samedi, 19 mai 2012
COMMENT SURVIVRE DEMAIN EN REPUBLIQUE ISLAMIQUE FRANCAISE ?
GUIDE DE SURVIE DANS
UNE SOCIÉTÉ ISLAMIQUE
Présentation
Ce « document militant » proposé par la revue Synthèse nationale est destiné à informer les Français de ce que sera leur vie quotidienne en cas de victoire, un jour, de l’islam en Europe.
En effet, l’implantation massive de populations musulmanes, venues en particulier du continent africain, risque de modifier de façon catastrophique les coutumes et les traditions sur notre continent. Lorsqu’il s’agit d’une catastrophe, nous pensons qu’il est préférable de prévoir plutôt que de voir. Afin d’éviter bien des surprises et, au-delà, des déconvenues à nos compatriotes, nous avons donc décidé de publier ce « Guide de survie dans une société islamique ».
Nous vous conseillons, à toutes fins utiles, de conserver précieusement ce document…
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
L’Islam face aux valeurs européennes
L’augmentation spectaculaire du nombre de musulmans en Europe accroît également l’influence de l’islam dans notre société. Les immigrés musulmans apportent les normes et valeurs islamiques. L’islam est bien plus qu’une religion. L’islam est une idéologie totalitaire qui veut, plus qu’aucune autre, contrôler et régler la vie publique et privée de ses fidèles. L’islam est une religion belliqueuse caractérisée par une totale inertie.
La moindre évolution vers la modernité est hors de question (séparation de l’Église et de l’État, égalité des sexes, liberté d’expression).
Les commandements islamiques remontent à des textes obscurs écrits il y a 1.300 ans : le Coran, la parole littérale d’Allah, et les haddiths, récits rapportés de la vie du Prophète. L’interprétation de ces textes est réservée aux savants islamiques des pays musulmans. Au cours des siècles, ces théologiens se sont prononcés à propos d’une foule de questions. Cette législation religieuse musulmane est appelée la charia.
La charia est fondamentalement opposée au modèle social européen basé sur la liberté individuelle et les droits de l’homme. Les musulmans sont censés faire prévaloir les prescriptions de la charia, étant la volonté d’Allah, sur les principes développés par les hommes et les droits de l’homme. Plus de cinquante pays musulmans ont ratifié la fameuse déclaration universelle islamique des droits de l’homme, connue sous le nom de « Déclaration du Caire ». L’article 24 de celle-ci déclare que « tout droit et liberté mentionnés dans la présente Déclaration sont soumis à la charia islamique ». L’article 25 dit que « la charia est l’unique référence d’interprétation et de clarification pour tous les articles de la présente Déclaration ». Ainsi, les droits de l’homme sont dépouillés de toute signification. Tout ce que stipule la charia est admis, même les amputations et l’exécution des apostats.
Un homme averti en vaut deux
L’islam date du début du VIIe siècle, quand le Prophète Mohamed aurait reçu des révélations d’Allah. Moins d’un siècle plus tard, toute la péninsule arabique, le Proche-Orient et le Maghreb étaient conquis par des armées musulmanes. L’islam est une religion de conquête qui prêche le djihad, la guerre sainte, contre les Infidèles. Le Coran et le cimeterre en main, les musulmans ont conquis de vastes territoires et ont détruit un grand nombre de civilisations.
Des siècles durant, les armées musulmanes ont tenté de s’emparer de l’Europe, d’abord par l’Espagne, puis par l’est, à partir de la Turquie actuelle. Heureusement, les forces européennes ont su battre et rejeter les musulmans à Poitiers en 732 et à Vienne en 1683.
Aujourd’hui, 20% de la population mondiale est musulmane. Dans un grand nombre de pays musulmans, les minorités religieuses ont été presque totalement éradiquées par oppression systématique, islamisation forcée, et même purification religieuse. Dans certains pays comme le Nigéria, l’Indonésie et l’Irak, le djihad des fondamentalistes musulmans contre les autres religions se poursuit toujours. On incendie des églises, on menace et on assassine les membres des minorités religieuses.
Par l’immigration et la natalité, le nombre de musulmans en Europe s’est accru en quelques décennies jusqu’à représenter 8% de la population totale. Les fondamentalistes musulmans essaient de s’emparer de l’Europe par l’immigration massive et le prosélytisme. Ce qu’il n’a pas réussi par la conquête et la violence, l’islam le tente maintenant par l’immigration, la natalité et la ruse. Le multiculturalisme est l’outil de la colonisation de l’Europe. Quelle naïveté que de croire que l’islam serait différent en Europe de ce qu’il est ailleurs. Il n’y aura jamais d’islam européen, il n’y aura qu’une Europe islamisée.
