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samedi, 31 mars 2012

Lomme (59) : un couscous annulé, une victoire pour notre identité !

Il n'a pas fallu longtemps ! A peine annoncée (cliquez ici), la soirée "couscous royal hallal" de Lomme est annulée : les collabos de l'islamisation rampante et les couards de la dhimmitude ont vite fait marche arrière ! La détermination de nos jeunes camarades flamands, artésiens et hennuyers à défendre nos identités régionales, nationale et européenne notamment en s'opposant à l'islamisation rampante de nos terres ancestrales est désormais bien connue, crainte et respectée.

 

Pas de couscous hallal en plat unique obligatoire pour les jeunes lommois et leurs familles ! Une belle victoire identitaire !

 

Lire sur ce sujet le site de la Vlaams huis cliquez là

vendredi, 30 mars 2012

Lomme (Nord) : banalisation et dhimmitude...

1161651864.jpgAvec la bénédiction et l'assistance de la municipalité collaborationiste de Lomme, une association de parents d'élèves tient à manifester sa profonde dhimmitude en organisant pour le 12 mai prochain une soirée "Couscous Royal". Les familles, avisées de la chose par l'intermédiaire du carnet de correspondance de leurs chères têtes blondes, sont sans doutes satisfaires d'apprendre que le couscous en question sera tout à fait hallal et "cuisiné par du personnel musulman dans le respect de la tradition" .

 

Nos jeunes camarades de la Vlaams Huis, de Opstaan, de l'Artésienne et du Hainaut Non Conforme ne manqueront pas de s'intéresser vivement à cette scandaleuse initiative.

 

Source cliquez ici

 

jeudi, 29 mars 2012

Flandre : de la poudre blanche envoyée à Filip Dewinter, initiateur des campagnes européennes contre l'islamisation...

 

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Le secrétariat national du Vlaams Belang, situé Place Madou à Bruxelles, a reçu lundi matin une lettre, contenant de la poudre blanche, adressée au chef de file du parti Filip Dewinter "et à sa fille".

La fille de Filip Dewinter avait posé récemment en bikini et en niqab dans le cadre d'une campagne anti-islam de la formation nationaliste d'extrême-droite.

Le quatrième étage de l'édifice où se trouve le service d'accueil du parti a été évacué et mis sous scellés.

Ce n'est pas la première fois que le Vlaams Belang reçoit ce type de courrier.

L'enveloppe n'a pas été ouverte. Elle a été emportée par la Protection civile en vue d'un examen de son contenu, a indiqué la police de la zone de Bruxelles Nord (Schaerbeek/Saint-Josse-ten-Node/Evere).

Source 7sur7 cliques là

Filip Dewinter est l'initiateur courageux de campagnes européennes contre l'islamisation. Il mène, au niveau européen, les initiatives de lutte contre le développement de l'islam telles "Les villes contre l'islamisation" et, dernièrement, "Les femmes contre l'islamisation" (cliquez ici). Visiblement ces campagnes commencent à déranger..

jeudi, 15 mars 2012

LES FEMMES D'EUROPE CONTRE L'ISLAMISATION !

 Le lancement à Anvers de la campagne européenne

"LES FEMMES CONTRE L'ISLAMISATION"

lundi, 12 mars 2012

L'ISLAM CHEZ LUI, CHEZ NOUS...

Islam-chez-lui-chez-nous-quadri.jpg« Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature contestable, mais qui est en même temps une religion par nature intouchable… Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un “printemps arabe” à l’envers. La “fille aînée de l’Église” sera devenue “la fille cadette de l’islam” »

Entretien avec Norbert Multeau à propos de son livre L’islam chez lui chez nous (propos recueillis par Fabrice Dutilleul)

Ce livre semble répondre à l’actualité, notamment sur la consommation cachée de viande Hallal dans notre pays…

