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mercredi, 24 janvier 2018

“Je ne me vois pas remettre les pieds à la prison” : une surveillante agressée témoigne

Carole, surveillante, est la victime de l’agression qui s’est déroulée mardi 16 janvier au centre de détention de Tarascon (Bouches-du-Rhône) :

Source et Video

Robert Ménard : "Stopper au maximum l’arrivée de nouveaux migrants, favoriser leur intégration, expulser tous ceux qui sont en situation irrégulière"

Comme Philippe de Villiers l'a expliqué en évoquant le Grand remplacement sur BFM TV, Robert Ménard estime également qu'Emmanuel Macron devra relever le défi de l'immigration-invasion s'il veut satisfaire réellement les Français. Extraits de son interview :

On vous sent parfois comme indulgent à l’égard d’Emmanuel Macron

(...) Je ne suis pas de ceux qui pratiquent la politique du pire. Peut-être, aussi, que notre petite expérience du pouvoir à Béziers (...) me conduit à davantage prendre en compte le poids du réel, des contraintes. Mais, surtout, je juge sur pièces. Et, pour l’instant, c’est plus encore pour ce qui n’est pas fait par Emmanuel Macron que je serai critique. En clair, si j’approuve sa politique, par exemple, dans le domaine de l’école, je ne peux que constater son silence sur tout ce qui touche à la crise d’identité que vit notre pays. Or, cette question est au cœur de l’immense malaise de ceux que je rencontre tous les jours. Un pays qui doute de lui-même aura le plus grand mal à se ressaisir, à mettre en œuvre les mesures qui s’imposent pourtant. Comment demander toujours plus d’efforts à ceux qui n’ont presque rien quand on continue à ouvrir nos frontières à ceux-là mêmes qui viennent les concurrencer sur le marché du travail ou leur imposer des modes de vie étrangers à tout ce qu’ils sont ?

Le ministre de l’Intérieur fait preuve, pourtant, d’un certain courage face aux associations pro-migrants…

Si vous me demandez de choisir entre Gérard Collomb et la CIMADE, je n’hésiterai pas, vous vous en doutez. Reste à savoir sur quoi débouchera, concrètement, le projet de loi sur l’immigration. Ce sera un vrai test pour le gouvernement de monsieur Macron. On rentre dans le dur. Aura-t-il le courage de faire les choix que – faut-il le rappeler – l’immense majorité des Français soutiennent : une baisse draconienne de l’immigration, la fin des avantages accordés aux clandestins en matière d’accession aux soins, l’accueil des véritables réfugiés politiques mais l’expulsion des déboutés du droit d’asile, etc. L’immigration régulière explose et a battu tous les records en 2017 : 262.000 migrants sont arrivés en France. Avec sa conséquence immédiate : 70 millions d’euros de plus votés au budget pour l’AME, l’aide médicale d’État. Le « en même temps » ne peut pas fonctionner face à ce qui est vécu comme une menace pour l’ADN de notre pays. On ne peut pas, éternellement, éluder la question de flux migratoires sans précédent. Qui plus est quand ces migrants sont porteurs d’une culture, d’un mode de vie si différents des nôtres et auxquels un grand nombre d’entre eux ne veulent pas renoncer, refusant du coup toute idée d’intégration et, encore moins, d’assimilation.

L’islam serait donc incompatible avec nos valeurs républicaines ?

Quand, sondage après sondage, il ressort que bon nombre de personnes issues de l’immigration – dont certaines appartiennent à la troisième, voire à la quatrième génération installée en France ! – déclarent donner la priorité aux enseignements de l’islam sur les valeurs de notre pays qui, sur le papier, est le leur, on est en droit de s’interroger. Il ne s’agit pas de montrer du doigt tous les musulmans mais de poser les questions qui fâchent. Comment en est-on arrivé là ? Suffit-il de mettre en cause l’école ? La pauvreté, le chômage qui frappent particulièrement cette population sont-ils les seules explications ? L’islam est-il une religion comme les autres ? Entretient-il le même rapport avec le pouvoir politique ? Ces quelques questions – et il y en a bien d’autres – suffisent à battre en brèche les poncifs qu’on nous sert à longueur de journée dans la plupart des médias ou des discours à l’Assemblée nationale.

Mais alors, comment s’y prendre ?

En adoptant cette méthode conservatrice que j’essaie de brosser au fil des semaines dans ces interviews. Partir de l’expérience vécue, faire preuve de bon sens, trier entre ce que nous voulons conserver et les changements nécessaires. La très grande majorité des musulmans de France sont français, et donc appelés à y rester. Il n’y aura pas de grands départs à destination de leurs pays d’origine. Il nous faut, en revanche, réduire à leur plus simple expression les regroupements familiaux qui ne font qu’accentuer le poids de cette immigration de peuplement (...)

Mais tout cela ne va pas changer la donne… 

Stopper au maximum l’arrivée de nouveaux migrants, tout faire pour favoriser leur intégration, expulser tous ceux qui sont en situation irrégulière : vous avez un autre programme ? Je n’en ai pas d’autre. Ce qui ne veut pas dire qu’en attendant qu’un gouvernement prenne les mesures qui s’imposent, nous restions les bras croisés. Si nous voulons faire en sorte que de plus en plus de musulmans sortent des griffes des plus extrémistes d’entre eux, il nous faut encourager ceux qui choisissent le camp de la France. Je le constate tous les jours, dans les quartiers où se concentrent la majorité des populations d’origine immigrée : c’est malheureusement les plus radicaux qui font la loi, qui n’hésitent pas à menacer leurs coreligionnaires qui dialoguent avec des élus comme moi. Il nous faut être aux côtés de ces derniers. Dans ce domaine, il nous faut faire preuve de pragmatisme. Tout le reste n’est que rhétorique et fanfaronnades (...)

Source

Le grand remplacement pour les nuls comme Renaud Dély, de Marianne

Le grand remplacement pour les nuls comme Renaud Dély, de Marianne

Surdité et aveuglement sont des tares journalistiques persistantes. A croire que nos scribouillards subventionnés en sont tous pourvus dès la naissance. A cela s’ajoute une consanguinité désastreuse avec le pouvoir.

Renaud Dély, rédac’chef de Marianne, n’échappe pas à la règle.

Il ne voit rien, il n’entend rien mais, cependant, il cause.

Pour dire ceci :

« […] aux yeux d’une frange de l’opinion chauffée à blanc par l’hystérie identitaire ambiante, le migrant fait figure d’épouvantail, d’apprenti terroriste, voire de séide d’une « cinquième colonne » décidée à mettre en œuvre le complot du « grand remplacement » fantasmé par l’extrême droite ».

Mme Lauwaert, vous ne retrouvez plus le Bruxelles de votre enfance ? Molenbeek transformée en souk oriental ? Pure vue de l’esprit allons !

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/18/bruxelles-tra...

Mme Tasin, lorsque vous êtes convoquée une énième fois au nouveau palais de justice, porte de Clichy, vous trouvez le quartier tout pourri rempli d’une faune cosmopolite ? De l’ouverture d’esprit que diable !

http://resistancerepublicaine.eu/2017/08/14/jai-recu-une-...

M Kempenich, vous vous plaigniez de ne plus pouvoir cuisiner un petit salé parce que votre boucher habituel, avenue Jean Lolive à Pantin, a rendu son tablier ? Essayez le tajine à la boucherie Djurdjura, la pizza halal, le traiteur asiatique pas haram ou le kebab Anadolu d’à côté. Un peu plus loin, n’oubliez pas d’aller vous coiffer chez Fethi à Oran coiffure.

 Non, non, vraiment, le grand remplacement n’existe que dans les fantasmes des patriotes au cœur sec refusant l’hospitalité aux miséreux du monde entier.

Mais qui est ce Renaud Dély qui ne vit pas sur la même planète que nous ?

Ancien élève du Centre de formation des journalistes de Paris (où 100% des étudiants votent à gauche ou à l’extrême gauche), il entre successivement à Libération, au Parisien, à Marianne, France Inter, au Nouvel Observateur (sous l’autorité de Laurent Joffrin-Mouchard) et devient, enfin, directeur de la rédaction de Marianne en juin 2016.

Il a pondu également un rapport, ne riez pas, sur « la situation de la presse en France, son financement et les conditions de son indépendance » pour Terra Nova, le laboratoire d’idées du PS, qui avait conseillé de caresser dans le sens du poil les immigrés, considérant que les ouvriers français étaient trop attirés par le FN pour que le PS perde son temps avec eux.

Et pour finir, il coanime l’émission 28 minutes sur Arte avec Élisabeth Quin et Nadia Daam (celle qui traite Elizabeth Lévy d’alcoolique).

Lors de son lancement en 1997 par Jean-François Kahn et Maurice Szafran, Marianne, par son indépendance d’esprit, détonnait dans le milieu de la presse hebdomadaire. Puis JFK parti, le journal part progressivement à vau-l’eau.

Tandis que les ventes de Valeurs Actuelles, à l’idéologie opposée, explosent, Marianne périclite.

Depuis 2011, l’hebdomadaire épouse désormais une ligne éditoriale bien ancrée à gauche, ce qui ne l’empêche pas d’être déclarée en cessation de paiement en 2017, ceci expliquant peut-être cela. C’est le 49e média le plus subventionné de France.

http://www.lefigaro.fr/medias/2017/01/03/20004-20170103AR...

http://www.actufinance.fr/actu/aides-journaux-subventions...

« De toute la presse « mainstream », Marianne est le seul magazine à sonder à intervalles réguliers sa rédaction. Le prétexte en est la présidentielle. En avril 2012, la rédaction votait avant tout le monde, espérant montrer la voie au bon peuple. Sans surprise, François Hollande arrivait en tête avec 40% des suffrages, talonné par Jean-Luc Mélenchon totalisant 31,7%. Ex æquo, François Bayrou et Nicolas Dupont-Aignan plafonnaient à 8,3%. Ex æquo, Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen l’étaient eux aussi, avec… aucun suffrage » (Observatoire du journalisme).

« N’est-il pas étonnant au sein d’une démocratie, que 6% seulement des journalistes osent se déclarer électeurs de droite, quand on estime qu’au moins 50% des Français votent ainsi ? Ou que 87% des journalistes s’affirment favorables à la régularisation automatique de tous les “sans-papiers” ? Il faudrait être quelque peu naïf, après cela, pour s’étonner du fossé, abyssal, qui se creuse entre la caste journalistique et la population. » remarquait alors Philippe Cohen, au vu des résultats de ce sondage.

Jean-François Kahn, lucide, expliquait ainsi cette dérive :

« Les journalistes, dans leur immense majorité issus qu’ils sont du même milieu, formés à la même école, fréquentant les mêmes espaces, porteurs des mêmes valeurs, imprégnés du même discours, façonnés par la même idéologie, structurés par les mêmes références, ayant souvent connu la même évolution ou le même cursus, finissent pas penser presque tous pareils ».