L’islam : bientôt force religieuse et sociale dominante en Europe ?
L’islam veut conquérir, islamiser et dominer. En Europe, un grand nombre de musulmans vivent selon l’islam et suivent les préceptes de la charia. Beaucoup de musulmans qui s’installent en Europe refusent de s’adapter à notre société européenne mais veulent au contraire que ce soit notre société qui s’adapte aux prescriptions et aux interdits de l’islam.
Si l’évolution démographique actuelle persiste, dans de grandes parties de l’Europe occidentale, l’islam deviendra la force religieuse et sociale dominante bien avant la fin de notre siècle. C’est déjà le cas dans bon nombre de quartiers de nos villes. Des prescriptions islamiques telles que l’interdiction d’aliments non hallal, l’imposition du voile et l’interdiction d’activités mixtes homme–femme, sont déjà respectées par des millions de musulmans en Europe. De surcroît, des lois existantes sont modifiées pour satisfaire la minorité musulmane toujours croissante.
Le Parti de la France, le Mouvement National Républicain et la Nouvelle Droite Populaire, rassemblés dans l’Union de la Droite Nationale, se sont toujours opposés à l’immigration massive et au multiculturalisme. Il faut continuer sans relâche à mettre en garde contre l’islamisation de l’Europe et de la France et à lutter contre cette évolution néfaste. Des acquis pour lesquels des générations d’Européens se sont battus sont remis en cause : nos libertés fondamentales, l’égalité homme-femme, la tolérance religieuse, la dignité humaine et la séparation de l’Église et de l’État…
Vous serez des dhimmis !
Quel est le sort des minorités non musulmanes dans une société islamique ? La charia accorde le statut de dhimmi aux non musulmans sous juridiction islamique. Pour être tolérés, les non musulmans doivent accepter un statut d’infériorité sociale. En échange du respect de leurs obligations de dhimmis, ils peuvent jouir d’une certaine protection. S’ils ne remplissent pas leurs devoirs, ils cessent d’être protégés et les musulmans ont le droit de se montrer violents à leur encontre.
Parmi les points les plus connus du statut de dhimmi est l’obligation pour les non musulmans de payer un impôt spécial, la djizia. Le Coran dit qu’il faut combattre les non musulman, jusqu’à ce qu’ils s’en acquittent et se soumettent.
D’autres points de la dhimmitude longtemps appliqués dans les pays musulmans étaient par exemple le port de vêtements les distinguant des musulmans, l’interdiction d’une pratique religieuse publique autre qu’islamique, l’interdiction de construire et de rénover les églises, l’interdiction du prosélytisme envers les musulmans auxquels ils avaient l’obligation de se soumettre.
Les dhimmis n’avaient pas le droit de témoigner contre un musulman, ce qui leur ôtait toute protection juridique contre l’injustice et le violence des musulmans. Ils étaient soumis à un droit de succession différent, plus limité que celui des musulmans.
Il va sans dire que les obligations des dhimmis et leur position inférieure dans les pays musulmans conduisaient de nombreux non musulmans à se convertir à l’islam afin d’échapper à la marginalisation sociale. Après des siècles d’oppression islamique, de discrimination et de persécution, les minorités culturelles et religieuses ont presque totalement disparu dans la plupart des pays musulmans.
Survivre dans une société musulmane
Jusqu’à aujourd’hui les législations de nombreux pays musulmans contiennent des dispositions discriminatoires pour les non musulmans qui les privent de tout droit. Même dans des pays prétendument « modérés » (comme le Maroc et l’Égypte…), le prosélytisme envers les musulmans est répréhensible. Dans la plupart des pays musulmans la construction et même la restauration d’église est impossible et les doits civils des non musulmans sont limités.
Si l’Europe ne résiste pas, elle risque d’être colonisée par l’islam. En guise de mise en garde, Synthèse nationale et l’Union de la Droite Nationale ont rédigé le présent opuscule « GUIDE DE SURVIE DANS UNE SOCIÉTÉ ISLAMIQUE. » Nous y exposons comment un non musulman doit se comporter pour survivre dans un environnement islamique. Le texte a été inspiré par des écrits islamiques et les exemples ont été puisés dans la réalité de pays musulmans. Par ce petit livre, nous voulons démontrer l’impact qu’aura l’islamisation de la société pour les non musulmans qui y vivent.
