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samedi, 09 décembre 2017

Et Macron, quand va-t-il réparer l’islamisation de la France ?

Si en Afrique, Macron peut envoyer le président Burkinabé réparer la climatisation… mais on dit que Kaboré est allé pisser ;
si à l’université de Ouagadougou, Macron peut dire, à un « ami » que l’esclavage des bons africains est le fait d’autres africains ;
si ailleurs, il a déjà pu dire qu’à Mayotte « le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien, c’est différent » ;
c’est qu’il semble comprendre les causes, et qu’il devrait donc pouvoir en tirer des conclusions pour la France.


https://www.youtube.com/watch?v=WABCroXfB1Q

Alors Macron a-t-il compris qu’il faut réparer l’islamisation de la France ?
Comme 74% des Français avaient déjà compris en 2014 que l’islam est une religion « intolérante » et incompatible avec les valeurs républicaines.


https://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20130124.OBS6615/...

Même sur la télé d’Etat, un journaliste qui se fout des ordres, pose le problème qui laissera Macron complice de l’Histoire, comme ses prédécesseurs, s’il continue de ne pas voir ce qu’il devrait voir et ne tire pas les conclusions qu’il faudrait en tirer :

Source et Videos

François de Lochner : « l’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman »

François de Lochner préside la Fondation de Service politique. Il vient de publier, aux éditions Pierre Guillaume De Roux, une « chronique de l’islamisation ordinaire de la France » dans laquelle il dresse un constat sans appel.

Le haut fonctionnaire dénonce ce qu’il considère être une islamisation de la France. Il appelle à la résistance quotidienne et somme les responsables politiques de prendre leurs responsabilités, sans craindre la bien-pensance et les chantres d’une mondialisation utopique.

Présentation de l’éditeur :

La France a-t-elle pour vocation de devenir terre islamique? À en croire les élites boboïsées, représentatives d un microcosme aseptisé, l islamisation de la France ne serait qu un épouvantail, un mythe émanant au mieux d êtres incultes, les trop fameux « sans-dents », au pire de dangereux extrémistes.

Or pareil déni ne résiste pas à l analyse : faute d une sérieuse remise en cause des politiques menées depuis un demi-siècle, l islamisation du pays sera achevée dans quelques années. Quand, devenue un fait de société incontournable, elle acculera tous les Français à adopter, de gré ou de force, la culture islamique au sens le plus large. Il convient dès lors de s interroger sur l inversion du processus habituel de l assimilation : appartient-il aux musulmans immigrés, devenus dès lors mulsumans de France, de transformer leur nouvelle patrie en terre islamique ?

François Billot de Lochner remonte aux sources du phénomène, anticipe ses graves conséquences et propose quelques pistes de réflexion pour échapper au danger qui nous guette.

« chronique de l’islamisation ordinaire de la France » – François de Lochner – Pierre Guillaume De Roux – 23€

Entretien avec François de Lochner.

Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

François de Lochner : En tant que président de la Fondation de Service politique, je dénonce sans relâche le déclin continu de la France, qui risque de s’achever par sa disparition si nous n’y prenons garde. À cet égard, la dizaine de livres que j’ai écrits depuis 15 ans pointe tous les affaissements politiques, économiques, sociaux, moraux, religieux ou culturels de notre pays, mettant en exergue les forces de déconstruction à la manoeuvre, analyse les gigantesques problèmes auxquels nous somment confrontés , et tente d’apporter des solutions à un déclin qui n’est pas irrémédiable.

Breizh-info.com : Il y a eu de nombreux ouvrages, ces dix dernières années, traitant de  « l’islamisation de la France » . Qu’est ce que le vôtre souhaite apporter de plus ?

François de Lochner : Mon livre ne ressemble pas aux ouvrages que vous évoquez. En effet, il a pour objectif de dévoiler la pensée des leaders musulmans français, européens ou mondiaux, en partant de ce qu’ils disent sur l’islamisation du monde. Depuis plus d’un demi-siècle, tout ce qu’ils disent ou écrivent va dans le même sens : la France deviendra islamique dans un court délai.

En même temps, ces leaders indiquent aux musulmans du monde entier la meilleure façon d’opérer pour qu’il en soit ainsi. Je démontre donc que l’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman, qui s’appuie sur la lâcheté et la compromission des élites politico-médiatiques, ainsi que sur la soumission pour le moins surprenante du peuple français.

Breizh-info.com : Nous avons publié une étude du très sérieux Pew Research Center concernant la progression de l’Islam en France et en Europe. Vous la  jugez sous évaluée. Pourquoi ? Sur quoi vous basez vous pour faire une telle affirmation ?

François de Lochner : Je vous renvoie à de multiples études, infiniment plus sérieuses que celle que vous signalez. Il suffit de projeter quelques chiffres pour savoir que nous serons un pays majoritairement musulman dans une trentaine d’années. Parmi les chiffres qu’il faut avoir en tête, en voici quelques-uns : la population immigrée sur plusieurs générations est comprise entre 15 et 20 millions de personnes ; le taux de fécondité des femmes blanches est de 1,6, contre le double environ pour les populations immigrées ; nous accueillons chaque année 400 000 personnes environ, dont l’immense majorité est musulmane.

La projection de ces quelques chiffres, qui peuvent être affinés par d’autres chiffres qui vont dans le même sens, aboutissent à un résultat non contestable : la France sera majoritairement musulmane dans une trentaine d’années. L’étude que vous citez est donc complètement erronée. Pour mémoire, je vous rappelle qu’il y a quelques mois, Alain Juppé affirmait à la télévision que l’immigration concernait moins de 100 000 personnes… A ce niveau de mensonge, les bras nous en tombent.

Breizh-info.com : Dans votre livre, vous citez des exemples de pays, notamment musulmans, qui ont pris des mesures pour endiguer l’islamisation de leur société. Pouvez-vous revenir dessus ?

François de Lochner : Certains pays musulmans, en effet, ont compris que l’islam politico-religieux pouvait aboutir à détruire les valeurs traditionnelles de leur société. Ainsi, le Tadjikistan, musulman dans sa quasi-totalité et dirigé par un musulman, a pris des mesures coercitives pour contrer l’islamisation de la société. Par exemple, le port du voile ou la barbe islamique ne sont pas les bienvenus.

Il n’est pas inutile, en complément de cet exemple, de citer les positions de certains musulmans ayant des postes de responsabilité en Occident. À cet égard, le maire de Rotterdam, musulman convaincu, refuse catégoriquement l’islamisation de sa ville, et agit en conséquence : si les musulmans ne veulent pas respecter les valeurs fondamentales des Pays-Bas, qu’ils s’en aillent… A l’inverse, le maire de Londres, musulman très proche de l’organisation terroriste des Frères musulmans, organise en sous-main l’islamisation de la Grande-Bretagne.

Breizh-info.com : Alain Wagner a récemment livré une interview dans laquelle il confirme la thèse d’Eurabia, qui accable l’Union Européenne qui aurait « vendu » l’Europe aux organisations islamiques et au monde musulman. Accréditez- vous cette thèse ?