Et l’Observatoire du journalisme de conclure : « C’est bien leur droit et, bien qu’il soit regrettable, personne ne leur reproche cet élitiste mimétisme de caste. En revanche, nous avons le droit de savoir d’où ils parlent, au nom de qui et de quoi. C’est bien le minimum en terme de droit à l’information ».

N’est-ce pas M Renaud Dély ?

« Notre opinion » par Renaud Dély, Marianne n°1088 (19 au 25 janvier 2018)
 

Macron mène une politique immigrationniste folle à la Merkel

Macron mène une politique immigrationniste folle à la Merkel

Un article du Figaro intéressant, pour contre-balancer l’hystérie des gauchos, les faux procès qu’ils font mais aussi et surtout, démasquer les pervers Macron-Collomb qui font croire, grâce aux gauchos ( belle entente…) qu’ils seraient décidés à mettre un frein à l’immigration.

La réalité est qu’ils élargissent les possibilités d’accueil des étrangers, qu’ils accélèrent les procédures d’examen des demandes d’asile, et qu’ils ne limitent en rien l’immigration. Au contraire.

Il est évident que les avantages accordés aux immigrés, légaux ou pas, vont servir d’appel d’air.

Titre de séjour de 4 ans au lieu d’un

Regroupement familial offert et encouragé à la famille des mineurs étrangers, ascendants plus frères et soeurs… Quand on sait le nombre d’enfants des familles africaines, sans parler des polygames, il y a vraiment le feu au lac.  Et quand on sait que les prétendus mineurs sont très nombreux à avoir 25 ans, voire 50… Il y a le feu au lac.

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/09/les-familles-...

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/19/orleans-les-f...

Medias et politiques s’entendent comme larrons en foire pour présenter l’immigration illégale comme incompressible, incontrôlable, « aussi naturelle que les tempêtes » dit Michèle Tribalat. L’image est judicieusement choisie.

L’immigration, un phénomène naturel ? L’immigration, un phénomène ingérable, subi ? C’est ce que Macron et les medias veulent nous faire croire. Pendant ce temps, le Grand Remplacement est en marche. Tribalalt avance sur des oeufs quant à ce concept qu’elle n’utilise pas, malgré sa lucidité. Sans doute veut-elle se laisser quelques portes ouvertes dans les medias officiels.

Loi sur l’immigration : le grand décryptage de la démographe Michèle Tribalat

Michèle Tribalat a mené des recherches sur les questions de l’immigration en France, entendue au sens large, et aux problèmes liés à l’intégration et à l’assimilation des immigrés et de leurs enfants. Elle est notamment l’auteur de Statistiques ethniques, une querelle bien française (éd. L’Artilleur, 2016).


FIGAROVOX.- La politique d’immigration d’Emmanuel Macron a suscité la colère d’une partie de la gauche. On se souvient notamment de la une du Nouvel Obs avec des barbelés, et ce titre: «Bienvenue au pays des droits de l’homme». De nombreux politiques accusent Macron de mener une politique plus sévère que celle de Nicolas Sarkozy. Est-ce vraiment le cas?

 

Michèle TRIBALAT.- La comparaison pourra vraiment être faite lorsqu’on connaîtra le texte de loi. Il y a beaucoup d’excitation pour un texte qui n’est pas encore complètement fini, et dont on ne connaît que certaines orientations grâce au document présenté aux associations.

Deux sujets ont retenu l’attention médiatique, la réforme de l’asile pour accélérer les procédures et les mesures envisagées pour «resserrer les boulons» dans les procédures d’éloignement. D’ailleurs, ce deuxième volet est bizarrement titré «Renforcer l’efficacité et la crédibilité de la lutte contre l’immigration irrégulière». Il faudrait plutôt parler de séjour irrégulier. Le gouvernement cherche à faire un peu mieux pour expulser ceux qui sont déjà sur le territoire sans en avoir le droit. Quant à l’accélération des procédures d’asile, on ne peut à la fois se plaindre de leur lenteur et se lamenter sur la tentative de faire plus vite. Plus elles traînent, plus le séjour des demandeurs d’asile se prolonge et plus les lieux d’accueil sont engorgés. C’est d’autant plus vrai que leur nombre a fortement augmenté. Le projet prévoit d’ailleurs la création de 7 500 places d’accueil supplémentaire en 2018-2019.

On voit bien comment les deux volets s’articulent. La demande d’asile, au-delà de sa vocation traditionnelle, est devenue le moyen de tenter de régulariser sa situation quand on n’a aucun autre motif à faire valoir. C’est un peu la solution de la dernière chance pour obtenir un statut. Dans l’esprit du gouvernement, il faut donc que ces procédures ne traînent pas si l’on veut qu’elles soient suivies, en cas d’échec, d’une procédure d’éloignement qui ait un peu plus de chances d’être exécutée.

Macron s’inscrit-il dans la continuité de ses prédécesseurs ou peut-on parler de rupture?

En dehors de ces deux volets motivés par le développement de l’immigration irrégulière ces dernières années – filtrage par la procédure d’asile et éloignements des déboutés – rien, dans le projet, n’indique une volonté de limiter l’immigration étrangère en France, comme c’était le cas de Nicolas Sarkozy par exemple. Certaines dispositions, présentées dans la partie intitulée «Améliorer les conditions d’accueil et d’intégration des étrangers en situation régulière» ou dans celle traitant de la protection humanitaire, élargissent, au contraire, le champ des possibilités.

Pour la première, ces ouvertures se font en direction des plus qualifiés avec une extension du passeport-talent et une transposition de la directive «étudiants-chercheurs» (qui devait de toute façon se faire) en vue de faciliter leur installation en France. Pour la seconde, il s’agit, par exemple, de substituer un premier titre de séjour de quatre ans à un titre d’un an pour les étrangers qui bénéficient d’une protection subsidiaire ou qui sont apatrides, et détendre le regroupement familial auprès des réfugiés mineurs, au-delà des ascendants directs, aux frères et sœurs. Cette dernière mesure, quand on sait le développement exponentiel des arrivées spontanées de mineurs (qui ne sont d’ailleurs pas tous mineurs et sont plutôt des garçons proches de leur majorité) en Europe ces dernières années, recèle un potentiel d’entrées non négligeable. Elle crédibilise le projet de familles qui envoient leur grand garçon, en éclaireur, essayer de trouver un avenir meilleur en Europe.

Le débat sur l’immigration se focalise sur la question des réfugiés. Doit-il se limiter à cela?

Le débat se focalise, comme toujours, sur ce qui apparaît le plus pressant et ce sont les arrivées irrégulières massives en Europe d’un grand nombre d’étrangers en 2015-2016 qui ont absorbé toute l’attention des médias.

Pour beaucoup, le nombre de personnes en situation irrégulière sur le territoire est incompressible. Est-ce vraiment le cas?

On ne sait évidemment pas combien d’étrangers sont actuellement en situation irrégulière en France, mais il se trouve donc des gens pour juger leur nombre «incompressible»! Je suppose que ce que l’on entend par là c’est qu’on ne peut rien contre les décisions prises ailleurs de venir en France, et plus largement en Europe. Comme on ne peut (veut?) pas renvoyer ces étrangers, on doit faire avec. C’est une manière de naturaliser l’immigration. Cette dernière serait un phénomène naturel au même titre que les tempêtes qui viennent de toucher le nord de l’Europe. L’immigration est absolument dépolitisée, au vrai sens du terme, et non au sens politicien des prises de bec sur les plateaux de télévision.

La question de l’immigration régulière est éludée. Pourtant, elle augmente ces dernières années… Comment expliquez-vous cette progression? Est-ce lié au regroupement familial?

On ne retient généralement que les deux dernières années pour commenter l’évolution de l’immigration étrangère en France et on en parle dans la presse lorsque le ministère de l’Intérieur met en ligne, en janvier, son estimation des nouveaux premiers titres de séjour délivrés aux étrangers en provenance de pays tiers (à l’Espace économique européen et à la Suisse) dans l’année qui vient de se terminer.

Le nombre de premiers titres délivrés augmente, quasiment sans interruption depuis 1997.

Or, si l’on suit ces données depuis suffisamment longtemps, on se rend compte que le nombre de premiers titres délivrés augmente, quasiment sans interruption, depuis le début de la série rendue publique par le ministère de l’Intérieur. En vingt ans, de 1997 à 2017, ce nombre est passé d’un peu moins de 120 000 à un peu plus de 260 000. En un an, un peu plus de 30 000 titres supplémentaires ont été délivrés, principalement pour raison humanitaire (asile…), pour motif économique et pour des venues d’étudiants. Les estimations de l’Insee sur une période plus courte (2006-2015), montrent aussi une augmentation des entrées d’immigrés en France.

Lire l’ensemble de l’article ici :

 http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/01/19/31003-20180...

Source

 

Les Français et les autruches

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La règle est simple : si vous ne voulez pas vous battre, vous perdez la guerre ! Et vous aurez beau avoir l’armée la plus nombreuse, les armes les plus modernes et la logistique la plus performante, vous êtes vaincus. Au Vietnam, les Américains ne voulaient pas mourir. Ils avaient mille fois le potentiel des Viets, des avions, des armes et des tas de gadgets déjà électronique, ils furent défaits. Eh bien, aujourd’hui, c’est pareil mais à une échelle plus subtile.