Robert Spieler
Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
Responsable de l’antenne française de l’association
« Villes contre l’islamisation »
créée par Filip Dewinter, porte parole du Vlaams Belang
CONSEILS PRATIQUES
« Comment survivre dans une société islamique ? »
En tant que non musulman, la vie dans une société islamisée n’est pas sans danger. Les principes fondamentaux d’une société islamique sont radicalement différents de ceux qui régissent notre société européenne. Le respect de l’islam et l’obéissance aveugle aux prescriptions islamiques sont au centre de la société musulmane et non la liberté individuelle des citoyens, l’égalité juridique ou l’égalité des sexes.
Encore aujourd’hui dans les pays musulmans les non musulmans se voient confrontés à une discrimination structurelle et une absence totale de libertés individuelles.
LEÇON 1
Apostasie de l’islam = peine de mort
Dans une société dominée par l’islam, d’aucuns pourraient être tentés de se convertir à l’islam. Les convertis potentiels doivent se rendre compte que la conversion est à sens unique. Un (nouveau) musulman ne peut plus quitter l’islam. Dans l’islam, rien n’est pire qu’un apostat.
Un apostat insulte Allah et trahit la communauté musulmane. Le droit islamique punit de mort l’apostasie. Le Prophète Mohamed a dit : « Qui change de religion, tue-le ! » Il faut donner à l’apostat l’occasion de se repentir ; en cas de refus, il doit être tué. Cette prescription n’est pas le fait des seuls extrémistes, mais c’est la position officielle de l’islam.
Cette disposition rigoureuse est expliquée par le cheikh Mohamed Salih Al-Mounajjid sur le site Internet Islam Q&A : « Une personne connaissant la révélation d’Allah et l’ayant pratiquée qui ensuite lui tourne le dos ne mérite pas de vivre sur la Terre d’Allah et de manger de tout ce qu’Allah nous a donné. » « De surcroît, » continue le cheikh « celui qui délaisse la foi ouvre la voie aux autres. » Le cheikh estime que l’apostasie stimule l’apostasie et doit donc être évitée à tout prix.
Vous pouvez donc vous convertir à l’islam, mais ne perdez pas de vue qu’il n’y a pas de retour possible. Si vous quittez l’islam, vous devenez un paria, un hors-la-loi, une cible.
Jusqu’à aujourd’hui, dans des pays comme l’Iran et l’Afghanistan, les personnes qui ont quitté l’islam sont condamnées à mort. Dans de nombreux pays, elles sont assassinées par leur famille et souvent les meurtres de ce type ne sont pas poursuivis en justice.
LEÇON 2
Le Prophète tu n’insulteras pas, l’islam tu respecteras
Dans une société islamique, il faut faire attention à ne pas insulter le Prophète, même involontairement. Pour l’islam, une insulte au Prophète est un crime horrible. Cela vaut également pour les musulmans et les kafirs (comme le Coran appelle les mécréants). Celui qui insulte le Prophète doit être mis à mort, qu’il soit ou non musulman. Usez donc avec une grande prudence de votre liberté d’expression dans une société musulmane, évitez les discussions.
Le célèbre juriste musulman Ibn Taymyah (1263-1328) écrit dans son livre al Saarim al Maslook « dans certains cas, le Prophète (béni soit son nom) a préféré pardonner à ceux qui l’avaient insulté, d’autres fois, il a donné l’ordre de les exécuter si cela répondait à un impératif supérieur. Puisque le Prophète est mort, le pardon est devenu impossible, donc l’exécution demeure le droit d’Allah et des fidèles. On ne peut libérer celui qui mérite d’être mis à mort, la peine doit être exécutée. »
La peine de mort pour insulte au Prophète est toujours en vigueur dans des pays comme l’Afghanistan, le Pakistan, l’Iran et l’Arabie Saoudite. La loi pakistanaise sur le blasphème prévoit non seulement la peine de mort pour insulte au Prophète, mais également la prison à perpétuité pour « profanation du Coran » et jusqu’à 10 ans de prison pour atteinte au sentiment religieux. En 2010, la jeune chrétienne Asia Noreen Bibi a été condamnée à la pendaison au Pakistan pour insulte au Prophète Mohamed. Au cours d’une dispute provoquée par des musulmanes, elle avait osé dire que non pas Mohamed mais Jésus était le véritable Prophète. Depuis deux ans, cette mère de cinq enfants attend son sort en prison dans « le couloir de la mort ». Dans d’autres pays islamiques, les personnes suspectes d’insulte au Prophète ne sont pas exécutées, mais emprisonnées ou condamnées à d’énormes amendes.