François de Lochner : Comme je le disais tout à l’heure, la compromission et la lâcheté des « élites » politico-médiatiques, de l’Union européenne en général et de la France en particulier, correspondent objectivement à une sorte de « vente » de l’Occident au monde musulman. La soumission est partout, et rend le combat particulièrement difficile.

Breizh-info.com : Finalement, votre constat est très long, mais votre « Que faire ? » est assez court. N’avez-vous donc pas un message d’espoir à faire passer ?

François de Lochner : Le message d’espoir est dans mon livre, et notamment dans le « Que faire », qui me semble suffisamment long. En effet, ce « Que faire » n’a aucunement l’intention d’être exhaustif, mais donne quelques coups de projecteur sur l’action que chacun d’entre nous peut mener pour ne pas se retrouver un jour en République française islamique. Je préfère quelques actions ciblées et menées, qu’une litanie d’actions exhaustives mais restant lettre morte. Mon livre a pour objectif d’éveiller les consciences, de chacun d’entre nous comme de celles des « élites politico-médiatiques ».

Propos recueillis par Yann Vallerie

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vendredi, 08 décembre 2017

Grande-Bretagne : « Les Blancs doivent apprendre à s’intégrer »

Le discours sur l’intégration en Grande-Bretagne porte toujours sur le fait que les étrangers deviennent « plus comme nous ». Mais dans des régions comme Leyton et Notting Hill, ce sont les Blancs de la classe moyenne qui échouent à s’assimiler. (…) Prenons l’exemple de Leyton. Leyton est une région de Londres où 64 % de la […]

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Hauts-de-Seine : agressée et violée dans une rue de Châtenay-Malabry

L'agresseur a menacé la victime avec un couteau. Une jeune femme s'est fait agresser et violer, mercredi soir, à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Vers 19h30 au Rond-Point de Bergneustadt, sur la coulée verte, alors qu'elle rentrait chez elle à pied, un homme s'est approché et l'a menacée avec un couteau.L'agresseur lui a alors fait remettre ses deux téléphones portables, sa carte bancaire et sa carte d'identité avant de la violer. L'homme a pris la fuite et la victime s'est réfugiée chez elle avant d'appeler la police vers 22h30. Le service départemental de police judiciaire est chargé de l'enquête.… Lire la suite sur Leparisien.fr

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Télécharger L'islamisation de la France - Joachim Véliocas .pdf

 

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Le terrorisme, 1ere préoccupation des Français ? – JT TVL 7 novembre 2017

 

Source et Video

La désinformation bergoglienne en faveur d’un pays musulman et d‘une ethnie musulmane

En janvier 2017, le quotidien du soir Le Monde, que personne ne suspectera de pensée incorrecte et islamophobe, écrivait dans un article intitulé « Les réticences du Bangladesh face aux réfugiés rohingyas » : 

« Le Bangladesh est mal à l’aise. Pays à 90 % musulman, il affiche une solidarité des plus tièdes à l’égard des Rohingya musulmans persécutés, renvoyant parfois, au mépris même des lois internationales, des bateaux de réfugiés venus deBirmanie. Avec une population de 160 millions d’habitants et une densité parmi les plus élevées au monde, le « pays des Bengalis » est peu désireux d’accueillir sur son territoire des étrangers qui vont restreindre encore un peu plus son espace vital. […] La première ministre, Sheikh Hasina, a déclaré devant le Parlement le 7 décembre 2016 que son pays « ne peut pas ouvrir ses portes à des vagues de migrants ». Ajoutant cependant que, pour des « raisons humanitaires »,le Bangladesh était prêt à « aider temporairement » ............

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Mosquée de Poitiers : Les identitaires condamnés à de la prison avec sursis et plus de 40 000 euros d’amendes

Sur les 73 manifestants présents ce jour-là, 5 étaient appelés à comparaître (l’association était poursuivie comme personne morale) et seulement 2 prévenus s’étaient effectivement présentés devant la justice……Cliquez ici pour lire la suite

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Pas-de-Calais: Ouverture d'un troisième centre d'accueil pour migrants

IMMIGRATION Le centre d'accueil et d'évaluation des situations de Nédonchel va accueillir ses premiers occupants ce jeudi...

M.L. avec AFP

C’est ce jeudi que va ouvrir un troisième centre d’accueil (CAES) pour les migrants dans le Pas-de-Calais, malgré les réticences de la population. Situé à Nédonchel, dans un ancien EHPAD, il est censé offrir aux migrants une évaluation rapide de leur situation.

Une soixantaine de personnes à terme

« Les premiers migrants doivent arriver jeudi. Ils monteront dans un bus à Calais qui les emmènera dans le CAES de Nédonchel, comme c’est le cas d’ordinaire pour les CAES de Croisilles et Troisvaux », a affirmé à l’AFP Marc Del Grande, secrétaire général de la préfecture du Pas-de-Calais. A terme, une soixantaine de migrants devraient y être accueillis.

« La population n’était pas très favorable, mais il se passera à Nédonchel ce qu’il s’est passé lors de l’ouverture du CAES de Troisvaux : il y a toujours un effet de surprise et de l’inquiétude, et dès que les migrants arrivent et que la situation s’organise, les relations entre le CAES et la population se normalisent », assure Marc Del Grande, précisant que ce centre sera géré par l’association La Vie Active.

« Beaucoup de fantasmes » autour des migrants

Samedi matin, un rassemblement a eu lieu devant la mairie du village, réunissant une quarantaine de personnes, parmi lesquelles des sympathisants du Front national, a affirmé Isabelle Niewada, conseillère municipale opposée au projet.

« Le centre est situé à côté d’une école, nous craignons pour la sécurité. Et nous n’avons pas de commerces, pas de bus, qu’est-ce qu’ils vont faire ces gens-là ? On a peur de devenir Calais », a-t-elle dit.

« Il y a beaucoup de fantasmes », autour de l’arrivée des migrants, « mais la réalité elle est claire, c’est qu’à Troisvaux, comme à Croisilles, ça s’est bien passé », tempère Guillaume Alexandre, directeur de La Vie Active.

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Cambrai : A quand une nouvelle mosquée?

Installée depuis 1984 en plein cœur du vieux Cambrai dans la rue Saint Vaast, la mosquée “AnNour” de Cambrai commence à devenir trop petite. Le nombre de fidèles est de plus en plus important. 150 personnes s’y rendent le vendredi soir, pour une capacité de 130 personnes. La mosquée ne compte qu’une seule salle. Un déménagement est envisagé. Une réunion d’information s’est tenue le dimanche 20 août. Début septembre, le lieu n’était toujours pas défini mais l’implantation était prévue dans la ville de Cambrai.

Antoine Fichaux

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François de Lochner : « l’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman »

07/12/2017 – 07h50 Paris  (Breizh-info.com) – François de Lochner préside la Fondation de Service politique. Il vient de publier, aux éditions Pierre Guillaume De Roux, une « chronique de l’islamisation ordinaire de la France » dans laquelle il dresse un constat sans appel.

Le haut fonctionnaire dénonce ce qu’il considère être une islamisation de la France. Il appelle à la résistance quotidienne et somme les responsables politiques de prendre leurs responsabilités, sans craindre la bien-pensance et les chantres d’une mondialisation utopique.