La semaine dernière, nos gouvernants n’ont pas voulu affronter les zadistes qui occupent depuis des années la zone de Notre-Dame des Landes. Ils ont renoncé à y construire un aéroport, c’était peut-être une excellente décision, mais les motivations étaient celles de vaincus : ils n’osaient pas affronter les résistants à ce projet ! Ils l’ont d’ailleurs avoué.
Des centaines de milliers de clandestins migrent vers notre continent. Nous ne pouvons les accueillir, c’est évident. Que fait-on ? On tergiverse, évoque les « droits de l’homme », discute entre Européens des nuits entières à Bruxelles et, au final, ce sont des mesurettes, soigneusement dosées qui ne sont même pas mises en application. Pas étonnant, dès lors, que l’Afrique et le Moyen-Orient, se déverse chez nous qui n’en pouvons plus.
Dans notre pays et un peu partout en Europe il y a des quartiers qui sont des zones où la loi commune n’a plus cours. Des quartiers où l’on ne vend plus d’alcool, où les femmes restent à la maison quand, voilées, elles ne rasent pas les murs. Une police privée s’assure que les habitants respectent le Ramadan. Quand la police intervient, elle est caillassée, les pompiers aussi, les médecins n’y vont plus. Territoires  sous contrôle de fait d’une coterie décidée à faire respecter sa loi à l’exclusion de toute autre.
Et que fait-on ? Rien ! Et si un journaliste hors du lot filme un reportage sur ces cités « perdues », il est traité de tous les noms et soupçonné de véhiculer une idéologie « nauséabonde » digne de temps révolus. N’est-ce pas Bernard de la Villardière ?
Dans ces conditions, pas besoin d’être devin pour prédire que nos jours, à nous citoyens qui respectons la loi et pensons que toute déviance doit être sanctionnée, sont comptés.
Et est-ce la violer que de dire et écrire que le temps est venu de prendre nos responsabilités ? Quand des pans entiers du territoire sont laissés en déshérence et à la merci de types qui ne connaissent qu’une loi, la leur, n’avons-nous pas le devoir moral de nous substituer à l’État et son autorité vacillante ?
Encore faut-il que nous le voulions.
Michel Houellebecq a décrit dans son livre « Soumission » (Flammarion) comment s’opère cette capitulation. Un peuple fatigué, est prêt à tout pour préserver un minimum de son son confort et ses illusions. Quelle erreur, la même que celle des Romains face aux invasions, et des Byzantins alors que le Turc campait sous leurs murs. Ils n’ont pas résisté et furent rayés de la carte.
La télévision nous entretient aujourd’hui de la disparition d’un grand chef cuisiner dont la vie est emblématique de cet hédonisme dont nous faisons nos choux gras.
Tremblons que le dessert soit amer …

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« On cache les choses pour ne pas affoler les gens » : pour les gardiens de la prison de Borgo confrontés aux islamistes

Lu dans L’Express :

Le syndicat FO pénitentiaire contredit la version officielle: l’attaque au couteau commise vendredi par un détenu contre deux surveillants revêt un caractère terroriste. L’agresseur aurait crié « Allah Akbar ».

En une semaine, les agressions de détenus contre des surveillants se sont multipliées dans les prisons de France. Sans pour autant que les motivations et les profils des auteurs se ressemblent. A Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais), la justice a estimé qu’il s’agissait d’un acte terroriste, commis par un détenu armé et déjà condamné pour terrorisme. A Mont-de-Marsan (Landes) et Tarascon (Bouches-du-Rhône), à l’inverse, les agressions ont été qualifiées d’infractions de droit commun: les auteurs étaient « seulement » suivis pour radicalisation, ils ont agi à mains nus et ils cherchaient à obtenir un transfert vers un autre centre de détention.

L’attaque vendredi à la prison de Borgo (Haute-Corse) fait beaucoup plus débat. Âgé de 28 ans, Morad A. a agressé au couteau deux gardiens, blessant grièvement l’un à la gorge et l’autre plus légèrement. Cet homme signalé pour radicalisation s’est ensuite retranché dans une cellule et a été interpellé en compagnie de trois autres détenus, possiblement des complices. Tous les quatre sont toujours en garde à vue ce samedi. 

« On essaye de cacher les choses pour ne pas affoler les gens » Lire la suite dans L’Express.

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Dix ans de prison pour avoir projeté un attentat contre des militaires à Toulon

TERRORISME - Il avait commandé des cagoules et des armes: Hakim Marnissi, 27 ans, a été condamné lundi 22 janvier à Paris à dix ans d'emprisonnement pour avoir projeté d'attaquer des militaires à Toulon en 2015, ses dénégations n'ayant pas convaincu les juges.

 Le tribunal correctionnel, qui jugeait le jeune Toulonnais pour association de malfaiteurs à visée terroriste, a assorti la peine -la plus lourde prévue par la loi- d'une période de sûreté de moitié, et ordonné son maintien en détention. Les juges ont estimé avoir "suffisamment d'éléments" pour caractériser son "projet de commettre un attentat".
 

À mille lieues du jihad

Il y a encore quelques années, Hakim Marnissi, à mille lieues du jihad, travaillait dans la mode, postait des photos de mannequins sur Facebook et sortait avec des filles.

 

Puis survinrent une rupture amoureuse et une période de chômage, a-t-il raconté au tribunal: "J'ai commencé à m'isoler, je passais mes journées sur ordinateur". En 2013, lui dont les parents n'étaient pas pratiquants avait commencé à fréquenter la mosquée.

 

C'est là qu'il a rencontré Mustapha Mokeddem, un jeune homme aux idées radicales -"les gens l'appelaient Al-Qaïda"- qui venait de passer plusieurs mois en prison pour avoir proféré de violentes menaces contre Charlie Hebdo et acheté des couteaux pour "égorger" ses dessinateurs.

"Comme sous l'emprise d'une secte"

Au contact de Mokeddem, Marnissi s'est radicalisé à la vitesse de l'éclair. Comme sous l'emprise d'une "secte" ou d'un "gourou", "on se retrouve dans un engrenage", a expliqué le prévenu, chemise rayée, barbe et cheveux noués. En 2014, Mokeddem lui avait parlé de la création d'un "État islamique" et l'avait convaincu d'y partir. Marnissi avait tenté à deux reprises, sans succès. Mokkedem, lui, avait fini par s'installer en Syrie fin 2014.

Désormais dans le radar des renseignements français, interdit de quitter le territoire, Hakim Marnissi avait fini, en juillet 2015, par être mis à la porte de chez lui par sa mère, qui ne supportait plus son prosélytisme.

En octobre, le foyer où il s'était installé avait appelé la police après avoir reçu deux colis ouverts. L'un contenait des cagoules, l'autre un couteau avec une lame de 10 centimètres. D'autres paquets contenant des lames en forme de clés ou un gilet tactique étaient arrivés ultérieurement. Il avait été arrêté le 29 octobre 2015.

Faute de Syrie, "mourir en martyr" à Toulon

En garde à vue, il avait expliqué qu'à défaut de pouvoir rallier la Syrie, il avait été incité par Mokeddem à passer à l'action en France, contre l'arsenal de Toulon, premier port militaire de Méditerranée, en attaquant des militaires "au couteau" pour "mourir en martyr".

Il est revenu lundi sur ces propos, affirmant avoir été "piégé par les policiers" alors qu'il était en garde à vue sans défenseur, en pleine grève des avocats. Selon lui, les cagoules étaient destinées à pratiquer l'airsoft (un jeu utilisant des répliques d'armes de guerre), les lames à être revendues.

"Idéaliste de faire un attentat là-bas"

"Il n'y avait aucun projet de passer à l'acte", a-t-il déclaré. Mokeddem avait évoqué une attaque contre l'arsenal "sur le ton de la rigolade", a-t-il assuré, "c'était complètement superflu, idéaliste de faire un attentat là-bas".

Nier tout projet d'attaque "démontre une absence d'évolution", lui a lancé la présidente du tribunal. Le procureur, qui avait requis dix ans avec période de sûreté des deux tiers, avait dénoncé "une réflexion autocentrée, sans aucune condamnation de ce qu'est l'État islamique".

Son avocat, maître Xavier Nogueras, avait mis en garde le tribunal contre cette peine "couperet" et insisté sur "la force de sa famille, qui fait corps autour de lui". Mustapha Mokeddem, âgé de 23 ans, reste quant à lui visé par un mandat d'arrêt. Les enquêteurs ont établi un lien entre cet homme et la cellule islamiste démantelée de Cannes-Torcy.

Source

Aux Pays-Bas, l'extrême droite manifeste contre la "discrimination" à l'égard des Hollandais

PAYS-BAS - Le leader de l'extrême droite hollandaise Geert Wilders, à la tête du Parti pour la liberté (PVV), a manifesté dimanche 21 janvier à Rotterdam contre "l'islamisation" des Pays-Bas et les "discriminations faites contre les habitants hollandais ordinaires" rapporte l'AFP.

Au cours de la manifestation, qui a eu lieu deux mois avant les élections gouvernementales aux Pays-Bas, ce dernier a notamment déclaré: "Nous vivons ici, pas au Maroc, nous ne vivons pas en Turquie ou en Arabie Saoudite, mais à Rotterdam, aux Pays-Bas" rapporte l'agence de presse française. "Ici ce sont nos règles qui comptent. Je veux vous dire que les Pays-Bas ne sont pas un pays islamiste", a continué Geert Wilders.

Un évènement qui n'a pas mobilisé grand monde, comme le montre cette image publiée sur Twitter:

"Comme prévu, la manifestation "Le Pays-Bas est nôtre" de Geert Wilders à Rotterdam est échec. Au mieux quelques 600 à 700 personnes, dont au moins 100 "importées" de Belgique, dans le cadre de la délégation du VP (Vlaams Belang, parti d'extrême droite flamand, ndlr) de Filip Dewinter."

Le leader du parti d'extrême droite est connu pour ses propos controversés contre la communauté marocaine des Pays-Bas. Au cours de la campagne législative de 2017, qui a vu son parti, pourtant favori, arriver en troisième place du scrutin, le responsable politique a multiplié les propos polémiques évoquant, entre autres, la "racaille marocaine", lors d'un meeting.

En décembre 2016, il a été reconnu coupable de discrimination pour avoir promis "moins de Marocains" lors d'un discours prononcé à La Haye en 2014. Ce dernier a depuis fait appel de cette décision comme le rappelle l'AFP. Il avait également promis de "désislamiser" les Pays-Bas si son parti remportait les élections.

Source et Document

mardi, 23 janvier 2018

Laurenzana : même la gauche populaire ne veut pas des migrants !

Laurenzana, berceau de la duchesse Aurora Sanseverino (1669-1726), est une commune de moins de 2.000 habitants située dans la région de Basilicate, province de Potence (Potenza), dans le sud de l’Italie. Bastion électoral de la gauche – le score de celle-ci atteignant parfois les 75 % – il n’y a même pas de section locale de la Ligue du Nord ou du parti de Silvio Berlusconi. Laurenzana est par ailleurs une ville désertifiée par l’exode rural et l’émigration, sa population étant passée de 7600 habitants en 1870 à 3500 au sorti de la Première Guerre Mondiale. Remontée à 4500 habitants sous le fascisme, elle comptait encore 3000 habitants en 1981 avant de tomber sous la barre des 2000.

L’information a été donnée par le quotidien internet de droite Secolo d’Italia dans son édition du 15 janvier : le maire de Laurenzana Michele Ungaro, membre du Parti Démocrate (gauche) élu toutefois sur une liste citoyenne, a proposé un référendum pour demander aux habitants s’ils étaient favorables à l’accueil de migrant sur leur territoire.

Il avait contre lui le préfet, Giovanna Stefania Cagliostro, qui avait interdit la consultation, comme dans toute bonne « démocratie » modèle référendum danois 1992. Il avait aussi contre lui l’évêque de Potence, Mgr Salvatore Ligorio, qui a demandé à accueillir les migrants sans réserve, et même contre lui les élus de Laurenzana, qui ont fait campagne pour le oui.