Tenez également compte du fait que « l’insulte au Prophète » est un concept très étendu. Ainsi, en 2007, des milliers de Soudanais armés exigeaient la mort d’une institutrice britannique d’une petite école soudanaise parce que… ses élèves avaient baptisé Mohamed le nounours de la classe. Heureusement, elle s’en est sortie avec une peine de prison et l’expulsion. En Malaisie, en 2010, trois églises ont été incendiées quand les chrétiens voulurent se servir du mot « Allah » pour désigner Dieu, ce qui, pour les musulmans témoignait d’un manque de respect pour l’islam.
Représenter le Prophète est interdit comme a pu le constater le caricaturiste danois Kurt Westergaard qui a été la cible d’attentats de terroristes musulmans lorsqu’il a osé dessiner une caricature de Mohamed.
Chez nos voisins belges, le ministère des Affaires Étrangères a émis un « conseil aux voyageurs » concernant l’Algérie dans lequel il disait que « la pratique de l’islam est très importante dans le pays entier. Il est donc à conseiller d’éviter tout comportement qui pourrait être interprété comme un manque de respect, voire une provocation à l’égard de cette religion : éviter de se vêtir immodestement ; s’abstenir de boissons alcoolisées ; ne pas fumer en public durant le Ramadan… »
LEÇON 3
Non musulman ? Soyez discrets
II est théoriquement possible de pratiquer votre religion dans une société musulmane. En revanche, si vous le faites ouvertement, vous vous exposez à l’intimidation ou même à la violence de la part des musulmans radicaux. Dans de nombreux pays islamiques, les non musulmans sont victimes de violence religieuse, harcèlement, traitement arbitraire par les Autorités. Le fait de vivre trop publiquement votre foi peut être considéré comme du prosélytisme, ce qui est strictement interdit dans tous les pays musulmans.
Selon les juristes islamiques, il n’est pas permis aux dhimmis de célébrer leurs fêtes religieuses publiquement ; ils doivent se rendre discrètement et en silence à leurs lieux de culte. Hors de ceux-ci, il est interdit aux non musulmans de distribuer leurs écrits ou leurs signes religieux.
En Arabie Saoudite, la pratique publique d’autres cultes que l’islam est absolument défendue. Ceci est surveillé par le mutawa, la police religieuse. En Algérie, pays musulman « modéré », la personne qui tente « de séduire » un musulman pour l’entraîner vers une autre religion est punie de 2 à 5 ans de prison ferme et d’une amende de 500.000 à 1.000.000 de dinars (environ 5 à 10.000 €). S’expose à des peines similaires celui qui « essaie d’affaiblir la foi islamique par la fabrication, la possession ou la distribution d’imprimés, d’audiovisuels, ou par tout autre média. » Le « conseil aux voyageurs » concernant le Maroc, également considéré comme « modéré » indique que « les Autorités marocaines n’hésitent pas à sévèrement réprimer toute tentative de prosélytisme ». Pour ce, la loi marocaine prévoit des peines de prison et des amendes.
LEÇON 4
Mesdames, voilez-vous
A en croire les musulmanes d’Europe, le Coran ne les oblige pas à porter le voile. Les femmes musulmanes ne porteraient le voile que par libre choix, pour témoigner de leur foi et par amour pour Allah. Pourtant, bon nombre de juristes musulmans citent des versets du Coran qui imposeraient le port du voile. Ainsi, on peut lire dans le Coran : « Et dites aux croyantes qu’elles baissent les yeux et maîtrisent leurs passions, qu’elles ne montrent pas leurs appâts au-delà de ce qui doit être visible et qu’elles rabattent le voile sur leur poitrine ». (sourate XXIV « La Lumière », 31).
Selon l’islam, les femmes qui montrent leurs appâts susciteraient la convoitise des hommes. La femme est tenue pour responsable de la maîtrise de leurs pulsions par les hommes. L’ancien président iranien Rafsandjani disait : « les femmes ont le devoir de couvrir leur tête car de la chevelure féminine émanent des vibrations qui excitent, égarent et corrompent l’homme. » L’homme musulman doit veiller à ce que les femmes portent le voile. Certains théologiens islamiques estiment que la femme doit porter le niqab (qui couvre la figure) ou la burqa (qui enveloppe tout le corps).