Présentation de l’éditeur :

La France a-t-elle pour vocation de devenir terre islamique? À en croire les élites boboïsées, représentatives d un microcosme aseptisé, l islamisation de la France ne serait qu un épouvantail, un mythe émanant au mieux d êtres incultes, les trop fameux « sans-dents », au pire de dangereux extrémistes.

Or pareil déni ne résiste pas à l analyse : faute d une sérieuse remise en cause des politiques menées depuis un demi-siècle, l islamisation du pays sera achevée dans quelques années. Quand, devenue un fait de société incontournable, elle acculera tous les Français à adopter, de gré ou de force, la culture islamique au sens le plus large. Il convient dès lors de s interroger sur l inversion du processus habituel de l assimilation : appartient-il aux musulmans immigrés, devenus dès lors mulsumans de France, de transformer leur nouvelle patrie en terre islamique ?

François Billot de Lochner remonte aux sources du phénomène, anticipe ses graves conséquences et propose quelques pistes de réflexion pour échapper au danger qui nous guette.

« chronique de l’islamisation ordinaire de la France » – François de Lochner – Pierre Guillaume De Roux – 23€

Entretien avec François de Lochner.

Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

François de Lochner : En tant que président de la Fondation de Service politique, je dénonce sans relâche le déclin continu de la France, qui risque de s’achever par sa disparition si nous n’y prenons garde. À cet égard, la dizaine de livres que j’ai écrits depuis 15 ans pointe tous les affaissements politiques, économiques, sociaux, moraux, religieux ou culturels de notre pays, mettant en exergue les forces de déconstruction à la manoeuvre, analyse les gigantesques problèmes auxquels nous somment confrontés , et tente d’apporter des solutions à un déclin qui n’est pas irrémédiable.

Breizh-info.com : Il y a eu de nombreux ouvrages, ces dix dernières années, traitant de  « l’islamisation de la France » . Qu’est ce que le vôtre souhaite apporter de plus ?

François de Lochner : Mon livre ne ressemble pas aux ouvrages que vous évoquez. En effet, il a pour objectif de dévoiler la pensée des leaders musulmans français, européens ou mondiaux, en partant de ce qu’ils disent sur l’islamisation du monde. Depuis plus d’un demi-siècle, tout ce qu’ils disent ou écrivent va dans le même sens : la France deviendra islamique dans un court délai.

En même temps, ces leaders indiquent aux musulmans du monde entier la meilleure façon d’opérer pour qu’il en soit ainsi. Je démontre donc que l’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman, qui s’appuie sur la lâcheté et la compromission des élites politico-médiatiques, ainsi que sur la soumission pour le moins surprenante du peuple français.

Breizh-info.com : Nous avons publié une étude du très sérieux Pew Research Center concernant la progression de l’Islam en France et en Europe. Vous la  jugez sous évaluée. Pourquoi ? Sur quoi vous basez vous pour faire une telle affirmation ?

François de Lochner : Je vous renvoie à de multiples études, infiniment plus sérieuses que celle que vous signalez. Il suffit de projeter quelques chiffres pour savoir que nous serons un pays majoritairement musulman dans une trentaine d’années. Parmi les chiffres qu’il faut avoir en tête, en voici quelques-uns : la population immigrée sur plusieurs générations est comprise entre 15 et 20 millions de personnes ; le taux de fécondité des femmes blanches est de 1,6, contre le double environ pour les populations immigrées ; nous accueillons chaque année 400 000 personnes environ, dont l’immense majorité est musulmane.

La projection de ces quelques chiffres, qui peuvent être affinés par d’autres chiffres qui vont dans le même sens, aboutissent à un résultat non contestable : la France sera majoritairement musulmane dans une trentaine d’années. L’étude que vous citez est donc complètement erronée. Pour mémoire, je vous rappelle qu’il y a quelques mois, Alain Juppé affirmait à la télévision que l’immigration concernait moins de 100 000 personnes… A ce niveau de mensonge, les bras nous en tombent.

Breizh-info.com : Dans votre livre, vous citez des exemples de pays, notamment musulmans, qui ont pris des mesures pour endiguer l’islamisation de leur société. Pouvez-vous revenir dessus ?

François de Lochner : Certains pays musulmans, en effet, ont compris que l’islam politico-religieux pouvait aboutir à détruire les valeurs traditionnelles de leur société. Ainsi, le Tadjikistan, musulman dans sa quasi-totalité et dirigé par un musulman, a pris des mesures coercitives pour contrer l’islamisation de la société. Par exemple, le port du voile ou la barbe islamique ne sont pas les bienvenus.

Il n’est pas inutile, en complément de cet exemple, de citer les positions de certains musulmans ayant des postes de responsabilité en Occident. À cet égard, le maire de Rotterdam, musulman convaincu, refuse catégoriquement l’islamisation de sa ville, et agit en conséquence : si les musulmans ne veulent pas respecter les valeurs fondamentales des Pays-Bas, qu’ils s’en aillent… A l’inverse, le maire de Londres, musulman très proche de l’organisation terroriste des Frères musulmans, organise en sous-main l’islamisation de la Grande-Bretagne.

Breizh-info.com : Alain Wagner a récemment livré une interview dans laquelle il confirme la thèse d’Eurabia, qui accable l’Union Européenne qui aurait « vendu » l’Europe aux organisations islamiques et au monde musulman. Accréditez- vous cette thèse ?

François de Lochner : Comme je le disais tout à l’heure, la compromission et la lâcheté des « élites » politico-médiatiques, de l’Union européenne en général et de la France en particulier, correspondent objectivement à une sorte de « vente » de l’Occident au monde musulman. La soumission est partout, et rend le combat particulièrement difficile.

Breizh-info.com : Finalement, votre constat est très long, mais votre « Que faire ? » est assez court. N’avez-vous donc pas un message d’espoir à faire passer ?

François de Lochner : Le message d’espoir est dans mon livre, et notamment dans le « Que faire », qui me semble suffisamment long. En effet, ce « Que faire » n’a aucunement l’intention d’être exhaustif, mais donne quelques coups de projecteur sur l’action que chacun d’entre nous peut mener pour ne pas se retrouver un jour en République française islamique. Je préfère quelques actions ciblées et menées, qu’une litanie d’actions exhaustives mais restant lettre morte. Mon livre a pour objectif d’éveiller les consciences, de chacun d’entre nous comme de celles des « élites politico-médiatiques ».

Propos recueillis par Yann Vallerie

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14 policiers en armes investissent le domicile de la secrétaire de Vigilance halal [Vidéo]

 

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Du Grand Bazar au Grand Remplacement

Une extrême prudence toute naturelle, quelque peu renforcée par la fréquentation du « mainstream » médiatique (j’adore utiliser ce terme, il vous classe un homme) m’inclinerait à ne pas fréquenter des individus douteux comme par exemple Finkielkraut, Houellebecq ou encore Zemmour, sans parler bien sûr du sulfureux Camus, Renaud dois-je préciser, qui paraît-il aurait piqué à Barrès le terme conceptuel de « Grand remplacement ».