Le résultat final : plus de 80% des votants ont clairement exprimé leur opposition à l’arrivée de migrants dans la petite commune italienne (413 votants, 341 non, 59 oui)… Comme quoi, il peut aussi y avoir un patriotisme de gauche. Jaurès ne disait-il pas que la patrie était le bien des pauvres ?

Hristo XIEP

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Turcs et Kurdes s’affrontent violemment à Hanovre

Allemagne – A Hanovre, Kurdes et Turcs s’affrontent en plein aéroport. L’immigration exporte ses violences inter-ethniques sur notre continent.

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Le bilan migratoire des pays d’Europe en 2017

Encore une carte montrant que les clichés se fondent généralement sur une réalité. Le bilan migratoire des pays d’Europe et du proche voisinage corrobore en effet les ressentis que l’on a, avec quelque nuances (qui pensait que le solde migratoire de la Belarus était excédentaire ?). On peut diviser les pays en neuf strates selon le solde migratoire (immigrés moins émigrés), selon les dernières données du World Factbook de la CIA publiées le 16 janvier 2018 :

Pays au solde migratoire positif :

  • Accroissement de plus de 0,6 % : Luxembourg (+ 1,55 %), Chypre (+ 0,87), Espagne (+ 0,78), San Marin (+ 0,75), Ile de Man (+ 0,6)
  • Accroissement de plus de 0,4 % : Norvège (+ 0,59), Monaco (+ 0,57), Belgique (+ 0,54) ; Suède (+ 0,53), Liechtenstein (+ 0,5), Autriche (+ 0,48), Suisse (+ 0,47), Irlande (+ 0,4), Islande (+ 0,4).
  • Accroissement de plus de 0,2 % : Italie (+ 0,37), Jersey (+ 0,32), Finlande (+ 0,29), Portugal (+0,25), Royaume-Uni (+ 0,25), Tchéquie (+ 0,23), Grèce (+0,23), Guernesey (+ 0,22), Danemark (+ 0,21), Malte (+ 0,2)
  • Accroissement de moins de 0,2 % : Pays-Bas (+ 0,19), Russie (+ 0,17), Allemagne (+ 0,15), Hongrie (+ 0,13), France (+ 0,11), Bélarus (+ 0,07), Slovénie (+ 0,04), Slovaquie (+ 0,01)

Pays au solde équilibré :  Azerbaïdjan, Iles Féroé, Serbie, Ukraine, Andorre

Pays au solde migratoire négatif :

  • Diminution de moins de 0,2 % : Roumanie (- 0,02), Bulgarie (- 0,03), Pologne (- 0,04), Bosnie-Herzégovine (- 0,04), Macédoine (- 0,05), Géorgie (- 0,16), Croatie (- 0,17).
  • Diminution de plus de 0,2 % : Estonie (- 0,32), Gibraltar (- 0,33), Albanie (- 0,33).
  • Diminution de plus de 0,4 % : Arménie (- 0,57)
  • Diminution de plus de 0,6 % : Groenland (- 0,6), Lettonie (- 0,61), Lituanie (- 0,61), Moldavie (- 0,94).

La tendance des pays par rapport au rapport du 1er janvier 2017 est variable (le chiffre correspond à celui du 1er janvier 2018 soustrait de celui du 1er janvier 2017) :

  • Intensification de l’accroissement : Monaco (+ 0,1), Portugal (+ 0,01).
  • Ralentissement de l’accroissement : Luxembourg (- 0,08), Norvège (- 0,07), Autriche (- 0,04), Ile de Man (- 0,03), Jersey (- 0,03), Espagne (- 0,02), San Marin (- 0,02), Belgique (- 0,02), Islande (- 0,02), Italie (- 0,02), Suède (- 0,01), Finlande (- 0,01).
  • Statut quo : Liechtenstein, Suisse, Irlande, Royaume-Uni, Grèce, Guernesey, Danemark, Malte, Pays-Bas, Russie, Allemagne, Hongrie, France, Bélarus, Slovénie, Slovaquie, Azerbaïdjan, Iles Féroé, Serbie, Ukraine, Andorre, Roumanie, Bulgarie, Pologne, Bosnie-Herzégovine, Macédoine, Estonie, Albanie, Gibraltar, Arménie, Groënland.
  • Ralentissement de la diminution : Géorgie (- 0,06), Croatie (- 0,02), Lettonie (- 0,01), Lituanie (- 0,01), Moldavie (- 0,01).

Cela signifie qu’il y a un tassement de l’immigration dans les pays les plus populaires et un ralentissement de l’émigration dans les pays que l’on quitte. Doucement, trop doucement même, nous assistons à un phénomène d’équilibrage.

Hristo XIEP

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Nouvelle victoire pour l’AGRIF dans l’affaire de la profanation sataniste anti-chrétienne du cimetière de Labry !

La cour d’appel de Nancy vient d’infirmer très sévèrement l’invraisemblable jugement du tribunal de Briey sur la profanation du cimetière par deux jeunes inspirés par un antichristianisme d’affirmation sataniste.

Elle fait droit aux conclusions et à la plaidoirie de Me Jérôme Triomphe, arguant du fait irréfutable d’une volonté idéologique délibérée de profanation anti-chrétienne.

Elle juge ainsi : « la Cour trouve donc dans les faits mêmes des éléments suffisants pour estimer que le comportement, que les mineurs admettent avoir eu, porte objectivement atteinte au respect de l’identité chrétienne et sont dès lors constitutifs d’une faute civile vis-à-vis de l’AGRIF dont l’objet statutaire est précisément de lutter contre le racisme anti-chrétien ».

Cette nouvelle victoire, après celle de Nique la France, rappelle, à ceux qui en doutaient encore, le rôle essentiel de l’AGRIF, seul syndicat de défense judiciaire des Français quelles que soient leur race ou leur religion, et des chrétiens, quelle que soit leur origine, et de la persévérance nécessaire dans le combat.

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Deux démographes pour un constat : une substitution de population

La démographe Michèle Tribalat, dans le numéro de janvier de la Revue générale de stratégie, dresse un constat alarmant. Pour la Seine-Saint-Denis, Tribalat remarque que « la conjonction d’une formidable croissance de la jeunesse d’origine étrangère et d’un recul de celle d’origine française dessine un processus de substitution démographique qui marque d’ailleurs Paris et l’ensemble de la petite couronne ».

La démographe, s’appuyant sur des chiffres officiels de 1999 (qui ont augmenté depuis), estime que ce changement de population gagne de nombreuses villes ou arrondissements et crée des « phénomènes de sécession territoriale ». Ces concentrations ethniques, surtout issues de pays musulmans, « risquent de déboucher sur des enclaves où pourraient apparaître des revendications politiques d’un droit dérogatoire sur base ethnico-religieuse et, plus généralement, sur la formulation d’exigence de conformité visant l’ensemble de la société française ».

Samedi 27 janvier dans Soir 3, François Héran, le directeur de l’Institut National d’Etudes Démographiques a annoncé le remplacement à terme de la population française par une population d’immigrés. Morceaux choisis :

« on ne peut pas prévoir l’immigration de demain (mais) la place de l’immigration sera plus importante que maintenant  »  » il y aura de plus en plus de décès, et il y aura moins de naissances car il y aura moins de femmes en âge d’avoir des enfants, du coup le solde naturel énorme, le record qu’on vient de battre, 300000 naissances de plus que de décès, va fondre, va disparaître, et l’immigration sans le vouloir, sera en première ligne de la croissance de la population française. Je trouve que le débat politique ne nous prépare pas du tout à cette idée. »

Mr. Héran s’est élevé contre l’idée que

« l’immigration pourrait devenir secondaire dans la croissance de la population française, par exemple en privilégiant une immigration choisie au lieu d’une immigration subie. Cela ne marche pas, car l’immigration familiale, l’immigration d’asile restent très importantes, qui accompagnent l’immigration de travail même sélectionnée. »

« Le brassage va continuer, ce n’est pas que je sois pour ou contre, c’est une question objective : l’immigration deviendra le premier moteur de croissance, alors forcément le brassage va progresser, et rien ne l’arrêtera, donc il vaut mieux s’y préparer que d’essayer de nier la réalité. »

« le débat politique n’envisage pas du tout ce qui va se passer d’ici une génération, ce qui me frappe beaucoup dans l’ensemble du débat politique, c’est qu’il est assez myope de ce point de vue là. Le rôle du démographe n’est pas du tout d’interpeller les candidats ou de commenter l’élection présidentielle, mais c’est d’essayer de faire en sorte que le regard puisse se porter plus loin, et essayer de faire en sorte qu’on puisse prendre en compte les données démographiques de base, les grandes lames de fond qui définissent la dynamique de la population. »

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A US-Turkish Clash in Syria?

A US-Turkish Clash in Syria?

Turkey is moving armor and troops south to Syria’s border enclave of Afrin, occupied by Kurds, to drive them out, and then drive the Syrian Kurds out of Manbij further south as well.

Says President Recep Tayyip Erdogan, “We will destroy all terror nests, one by one, in Syria, starting from Afrin and Manbij.”

For Erdogan, the Kurdish YPG, the major U.S. ally in Syria, is an arm of the Kurdish PKK in Turkey, which we and the Turks have designated as a terrorist organization.

While the Kurds were our most effective allies against ISIS in Syria, Turkey views them as a mortal peril and intends to deal with that threat.

If Erdogan is serious, a clash with the U.S. is coming, as our Kurdish allies occupy most of Syria’s border with Turkey.

Moreover, the U.S. has announced plans to create a 30,000-man Border Security Force of Kurds and Arabs to keep ISIS out of Syria.

Erdogan has branded this BSF a “terror army,” and President Bashar Assad of Syria has called BSF members “traitors.”

This U.S. plan to create a BSF inside Syria, Damascus declared, “represents a blatant attack on the sovereignty and territorial integrity and unity of Syria, and a flagrant violation of international law.”

Does not the Syrian government have a point?

Now that ISIS has been driven out of Raqqa and Syria, by what authority do U.S. forces remain to arm troops to keep the Damascus government from reimposing its authority on its own territory?

Secretary of State Tillerson gave Syria the news Wednesday.

The U.S. troop commitment to Syria, he said, is now open-ended.

Our goals: Guarantee al-Qaida and ISIS do not return and set up sanctuary; cope with rising Iranian influence in Damascus; and pursue the removal of Bashar Assad’s ruthless regime.

But who authorized this strategic commitment, of indefinite duration, in Syria, when near two decades in Afghanistan have failed to secure that nation against the return of al-Qaida and ISIS?

Again and again, the American people have said they do not want to be dragged into Syria’s civil war. Donald Trump won the presidency on a promise of no more unnecessary wars.

Have the American people been had again?

