Bruxelles. « Je ne peux parler que pour le peuple hongrois et il ne veut aucune immigration », a répété le Premier ministre, dans une interview au journal allemand Bild, citée par Politico. « Selon moi, il est impossible pour le peuple d’avoir une opinion sur une question fondamentale et que le gouvernement ne s’y conforme pas. »
« Sociétés chrétienne et musulmane ne s’uniront jamais »
« Nous ne considérons pas ces gens comme des réfugiés musulmans. Nous les considérons comme des envahisseurs musulmans », a déclaré Orban au Bild. « Nous pensons qu’un grand nombre de musulmans conduit inévitablement à des sociétés parallèles, parce que sociétés chrétienne et musulmane ne s’uniront jamais », a poursuivi le leader, pour qui l’immigration menace l’identité de son pays. « Le multiculturalisme n’est qu’une illusion ».
Opposé à la chancelière Angela Merkel et à sa politique migratoire jugée laxiste, Viktor Orban a rappelé que la différence était que l’Allemagne « voulait des migrants et nous n’en voulions pas ». Budapest a dépensé plus d’un milliard d’euros depuis 2015 pour protéger ses frontières. « Je crois que 2018 sera l’année de la restauration de la volonté du peuple en Europe », avait déjà affirmé le Premier ministre hongrois, début janvier, accusant les dirigeants européens qui « ne font pas ce que le peuple veut qu’ils fassent ».
Les propos de Viktor Orban interviennent à quelques mois des élections générales hongroises, qui auront lieu en avril. Le Premier ministre très populaire et son parti conservateur, le Fidesz, sont d’ores et déjà en tête des sondages et donnés vainqueurs face à une opposition divisée et affaiblie. En 2016, un sondage du Pew Research Center indiquait que les Hongrois étaient le peuple européen le plus critique et hostile vis-à-vis des migrants
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Le Danemark ne veut plus d’immigrés et vote une loi en ce sens !...
Le journal «taz» rapporte que le gouvernement danois a décidé de mettre fin à ses engagements conclus depuis 1978,dans le cadre du programme de l’ONU en matière de réinstallation de migrants.
Le parlement danois a adopté une loi mettant fin à l’accueil des immigrés. Selon le journal « taz », seuls les partis d’opposition de gauche ont voté contre cette mesure.
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Quand des musulmans convertis demandent au pape François de dénoncer les méfaits de l' Islam et de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam....
Le 25 décembre 2017, fête de la nativité du Sauveur, des anciens musulmans convertis au catholicisme ont publié une lettre ouverte au pape François au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam et de l’accueil de migrants musulmans.
Elle se termine par une pétition que tout un chacun peut signer. C’est une lettre courageuse qui déplore l’angélisme du pape argentin envers l’islam dont ces ex-musulmans connaissent la dangerosité et qu’il considèrent un « Antichrist ».
« Voici ci-après le texte d’une Lettre ouverte au Pape François que vous pouvez signer. Nous la lui présenterons dès qu’elle aura atteint un nombre significatif de signataires. Merci de la faire connaître. A toute fin utile, nous rappelons que : « Selon le savoir, la compétence et le prestige dont jouissent les fidèles, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes. (Canon 212 § 3) » :
Des ex-musulmans devenus catholiques, et leurs amis,
à Sa Sainteté le pape François,
au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam.
Très Saint Père,
Plusieurs d’entre nous, à maintes reprises, et depuis plusieurs années, avons cherché à vous contacter, et nous n’avons jamais reçu le moindre accusé de réception de nos lettres ou demandes de rencontre. Vous n’aimez pas les mondanités, et nous non plus, aussi permettez-nous de vous dire très franchement que nous ne comprenons pas votre enseignement au sujet de l’islam, tel que nous le lisons par exemple dans les paragraphes 252 et 253 de Evangelii gaudium, parce qu’il ne rend pas compte du fait que l’islam venant APRÈS le Christ, est, et ne peut être qu’un Antichrist (Cf. 1 Jn 2.22), et l’un des plus dangereux qui soient du fait qu’il se présente comme l’accomplissement de la Révélation (dont Jésus n’aurait été qu’un prophète). Si l’islam est en lui-même une bonne religion, comme vous semblez l’enseigner, pourquoi sommes-nous devenus catholiques ? Vos propos ne remettent-ils pas en cause le bienfondé du choix que nous avons fait… au péril de notre vie ? L’islam prescrit le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.7-11), l’ignorez-vous ? Comment est-il possible de comparer la violence islamique et la prétendue violence chrétienne ?! « Quel rapport entre le Christ et Satan ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? (2 Co 6.14-17) » Conformément à Son enseignement (Lc 14.26), nous L’avons préféré, Lui, le Christ, à notre propre vie. Ne sommes-nous pas bien placés pour vous parler de l’islam ?