Voyez le programme de tous les candidats à l’élection présidentielle : combien prenne en compte le danger islamiste lié à l’immigration musulmane ? Or cela me paraît être le problème majeur, bien plus grave que la dette, de notre époque et des années à venir. Il n’y a jamais de vrai débat sur le sujet car il est impossible de se livrer à une analyse critique des fondements idéologiques de l’islam sans être accusé « d’islamophobie », de « racisme », de « fascisme »… et cela clôt aussitôt le débat. Quand un massacre de chrétiens se commet quelque part dans le monde, c’est, nous disent les bien-pensants, « stigmatiser » l’islam dans sa globalité que de dénoncer les criminels qui agissent ainsi au nom de la charia et du djihad. Alors voici un livre pour dire les choses comme elles sont et non comme on voudrait qu’elles soient. Un livre qui a été refusé par tous les éditeurs auxquels j’en ai soumis l’idée… à l’exception de Philippe Randa, directeur des éditions de L’Æncre.

Ne faîtes-vous pas un amalgame sommaire entre l’immigration qui est un problème politique et social… et l’islam qui une religion ?

Les deux ne font qu’un. L’immigration arabe en France est un problème crucial parce qu’elle est d’abord un problème religieux. Un habitant de la planète sur quatre est musulman. L’objectif de l’islam, sa vocation historique comme sa mission divine, est de convertir les trois autres. Le monde non-musulman ne semble pas s’apercevoir que l’islam, conscient de sa force, réactive son projet multi-séculaire de domination de l’univers : imposer partout le « règne d’Allah » et la loi coranique. En France, l’immigration à flot continu aboutit, non au « choc des civilisations » – tout se passe sans heurt violent –, mais à l’évincement progressif de l’une (la chrétienne) par l’autre (la musulmane). Et cela dans l’indifférence des élites, quand ce n’est pas avec la complicité des « activistes du métissage » comme les appelle Péroncel-Hugoz qui a préfacé L’islam chez lui chez nous. L’intelligentsia française, en particulier, ne semble pas saisir le sens de l’ampleur de ce qui se passe sous ses yeux. Elle voit ce qu’elle veut croire, mais ne veut pas croire ce qu’elle voit.

Cet essai « colérique » n’est-il pas un peu court pour analyser objectivement un sujet comme celui-ci ?

Je sais bien qu’on me reprochera d’être simpliste et manichéen, parce que l’islam « c’est plus compliqué que ça »… Je ne fais pas œuvre d’historien ni de philosophe. Je vais à l’essentiel. Je prends les choses au point où elles en sont. Ici, maintenant. Voici ce qu’est l’islam : une force croyante, conquérante, féconde. Voici ce qu’est l’Occident : une civilisation honteuse d’être ce qu’elle est, qui n’affirme plus rien, qui ne se défend plus…

Pensez-vous la situation irréversible ?

Il faut en finir avec l’illusion d’un islam modéré avec lequel nous pourrions cohabiter sans y perdre notre âme. Il faut prendre conscience de l’islamisation rampante des esprits, des mœurs, et même des lois de la République. Il faut dénoncer le piège d’une idéologie, par nature contestable, mais qui est en même temps une religion par nature intouchable… Sinon, dans cinquante ans, la France connaîtra un « printemps arabe » à l’envers. La « fille aînée de l’Église » sera devenue « la fille cadette de l’islam. »

L’islam chez lui chez nous, Norbert Multeau,
Éditions L’Æncre, collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux »,
dirigée par Philippe Randa,
134 pages, 18 euros.

10:12 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 10 mars 2012

Photos de la réunion "LES FEMMES CONTRE L'ISLAMISATION" à Anvers mardi dernier...

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Photos de la réunion cliquez ici

mercredi, 07 mars 2012

Lancement de la campagne européenne des "Femmes contre l'islamisation" mardi à Anvers : Anne Kling représentait les femmes françaises à cette manifestation.

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Le 1er meeting des Femmes contre l'islamisation mardi soir à Anvers en présence de plus de 400 personnes.