Will they support a clash with NATO ally Turkey, to keep armed Kurds on Turkey’s border, when the Turks regard them as terrorists?

Are we prepared for a shooting war with a Syrian army, backed by Russia, Iran, Hezbollah and Shiite militias from Iraq, Afghanistan and Pakistan, to hold onto a fourth of Syria’s territory in alliance with Kurds?

The U.S. coalition in Syria said this week the BSF will be built up “over the next several years” and “be stationed along the borders … to include portions of the Euphrates river valley and international borders to the east and north.”

Remarkable: A U.S.-created border army is going to occupy and control long stretches of Syria’s borders with Turkey and Iraq, over Syria’s objections. And the U.S. military will stand behind the BSF.

Are the 2,000 U.S. troops in Syria really up to that task, should the Turks decide to cleanse the Syrian border of Kurds, or should the Syrian regime decide to take back territory occupied by the Kurds?

Who sanctioned this commitment to a new army, which, if Syria and its Russian and Iranian allies, and the Turks, do not all back down, risks a major U.S. war with no allies but the Kurds?

As for Syria’s Kurds casting their lot with the Americans, one wonders: Did they not observe what happened when their Iraqi cousins, after helping us drive ISIS out of Mosul, were themselves driven out of Kirkuk by the Iraqi army, as their U.S. allies watched?

In the six-year Syrian civil war, which may be about to enter a new phase, America faces a familiar situation.

While our “allies” and adversaries have vital interests there, we do not. The Assads have been in power for the lifetime of most Americans. And we Americans have never shown a desire to fight there.

Assad has a vital interest: preservation of his family regime and the reunification of his country. The Turks have a vital interest in keeping armed Kurds out of their border regions adjacent to their own Kurdish minority, which seeks greater independence.

The Israelis and Saudi royals want the U.S. to keep Iran from securing a land bridge from Tehran to Damascus to Lebanon.

The U.S. War Party wants us to smash Iran and remain in the Middle East forever to assure the hegemony of its favorites.

Have the generals taking us into Syria told the president how and when, if ever, they plan to get us out?

L’Allemagne préoccupée par l’immigration clandestine

Préoccupé par le phénomène d’immigration clandestine qui prend des proportions inquiétantes en Guinée, l’ambassadeur d’Allemagne en poste à Conakry a initié une rencontre d’échanges avec les hommes de médias jeudi 18 janvier 2018.

Il était question d’échanger sur l’immigration clandestine et de proposer des pistes de solution en vue de freiner la pratique qui interpelle les citoyens des quatre coins du globe. Un débat riche d’idées a coloré cette rencontre et a favorisé la venue des propositions, des suggestions et des promesses.

Connaissant mieux les causes de ce phénomène de migration clandestine, les journalistes n’ont pas manqué de souligner des points sur lesquels reposent celles-ci. Notamment le manque de travail, la qualité des formations qui laisse à désirer, ainsi que la mauvaise gouvernance accrue. Toutes choses qui constituent le nœud de la souffrance de la jeunesse africaine.

Par ailleurs, les journalistes ont dénoncé le refus des occidentaux de faciliter aux jeunes africains le chemin de l’Europe pour aller se former à travers l’octroi des visas. «Le refus d’investir en Afrique dans le domaine de la  formation, ou de financement des projets que les jeunes montent, constitue aussi un facteur très important», a lancé dans foulée un journaliste.

Aussi, un accent particulier a été mis sur  la responsabilité des parents et des autorités qui encouragent les jeunes à sortir pour la prétendue conquête d’une vie meilleure.  Ils refusent d’encourager la jeunesse dans son épanouissement.

En guise de recommandations, les hommes de médias ont souhaité le démantèlement de tous les réseaux qui favorisent l’immigration illégale dans tous les pays concernés avec leurs complices de passeurs.

Quant à SE M. Matthias Veltin, avec à ses côtés son  conseiller régional chargé de la migration, Friedrich Birgelen, il a tout d’abord évoqué le bien-fondé de cette rencontre avant de s’engager à lutter contre ce phénomène qui est devenu un fléau  menaçant à travers le monde entier.

«Pour moi, c’est très important de rencontrer les journalistes qui sont des hommes très proches de la population, pour mieux comprendre le phénomène et sensibiliser les jeunes. Les médias ont un rôle très important dans la migration qui affecte la vie notamment des jeunes gens. Avec eux, nous pouvons  encourager la migration légale et ordonnée», a expliqué le diplomate.

En termes de promesses, l’Ambassadeur Veltin a indiqué que la coopération entre l’Europe et la Guinée se repose sur beaucoup d’éléments, dont d’heureuses perspectives pour la jeunesse. A savoir : l’emploi et la formation professionnelle, mais aussi le rapatriement des jeunes qui se trouvent en détresse en Lybie.

Par Saidou Diallo

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Pays-Bas : manifestation contre l’islamisation de l’Europe à Rotterdam

Lors d'une manifestation contre l'«islamisation de l'Europe» à Rotterdam, le 20 janvier, Geert Wilders a défendu les couleurs de son parti en amont des prochaines législatives néerlandaises : «Les Pays-Bas ne sont pas musulmans», a-t-il martelé.

تندروهای هلندی علیه اسلام و دولت تظاهرات کردند
Plusieurs centaines de militants sont venus soutenir le chef de file de la droite nationaliste néerlandaise Geert Wilders (Parti de la liberté, PVV) le 20 janvier à Rotterdam dans une marche contre l'«islamisation de l'Europe».


Les Pays-Bas, c'est notre pays
«Les Pays-Bas, c'est notre pays, ce n'est pas celui de Mark Rutte [l'actuel Premier ministre]», a tempêté Geert Wilders au mégaphone, avant d'ajouter : «Nous vivons ici, pas au Maroc, nous ne vivons pas en Turquie, ni en Arabie saoudite, mais à Rotterdam, aux Pays-Bas.»


Haranguant la foule, le politicien, très en verve a ensuite signé son intervention : «Ici, ce sont nos lois qui comptent. Et je veux vous dire que les Pays-Bas ne sont pas musulmans, vous êtes d'accord ?»


Sur les images captées par l'agence Ruptly, on peut voir des manifestants portant des pancartes proclamant : «Pas d'islam dans Rotterdam», ainsi que : «Conservons la culture, les traditions, les normes et les valeurs néerlandaises.»


Pegida et Vlaams Belang étaient là


Des membres du mouvement belge flamand conservateur Vlaams Belang et parti nationaliste allemand Pegida avaient fait le déplacement pour grossir les rangs des manifestants.


Cité par Ruptly, un membre proéminent du PVV de Geert Wilders, Filip Dewinter a déclaré : «Le conflit continue au-delà de nos frontières. C'est un combat européen contre l'immigration massive et l'islamisation... L'islamisation, non seulement dans les Pays-Bas et la Flandre, mais également dans toute l'Europe.»


Les opposants étaient là aussi...


La manifestation a trouvé sur son chemin un petit groupe de militants du parti de gauche, Denk, venus protester contre la présence du PVV et faire valoir leurs arguments : «C'est un message de haine et de division et nous sommes contre. Nous portons un message d'unité et de solidarité», a déclaré le chef de file du parti Denk, Tunahan Kuzu.


Le 21 mars, les deux partis s'opposeront à l'occasion des élections législatives.

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Pays-Bas : une poupée décapitée et en sang retrouvée devant une mosquée

Une poupée décapitée et en sang a été retrouvée devant une mosquée d'Amsterdam, aux Pays-Bas. © AT5
Une poupée décapitée et en sang a été retrouvée devant une mosquée d'Amsterdam, aux Pays-Bas. © AT5
Une poupée décapitée et imbibée d’un liquide rouge imitant le sang a été retrouvée, jeudi 18 janvier, devant une mosquée de la capitale hollandaise Amsterdam. La police, qui a retenu la piste d’un acte islamophobe, a retrouvé une note dans laquelle les auteurs dénoncent une prétendue « islamisation » des Pays-Bas.

« L’islam est inextricablement lié aux décapitations brutales. L’islamisation doit s’arrêter. Non à la méga-mosquée du Diyanet (la présidence turque des Affaires Religieuses, ndlr) au nord d’Amsterdam, qui est connectée au dictateur Erdogan », est-il écrit dans la note citée par Al Jazeera. L'acte a été revendiqué par un groupuscule d’extrême droite qui a fièrement publié des photos de la poupée et la note sur Twitter.

La mosquée visée a dénoncé « un acte lâche et répugnant » mais refuse d’être « intimidée » et appelle les musulmans à demeurer calme tout en souhaitant l’arrestation prochaine des auteurs de l’acte. Celui-ci a été commis en réponse à l'annonce récente de la construction d'une nouvelle mosquée dans le nord de la ville.
 

Yvan Rioufol : “Le salafisme s’infiltre insidieusement dans les écoles et le prisons”

 

Source et Video

Bon sang, mais les politiques savent, tous, les horreurs de l’islam et du monde musulman !

Bon sang, mais les politiques savent, tous, les horreurs de l’islam et du monde musulman !

BON SANG ! Même sur ce site, des lecteurs croient au père Noël et s’imaginent que les politiques ne connaîtraient pas la réalité de l’islam !!!!

Lecteur innocent, apprends que les politiques français savent.

Oui, les politiques français SAVENT !!

Tiens, un article paru sur le présent site :
http://resistancerepublicaine.eu/2017/02/01/le-19-11-2001...

Et surtout, celui-ci, qui, par l’intermédiaire d’un extrait d’entrevue – son uniquement – et une autre vidéo datant de 1973, à voir aussi…
http://www.europe-israel.org/2016/10/audio-revelation-vin...

Quand tu auras vu, écouté, tout ça, en plus du premier article concernant le madelin, tu n’auras plus AUCUN doute sur le fait que ces enflures de  politiques, en France en tout cas, SAVENT !!

Ils ne font qu’accompagner EURABIA !!
https://www.dreuz.info/2012/03/16/7-juin-1975-le-jour-ou-...
Les scans des documents sont visibles sur l’article en question, enfin, sur la page…

Nous avons été TRAHIS, j’ai écrit un commentaire que Martin MOISAN a repris comme article :
https://ripostelaique.com/chefs-daccusation-contre-gouver...

Quand, enfin, pour terminer, on apprend par un économiste, analyste financier indépendant, que la BCE vient d’emprunter fin décembre 2017 …la bagatelle de 355 MILLIARDS d’euros aux pays…arabo-pétroliers, et, qu’en fait, c’est plus de 600 MILLIARDS d’euros d’emprunt total, là, on comprend beaucoup mieux l’INVASION en question, en plus du fait, que nos ORDURES de politiques sont ACHETES par les émirs des pays POUBELLES – du Golfe !!

L’économiste en question s’appelle Jean-Michel CHEVALLIER :
http://chevallier.biz/2018/01/e-crash-complements-reflexi...