De même me serait-il plus profitable de côtoyer Hervé Le Bras que de flirter avec Michèle Tribalat, au motif presque inavouable que l’avenir de la démographie européenne m’intéresse.

J’ose l’avouer, tout ce qui pourrait laisser deviner à mon entourage une quelconque complaisance à l’endroit des révisionnistes, des conspirationnistes, des complotistes, et autres illusionnistes, est scrupuleusement banni de mes conversations. On ne sait jamais…

Cela ne m’empêche toutefois pas de lire et de ruminer les textes de grands anciens dont personne aujourd’hui ne saurait contester l’honorabilité.

Tenez, comment Pierre Mendès-France, dont chaque ville de France devrait au moins honorer la mémoire par une statue équestre ou au moins un buste en pied, oserait-il réitérer cette curieuse confidence faite le 10 décembre 1959 au journaliste Bernard Lefort : « Si l’on suivait Bidault et Soustelle, il y aurait 25 millions de musulmans français dans la métropole. Merci à de Gaulle s’il peut éviter cela. »

Le Général, parlons-en. Il est aujourd’hui de bon ton de se référer à lui, à quelque parti politique qu’on appartienne, et d’aller avant chaque élection présidentielle faire un petit tour à Colombey-les-Deux-Eglises que, justement, l’hôte de la Boisserie ne voulait pas voir devenir « Colombey les deux Mosquées ».

N’est-ce pas lui qui confiait à Raymond Tournoux son méprisable sentiment sur l’islam, les Arabes et leur présence en France : « Il y a cinquante ans il aurait fallu détruire l’islam. Aujourd’hui, comment éteindre le fanatisme. » Ou encore : « C’est une fiction de considérer ces gens-là comme des Français pareils aux autres. Il s’agit en réalité d’une masse étrangère. Il conviendra d’examiner les conditions de leur présence sur notre sol. »

Les termes mêmes utilisés par le chef de l’État pour expliciter le fond de sa pensée auprès d’Alain Peyrefitte, le 5 mars 1959, devraient ouvrir aujourd’hui plus qu’une polémique, un procès en bonne et due forme : « Il ne faut pas se payer de mots ! C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races, et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »

Je serais la Croix de Lorraine dominant Colombey, je tremblerais sur mon socle, d’autant qu’aujourd’hui la mode est à exiger le retrait de celles surmontant les statues des places publiques et autres portails de cimetières…

Cher lecteur, ces propos restent bien évidemment entre nous. N’en faites surtout pas état. Je le confesse je suis prudent je l’ai déjà dit, mais aussi un peu lâche. Comprenez-moi, je ne voudrais surtout pas que…

Jean Pierre Brun

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L’Intérieur donne son accord aux islamistes pour la réouverture de la mosquée de Stains

 

SL’Intérieur accepte la réouverture de la mosquée de Stains, fermée depuis novembre 2016 car repérée comme un lieu influent de la mouvance salafiste. Or, l’interlocuteur qui a obtenu cette faveur est le secrétaire général de l’UAM93 qui fédère les principales mosquées du département, M’Hammed Henniche.Dans l'enquête Mosquées Radicales (DMM,2016), Joachim Véliocas, de l'Observatoire de l'islamisation, exposait les prises de positions ultra-radicales de cette association, qui, sur son site Internet officiel, défend le port du niqab et élève la Charia au dessus des lois de la république, le tout avec une tonalité très agressive :

Le principal contributeur des contenus du site de l’UAM93 se nomme Daniel Youssef Leclerc. Converti à l’islam en 1984 par le mouvement Tabligh, il créa l’association Intégrité. Leclerc, vieux routier de l’islamisme hexagonal, fut désigné membre permanent de la Ligue islamique mondiale (LIM) en 1999, instrument de l’Arabie Saoudite. Interrogé en 1992 par Jean-Paul Mari, un journaliste du Nouvel Observateur, Leclerc alors président de la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF, intégrée au CFCM), avait déclaré que

« Si demain on avait une majorité dans ce pays, pourquoi est-ce qu’on imposerait pas la Charia progressivement ? Ca vous dérange? Tant pis ! »

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Des collégiens de 5e apprennent une chanson en arabe

 

ELe collège François Rabelais à l’Escarène (06)est au centre d’une polémique : une enseignante a fait apprendre à ses élèves d’une classe de 5e un chant en arabe, « Lamma bada yatathanna ».

Des parents d’élèves ont attiré l’attention de l’association de parents d’élèves (la FCPE) en notifiant que le répertoire de musiques européennes était suffisamment vaste et large pour qu’on ait à puiser dans un répertoire étranger à notre culture.

La FCPE a prévenu la Principale du collège Mme Salima Boussehaba de la cabale qui s’installait, laquelle a répondu en s’appuyant sur les textes officiels de l’Éducation Nationale pour défendre le choix de sa prof de musique. La Fédération des Conseils de Parents d’Élèves s’est alors fendue d’un communiqué distribué aux parents dans lequel elle déplore la tournure qu’ont pris les événements, tout en défendant le choix du collège.

Cette histoire n’est pas sans rappeler ce qui s’était passé en Corse en 2016 où des parents avaient refusé que leurs enfants chantent en arabe la chanson « Imagine » de John Lennon.

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Royaume-Uni : un attentat islamiste contre Theresa May déjoué

Terrorisme. Deux hommes ont été inculpés pour un projet d’attaque à la bombe visant la Première ministre britannique.

La Première ministre britannique Theresa May était visée par un projet d’assassinat islamiste, rapportent des médias anglais et la police londonienne. Naa’imur Zakariyah Rahman, 20 ans, et Mohammed Aqib Imran, 21 ans, prévoyaient de commettre un attentat à la bombe à proximité de Downing street, la résidence du chef de gouvernement, avant d’attaquer Theresa May au couteau, rapporte l'AFP.

Mardi, après la publication d’un rapport sur la gestion des attentats par la police et le MI5, le service de renseignement britannique, la ministre de l’Intérieur, Amber Rudd, a indiqué devant les députés que “22 complots terroristes islamistes” ont été déjoués depuis l’assassinat d’un soldat en pleine rue à Londres, en mai 2013, et neuf depuis l'attentat commis en mars sur le pont de Westminster et devant le Parlement.

“Le Royaume-Uni est confronté à une menace terroriste intense, laquelle est multidimensionnelle, évolue rapidement et opère à une échelle et un rythme jamais vus par le passé”, a indiqué mardi la police londonienne, qui a précisé que “bien plus de 500 enquêtes de contre-terrorisme sont en cours, impliquant plus de 3 000 personnes”. Plus de 20 000 autres ont déjà fait l’objet d’une enquête pour terrorisme dans le passé.

La vague d’attentats cette année, dont quatre ont été revendiqués par l’organisation de l’État islamique, a fait au total 36 morts et près de 200 blessés dans le pays. Trois des auteurs étaient connus des services de renseignement, ajoute le rapport officiel.

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À Ouagadougou, Emmanuel Macron a encore une fois noyé le poisson de l’islam. Que dira-t-il à Alger ?