En théorie, les non musulmanes ne sont pas tenues au port du voile, mais dans un environnement musulman, il est prudent de se voiler quand même, car celles qui s’habillent à l’occidentale risquent de se voir tenues pour responsable en cas d’agression sexuelle. Pendant l’été 2011, se sont tenus en Iran deux procès pour viol dans lesquels les femmes ont été tenues pour responsables car elles ne portaient pas le voile.
Dans certains pays, la loi oblige toutes les femmes, y compris les non musulmanes, à porter le voile. Le « conseil aux voyageurs » du ministère belge des affaires Etrangères pour l’Arabie Saoudite dit : « en tant que visiteurs, vous êtes comme les habitants du pays soumis aux lois de ce pays. Pour les femmes, le port de l’abaya noire (une robe qui couvre tout le corps sauf la figure, les pieds et les mains) est obligatoire dans tous les lieux publics. » Le « conseil aux voyageurs » pour l’Iran indique que « dans l’espace public, les femmes doivent toujours couvrir leurs cheveux (hidjab rule)». Elles doivent également mettre un manteau sur leurs vêtements qui descendent jusque sous les genoux.
LEÇON 5
Le Ramadan tu respecteras
Pendant le Ramadan, suivant l’exemple de leur Prophète Mohamed, les musulmans font carême durant la journée. Le Ramadan est un des cinq piliers de l’islam et donc il est obligatoire pour les musulmans. Avant le coucher du soleil, il n’est pas permis aux musulmans de manger, de boire, de fumer, d’avoir des relations sexuelles. C’est une façon d’exprimer sa soumission à Allah.
Théoriquement, les non musulmans ne sont pas tenus de respecter les interdits du Ramadan, mais de fait, il est sage d’en suivre les prescriptions dans les pays. Toutefois, celui qui mangerait ou boirait publiquement durant cette période manifesterait un manque de respect à l’égard de l’islam, ce qui est, comme nous le disions, très dangereux et qui pourrait donner lieu à des sanctions ou à des agressions physiques.
Dans plusieurs pays musulmans, le non respect du Ramadan (même par des non musulmans) expose à des peines de prison.
LEÇON 6
Prenez vos distances avec le sexe opposé
Dans une société musulmane, il faut tenir compte du fait que la charia impose des restrictions importantes et même des interdits aux contacts physiques entre hommes et femmes. La notion de « contact physique » doit se prendre littéralement et ne se limite pas aux rapports sexuels. Tout frôlement est proscrit.
Entre hommes et femmes ni mariés ni parents, mieux vaut s’abstenir de tout contact. Evitez donc de serrer la main à un musulman du sexe opposé. Ainsi, dans une société musulmane, un médecin de sexe masculin ne peut pas ausculter une patiente. La seule présence dans l’endroit où vous vous trouvez d’une personne du sexe opposé peut poser problème.
Le Prophète Mohamed donnait l’exemple. Il imposait la séparation des sexes dans le lieu saint, la mosquée. Les femmes doivent entrer par une autre porte que les hommes et doivent suivre le prêche dans une salle séparée, d’où elles voient à peine l’imam.
Il en va de même pour les loisirs. Dans l’islam il est impensable que des hommes et des femmes fassent du sport ensemble. Natation, tennis, etc. en mixte sont des occasions de « fitna » (tentation) ce qui pourrait avoir de fâcheuses conséquences. Par contre, il est possible qu’une femme participe à des activités communes entre femmes si du moins son mari daigne l’y autoriser.
Le « conseil aux voyageurs » pour les pays musulmans démontre amplement le grand problème posé par la mixité. Le ministère belge des Affaires Etrangères conseille aux couples non mariés qui vont en Algérie de prendre deux chambres à l’hôtel. Un conseil pour le Koweït : « Le contact entre hommes et femmes est restreint. La séparation est appliquée en divers endroits, piscines, parcs d’attraction, écoles et universités. »
LEÇON 7
Homme infidèle, ne courtisez pas une femme musulmane
Allah a strictement interdit le mariage entre un non musulman et une musulmane car il a dit : « si donc vous trouvez que les femmes musulmanes sont croyantes, ne les renvoyez pas aux Infidèles. Ces femmes ne leur sont pas licites et ces hommes ne sont licites pour ces femmes.» (Coran sourate Al Momtahanah 60. 10).