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Bethoncourt : la mosquée arrose le quartier par mégaphone pour l’appel à la prière matin et soir

Ça dure depuis un an…

Imaginez que, depuis un an, à 5 heures du matin et à 17 heures, je balance la Marseillaise par mégaphone à tout mon voisinage, patriote ou pas.

L’impunité totale.

C’est dans le Doubs que cela se passe. Sans doute un territoire perdu de la République qui n’a déjà plus de préfet. A mois que le Préfet ne soit lui-même musulman ?

http://islamisation.fr/2018/01/11/bethoncourt-frequente-e...

Pas une plainte de voisins, ou bien celles-ci ne sont même pas reçues ? Merci amis de Béthoncourt, de nous apporter votre témoignage.

 

S’il n’y a pas de plaintes, 2 solutions, tout aussi catastrophiques l’une que l’autre :

Soit les non musulmans présents alentour sont morts de frousse

Soit il n’y a plus que des musulmans alentour.

 

S’il n’y a plus que des musulmans alentour, qui trouvent normal d’être réveillés aux aurores et de réveiller les autres aux aurores, la fable du « pas d’amalgame, on est français, on met la loi de la République avant le Coran  » explose en plein vol.

 

Un appel à la prière par mégaphone, en-dehors de la mosquée, c’est du tapage nocturne. Et du tapage diurne.

Pas une seule voiture de police dans le coin à l’heure dite ? Pourtant l’article cité en lien rapporte que ces éléments sont attestés par des observations de la police. La police observe, la police rapporte… mais la police n’a pas le droit d’intervenir et de faire cesser le tapage, nocturne et diurne.

Jamais ?  Etrange, non ? 

 

Mais il y a peut-être une explication, pas reluisante, à tout cela :

La mosquée Zaid de Bethoncourt, sise dans le quartier sensible des Champvallons, est pourtant dirigée par un notable de l’islam « de France », Mohamed Gmih, marocain, membre du conseil d’administration du Conseil français du culte musulman et président de sa structure régionale, le CRCM de Franche-Comté. La mosquée enseignant l’arabe et le coran à une soixantaine d’enfants (mercredi et samedi), est fréquentée par plus de cent personnes le vendredi.

Ainsi les petits notables de l’islam, les membres du CFCM, auraient, en France, des baronnies, des impunités…

Ainsi l’Etat français accepte – et encourage – la prise de pouvoir des musulmans dans nos quartiers, dans nos villes. On rappellera utilement que, pour un musulman, tout le territoire que l’on peut voir du haut du minaret de la mosquée est… musulman, appartient à l’islam. A défaut de minaret, la portée du mégaphone fait la même chose. Tout ce territoire doit donc obéir à la charia. Et cela concerne les musulmans comme les non musulmans. Et le préfet sait. Et le préfet se tait. Le Maire sait, le Maire se tait.

Il est urgent de faire de Bethoncourt une enclave musulmane, un territoire perdu de la République de plus. 

Pourtant, quand les Préfets veulent, ils peuvent. Et de porter plainte contre l’élu du Lot FN Emmanuel Crenne qui a le malheur de dénoncer l’incurie de l’Etat et la non fermeture de la mosquée de Souillac.

http://resistancerepublicaine.eu/2018/01/19/souillac-jero...

Pincez-vous, amis lecteurs, vous ne rêvez pas. La France de Macron l’imposteur, de Macron l’islamo c’est ça.

Pourtant, cette mosquée n’est pas toute blanche, en sus :

Cette mosquée, de la mouvance tablighi, a été fréquentée par la famille Akoucham, dont Mohamed et Soukaina ont rejoint en Syrie les rangs de l’Etat Islamique, en 2014 et 2015.  Illustration du problème des naturalisations en France, le vice-président de la mosquée ainsi que le trésorier, nés au Maroc, ont obtenu la nationalité française.

Rappelons que les tablighis contrôlent 147 mosquées en France selon un pointage de l’Intérieur à l’été 2016.

CQFD.

Ce n’est pas comme si le Maire et le Préfet ne savaient pas et ne devaient pas surveiller de près cette mosquée :

Bethoncourt, déjà en 2016, faisait partie des 751 zones de non droit, recensés par le Ministère de la ville.

De niveau 4 seulement… en 2016.

« Niveau 4 : QSP (QUARTIERS SENSIBLES PROBLEMATIQUEs):  petite délinquance qui peut être régulières et qui peut exploser a certains moments mais généralement ces quartiers sont calment et font parler d’eux de temps à autres et posent quelques soucis a la ville mais ne sont pas considérés comme chauds. »

Nul doute qu’avec l’appel à la prière par mégaphone, on ne soit passés en niveau 1 depuis.

 

http://resistancerepublicaine.eu/2016/08/04/habitez-vous-...

 

La seule solution ? Le battage médiatique, l’interpellation du Maire et du Préfet. Il faut, aussi, secouer les journalistes locaux. Il faut que ce scandale cesse.

Mairie de Bethoncourt, à appeler dès demain, à qui envoyer dès demain une lettre  :

Mairie

3, Rue Léon Contejean

25200 BETHONCOURT

03 81 96 62 32

ressources@mairie-bethoncourt.fr 

 

Le Préfet du Doubs, à appeler dès demain, à qui envoyer dès demain une lettre  :

Préfecture

Adresse : 3 Avenue de la Gare d’Eau, 25000 Besançon
 

http://www.doubs.gouv.fr/Contactez-nous

 

La presse locale : l’est républicain :

http://www.estrepublicain.fr/a-propos/annuaire-complet-de...

 

ACTION, VITE, AMIS RESISTANTS !

Source

J’habite chez des cons de Français que je vais pousser dehors…

https://www.franceculture.fr/emissions/le-choix-de-la-red...

Le dénommé Ilas est peut-être un homme bien. Peut-être est-il décidé à s’intégrer et même à s’assimiler ( bien qu’il n’en parle pas, il ne parle que d’intégration… voir l’exemple de Jean Messiha ci-dessous ).Mais même si c’était le cas, combien de ses semblables crient leur haine de la France et des Français, combien de ses semblables mentent délibérément en se faisant passer pour des mineurs, combien de ses semblables ne pensent qu’à faire de la France une terre musulmane sous charia, combien de ses semblables volent, tuent, violent ? A-t-il été réellement menacé de mort, d’ailleurs ?

Paul et Brigitte sont peut-être des gens bien. Peut-être sont-ils persuadés de faire une oeuvre charitable.  Mais même si c’était le cas, pourquoi n’ont-ils jamais accueilli un de nos enfants perdus, un de nos enfants en perdition ? Pourtant, de pauvres gosses ayant perdu leurs parents et n’ayant personne pour s’occuper d’eux, il y en a. Pourtant, de pauvres gosses battus, maltraités, violés… chez eux, il y en a un paquet, qu’il faudrait aider et sauver. Pourtant, des jeunes adultes dans la merde, il y en a des quantités industrielles, chez nous.

Alors ? Que signifie cette décision de faire passer l’autre avant les nôtres ?  Si on veut se sentir utile, si on veut se sentir exister, il y a de quoi faire, il y en a de la misère au coin de nos rues.

Du snobisme ? C’est pour briller en ville ? C’est pour se sentir exister et se faire reconnaître par les bobos comme soi ?

En tout cas, parce que le Grand Remplacement n’est pas un mythe, les Ilas, fût-ce à l’insu de leur plein gré, font disparaître notre civilisation, notre patrimoine, notre langue, nos valeurs, notre nourriture.

C’est un fait que personne ne peut mettre en doute. Cela s’appelle, tout simplement, le Grand Remplacement.

Et accueillir chez soi un soi-disant réfugié, un clandestin, c’est participer à ce génocide qui est en train de se mettre en place.

Paul et Brigitte, en participant à cette mascarade, sont devenus des génocideurs.

Alors oui, on peut avoir peur, on peut se demander si, un jour un Ilas ne dira pas « J’habite chez des cons de Français que je vais pousser dehors. »… C’est le scénario du Camp des Saints… Tellement prophétique jusqu’à présent. 

http://resistancerepublicaine.eu/2016/01/22/deja-il-y-a-5...

 

Ah, si Ilas, ainsi que Paul et Brigitte, avaient prononcé le mot magique « assimilation »…

Ah si Ilas était un Jean Messiha…

Jean Messiha : je suis assimilé, c’est bien autre chose que intégré

http://resistancerepublicaine.eu/2017/02/20/jean-messiha-...

Jean Messiha,interviewé sur CNews, a expliqué gentiment à la journaliste: oui, je suis né Egyptien et je n’en ai pas honte mais je fais partie des « assimilés » —« intégration » ? rajoute la journaliste.

Non, répond-il, assimilé cela veut dire que j’ai accepté de changer pour être entièrement français. Intégration, cela veut dire que l’étranger ne change pas et que c’est à la société de l’accepter comme il est.

On ne peut pas mieux dire.
Il a expliqué que ce sont ses parents, ,égyptiens eux-mêmes qui lui ont inculqué l’amour et le respect de la France.
Tout est dit avec ces simples mots.

Comme dit Jean Messiah, l’intégration est l’obligation d’accepter des étrangers AVEC leur communautarisme.
L’assimilation, au contraire, est la démarche du ressortissant étranger qui adopte les valeurs et la culture du pays qui l’accueille.
Qu’on se foute de notre g….. à ce point là est devenu insupportable.

Nicolas  F

 

Tous nos articles sur Jean Messiha :

http://resistancerepublicaine.eu/search/messiha

 

Complément de Claude T.A.L.

Chants d’oiseaux

–  » rrou rrou rrou  »
disent Paul et Brigitte.
( le chant du pigeon )

–  » cou cou, cou cou, cou cou  »
répond Ilas .
( le coucou étant cet oiseau qui vient pondre dans le nid d’autres oiseaux, amenant ainsi la destruction de la progéniture de ces oiseaux )

Source

Karim Rissouli : il y aura de plus en plus de Karim, Mohamed, Mamadou, Fatoumata… dans les medias

http://www.ozap.com/actu/karim-rissouli-francoise-laborde...

Peut-être bien, mais on s’en tape le coquillart. Il y aura de plus en plus de Français qui ne regarderont plus la télé et n’écouteront plus la radio.

Il n’y aura plus que la diversité et les bobos pour s’extasier devant une image fantasmée de la France qui, pour le moment, n’a encore rien à voir avec ce que d’aucuns voudraient qu’elle fût.

Pour revenir au fond de l’histoire…

Françoise Laborde accuse Rissouli de mettre systématiquement en avant le voile islamique.

Réponse de Rissouli : c’est parce que je m’appelle Karim qu’elle m’accuse. Si je m’appelais François elle ne s’en soucierait pas. et de toutes façons faut qu’elle s’habitue, il va y avoir de plus en plus de Karim, Mohamed… comme animateurs (il n’a pas osé utiliser le mot journaliste ) à la radio et à la télé.

