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mercredi, 24 janvier 2018

Les Français et les autruches

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La règle est simple : si vous ne voulez pas vous battre, vous perdez la guerre ! Et vous aurez beau avoir l’armée la plus nombreuse, les armes les plus modernes et la logistique la plus performante, vous êtes vaincus. Au Vietnam, les Américains ne voulaient pas mourir. Ils avaient mille fois le potentiel des Viets, des avions, des armes et des tas de gadgets déjà électronique, ils furent défaits. Eh bien, aujourd’hui, c’est pareil mais à une échelle plus subtile.


La semaine dernière, nos gouvernants n’ont pas voulu affronter les zadistes qui occupent depuis des années la zone de Notre-Dame des Landes. Ils ont renoncé à y construire un aéroport, c’était peut-être une excellente décision, mais les motivations étaient celles de vaincus : ils n’osaient pas affronter les résistants à ce projet ! Ils l’ont d’ailleurs avoué.
Des centaines de milliers de clandestins migrent vers notre continent. Nous ne pouvons les accueillir, c’est évident. Que fait-on ? On tergiverse, évoque les « droits de l’homme », discute entre Européens des nuits entières à Bruxelles et, au final, ce sont des mesurettes, soigneusement dosées qui ne sont même pas mises en application. Pas étonnant, dès lors, que l’Afrique et le Moyen-Orient, se déverse chez nous qui n’en pouvons plus.
Dans notre pays et un peu partout en Europe il y a des quartiers qui sont des zones où la loi commune n’a plus cours. Des quartiers où l’on ne vend plus d’alcool, où les femmes restent à la maison quand, voilées, elles ne rasent pas les murs. Une police privée s’assure que les habitants respectent le Ramadan. Quand la police intervient, elle est caillassée, les pompiers aussi, les médecins n’y vont plus. Territoires  sous contrôle de fait d’une coterie décidée à faire respecter sa loi à l’exclusion de toute autre.
Et que fait-on ? Rien ! Et si un journaliste hors du lot filme un reportage sur ces cités « perdues », il est traité de tous les noms et soupçonné de véhiculer une idéologie « nauséabonde » digne de temps révolus. N’est-ce pas Bernard de la Villardière ?
Dans ces conditions, pas besoin d’être devin pour prédire que nos jours, à nous citoyens qui respectons la loi et pensons que toute déviance doit être sanctionnée, sont comptés.
Et est-ce la violer que de dire et écrire que le temps est venu de prendre nos responsabilités ? Quand des pans entiers du territoire sont laissés en déshérence et à la merci de types qui ne connaissent qu’une loi, la leur, n’avons-nous pas le devoir moral de nous substituer à l’État et son autorité vacillante ?
Encore faut-il que nous le voulions.
Michel Houellebecq a décrit dans son livre « Soumission » (Flammarion) comment s’opère cette capitulation. Un peuple fatigué, est prêt à tout pour préserver un minimum de son son confort et ses illusions. Quelle erreur, la même que celle des Romains face aux invasions, et des Byzantins alors que le Turc campait sous leurs murs. Ils n’ont pas résisté et furent rayés de la carte.
La télévision nous entretient aujourd’hui de la disparition d’un grand chef cuisiner dont la vie est emblématique de cet hédonisme dont nous faisons nos choux gras.
Tremblons que le dessert soit amer …

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