Hier, mardi, a été lancée officiellement à Anvers la campagne européenne initiée par Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang, sur le thème : "Les femmes contre l'islamisation".

Une conférence de presse s'est tenue en présence de déléguées venues de toute l'Europe parmi lesquelles la député autrichienne du FPO Suzanne Winter, l'Anglaise J. Cook, notre amie Judith Wolter, de Pro Koln qui a participé à plusieurs de nos journées de Synthèse nationale, et, bien sûr, la courageuse Anne Sophie Dewinter, fille de Filip, qui représentait la Flandre et qui est à l'origine de cette campagne.

La délégation française était conduite par notre amie Anne Kling. Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, était aussi présent à cette conférence européenne.

Le soir, un 1er meeting des "Femmes contre l'islamisation" a rassemblé plus de 400 personnes dans la capitale de la Flandre. Vous trouverez ci-dessous le texte de l'intervention d'Anne Kling lors de ce meeting.

Dans les jours qui viennent, nous vous tiendrons informés de l'évolution de cette campagne.

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En attendant, voici le texte de l'intervention prononcée par Anne Kling lors du 1er meeting des Femmes contre l'islamisation mardi soir à Anvers :

Lorsque l’on parle de l’islamisation de nos sociétés, il convient d’avoir clairement à l’esprit que cette islamisation a été, et est toujours, encouragée et protégée par un certain nombre d’instances européennes.

Des instances qui n’ont en rien été créées à cet effet, et qui tout au contraire ont été créées pour défendre en premier lieu les Européens. Plus encore, pour défendre les valeurs de démocratie et de liberté. Au premier rang desquelles figurent les libertés d’opinion et d’expression.

Il est stupéfiant de constater à quel point ces buts premiers – et fondateurs – ont été détournés – ou plus exactement retournés - pour devenir dans la réalité des instruments destinés à museler ces mêmes Européens et à les empêcher de réagir aux substitutions de population qui avaient été décidées et s’opéraient dans le même temps.

Je vais illustrer mon propos, de façon quasi caricaturale mais pourtant totalement véridique, par les démêlés épiques que j’ai eus avec l’instance européenne qui m’employait alors – et qui m’a employée jusqu’à une époque récente – à savoir le Conseil de l’Europe.

Des démêlés causés directement par mes activités politiques et associatives, qui elles-mêmes étaient étroitement liées à l’immigration massive et à l’islamisation qui s’en est automatiquement ensuivie.

Et vous verrez de quelle façon cette organisation, qui se qualifie d’organisation de droit vouée à défendre les nobles valeurs que sont en théorie liberté d’opinion et liberté d’expression, traite dans la réalité ceux qui osent s’écarter de la pensée dominante. C’est-à-dire ceux qui combattent l’islamisation de nos sociétés.

Il faut savoir que le statut du Conseil de l’Europe autorise ses agents à se livrer à des activités politiques et associatives, à condition naturellement qu’elles soient licites et qu’elles ne se réclament pas de l’Organisation. Ce qui est la moindre des choses.

Le premier des conflits liés à mes activités, conflit qui démarre en l’an 2000, ne concernait pas directement le Conseil de l’Europe. Un tract qui établissait un lien entre immigration musulmane et délinquance des jeunes et qui émanait d’une association sur la sécurité dont je m’occupais alors, fut distribué durant une campagne municipale. Ce tract déplut fortement à la LICRA - Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme – qui fit le nécessaire pour que je sois renvoyée en correctionnelle, sous l’habituelle accusation d’incitation à la haine raciale, en 2001. Je fus relaxée. Mais j’étais désormais sous haute surveillance de la part de l’organisation qui m’employait.