Après avoir répété aux auditeurs de l’université Ouaga 1 du Burkina Faso que la France avait commis des crimes incontestables lors de la colonisation, Emmanuel Macron est parti dans un long, très long discours où il a notamment développé les périls qui menaçaient l’Afrique.

Certaines de ses déclarations m’ont paru aller dans le bon sens, et comme l’a écrit ici Philippe Bilger, m’ont laissé penser que ce Président était décidément plein de bonnes surprises. Mais j’ai bien peur que, le 6 décembre, à Alger, il ne renouvelle, du haut de son nuage, la repentance d’un crime contre l’humanité qu’aurait fait subir la République à ses ressortissants algériens. Mais ceci est un autre débat. Revenons au Burkina Faso.

La presse a largement passé sous silence le quatrième péril énoncé par notre Président. Sans doute le ton était-il assommant et l’audience endormie par la litanie présidentielle. Mais ce quatrième péril concerne la religion. Et là, les phrases prennent toute leur importance. Car Macron n’a pas hésité à énoncer une cuisante vérité, sans toutefois la nommer… Écoutons-le :

« Le quatrième péril, c’est l’obscurantisme, c’est l’emprise de l’extrémisme religieux sur les esprits, et là aussi, je n’aurai aucune naïveté. C’est une menace bien plus redoutable parfois que le terrorisme, car elle est massive, diffuse, quotidienne, elle s’immisce dans les écoles, dans les foyers, dans les campus, dans la vie politique. Cette menace n’a pas de frontières ni de continent, tout simplement parce qu’elle s’attaque à ce qu’il y a de plus intime, la foi et la religion, pour en détourner le sens, pour en transformer la transcendance en négation de l’autre. »

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Après avoir reconnu que la France est confrontée à un tel défi, il ne mentionnera jamais la religion coupable :

« Je veux ici parler à toutes les consciences, aux vôtres, vous pouvez être totalement athée, laïc, et le revendiquer, vous pouvez croire dans l’islam, la religion catholique, dans l’animisme ou tout autre, vous pouvez être musulman, évangéliste, ne laissez jamais la religion dans laquelle vous croyez faire ce pourquoi elle n’a jamais été faite, ne laissez jamais la religion vous convaincre que c’est une aventure de destruction de l’autre.

 

Eh oui, pour ne pas choquer son audience et celle de nos concitoyens musulmans, ou peut-être pour ne pas faire l’objet d’une fatwa, notre cher Président n’ose citer le seul islam dont la planète entière sait que c’est lui qui est a l’origine des crimes commis par ses fous d’Allah.

« Ne laissez jamais, au nom de votre religion, certains faire croire qu’ils pourraient dominer, voire détruire ceux qui ne croient pas ou ne croient pas pareil. Ne laissez jamais, au nom de votre religion, asservir les consciences ou les individus. Toutes les religions sont des religions construites sur un message d’amour et d’espoir, elles ont des différences, elles se sont parfois combattues, mais nous avons un devoir, celui de construire des États libres, séparés du religieux, et d’assurer l’exercice libre des consciences et adultes. Mais chaque conscience a un devoir – c’est sa part de responsabilité -, c’est de ne jamais laisser sa religion détournée de sa fonction première, je vous le dis, parce que, ici aussi, votre responsabilité est immense. »

​‌”

Or, il se trouve que la fonction première de l’islam, c’est la soumission des individus à Allah…

Eh bien, oui, Emmanuel Macron répète ce qu’il avait déclaré à Abou Dhabi quelques semaines auparavant : l’islam est une religion de paix et d’amour, oubliant les dizaines de millions de morts, de soumis et d’esclaves que l’application stricte du Coran a engendrés.

Comment a-t-il pu oser, une nouvelle fois, faire un amalgame historiquement et théologiquement indéfendable entre le Dieu d’amour des chrétiens et Allah guerrier qui n’a conquis la moitié du monde que par l’épée et la terreur ? Quand il affirme, avec raison, qu’il ne faut laisser à l’extrémisme « aucun espace en le combattant partout, dans les écoles, dans les universités, dans toutes les formes de citoyenneté, le combattre au quotidien, le combattre dans les discours politiques, et dans l’action », comment peut-il ne pas citer le seul extrémisme religieux qui pose un problème à travers le monde ?

Floris de Bonneville

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Deux projets de mosquée dans la Loire suscitent une vive opposition des riverains

Deux projets de mosquée suscitent une vive opposition dans la Loire. Les permis de construire font l’objet de recours en mairie de Saint-Chamond et d’Andrézieux-Bouthéon, des riverains contestent les autorisations de travaux.

Deux projets de mosquée suscitent une vive opposition dans la Loire. Les permis de construire font l’objet de recours en mairie. À Saint-Chamond comme à Andrézieux-Bouthéon, des riverains contestent les autorisations de travaux. Dans les deux cas, il s’agit d’édifier un nouveau bâtiment pour remplacer une structure trop petite et proposer plus d’activités aux fidèles.

(…)

France Bleu

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jeudi, 07 décembre 2017

Un chant en arabe suscite une vive polémique dans un collège de l’Escarène

Suite à la proposition d’étude d’un chant en langue étrangère à des élèves de cinquième, "Lamma bada yatathanna", des sites d’extrême-droite ont vivement critiqué l’initiative du collège François Rabelais de l’Escarène après le levée de bouclier de certains parents.

"La direction de l’établissement, les projets menés dans l’établissement et tout ce qui a trait au vivre ensemble sont attaqués et menacés par un certain nombre de sites d’extrême droite qui se sont emparés du sujet", ont indiqué mercredi dans un communiqué, les organisations syndicales (1).

 

Et d’ajouter: "Face à ces actes et propos intolérables, c’est l’ensemble de la communauté éducative (personnels enseignants et non enseignants, familles et enfants) qui est attaqué".

Les syndicats avec l’établissement

Les syndicats ont également assuré leur soutien à l’établissement: "Le service public de l’éducation doit permettre à tous les élèves d’acquérir les connaissances et les compétences et la culture nécessaires à l’exercice de la citoyenneté dans la société contemporaine."


1. SGEN CFDT, SNES FSU et UNSA CGT.

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Carentan (50) : Un homme entre au lycée, crie Allahou akbar, et s’enfuit

Une plainte a été déposée, ce mardi 5 décembre, par les responsables du lycée Sivard-de-Beaulieu, à Carentan. Elle vise un homme qui est entré lundi dans l’établissement, qui a crié « Allahou akbar », et qui s’est enfui. Il est poursuivi pour intrusion dans le lycée et apologie du terrorisme. L’enquête est en cours. Lundi 4 décembre, […]

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SDF morts de froid dans la rue : Macron préfère les migrants


SDF morts de froid dans la rue : Macron préfère les migrants

 


Lancement de l’opération Génération Solidaire pour l’hiver 2018


Le froid a fait sa première victime en ce début de mois de décembre au Grau du Roi. Un drame qui résonne tragiquement avec l’objectif « zéro migrant dans la rue » annoncé cet été par Emmanuel Macron.


Chaque hiver ce sont pourtant des SDF français qui meurent par dizaines dans la rue. La priorité du chef de l’État de loger les « migrants » est donc une insulte lancée au visage des malheureux qui chaque année redoutent l’arrivée du froid mais aussi les centres d’hébergement où ils sont bien souvent la cible de bandes.