De nombreux juristes islamiques considèrent que si une femme transgresse cet interdit, elle se rend coupable d’apostasie, ce qui peut, comme nous l’avons vu, avoir de fâcheuses et périlleuses conséquences. Une telle femme « trahit » sa communauté pour se joindre à une autre. Souvent, cela conduit à des crimes d’honneur, une pratique tolérée, voire encouragée, dans les sociétés musulmanes. Une relation hors mariage n’est pas une solution car l’islam interdit le concubinage qui est d’ailleurs un crime dans les pays musulmans même modérés.
Dans ces pays, les femmes qui ont une relation avec un homme non musulman sont bannies de la société, marginalisées et souvent menacées de mort. Même dans la plupart des pays musulmans « modérés », existe une interdiction légale de relations entre musulmanes et non musulmans. En Egypte, en 2011, la relation d’un garçon chrétien copte et d’une fille musulmane a été à l’origine de l’incendie d’une église et de l’assassinat de 13 coptes.
La charia n’autorisant pas le mariage d’une musulmane avec un non musulman permet par contre l’inverse, le mariage d’un musulman et d‘une non musulmane ; c’est possible sous condition d’élever les enfants dans la religion musulmane.
LEÇON 8
Cachez, si c’est le cas, votre orientation homosexuelle
Dans une société musulmane, les homosexuels doivent faire très attention. Le Coran interdit explicitement l’homosexualité. Dans tous les pays musulmans, l’homosexualité est interdite et les homosexuels y sont persécutés. En Iran, Nigéria et Afghanistan, l’homosexualité est punie de mort.
Le « conseil aux voyageurs » pour l’Arabie, se montre menaçant : « la prostitution, l’homosexualité et les relations hors mariage sont strictement interdites. Le non respect des lois locales peut entraîner de sévères conséquences. » Le « conseil » pour la Jordanie recommande « aux couples homosexuels de se comporter d’une façon très discrète. » En Iran, les homosexuels sont pendus. Dans les pays « modérés » comme la Malaisie et le Maroc, les homosexuels risquent des amendes ou de longues peines de prison.
Il y a quelques années aux Pays-Bas, un livre, « La Voix du Musulman », traduit en néerlandais et vendu dans de nombreuses mosquées, a soulevé un tollé ; il incitait à jeter les homosexuels d’un endroit élevé.
Dans les pays musulmans, mais également dans les quartiers islamisés de nos villes, on harcèle, menace, agresse les homosexuels. Si vous êtes homosexuel, dans une société musulmane, cachez votre tendance. C’est la meilleure façon de survivre.
LEÇON 9
Litiges et procès tu éviteras
Pour un non musulman, dans une société musulmane, il est important d’éviter les litiges et les procès. Dans des pays islamiques tels que le Nigéria, l’Indonésie, l’Irak et l’Egypte, les non musulmans sont régulièrement victimes de véritables pogromes entraînant de nombreux morts.
En outre, dans une société musulmane, les non musulmans sont dans une position juridique d’infériorité. La charia qui, dans le monde musulman, inspire en grande partie le Droit et en est souvent la source principale, n’accorde que très peu de droits aux non musulmans dans les procédures.
Suivant la charia, les non musulmans ne peuvent témoigner contre un musulman. La charia ne reconnaît pas la validité du serment d’un dhimmi. On ne peut accorder foi au témoignage de quelqu’un qui refuse d’adhérer à « la seule vraie religion ». Le juriste islamique Mustapha al-Murarghi dans son livre « la loi islamique par rapport aux non musulmans » dit à ce propos : « Le témoignage du dhimmi n’est pas recevable car Allah a dit : « Dieu ne privilégiera pas les Infidèles par rapport aux fidèles ».
Dans des pays comme le Pakistan, l’Algérie et le candidat à l’adhésion à l’Union Européenne qu’est la Turquie, les non musulmans – chrétiens et autres fidèles de minorités religieuses – ne bénéficient que rarement d’un procès équitable. En ce qui les concerne, on se moque grandement des droits de la défense. Les auteurs musulmans d’écrits politiques ou religieux contre les non musulmans sont souvent acquittés ou ne sont condamnés qu’à des peines insignifiantes. Les victimes n’osent pas déposer plainte ou bien les plaintes sont classées sans suite. Ainsi, même les faits graves, incendies, enlèvements, viols, voire meurtres demeurent impunis.