Sauf que… le fait de s’appeler Karim ou Mohamed prouve que les parents de Karim et de Mohamed sont venus en France non pas pour devenir français mais pour profiter des avantages de notre pays tout en se considérant avant tout étrangers.

Sauf que, quand on veut travailler dans les medias et montrer qu’on est un Français à part entière, on demande à changer de prénom, on change au moins de prénom de façon usuelle, afin de montrer que l’on est un Français à part entière et non un musulman avant tout. C’est ce qu’a fait Mohamed Hilout, fils d’une voilée marocaine, élevé à l’école coranique au Maroc… qui a remplacé Mohamed par Pascal.

Point barre.

Alors il est légitime de soupçonner celui qui porte un prénom musulman traditionnel de ne pas être objectif et de faire de la propagande insidieuse pour l’islam et la discrimination envers les femmes que prône la charia.

Quant à Françoise Laborde, il n’y a pas grand-chose à en attendre. La donzelle vit dans les ors de la République, nommée par Sarkozy ou Valls à des postes prestigieux, c’est peu dire qu’elle a donné des gages… En 2009, elle a même été nommée au CSA, la Gestapo de la télé.

Le , elle est nommée au Conseil supérieur de l’audiovisuel, l’autorité de régulation de l’audiovisuel en France, par Nicolas Sarkozy, alors président de la République1.

Le 3 février 2015, elle est nommée au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes par arrêté du Premier ministre. Source. Wikipedia.

Elle fait vraisemblablement partie, comme le dit le Karim de service, du Printemps républicain, ce groupuscule de prétendus laïques qui, sous prétexte de lutter pour la laïcité, bossent en réalité pour Manuel Valls et le PS, histoire de regagner des parts de marché.

http://resistancerepublicaine.eu/2016/03/19/qui-sont-les-...

http://resistancerepublicaine.eu/2017/11/09/pujadas-a-inv...

Le Printemps républicain compte parmi ses membres les plus actifs Gilles Clavreul, celui qui écume les sites patriotes à la recherche d’un prétexte pour nous traîner au tribunal, nous les laïques et les républicains.

D’ailleurs,  Printemps Républicain et  Comité laïcité République,  tout ça ça marche ensemble, c’est bonnet blanc et blanc bonnet.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/11/18/prix-laicite-...

Et Valls était dans la salle, naturellement…

Et, bouclons la boucle, les « Forces laïques  » qui ont fait parler d’elles à propos des prières de Clichy sont issues du Comité laïcité République… Et elles demandent carrément la suppression des jours fériés chrétiens.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/11/05/forces-laique...

Tous pourris dans les medias. Mais on le savait déjà. Qu’ils s’appellent Karim, Mohamed, Françoise ou Gilles.

Source

Pietà au goût du jour : Marie tenant sur ses genoux un clandestin noir

La Vierge Marie berce le clandestin noir ‘Jésus’ dans une exposition à Milan.
Une exposition d’art mettant en scène une réplique de la Pietà de Michel-Ange représentant la Vierge Marie tenant un « réfugié » nigérian à la place de Jésus a ouvert jeudi à la galerie Poggiali de Milan.


https://www.liveleak.com/view?i=989_1516365198#opmTvGhmV4...

L’intox migratoire n’a plus aucune limite !
Regardez bien les visiteurs de cet exposition, que des bobos puants, mais aucun Noir…

 

Note de Christine Tasin

Ci-dessous l’oeuvre de Michel-Ange, qui sera un jour sans doute détruite pour racisme…

La propagande immigrationniste ne recule devant rien. Et elle a tout. L’argent, les medias, les talents…

Et pourtant, les anti-immigrationnistes sont de plus en plus nombreux et de plus en plus véhéments en Europe.

Source et Video

«Les Pays-Bas ne sont pas musulmans» : Geert Wilders mène une marche à Rotterdam (VIDEO)

Lors d'une manifestation contre l'«islamisation de l'Europe» à Rotterdam, le 20 janvier, Geert Wilders a défendu les couleurs de son parti en amont des prochaines législatives néerlandaises : «Les Pays-Bas ne sont pas musulmans», a-t-il martelé.

Plusieurs centaines de militants sont venus soutenir le chef de file de la droite nationaliste néerlandaise Geert Wilders (Parti de la liberté, PVV) le 20 janvier à Rotterdam dans une marche contre l'«islamisation de l'Europe».

Les Pays-Bas, c'est notre pays

«Les Pays-Bas, c'est notre pays, ce n'est pas celui de Mark Rutte [l'actuel Premier ministre]», a tempêté Geert Wilders au mégaphone, avant d'ajouter : «Nous vivons ici, pas au Maroc, nous ne vivons pas en Turquie, ni en Arabie saoudite, mais à Rotterdam, aux Pays-Bas.»

Haranguant la foule, le politicien, très en verve a ensuite signé son intervention : «Ici, ce sont nos lois qui comptent. Et je veux vous dire que les Pays-Bas ne sont pas musulmans, vous êtes d'accord ?»

Source et Video

lundi, 22 janvier 2018

Les Grands américains de l'Internet et le terrorisme islamique

 

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Les Grands américains de l'Internet et le terrorisme islamique

par Jean-Paul Baquiast

Ex: http://www.europesolidaire.eu

Les services de contre-espionnage russes et de quelques pays européens avaient eu des preuves apparemment incontestables du fait que la CIA américaine et d'autres services des Etats-Unis ont toujours encouragé le développement au Moyen-Orient de milices se rattachant à l'Etat Islamique et combattant aussi bien le gouvernement de Damas que ses alliés russes et aujourd'hui iraniens.

A cette fin, ils avaient multiplié les aides en dollars et en armement. Il paraît très probable que cette aide se poursuit plus discrètement.

Mais il est une forme d'aide dont on a peu parlé, consistant à apprendre à ces terroristes à manipuler les « réseaux sociaux » de l'Internet pour diffuser des exhortations au djihad et aux attentats, visant non seulement les populations arabophones, mais des groupes terroristes implantés dans tous les pays européens.

Ces messages utilisaient et utilisent encore les grands de l'Internet américain, notamment Facebook, Twitter et You Tube. Cela ne pouvait pas se faire sans que ces organismes détectent de tels échanges. Mais pendant plusieurs années ils n'ont rien fait pour les prévenir, à la demande sans doute du gouvernement américain qui y a vu une forme d'aide très précieuse à leurs « proxies » terroristes.

Lancer une pierre en l'air et elle vous retombera sur la tête.

Le point de vue a cependant récemment changé, quand les services américains ont vu de tels messages pénétrer des milieux musulmans anglophones aux Etats-Unis susceptibles de comporter des candidats aux attentats en Amérique même. Une Commission du Sénat vient de se réunir récemment pour discuter de ce problème.

Mais les représentants des Réseaux sociaux interrogés ont prévenu qu'ils ne pouvaient pratiquement rien faire dorénavant pour contrer un phénomène devenu proliférant. Bien évidemment, ils ne peuvent confier à des contrôleurs humains la charge de contrôler des millions de messages par jour. Ils ont mis au point des algorithmes capables d'identifier et détruire les messages violents dont ces « robots » ont reçu la description. Comme il fallait s'y attendre cependant, les techniciens (souvent précédemment formés aux Etats-Unis) des organisations islamiques émettant ces messages ont vite appris comment échapper à ces algorithmes en changeant en permanence la façon dont ces messages se présentent. Comme il a été dit à la Commission, une sorte de jeu du chat et de la souris s'est installé, où le chat américain est toujours perdant

De plus, les terroristes islamistes ont appris à utiliser dorénavant des plates formes plus discrètes, utilisant des logiciels de cryptage. On connait à cet égard Telegram, Reddit and WhatsApp, très utilisés par les échanges n'ayant rien de criminel. Par ailleurs, comme les services de police le savent depuis longtemps, le fait que tous les messages et textes produits sur l'Internet permettent l'anonymat des auteurs ne fait que compliquer, sinon rendre impossible, l'identification et la poursuite en justice des sources.

Clint Watts, expert anti-terrorisme au Foreign Policy Research Institute, a reconnu que les Grands de l'Internet étaient devenus capables de détruire 95% des messages islamiques. Mais 5% de ceux-ci, en renouvellement constant de format, leur échappera toujours, quelque soit les progrès attendus de l'Intelligence Artificielle utilisée. Cela suffira à recruter dans les pays occidentaux un nombre considérable de candidats terroristes.

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Addendum
Nous recevons ce message d'un de nos correspondants, que nous ne nommerons pas ici. Pas de liens avec le terrorisme...encore que 

L'explorateur internet "Opera" introduit une protection contre l'emprunt 
clandestin de notre puissance de calcul :

"New year, new browser. Opera 50 introduces anti-Bitcoin mining tool.
"The only major browser that stops Bitcoin mining on your computer
Everyone is talking about Bitcoins these days. Their sudden rise in value 
resulted in the fact that more and more people set out to mine them by 
running shady scripts on the PCs of unsuspecting users. This situation might 
sound familiar: your CPU is suddenly working at 100 percent capacity, the 
fan is going crazy for seemingly no reason and your battery is quickly 
depleting. These are signs someone might be using your computer to mine for 
cryptocurrency and can continue to do so even after you have left the site. 
It's a problem which affects approximately 500 million people worldwide but 
not for those who choose Opera 50.
"We, as the only major browser with an integrated ad blocker, have a 
built-in solution to keep miners from trespassing onto your machine.
"After we recently updated the rules of our built-in ad blocker mechanism, 
we eliminated cryptocurrency mining scripts that overuse your device's 
computing ability."

L'annonce n'est pas claire : s'agit-il spécifiquement de "bitcoin" ? ou un 
peu plus largement de toutes monnaies cryptées ?
Ou encore, ce qui serait le mieux, d'une protection contre tout emprunt non 
autorisé des ressources de l'ordinateur ?
S'il ne s'agit que un certain type d'"emprunt", quelles conditions font 
qu'on puisse la particulariser ou, qu'elle ne puisse être plus générale ?

=====
Cet exemple me suggère un problème plus large, qu'il serait intéressant de 
traiter de manière systémique. Peut-être ceci a-t-il été entrepris : 
quelqu'un est-il au courant ? :
L'ensemble des ordinateurs connectés à Internet sont en interaction (via 
celui-ci) : ils forment donc un système. Ces relations sont des échanges 
d'information ou d'ordres. Il en est de diverses sortes : courrier 
électronique, consultation de sites, conversations (Skype, réseaux sociaux, 
travail collaboratif, ...), téléchargement de programmes, logiciels, 
pilotes, etc., mises à jour de logiciels déjà installés, implantation de 
cookies, circulations de virus et malwares divers, captation de carnets 
d'adresses, physhing, espionnage, etc.  ... et emprunt de ressources comme 
l'exemple ci-dessus.