 

Depuis l’hiver 2012 et la mort d’un ancien légionnaire dans la rue, Génération Identitaire à travers son opération Génération Solidaire vient en aide à ceux de notre peuple qui ont connu un accident de la vie et ne connaissent plus la chaleur d’un foyer.

 

Aidez-nous à les aider et à dénoncer ce scandale qui dure depuis trop longtemps.

Immigration, asile et intégration : le Sénat rejette le budget du gouvernement

« Cette mission est globalement sous-budgétisée » estime Sébastien Meurant (LR). Le rapporteur spécial de la commission des finances va même jusqu’à qualifier le budget proposé par le gouvernement pour la mission immigration, asile et intégration « insincère ». Une accusation dont se défend Gérard Collomb, qui rappelle que « la philosophie du gouvernement est de présenter un budget sincère ». Les sénateurs centristes le soutiennent : « Votre budget doit au moins être crédité d’une recherche de réalisme. »

Côté LR, on déplore une baisse de 7% des crédits affectés à la lutte contre l’immigration clandestine. Le ministre de l’Intérieur répond que « ce n’est qu’optiquement que les crédits affectés à cette politique sont en baisse puisque la fermeture des camps de calais et de Grande-Synthe entraîne de moindres dépenses ». Ainsi, la lutte contre l’immigration irrégulière augmenterait, selon lui, « de plus de 5% » dans le budget 2018.

La politique d’asile « se taille la part du lion »

La politique d’asile du gouvernement ne convient quant à elle ni à la droite, ni à la gauche. Pour Sébastien Meurant, elle est dans un « état calamiteux ». Il regrette que celle-ci « se taille la part du lion dans cette mission » au détriment de la politique en matière d’immigration clandestine, trop « laxiste ». « La France se trouve privée de ce droit élémentaire de choisir qui on accueille chez nous », estime le sénateur.

Des propos qui seront repris avec beaucoup de virulence par Stéphane Ravier, pour qui « le gouvernement s’emploie à détruire la France et l’unité du peuple Français » avec un tel budget. Selon lui, « le programme de reconduite à la frontière n’existe plus », « le budget pour la lutte contre l’immigration irrégulière est dérisoire » et celui pour l’allocation aux demandes d’asile « relève de la provocation ». Il regrette « une diminution de 3 millions des crédits destinés aux expulsions » alors que « le budget pour l’immigration et l’asile est en hausse de 28% ».

La lutte contre l’immigration clandestine, « parent pauvre de cette mission »

Alain Dufaut (LR) a lui aussi tenu à « focaliser son propos sur la lutte contre l’immigration irrégulière » et déplore « une baisse notoire des crédits destinés à ce poste » : « C’est le parent pauvre de cette mission ». « Les crédits de frais d’éloignement sont en baisse de 10% par rapport à 2017 alors que l’éloignement des immigrés en situation irrégulière devrait être une vraie priorité », juge le sénateur.

Dany Wattebled (Les Indépendants) partage son opinion : « Dans le projet de loi de finance pour 2018, 4 600 éloignements forcés sont budgétés, c’est très insuffisant. » Pourtant, le ministre de l’Intérieur considère que la politique d’éloignement du gouvernement est « crédible » et qu’ « elle donne déjà des résultats ». (…)

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Châtellerault : quels travaux d’intérêt général pour le drogué Sidi Mohamed ?

« Centre presse » confirme chaque jour ou presque la dérive de cette ville où l’insécurité explose. Au programme le 5 décembre : drogue, incendies de poubelles, outrages envers la police… bizarrement, on ne nous parle pas encore de pompiers caillassés lors de leur intervention (en général, ça va ensemble…). Sidi Mohamed est mis en […]

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La mosquée de Stains (93), repérée comme un lieu de la mouvance salafiste, rouvre sous surveillance

Des caméras de surveillance ont été installées à l’entrée et dans la salle de prière. Une mesure qui passe mal auprès des fidèles. Des ornements orientaux encadrent l’entrée d’un vaste entrepôt situé dans une impasse où se succèdent logements sociaux et sites industriels. Ce local tout en tôle ondulée accueille la mosquée al-Rawda, à Stains […]

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Lille : admirez l’efficacité du Préfet Lalande face aux pompiers en colère ! C’est la France de Macron

Extrait de la video de FR3 montrant la colère et le désarroi des pompiers caillassés, agressés, et ne demandant qu’une chose : que ça cesse. La réponse du préfet est hallucinante, non, elle est scandaleuse. IL y a vous mais il y a les autres. Quel aveu d’impuissance… Elles peuvent rigoler les racailles, elles peuvent […]

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Procès Ligue du Midi à Montpellier : prison ferme requise contre l'un des deux prévenus

Richard Roudier et son fils tous deux membre de la Ligue du Midi, étaient jugés ce mardi au tribunal de Grande Instance de Montpellier pour la dégradation des locaux de l'association RAIH. De la prison ferme a été requise à l'encontre d'Olivier Roudier

Richard Roudier, le président du mouvement identitaire la Ligue du Midi et Olivier Roudier étaient jugés ce matin, au tribunal de Grande Instance de Montpellier, pour avoir saccagé, en juin dernier, les locaux de l’association Réseau Accueil Insertion Hérault, une association qui aide les mineurs isolés, pour le compte du Département. 

Le procureur de la République a requis deux mois de prison ferme aménageable pour Olivier Roudier et deux mois de prison avec sursis pour son père Richard Roudier. Le jugement sera rendu le 12 décembre.

Les faits se sont déroulés le vendredi 30 juin, en plein milieu de la matinée : Richard Roudier ainsi qu’une demi-douzaine de membres du mouvement d’extrême-droite entrent dans les locaux de RAIH et commencent à briser de la vaisselle, jeter des dossiers à travers la pièce, tout en scandant des slogans anti-immigration.

L’action avait été filmée et postée sur les réseaux sociaux par la Ligue du Midi.

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Pour comprendre. La mosquée d’Ayodhya : vingt-cinq ans de discorde entre hindous et musulmans

La violence qui s’est déchaînée le 6 décembre 1992 dans l’État d’Uttar Pradesh, supposée être le lieu de naissance du personnage mythologique Rama, a laissé des marques indélébiles en Inde. Elle laisse même planer une ombre sur les prochaines élections générales, qui auront lieu au printemps 2019.

La justice indienne a décidé de calmer les esprits qui s’échauffaient, à la veille du 25e anniversaire de la démolition de la mosquée d’Ayodhya, cité antique de l’État d’Uttar Pradesh considérée par les hindous comme l’ancienne capitale du royaume de Rama, le héros de l’épopée mythologique du Ramayana. Mardi 5 décembre, la Cour suprême de l’Inde a décidé “de suspendre la procédure d’appel” supposée fixer le sort de ce lieu hautement controversé, a annoncé The Indian Express, ajoutant que le dossier pourrait même être reporté de plus de dix-huit mois, “afin de ne pas interférer avec les élections générales” qui doivent se tenir au printemps 2019.