LEÇON 10
N’affichez pas votre façon de vivre à l’européenne
Dans le monde islamique, on est tenu de respecter les prescriptions islamiques. Celles-ci sont très diverses et s’appliquent à quasi tous les aspects de la vie quotidienne. Celui qui s’habille et se comporte trop à l’occidentale et néglige les us et coutumes musulmanes peut devenir la cible de musulmans orthodoxes.
L’islam interdit par exemple la consommation d’alcool. Il est à conseiller d’être discret et d’éviter de servir des boissons alcoolisées lorsque l’on donne une fête. S’habiller trop à l’occidentale comporte un risque également, surtout pour les femmes. Jambes, bras et épaules découverts et décolletés trop marqués ne sont pas du tout appréciés. Au Soudan, les femmes qui portent un pantalon se font frapper par la police dans la rue.
Pour ce qui est de la musique, la prudence est également de mise. Mohamed aurait dit : « Les gens de l’oumma qui boiront du vin sans l’appeler ainsi et se feront entraîner par les instruments de musique et le chant des chanteuses, Allah déchirera la terre sous leurs pieds et les transformera en singes et en porcs. » (haddith transmis et confirmé par, entre autres, Ibn Maadjah et Al-Bayhaqi).
Les musulmans radicaux en déduisent donc qu’Allah désapprouve la musique. En Afghanistan, les Taliban ont interdit la musique. La radio et la télévision saoudiennes ne programment pas de chansons. En 2010, la musique était interdite en Somalie. La musique détournerait les musulmans de leurs devoirs religieux. La musique mène « au gaspillage de temps et d‘argent et détourne le cœur d’Allah » (citation extraite du site al yakeen.com). En un mot, pour les musulmans, la musique est impure.
Dans des quartiers islamisés en Grande-Bretagne, les islamistes extrémistes ont instauré des zones « sous contrôle de la charia ». Ils ont affiché les interdits de la charia dont celui de la musique et des concerts. En Flandre, à Borgerhout (près d’Anvers), les musulmans ont déjà perturbé des concerts parce que la musique est haram (illicite) et inciterait à boire, à fumer et à se droguer.
Dans un environnement musulman, soyez prudent avec votre mode de vie et baissez le son de la musique.
L’Union de la Droite Nationale dans la Résistance
La rédaction de Synthèse nationale, tout comme l’Union de la Droite Nationale, espèrent de tout cœur que vous n’aurez pas à suivre les conseils que nous venons d’énumérer. Les dix leçons du « GUIDE DE SURVIE DANS UNE SOCIÉTÉ ISLAMIQUE » ne figurent ici que comme illustration, elles montrent l’impact que peut avoir l’islamisation de la société. D’aucuns diront que l’UDN exagère ou sème une panique inutile. C’est faux. Nos leçons sont tirées des prescriptions islamiques et de la législation des pays musulmans comme l’Arabie Saoudite, l’Afghanistan, l’Iran, le Pakistan, le Soudan, le Koweït, et même de pays dits modérés comme l’Algérie, l’Egypte, la Tunisie et le Maroc.
Nous pouvons déjà constater les conséquences de l’islamisation dans cetaines zones en Europe.
Tout comme en Iran, Somalie, Soudan et Arabie Saoudite, une police religieuse veille sur le respect des normes islamiques dans certains quartiers de nos villes. Elle n’hésite pas à menacer les femmes habillées trop à l’occidentale ou à intimider les établissements qui servent de l’alcool.
Dans les villes européennes le harcèlement des homosexuels et la violence contre eux du fait de jeunes musulmans atteint d’énormes proportions. .
Dans des villes européennes de plus en plus nombreuses, les piscines communales accèdent à la demande des musulmans de prévoir des heures de natation séparées pour les femmes musulmanes.
Aujourd’hui en Europe on fait tout pour respecter les habitudes alimentaires des musulmans. Dans les écoles et les prisons on ne sert plus de porc et on sert de la viande hallal, d’animaux abattus rituellement.
Dans de nombreux quartiers de nos villes les voiles et les foulards islamiques sont omniprésents. Il n’y a que les musulmans et les grands naïfs qui prétendent que le port de ces accessoires est volontaire…
On enlève les crucifix, les crèches et les décorations de Noël des bâtiments officiels, des centres culturels, des écoles, afin de ne pas irriter les musulmans.