Un peu plus tard, dans le cadre de l’association Défendons notre identité que je présidais, une pétition dénonçant l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne fut initiée. Or, la Turquie est membre du Conseil de l’Europe. Ses représentants allèrent derechef demander ma tête au secrétaire général de l’organisation, qui était alors l’Autrichien Walter Schwimmer. J’avais strictement respecté les conditions prévues par le statut et agi en ma seule qualité de citoyenne française. Ce qui n’empêcha nullement que satisfaction fut immédiatement donnée aux Turcs et je fus révoquée sans plus de cérémonie en octobre 2002. Je fus donc mise à la porte pour avoir manifesté dans un tract mon opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne.

J’intentai un procès que, ô surprise, je gagnai en mai 2004. Le tribunal ordonna ma réintégration au Conseil de l’Europe.

Le secrétaire général et ses amis turcs furent fort mécontents et comme ils souhaitaient avoir néanmoins le dernier mot, une nouvelle procédure disciplinaire fut illico déclenchée contre moi. Toujours pour les mêmes motifs. Contrairement à leurs espérances, cette nouvelle procédure qui était censée bétonner davantage l’accusation, se solda par un pétard mouillé. Puisqu’un simple blâme fut requis par la commission de discipline pour mes crimes.

Après ma réintégration, je fus donc officiellement blâmée pour mes propos dénonçant l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Seconde sanction.

Je poursuivis mes activités extraprofessionnelles, qui ne concernaient toujours en rien mon employeur et dans ce cadre extérieur, je publiai en 2006 un livre, La France LICRAtisée, qui est une enquête sur l’association publique qu’est la LICRA et l’influence démesurée qu’elle a exercée sur la vie politique française. J’y parlais notamment de son fort soutien à l’immigration arabo-musulmane et j’énonçais un certain nombre de vérités sur l’islam. De vérités basiques, que tout un chacun pouvait aisément constater.

Ce livre n’a donné lieu à aucune poursuite judiciaire, il n’y avait strictement aucune raison de le faire. Du reste, la LICRA cette fois, s’est bien gardée d’attirer l’attention sur un ouvrage qui la dépeignait avec précision depuis sa création.

Mais le Conseil de l’Europe – en la personne de son nouveau secrétaire général, qui était cette fois Terry Davies, un travailliste britannique, ce qui prouve que si les têtes changent, la politique reste strictement la même – estima que les propos sur l’islam que je tenais dans cet ouvrage étaient intolérables et devaient être à nouveau lourdement sanctionnés. Car il paraît que ces propos étaient contraires aux valeurs prônées par le Conseil de l’Europe. Quelles valeurs ? Apparemment pas celles de la liberté d’opinion ou d’expression. Mais plutôt celles du dialogue interculturel, qui était la nouvelle religion révélée, au nom de laquelle toute critique devait être bannie.

Que faire ? Me renvoyer une seconde fois était un peu trop voyant. La sanction qui suivait immédiatement le renvoi était la rétrogradation. Une troisième procédure disciplinaire – présidée cette fois par un agent de l’organisation qui n’était pas en fin de carrière comme ç’avait été le cas précédemment – fut enclenchée avec diligence.

Cette fois, la procédure se termina à la satisfaction des instances hiérarchiques: je fus rétrogradée pour avoir écrit les phrases que je vais vous citer. La citation que je vais faire est un peu longue, mais elle est nécessaire afin que vous constatiez qu’elle ne contient rien d’insultant, ni de contraire à la vérité. Il s’agit de considérations critiques sur l’islam, faites par une citoyenne européenne, dont la liberté d’expression est en principe garantie par la convention des droits de l’homme, objet de fierté de ce même Conseil de l’Europe. Ce qui n’empêcha pas ces propos d’être considérés comme virulents et agressivement racistes et punis en tant que tels. Les voici :

«On a vu les origines communistes de la LICRA. Or, les points de convergence entre le communisme et l’islam ne manquent pas : tous deux sont fondamentalement internationalistes et à ce titre, combattent ou veulent transcender les nations. Et tous les internationalismes sont par essence destructeurs d’identité nationale. Communisme et islam sont en outre animés l’un et l’autre d’un prosélytisme sectaire et entretiennent la confusion entre le politique et le religieux. Car le communisme a toujours fonctionné à la manière d’une religion nouvelle destinée à remplacer toutes les autres. Cette confusion est parfaitement incompatible avec le système de valeurs correspondant à la tradition européenne et ne peut entraîner à terme que des conflits.