Destruction de la mosquée

Il y a un quart de siècle, le 6 décembre 1992, des fondamentalistes hindous prenaient d’assaut Babri Masjid, le lieu de culte musulman érigé en 1528 sur ce qu’ils considèrent être le lieu de naissance de Rama. Comme le rappelle The Hindustan Times dans une chronologie illustrée, l’endroit a été disputé durant de longues années et l’est toujours aujourd’hui, les nationalistes hindous souhaitant profiter de la présence d’un des leurs, Narendra Modi, à la tête du gouvernement, pour bâtir à Ayodhya un nouveau temple dédié à Rama. Le journal a retrouvé des participants à la destruction de la mosquée, dont Hajari Lal, qui est persuadé qu’un édifice de deux étages, reposant sur 212 colonnes”, verra bientôt le jour. C’était avant que la Cour suprême ne douche ses espoirs.

 La gauche indienne, constituée notamment des différents partis communistes du sous-continent, entend commémorer le 6 décembre comme “une journée noire”, indique le Deccan Chronicle, d’autant que cette date correspond à l’anniversaire de la mort de Babasaheb Ambedkar, le père de la Constitution, grâce à qui l’Inde est “une démocratie laïque”.

Violences interreligieuses

Les événements de 1992 avaient ouvert en Inde une longue période de violences interreligieuses durant laquelle plus de 2 000 personnes avaient trouvé la mort, dont 900 lors de terribles émeutes à Bombay, puis 250 autres dans différents attentats à la bombe, toujours à Bombay. Selon Asaduddin Owaisi, leader du principal parti musulman du pays (AIMIM), l’avenir d’Ayodhya reste “entre les mains de la justice” et ne doit pas être instrumentalisé “à des fins religieuses”, même si les fondamentalistes hindous “veulent en tirer profit pour les élections de 2019”, rapporte The News Minute.

The Hindu, de son côté, rappelle que la Cour suprême a relancé en avril dernier “les poursuites pour complot criminel” contre trois dirigeants de l’actuel parti au pouvoir, le BJP, accusés d’avoir incité les fondamentalistes hindous à démolir Babri Masjid il y a vingt-cinq ans. Dans l’hebdomadaire Open, l’écrivain et éditorialiste Swapan Dasgupta revient en détail sur cette journée du 6 décembre 1992 qui a laissé des marques indélébiles en Inde. La destruction de la mosquée d’Ayodhya marqua, selon lui, “la fin du consensus que Nehru était parvenu à établir après l’Indépendance”.

Construire un temple hindou sur les ruines de la mosquée

“Si les cercles intellectuels persistent à considérer que la construction d’un nouveau temple hindou dédié à Rama sur les ruines de la mosquée serait une offense au principe de laïcité inscrit dans la Constitution indienne, écrit Swapan Dasgupta, l’idée est en train de s’installer dans l’opinion que s’opposer à cette reconstruction représenterait un risque électoral énorme”, 80 % des Indiens se déclarant de confession hindoue.
Sur le site d’information The Wire, le journaliste Krishna Pratap Singh fait remarquer que si Yogi Adityanath, le prêtre hindou traditionaliste porté il y a quelques mois à la tête de l’Uttar Pradesh sous les couleurs du BJP, “rêve de construire le temple de Rama”, Narendra Modi, lui, “préférerait temporiser” afin d’assurer un large rassemblement sur son nom et garantir sa reconduction en 2019 pour un nouveau quinquennat. En décidant de ne rien décider pour le moment sur l’avenir d’Ayodhya, la Cour suprême aurait donc exaucé le vœu du premier ministre.

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La fin du califat de Daesh

 

Analyse d'Antoine de Lacoste pour les lecteurs du Salon Beige :

Unknown-34"La dernière ville tenue par Daesh en Syrie a été reprise par l'armée syrienne il y a quelques jours : elle s'appelle Abou Kamal et se situe le long de l'Euphrate, près de la frontière irakienne. Cet évènement n'a été, à de rares exceptions près, que peu souligné par les médias. Il est vrai que ces derniers ont traité la guerre en Syrie de façon assez particulière depuis son déclenchement...

Pourtant, l'évènement est d'importance.

La proclamation du califat par l'Etat islamique le 29 juin 2014 a été un événement considérable car dans le monde musulman, le califat a une portée symbolique très forte. Il rappelle les grandes puissances que furent les califats de Damas, de Bagdad, du Caire et bien sûr le califat ottoman tout au long des siècles. Age d'or de l'islam, parfois très amplifié, mais qui continue à séduire et à susciter des engagements fanatiques comme l'a prouvé la guerre en Syrie.

Ce vieux rêve d'une unification musulmane qui abolit les frontières, héritage pour beaucoup de la colonisation occidentale, a repris corps lorsque Abou Bakr al-Baghdadi a proclamé le califat et exigé un serment d'allégeance des musulmans du monde entier.

Cet acte symbolique a eu un retentissement tel que des dizaines de milliers de volontaires sont venus en Syrie accomplir un devoir considéré comme sacré, car prélude à la conquête mondiale du monde par l'islam.

Les islamistes syriens se sont pourtant divisés sur cette question. Une partie des militants d'Al Nosra, affiliés alors à Al Quaida, étaient hostiles à cette proclamation car ils pensaient qu'une concrétisation territoriale avant la victoire en Syrie ne pourrait qu'aider le régime. En effet, un acte aussi symbolique risquait de faire basculer beaucoup d'indécis sunnites dans le camp de Bachar.

C'est en effet ce qui s'est passé tant la perspective de vivre sous la loi de l'Etat islamique était peu attrayante pour l'élite sunnite syrienne qui s'était toujours accommodée du régime alaouite.

Elle a également renforcé la volonté des alliés de la Syrie, Iran et Hezbollah libanais en tête, de ne pas laisser les islamistes sunnites gagner la guerre. La perspective de se retrouver avec un califat islamiste à leurs portes ne les enchantait pas vraiment...

En suscitant des milliers de volontaires caucasiens, elle a également aidé à l'intervention russe, guidée par bien d'autres raisons il est vrai. Mais la perspective de pouvoir éliminer l'élite islamiste tchétchène, ouzbeke ou turkmène a intéressé Poutine comme il l'a lui même déclaré.

Et pourtant l'Etat islamique a failli gagner : si la France et les Etats-Unis avaient effectivement bombardé la Syrie comme François Hollande et ses conseillers en rêvaient en août 2013, nul doute que cela aurait accéléré la déliquescence d'une armée syrienne assez démoralisée.

Al Nosra, d'où sont issues les forces vives de Daesh, était alors le mouvement islamiste le plus puissant et la proclamation de l'Etat islamique aurait pu se faire non à Raqqa mais à Damas...

Mais aujourd'hui Daesh est vaincu et il faut saluer cette bonne nouvelle. Il faut la saluer mais il ne faut pas se faire d'illusion : de nombreux militants de l'Etat islamique sont dans la nature et, pour certains, déjà en Europe.

De plus, Al Nosra a profité des derniers mois exclusivement consacrés à la lutte contre Daesh pour se renforcer. Ce mouvement a beau s'appeler maintenant Fatah al Cham et ne plus être affilié à Al Quaida, il est exactement le même et ses militants sont aussi sanguinaires que ceux de Daesh. Seule la question tactique divisait ces deux organisations.

