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mardi, 19 décembre 2017

France, Malte, Italie…, même invasion, même solution : foutons-les dehors !

Caen (Calvados) : le poumon perforé par 4 Pakistanais

Vers 17 heures, le mardi 28 novembre 2017, rue des Jacobins à Caen (Calvados), près du commissariat de police, 4 Pakistanais clandestins frappent un jeune homme à terre. De leurs fenêtres, des riverains hurlent d’arrêter. Le quatuor sera interpellé sous les arcades du théâtre, 100 mètres plus loin. La victime, un couteau planté dans le dos laiss derrière elle des traînées de sang sur le trottoir : poumon perforé sur 5 cm de profondeur.

Les quatre jeunes envahisseurs, arrivés « mineurs isolés » en France, sont encore scolarisé. En comparution immédiate au tribunal de grande instance de Caen, Abdul Saad, 19 ans et Arslan Afzal, 18 ans, écopent de six mois de prison ferme ; Qasim Ali, 18 ans, porteur du couteau et qui a fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français à Caen depuis deux ans, écope de 10 mois ferme, tout comme le porteur du poing américain, Ahsam Raza, 20 ans.

Des mesures d’éloignement non-exécutées qui auraient pourtant sans doute permis d’éviter ce nouveau drame de l’échec d’un « vivre-ensemble » imposé et qui est pourtant totalement utopique.

Ferrara (Italie) : une jeune femme passée à tabac par 5 envahisseurs

Sandra a été battue par 5 étrangers qui voulaient la voler. C’est arrivé à Ferrara, dans la région d’Acquedotto, il y a quelques jours. Son visage porte encore les marques des blessures et des coups violents : « Je ne me souviens pas s’ils m’ont frappé avant que je m’évanouisse ou si je m’étais déjà évanoui et s’ils ont continué à me frapper. La seule chose dont je me souviens est ma tête qui touche le banc et leurs poings sur le côté droit du visage. Je me suis réveillé avec des douleurs dans les côtes. »

Les cinq envahisseurs extra-européens n’ont pas encore été interpellés. « Ils n’ont pas été encore reconnus parce que je ne me souviens pas de leurs visages, et les caméras-surveillance ne les ont pas pris ».

« Être attaqué, battu, laissé inconsciente dans un endroit froid… Je ne pense pas que ce soit le résultat d’une ville tranquille », ajoute Sandra, approuvée en cela par Nicola Lodi, élu de la Ligue du Nord. Celui-ci a été l’un des premiers à réagir à ce fait divers. Il a appelé à la création de patrouilles citoyennes dans la zone où Sandra a été agressée.

Paris : 700 000 € pour les Marocains mineurs de la Goutte d’Or

La capitale française doit faire face à un arrivage incontrôlé de jeunes marocains errant dans le quartier de la Goutte d’or. Réfugiés là, ces envahisseurs âgés de 14 à 17 ans environ (aucune preuve ne pouvant attester de leur âge), dorment dans un square et vivent de larcins. Depuis le mois de février 2016, le quartier voit affluer ces silhouettes juvéniles. Les premiers arrivants avaient 9 ou 10 ans. La seconde vague, entre 14 et 17 ans. Certains sont à peine majeurs.

Côté sécurité, la police a procédé à 395 interpellations depuis septembre, essentiellement pour des vols, certains avec violence. « On n’est pas dans le simple chapardage », ajoute Michel Delpuech. « Ces clandestins sniffent de la colle, boivent, agressent les passants, volent et refusent les prises en charge proposées ». « Ils ont tous transité par l’Espagne où ils sont passés par des foyers d’accueil avant de poursuivre vers la France », assure la présidente de l’Amesip (Association marocaine d’entraide aux mineurs en situation précaire), Touraya Bouabid, mandatée pour une mission sur place fin octobre.

Et elle confirme qu’ils ne sont ni pauvres ni persécutés : « Presque tous sont issus de la classe moyenne et ont un membre de leur famille au Maroc », a-t-elle écrit dans son rapport…

Réaction d’Anne Hidalgo de la Ville de Paris : lors du prochain Conseil, le 11 décembre, une subvention de 684 967 euros sera soumise au vote de l’assemblée. Elle servira à lancer plan d’ampleur, sous convention avec le Centre d’action sociale protestant (CASP) qui travaillera en partenariat avec des associations rompues à la prise en charge des jeunes en errance : « Aux Captifs la Libération » et « Trajectoires ». La ville veut ainsi augmenter les dispositifs tels que les maraudes, les aides sociales à l’enfance et les suivis psychiatriques. L’enveloppe permettra également de financer un centre d’hébergement de nuit.

Malte : l’armée en renfort contre la criminalité des envahisseurs

La montée des « comportements antisociaux », imputable principalement à la communauté des envahisseurs provenant de Libye résidant dans la localité de Marsa, a poussé le gouvernement à faire appel à l’armée pour venir en aide à la police. Le ministre de l’Intérieur maltais Michael Farrugia a annoncé des mesures fortes afin d’assurer le maintien de l’ordre public, et tout particulièrement dans les points chauds frappés par la délinquance et la criminalité. « L’armée va aider la police en effectuant des patrouilles dans des zones problématiques telles que Marsa, Birzebbuga, Paceville et la Baie de Saint Paul », a ainsi déclaré le membre du gouvernement lors d’une conférence dans la localité de Marsa.