Enfin, communisme et islam ont un point commun supplémentaire : ils combattent tous deux la démocratie. Même s’ils s’en défendent en s’emparant du terme pour mieux le vider de son contenu ».

« Mais si l’islamisme, comme il était inévitable qu’il le fasse, progresse chaque jour davantage, doit-on pour autant reprocher aux musulmans de pratiquer une religion dont la caractéristique est justement de n’avoir jamais évolué et d’être aujourd’hui encore, dans son essence et son expression, ce qu’elle était à l’origine ? Une religion dont nos « élites » connaissaient parfaitement la nature et les manifestations dans sa zone géopolitique naturelle ? Quelle arrogance, quelle illusion d’imaginer que l’islam pût être différent par la vertu de l’air miraculeux respiré en Europe, de ce qu’il est depuis 1 300 ans partout dans le monde ! ».

« Si les musulmans sont aujourd’hui installés chez nous en nombre sans cesse grandissant, c’est bien parce que des politiques irresponsables et veules, sous la pression d’associations dites antiracistes, mais en réalité antinationales et anti-identitaires, leur ont ouvert toutes grandes les portes sans même leur demander en contrepartie de faire l’effort de s’adapter à notre société ».

Voilà les propos qui ont entraîné ma condamnation. S’ils sont critiques, ce qui est le cas, je n’y discerne en revanche ni racisme ni xénophobie. A moins d’attribuer à ces notions un sens nouveau et inédit.

J’intentai à nouveau un procès, mais cette fois, je le perdis. Les juges du tribunal administratif – qui est un organe propre au Conseil de l’Europe – avaient eux aussi majoritairement changé, et cette fois, eux aussi donnèrent satisfaction aux instances hiérarchiques. Je fus donc définitivement rétrogradée en 2007. Troisième sanction.

C’est-à-dire qu’à défaut de pouvoir me réduire au silence, on m’attaquait au portefeuille.

Vous aurez compris à la lumière de ces péripéties, que la liberté d’expression – et la démocratie – si chères en paroles à ceux qui nous gouvernent, n’existent dans la réalité que pour ceux qui soutiennent les positions officielles de la pensée dominante. Pas pour ceux qui sont d’un avis contraire, que l’on réduit au silence en les accusant de racisme.

Je terminerai sur cet extraordinaire paradoxe : au nom de la démocratie et des droits de l’homme, il est défendu, sous peine de sanctions professionnelles et/ou judiciaires, de critiquer les manifestations ici en Europe d’une religion qui est en même temps une vision politique du monde. Et il est défendu de les critiquer y compris lorsque ces manifestations vont totalement à l’encontre des idéaux officiellement prônés, tels que le respect des droits et libertés des femmes, pour ne citer qu’un seul exemple.

Et sont punis, non ceux qui violent ces idéaux, mais ceux qui dénoncent ces dérives plus qu’inquiétantes.

Nous sommes là, déjà, dans une situation digne d’Orwell.

Il est urgent que les Européens prennent conscience de l’énorme fossé qui s’élargit de plus en plus entre les valeurs pseudo-démocratiques vertueusement proclamées par de soi-disant « élites » européennes. Et la triste réalité faite de soumission aux diktats de la pensée unique et totalitaire.

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La conférence de presse mardi après midi dans un hôtel d'Anvers. A droite, Anne Kling représentait les femmes françaises

Au cours du meeting de soutien à Carl Lang samedi 3 mars : Robert Spieler annonce le lancement d'une nouvelle campagne européenne contre l'islamisation et l'immigration...


vendredi, 02 mars 2012

Samedi prochain, 3 mars, TOUS AVEC CARL LANG A PARIS !

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