Certaines interactions se font au su et avec l'accord à la fois de 
l'émetteur que du destinataire ; pour d'autres, les situations de 
connaissance et de consentement sont diverses et plus ou moins claires. 
L'initiative est tantôt chez l'émetteur du message ou de la requête, tantôt 
chez le receveur de l'information ou du logiciel. Aussi, des transactions 
licites et consenties sont parfois l'occasion d'offres incidentes 
(suggestions commerciales, documentaires, ou autres) et parfois le véhicule 
de communications ou installations occultes.

Divers enchaînements ou rétroactions sont donc possibles : soit que le 
destinataire accepte ou bloque de nouvelles possibilités de communication, 
soit qu'elles s'établissent automatiquement. C'est en particulier le cas 
pour les mises à jour automatiques et pour l'espionnage. D'où une dynamique 
fort complexe.

Comment étudier ce fonctionnement, ses implications techniques, économiques, 
politiques , culturelles et civilisationnelles ?

 

 

La Suède sombre dans la criminalité: le gouvernement n’exclut plus l’engagement de l’armée contre les bandes criminelles

 

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La Suède sombre dans la criminalité: le gouvernement n’exclut plus l’engagement de l’armée contre les bandes criminelles

Ex : http://www.zuerst.de

Stockholm. En bien des domaines, la Suède doit désormais faire un pas en avant. Le gouvernement de Stockholm fait face à une criminalité débordante alors que débutent déjà les premières manœuvres d’une campagne électorale qui devra aboutir à l’élection d’un nouveau parlement en septembre. Cette date butoir l’oblige à adopter une politique de fermeté bien profilée.  Le premier ministre Stefan Löfven n’exclut plus de faire donner l’armée sur le territoire national. Il a déclaré : « L’engagement de l’armée ne constitue certes pas mon premier choix mais je veux faire tout ce qui est nécessaire pour tordre le cou à la criminalité débordante et organisée qui frappe aujourd’hui notre pays ».

Ces dernières années la Suède a été à la une de la presse internationale parce qu’elle présentait des chiffres affolants, ceux d’une criminalité en expansion constante. Mais, le « politiquement correct » oblige, le lien entre l’immigration massive et cette criminalité ne peut être dit : cela doit rester un secret qui est cependant connu de tous… Le gouvernement a dû débloquer plus de fonds pour la police et annoncer une loi plus restrictive sur la possession et le port d’armes. Dorénavant, qui plus est, les enquêteurs pourront écouter les conversations téléphoniques et surveiller les échanges de courriers électroniques.

Entretemps, on constate, sur le territoire suédois, que de premières attaques à la grenade ont eu lieu. Dans le sud du pays, à Malmö, les viols collectifs, commis par des bandes de migrants, se sont multipliés dangereusement au cours de ces dernières semaines.

Or le service militaire obligatoire a été réintroduit en Suède : le gouvernement peut donc compter, depuis le début de cette année, sur des effectifs plus nombreux dans les rangs de l’armée. Suite aux déclarations du premier ministre, on peut estimer que dans un avenir très proche, ces effectifs recevront réellement l’ordre d’aller combattre sur ce qu’il faut bien appeler « le front de la nouvelle guerre civile ».

Source

Parler de laïcité, c’est parler d’islam

Par François d'Orcival

Notre opinion. Il n’y a qu’un discours possible, celui du respect des lois de la République. Laïcité, migrants, islam, on en revient toujours là.

Prix spécial du jury de la laïcité décerné par le Grand Orient de France, Marlène Schiappa, secrétaire d’État auprès du Premier ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes (et « non-maçonne », comme le GODF le rappelle), publie un pamphlet intitulé Laïcité, point ! (L’Aube). Quatre-vingt-seize pages pour affirmer : « La laïcité est un combat politique. » Quelle découverte ! Mais elle a fait savoir au Figaro qu’elle allait en distribuer gracieusement un exemplaire « à tous les députés » — attention : « à l’exception des élus Les Républicains et Front national » ! Sectarisme ? Sans doute. Mais aussi hommage — involontaire — qu’elle rend à ces députés en considérant d’emblée qu’ils sont assez solides dans leurs convictions pour que sa littérature ne les concerne pas.

À qui s’adresse-t-elle donc ? Aux incertains, aux flageolants, peu assurés de leur « laïcité » ? « Nous combattons les dogmes de tous genres », dit aussi la jeune femme qui incarne si bien tous les tabous du “politiquement correct”. On ne savait pas que la République interdisait à ses citoyens de croire en certains dogmes… Vise-t-elle les racines chrétiennes de ce pays ? La déchristianisation y est déjà bien avancée. Et pas depuis hier. Les amis de Claude Imbert, le fondateur du Point disparu en 2016, viennent de rééditer (chez Plon, sous le titre Chroniques), ses éditoriaux (de 1972 à 2012). Dans l’un de ceux-ci, daté du 13 juillet 2001, il imaginait un Persan écrivant à son ami Uzbek, à la manière de Montesquieu : « Ce qui m’étonne le plus chez ces Français, ce ne sont pas leurs cent mille machines fulminantes, roulantes, volantes et communicantes, c’est que personne n’y craint Dieu. De ce pays qui en fut si entêté, la religion s’enfuit à tire-d’aile. »

Imbert ne citait pas gratuitement les Lettres persanes. Le fait est qu’au XXIe siècle, tout discours sur la laïcité ne peut plus être qu’un discours sur l’islam. Est-ce bien ce que Mme Schiappa sous-entend, et derrière elle le gouvernement ? Une journaliste marocaine semblait l’avoir compris de cette façon quand elle interpellait le président de la République, lors de sa réception de la presse, le 3 janvier, en lui demandant, en substance, quand prendraient fin ces discours sur la laïcité et ces rappels à l’ordre à l’islam. Sur le moment, Emmanuel Macron esquiva la question en observant que nous avions séparé les cultes et l’État il y a plus d’un siècle, quand l’islam n’était pas encore présent sur notre sol. Mais le lendemain, il y répondit réellement, en déclarant devant les représentants des cultes : « Je sais, comme vous, que certains tentent d’instaurer avec les pouvoirs publics une forme de rapport de force autour de la mise en oeuvre de telle ou telle croyance, oubliant le fil de notre histoire et voulant la faire bégayer. »

L’allusion à l’islamisme radical des mosquées salafi stes et des prières de rue était claire. Pour le chef de l’État, « l’acquis précieux » de notre civilisation c’est la « distinction fondamentale des ordres » — c’est-à-dire Dieu et César. Il n’est pas indifférent que dans le même discours aux représentants des cultes, Macron ait abordé la prochaine loi sur l’immigration, qui inquiète tant la gauche médiatique et associative. « Tension éthique », dit-il drôlement pour traduire cette opposition. Mais il sait qu’il est fortement soutenu sur ce point par l’opinion, parce que les Français redoutent ce que Mgr Aupetit, nouvel archevêque de Paris, appelle « l’insécurité culturelle ».

La réalité de la société française d’aujourd’hui est qu’elle ne peut plus, qu’elle ne veut plus accueillir que ceux qui sont susceptibles de s’intégrer à son modèle. La République respecte tous les dogmes. Sauf celui qui ordonnerait de ne pas respecter la République.

Source

L’OLRA, nouvelle association de lutte contre le racisme anti-blanc

olra
22/01/2018 – 08h00 Paris (Breizh-Info.com) –  Depuis la fin de l’année 2017, les blancs d’Europe ont désormais la possibilité d’être aidé par une association de lutte contre le racisme anti-blanc. L’OLRA, Organisation de lutte contre le racisme anti-blanc « a pour objectif premier de faire reconnaître, en lui donnant une tribune et une visibilité, cette forme de discrimination particulièrement insidieuse qu’est le racisme anti-blanc.»

L’association avait lancé une vidéo, le 17 janvier, sur Youtube, vidéo de présentation censurée immédiatement par le réseau social (la vidéo est désormais disponible ici) car jugée « non conforme aux standards de la chaine ». Hallucinant, quand on connait par ailleurs le type de vidéos qui sévissent sur Youtube.

L’association – présidée par Laurent de Bechade – a déjà créé un site web, une page Facebook, un compte Twitter et a même ouvert les adhésions à partir de 20 euros.

Sur le site Internet de l’association, une page actualité qui recense tout ce qui a  trait au racisme anti-blanc.

« Nous considérons que ne pas nommer les choses ne fait qu’aggraver le problème, nuit à l’ensemble de la société et détériore les relations sociales. Le racisme anti-blanc est bel et bien réel, et l’absence de ce sujet dans la sphère médiatique entretient l’inaction dans le champ politique. Le déni dont ce problème fait l’objet empêche de travailler à sa résolution, alors même qu’il existe de nombreuses solutions susceptibles d’endiguer le phénomène. En outre, lorsque le sujet est abordé dans les médias et par les différents acteurs politiques, la peur de « faire le jeu de l’extrême droite » paralyse les débats. Il s’agit pourtant d’un problème d’envergure nationale, qui transcende tous les partis.» expliquent les membres de l’association.

C’est le travail mené par les Identitaires, et notamment les Jeunesses Identitaires, au début des années 2000 qui a permis d’imposer le concept de racisme anti-blanc (suite notamment aux agressions dont étaient victimes des Français de souche, dans des cités, ou à l’occasion des émeutes en banlieue parisienne). Gérald Pichon, auteur de « Sale Blanc, chronique d’une haine qui n’existe pas » a ensuite parfaitement conceptualisé et argumenté sur ce concept.

Par la suite, l’émergence des réseaux sociaux, mais aussi le gros travail effectué à l’époque par des médias comme Fdesouche, Novopress, et dans la foulée un semblant de « libération de la parole » chez quelques politiques et intellectuels, a obligé porter le sujet sur le devant de la scène, les faits et les images ne pouvant plus être niés, au grand dam des belles âmes de gauche qui voulaient à tout prix réserver le racisme aux populations extra européennes.

L’OLRA – qui se déclare laïc et apolitique  – sait toutefois qu’elle a beaucoup de pain sur la planche, pour faire reconnaître ce racisme, qui touche pourtant de plus en plus de Français de souche, agressés ou humiliés pour ce qu’ils sont, dans leur propre pays.

Source

Prison : le casse-tête des détenus radicalisés

1 700 détenus radicalisés sont actuellement dans les prisons françaises, 500 écroués pour faits de terrorisme, 1 200 privés de liberté pour droit commun mais suivies pour radicalisation

Source et Video

Une centaine de racailles sur le terrain pour lyncher le joueur… C’est beau la France black-beur

 

Source et Video