En réalité, du moment que l’islam veut que nous soyons son ennemi, nous le sommes, et toutes nos protestations d’amitié n’y pourront rien changer. En bon Antichrist, l’islam n’existe qu’en étant l’ennemi de tous : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) ». Pour le Coran, les chrétiens « ne sont qu’impureté (Coran 9.28) », « les pires de la Création (Coran 98.6) », tous condamnés à l’Enfer (Coran 4.48), aussi Allah doit-il les exterminer (Coran 9.30). Il ne faut pas se laisser abuser par les versets coraniques réputés tolérants, car ils ont tous été abrogés par le verset du Sabre (Coran 9.5). Alors que l’Évangile annonce la bonne nouvelle de Jésus mort et ressuscité pour le salut de tous, accomplissement de l’Alliance initiée dans le peuple hébreu, Allah n’a rien d’autre à proposer que la guerre et le meurtre des « infidèles » en échange de son paradis : « Ils combattent dans le chemin d’Allah, ils tuent et se font tuer. (Coran 9.111) ». Nous ne faisons pas d’amalgame entre islam et musulmans, mais si pour vous le « dialogue » est la voie de la paix, pour l’islam il est une autre façon de faire la guerre. Aussi, comme il l’a été face au nazisme et au communisme, l’angélisme face à l’islam est suicidaire et très dangereux. Comment parler de paix et cautionner l’islam, ainsi que vous semblez le faire : « Arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies (…) Que ceux qui sont chrétiens le fassent avec la Bible et que ceux qui sont musulmans le fassent avec le Coran. (Rome, 20 janvier 2014) » ? Que le Pape semble proposer le Coran comme voie de salut, n’est-ce pas inquiétant ? Devrions-nous retourner à l’islam ?
Nous vous supplions de ne pas chercher en l’islam un allié dans le combat que vous menez contre les puissances qui veulent dominer et asservir le monde, car ils sont tous en réalité dans une même logique totalitaire, fondée sur le rejet de la royauté du Christ (Lc 4.7). Nous savons que la Bête de l’Apocalypse cherchant à dévorer la Femme et son Enfant, a plusieurs têtes… Allah défend d’ailleurs de telles alliances (Coran 5.51) ! Et surtout, les prophètes ont toujours reproché à Israël sa volonté d’alliance avec les puissances étrangères, au détriment de la confiance absolue qu’il faut avoir en Dieu. Certes, la tentation est forte de penser que tenir un discours islamophile épargnera un surcroît de souffrances aux chrétiens en pays devenus musulmans, mais outre que Jésus ne nous a jamais indiqué d’autre chemin que celui de la Croix, en sorte que nous devons y trouver notre joie, et non la fuir avec tous les damnés, nous ne doutons pas que seule la proclamation de la Vérité apporte avec le salut, la liberté (Jn 8.32). Notre devoir est de rendre témoignage à la vérité « à temps et à contretemps (2 Tm 4.2) », et notre gloire est de pouvoir dire avec saint Paul : « Je n’ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. (1 Co 2.2) ».
Corrélativement au discours de Votre Sainteté sur l’islam, et alors même que le Président Erdogan, entre autres, demande à ses compatriotes de ne pas s’intégrer dans leurs pays hôtes, que l’Arabie Saoudite et toutes les pétromonarchies n’accueillent aucun réfugié, expressions parmi d’autres du projet de conquête et d’islamisation de l’Europe, officiellement proclamé par l’OCI et d’autres organisations islamiques depuis des décennies, Très saint Père, vous prêchez l’accueil des migrants sans tenir compte du fait qu’ils sont musulmans, alors que le commandement apostolique l’interdit : « Si quelqu’un vient à vous en refusant l’Évangile, ne le recevez pas chez vous. Quiconque le salue participe à ses œuvres mauvaises. (2 Jn 10-11) » ; « Si quelqu’un vous annonce un évangile différent, qu’il soit maudit ! (Ga 1.8-9) ».
De même que « J’ai eu faim et vous ne M’avez pas donné à manger. (Mt 25.42) » ne peut pas signifier que Jésus aurait aimé avoir été un parasite, de même « J’étais un étranger et vous M’avez accueilli. » ne peut pas signifier « J’étais un envahisseur et vous M’avez accueilli. », mais « J’ai eu besoin de votre hospitalité, pour un temps, et vous Me l’avez accordée ». Le mot ξένος (Xénos) dans le Nouveau Testament ne renvoie pas seulement au sens d’étranger mais à celui d’hôte (Rm 16.23 ; 1 Co 16.5-6 ; Col 4.10 ; 3 Jn 1.5). Et lorsque YHWH dans l’Ancien Testament commande de bien traiter les étrangers parce que les Hébreux ont eux-mêmes été étrangers en Égypte, c’est à la condition que l’étranger s’assimile si bien au peuple élu qu’il en prenne la religion et en pratique le culte… Jamais il n’est question d’accueillir un étranger qui garderait sa religion et ses coutumes ! Aussi, nous ne comprenons pas que vous plaidiez pour que les musulmans pratiquent leur culte en Europe. Le sens de l’Écriture ne doit pas être donné par les tenants du mondialisme, mais dans la fidélité à la Tradition. Le Bon Berger chasse le loup, il ne le fait pas entrer dans la bergerie.