Une mesure adoptée pour faire face aux préoccupations croissantes des habitants quant à la multiplication des « comportements antisociaux », selon un quotidien, qui rapporte que ceux-ci, à Marsa, sont principalement imputables à la présence d’une importante communauté locale de ce que les médiats menteurs et politiciens complices nomment pudiquement « migrants »… 

Pourtant l’expulsion des fauteurs de troubles n’est même pas envisagée. Au contraire Michael Farrugia affirme que le pays a trop longtemps négligé les questions d’intégration. Et il a ainsi souligné la nécessité de renforcer les mesures d’éducation et d’intégration à l’égard de cette population sensible, précisant que son ministère consacrerait des fonds de l’Union européenne à des programmes visant à sensibiliser les communautés de ces étrangers aux lois et coutumes du pays…

A Lyon et Grenoble des universités occupés par les colons étrangers

A l’université Lumière Lyon-II puis à l’université Grenoble Alpes, des associations et des étudiants ont investi des locaux tout en demandant à l’Etat d’apporter une solution pérenne aux clandestins extra-européens qui déferlent un peu partout dans les grandes villes françaises.

Un amphithéâtre du campus de l’université Grenoble Alpes (UGA) a été investi lundi 4 décembre par des associations afin de « mettre à l’abri » (selon la propre terminologie des anarcho-gauchistes) une centaine d’envahisseurs . « On ne veut pas faire dormir les gens ad vitam æternam ici, mais on veut mettre la pression sur la préfecture, qui est compétente, afin que soit trouvé un hébergement pérenne », a déclaré un militant de Droit au logement Isère, s’exprimant pour les associations et syndicats complices de l’invasion qui veulent la disparition des européens sur leur propre sol : Assemblée des mal logés, La Patate chaude, CNT, CGT, UNEF, Solidaires qui ont mené cette action. Une source à la préfecture a indiqué que celle-ci avait été « avisée » de cette occupation par la direction de l’université, mais qu’« il n’y a pas de demande d’évacuation »…

C’est la deuxième fois en quelques semaines que les militants de la disparition des peuples européens autochtones organisent une occupation illégale d’université par des clandestins étrangers. A Bron, dans la banlieue lyonnaise, un amphithéâtre de l’université Lumière Lyon-II est occupé depuis le 16 novembre par des étudiants qui y « logent » une cinquantaine de colons extra-européens, une situation « indigne » pour la présidente de l’établissement, Nathalie Dompnier, qui avait demandé une solution à l’Etat.

Après deux semaines d’occupation, la préfecture a proposé, vendredi, l’ouverture d’un gymnase à Meyzieu (banlieue est de Lyon) pour les accueillir une dizaine de jours. La solution a été refusée par les intéressés et les étudiants qui les soutiennent…

Paris : le « trottoir des 40 000 » boulevard de la Villette

« Le trottoir des 40 000  », c’est comme ça que l’ont baptisé les riverains. Car depuis près de deux ans, ils ont compté que 40 000 envahisseurs avaient dormi, parfois plusieurs nuits d’affilée, sur une centaine de mètres de ce boulevard de la Villette devant le « Pada » (Plateforme d’accueil des demandeurs d’asile). Étape indispensable pour les demandeurs d’asile primo-arrivants isolés, cet unique centre – un autre existe à Paris pour les familles -, géré par France Terre d’asile, délivre, chaque matin, un certain nombre de rendez-vous, pour l’examen de leur dossier, dans l’une des huit préfectures d’Île-de-France.

Devant l’afflux de ces nouveaux colons destinés à prendre la place des autochtones, le centrel est perpétuellement engorgé. Et aujourd’hui, les habitants sont « à bout ». Le 18 décembre, ils attendent « les élus de tous bords » pour signer leur pétition. « Sans un engagement clair sur la fermeture du système avant le 1er janvier », ont-ils écrit au président de la République, ils entameront une grève de la faim.

Un commerçant explique : « Cela devient invivable. Le matin, on doit enjamber les matelas devant notre porte. On ne peut plus recevoir de clients. » Lors des réunions d’un collectif, « des commerçants ont dit qu’ils allaient acheter un fusil ; qu’ils s’en fichaient d’aller en prison, car c’était ça ou la clé sous la porte »…

 

En Europe, partout le même déferlement d’envahisseurs extra-européens !

Une invasion migratoire encouragée et organisée par les associations de traîtres qui accomplissent le plan du judaïsme politique : le génocide des Européens par l’action conjuguée d’une immigration extra-européenne massive et de l’avortement généralisé. Le tout avec la complicité des gouvernements mondialistes et des médiats-menteurs !

Avec nous, avant qu’il ne soit trop tard, foutons-les dehors !

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