Les Syriens sont encore loin d'en avoir fini avec les islamistes.

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L'immigrationnisme des libéraux a pour origine leur conception individualiste de la société

 

Robert Skidelsky, professeur émérite d'économie politique à l'université de Warwick, publie une analyse dans Les Echos

Images-11"La sociologie, l'anthropologie et l'histoire ont apporté d'importantes avancées au débat sur l'immigration. Elles permettent notamment d'affirmer que l'hostilité à l'égard de l'immigration de masse ne peut être réduite à une protestation contre les pertes d'emplois, la baisse des salaires et les inégalités croissantes. L'économie a certainement joué un rôle dans la montée de la politique d'identité, mais la crise d'identité ne sera pas simplement effacée par des réformes économiques. Le bien-être économique n'est pas la même chose que le bien-être social.

Commençons malgré tout par l'économie, en utilisant le Royaume-Uni, qui s'apprête à sortir de l'UE, comme un cas d'espèce. Entre 1991 et 2013, il y a eu un afflux net de 4,9 millions de migrants nés à l'étranger en Grande-Bretagne. La théorie économique nous dit que l'immigration nette, comme le libre-échange, ne profite à la population autochtone qu'avec un certain retard. L'argument ici est que si l'on augmente la quantité de main-d'oeuvre, son prix (les salaires) baisse. Cela permet d'augmenter les bénéfices. L'augmentation des bénéfices conduit à davantage d'investissements, qui vont augmenter la demande de main-d'oeuvre, ce qui va renverser la première tendance à la baisse des salaires. L'immigration permet ainsi à une population plus nombreuse de jouir du même niveau de vie que la population moins nombreuse dans la situation précédente, d'où une nette amélioration du bien-être total.

Une étude récente de l'économiste de l'université de Cambridge Robert Rowthorn a toutefois montré que cet argument comporte de nombreuses lacunes. Les prétendus effets temporaires en termes de travailleurs autochtones déplacés et de salaires plus bas peuvent durer cinq ou dix ans, alors que les effets bénéfiques supposent une absence de récession. Et même sans récession, s'il y a un afflux de migrants, plutôt qu'une augmentation exceptionnelle de la taille de la main-d'oeuvre, la demande de main-d'oeuvre peut constamment être en retard sur la croissance de l'offre. La « thèse selon laquelle les migrants occupent les emplois de travailleurs locaux et poussent leurs salaires vers le bas est peut-être exagérée, dit Rowthorn, mais elle n'est pas toujours fausse ».

Un deuxième argument économique est que l'immigration va rajeunir la main-d'oeuvre et va stabiliser les finances publiques, parce que les jeunes travailleurs importés vont générer les impôts nécessaires pour financer un nombre croissant de retraités. La population britannique devrait dépasser les 70 millions d'habitants avant la fin de la prochaine décennie, soit une augmentation de 3,6 millions, ou 5,5 %, en raison de l'immigration nette et de l'excédent des naissances sur les décès parmi les nouveaux venus. Rowthorn rejette cet argument. « Pour maintenir une fois pour toutes une réduction du taux de dépendance, il faut un flux incessant de migrants. Une fois que l'afflux s'arrête, la structure des âges revient à sa trajectoire d'origine. » Ainsi, même avec des résultats optimaux comme l'évitement de la récession, les arguments économiques en faveur de l'immigration à grande échelle ne sont guère concluants. Ainsi le noeud de la question est vraiment son impact social. 

David Goodhart, ancien rédacteur en chef de la revue « Prospect », a plaidé en faveur de la restriction d'un point de vue social-démocrate. Il tient pour acquis que la plupart des gens préfèrent vivre avec leurs semblables et que les décideurs doivent prêter attention à cette préférence. Une attitude de laisser-faire quant à la composition de la population d'un pays est aussi intenable que l'indifférence quant à sa taille. Pour Goodhart, l'origine de l'hostilité des libéraux à propos des contrôles migratoires est leur conception individualiste de la société. À défaut de comprendre l'attachement du peuple à des communautés sédentaires, ils taxent l'hostilité à l'égard de l'immigration de réaction irrationnelle ou raciste.

Un afflux trop rapide de migrants affaiblit les liens de solidarité et érode à long terme les liens affectifs nécessaires pour maintenir l'Etat providence. « Les gens préféreront toujours leur propre famille et leur propre communauté, affirme Goodhart, c'est la tâche d'un libéralisme réaliste de s'efforcer d'obtenir une définition de la communauté suffisamment large pour inclure les personnes de différentes origines, sans être trop large au point de perdre toute signification. » Les libéraux économiques et politiques sont associés dans la défense d'une immigration sans restriction. Les libéraux économiques considèrent les frontières nationales comme des obstacles irrationnels à l'intégration mondiale des marchés. De nombreux partis politiques libéraux considèrent les Etats-nations et les loyautés qu'ils inspirent comme des obstacles à l'intégration politique plus large de l'humanité.

Sur ce point se joue le plus vieux débat des sciences sociales. Les collectivités peuvent-elles être créées par la politique et les marchés, ou bien est-ce qu'elles présupposent un sentiment d'appartenance ? Il me semble que quiconque réfléchit à ces questions est forcé d'accepter avec Goodhart que la citoyenneté, pour la plupart des gens, est une chose dans laquelle ils sont nés. Si la composition d'une communauté se modifie trop rapidement, cela arrache les gens à leur propre histoire, en en faisant des déracinés. L'anxiété des libéraux de ne pas passer pour des racistes leur cache ces vérités. Une explosion de ce que l'on appelle actuellement le populisme est une conséquence inévitable.

La conclusion politique à tirer est banale, mais il est bon de la rappeler. La tolérance d'un peuple au changement et à l'adaptation ne doit pas être étendue au-delà de ses limites. Plus précisément, l'immigration ne doit pas être poussée trop loin, parce qu'elle déclenchera à coup sûr l'hostilité."

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Film : La persécution des chrétiens aujourd’hui dans le monde

Raphaël Delpard, romancier et cinéaste français, vient de réaliser un film documentaire sur La persécution des chrétiens aujourd’hui dans le monde, cette éradication sournoise et violente qui touche 210 millions de femmes, d’hommes et d’enfants dans 50 pays… Enrichis de nombreux témoignages de rescapés, ce film de 90 minutes doit être vu et connu de tous. En attendant la vidéo de ce film, qui devrait être commercialisée en janvier prochain, vous pourrez le découvrir à Paris mais dans une seule salle, celle du Lucernaire (53 rue Notre-Dame-des-Champs, 75006 Paris). Ce seront sans doute les dernières projections cette semaine au Lucernaire : vendredi 8 et samedi 9 décembre à 14 h, 15 h 45 et 17 h 30, puis dimanche 10 décembre à 14 h et 17 h 30. Ne les ratez pas et informez votre carnet d’adresses !

On peut acheter par avance son billet d’entrée sur le site Internet du cinéma Le Lucernaire : c’est ici…

Ci-dessous, la bande annonce du film :

Source et Video