Le discours pro-islam de Votre Sainteté nous conduit à déplorer que les musulmans ne soient pas invités à quitter l’islam, que nombre d’ex-musulmans, tel Magdi Allam, quittent l’Église, écœurés par sa lâcheté, blessés par des gestes équivoques, confondus du manque d’évangélisation, scandalisés par l’éloge fait à l’islam… Ainsi les âmes ignorantes sont-elles égarées, et les chrétiens ne se préparent pas à la confrontation avec l’islam, à laquelle les a appelés saint Jean Paul II (Ecclesia in Europa, n°57). N’avez-vous jamais entendu votre confrère Mgr Emile Nona, archevêque catholique chaldéen, exilé, de Mossoul, nous crier : « Nos souffrances actuelles sont le prélude de celles que vous, Européens et chrétiens occidentaux, allez souffrir dans un proche avenir. J’ai perdu mon diocèse. Le siège de mon archevêché et de mon apostolat a été occupé par des islamistes radicaux qui veulent que nous nous convertissions ou que nous mourrions. (…) Vous accueillez dans votre pays un nombre toujours croissant de musulmans. Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions fortes et courageuses (…). Vous pensez que tous les hommes sont égaux, mais l’Islam ne dit pas que tous les hommes sont égaux. (…) Si vous ne comprenez pas ceci très vite, vous allez devenir les victimes de l’ennemi que vous avez accueilli chez vous. (9 août 2014) ». C’est une question de vie ou de mort, et toute complaisance face à l’islam est une trahison. Nous ne voulons pas que l’Occident continue à s’islamiser, ni que votre action y contribue. Où irions-nous à nouveau chercher refuge ?
Permettez-nous de demander à Votre Sainteté de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam. Que reste-t-il en effet de l’Église là où l’islam s’est installé ? Si elle y a encore droit de cité, c’est en dhimmitude, à condition qu’elle n’évangélise pas, qu’elle doive donc se renier elle-même… Dans un souci de justice et de vérité, l’Église doit montrer au grand jour pourquoi les arguments avancés par l’islam pour blasphémer la foi chrétienne sont faux. Si l’Église a le courage de faire cela, nous ne doutons pas que par millions, des musulmans, et d’autres hommes et femmes cherchant le vrai Dieu, se convertiront. Comme vous l’avez rappelé : « Celui qui ne prie pas le Christ, prie le Diable. (14.03.13) ». Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leur vie au Christ (Cf. Coran 3.55).
Avec le plus profond amour pour le Christ qui, par vous, conduit Son Église, nous, chrétiens venus de l’islam, soutenus par nombre de nos frères dans la foi, notamment les chrétiens d’Orient, et par nos amis, nous demandons à Votre Sainteté de confirmer notre conversion à Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, seul Sauveur, par un discours franc et droit sur l’islam, et, Vous assurant de nos prières dans le cœur de l’Immaculée, nous sollicitons votre bénédiction apostolique.
Liste des noms des signataires et de leur courriel (Certainement que tous les ex-musulmans ne signeront pas cette lettre par crainte de représailles possibles…). »
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Des leaders musulmans ont appelé à voter Juppé contre Fillon à la primaire de la droite
Communautarisme. Des responsables musulmans des Yvelines ont fait passer leurs consignes par texto, en 2016.
Des leaders musulmans des Yvelines ont appelé à voter pour Alain Juppé contre son rival François Fillon à la primaire de la droite et du centre à la présidentielle, en 2016, affirment dans une interview à l’Obs les journalistes du Monde Ariane Chemin et Raphaëlle Bacqué, auteurs du livre « La Communauté », consacré à la ville « formidablement romanesque » (sic) de Trappes. L’entretien à l'hebdomadaire, paru jeudi, est intitulé : « Du communisme au communautarisme ».
Interrogée aussi à propos de « l’islamisation » de la ville, Raphaëlle Bacqué explique que « le maire communiste, attendant des instructions du Parti qui ne sont jamais venues, a fait traîner les négociations. Mais en 2001, juste avant les élections municipales, un rival socialiste, Guy Malandain, chevènementiste et laïc convaincu, a conclu un accord d’opportunité avec l’Union des musulmans de Trappes. La vieille génération ne voulait « surtout pas se mêler de politique ». »
Ingénieur proche des Frères musulmans, « Jaouad Alkhaliki, lui, a encouragé ses troupes à s’inscrire sur les listes électorales. Pour que le message soit compris, des centaines de personnes ont fait la queue sous les fenêtres du maire communiste. Il a été battu de 238 voix. « Malandain a échangé son élection contre une mosquée », ont protesté ses détracteurs », ajoute-t-elle.
En septembre 2016, Valeurs actuelles révélait le contenu d’un rapport judiciaire explosif, confié au ministre de la Justice et consacré à Trappes, la ville de Benoît Hamon gangrénée par le communautarisme et l’islamisme. Aux municipales, la « répartition des voix démontre la présence d’un vote communautariste indépendant des clivages politiques généraux », soulignait notamment le rapport.
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