Cette brochure ne vise pas et ne veut pas stigmatiser le musulman en tant qu’individu. La majorité des musulmans ne suit pas strictement toutes les règles de l’islam, mais cette même majorité ne semble pas être capable de s’opposer à ces règles, ni même de le vouloir.
De toutes façons, il est indéniable que l’islam déferle sur nos villes et que l’idéologie islamique gagne de plus en plus de terrain dans notre société. Cette brochure veut décrire ce à quoi on peut s’attendre si l’islam devenait la force sociale dominante. Ainsi, notre brochure se veut être un avertissement contre l’islamisation croissante de notre société.
Soutenez la Résistance de l’Union de la Droite Nationale contre l’immigration massive et les progrès de l’islamisation de la France et de l’Europe !
LA CHARIA, VOUS CONNAISSEZ ?
La charia expliquée aux Infidèles
Une religion rigoriste et formaliste avec des prescriptions barbares
La législation islamique, la charia, contient des prescriptions qui régissent tous les aspects de la vie des musulmans et même des non musulmans vivant dans une société islamique. La charia est au centre de l’islam. Pour les musulmans, la charia est la loi divine. Elle n’émane cependant pas d’un véritable corpus legis.
La charia a plusieurs sources. D’abord, le Coran, la parole littérale de Dieu, rapportée par Mohamed. Ensuite, la sunna déduite de la tradition de la vie et des actions du Prophète Mohamed (les haddiths).
La charia est le résultat d’une longue évolution des commentaires et de l’interprétation de ces textes sacrés islamiques.
Il y a plusieurs écoles de droit islamique (quatre sunnites et deux chiites) qui datent du début du Moyen-âge et qui ont chacune leur version de la charia. Ces versions sont ;légèrement différentes.
La charia est remplie de prescriptions rétrogrades et barbares qui sont opposées à tous les principes élémentaires de notre civilisation européenne tels que la liberté individuelle, l’égalité de sexes et le respect de l’intégrité physique. La charia impose l’inégalité des sexes; elle témoigne d’une intolérance absolue envers les non musulmans et elle prévoit des punitions corporelles inhumaines.
La charia contient toute une série de dispositions pénales concernant le vol, les jeux d’argent, l’adultère et la consommation d’alcool. Le vol est puni d’amputation de la main et/ou du pied. L’adultère est puni de lapidation ; les jeux, la fornication et l’ivresse sont punis de coups de fouet ou de bâton.
La charia comme système totalitaire
La charia détermine l’organisation de la société et de la vie personnelle. Les aspects de l’activité humaine sont divisées en cinq catégories : interdit (haram), répréhensible (makrouh), neutre (moubah), recommandé (mandub) et obligatoire (mafrud). Les juristes islamiques émettent des fatwas (avis juridiques) basés sur la charia. Celles-ci couvrent tous les aspects de la vie quotidienne du musulman.
L’islam exige un respect absolu des obligations et des interdits sociaux que décrète la charia. La charia régit tous les aspects de la vie collective et individuelle. Faire des choix personnels est donc impensable pour le musulman.
La vie privée du fidèle est réglée de A à Z par l’islam. Ainsi, l’islam est de nature totalitaire. Pour un grand nombre de musulmans l’islam est le centre de leur existence, il domine, conditionne et détermine leur vie.
En outre, la loi divine est éternelle et immuable. L’innovation – « bida » en arabe – est impossible. Dans le monde islamique l’esprit critique et innovateur ne saurait exister. L’islam ignore les acquis de l’humanisme et des Lumières tellement propres à notre civilisation occidentale.
La charia comme modèle politique
La charia est un modèle politique. Les musulmans radicaux veulent la soumission totale de la société à la charia et veulent remplacer la démocratie par une théocratie islamique avec la charia pour loi unique. L’islam a un programme politique clair ; il veut créer une nouvelle société fondée sur les prescriptions de la charia. Le territoire où règne l’islam est appelé dar el islam (maison de l’islam). L’islam veut élargir ce territoire au dar el harb (maison de la guerre), à savoir le territoire des Infidèles qui n’est pas encore soumis à la charia.
Les musulmans orthodoxes des Frères Musulmans et du Mili Görus turc veulent unir toute la communauté musulmane mondiale (oumma) dans un empire gouverné par le Calife, le successeur du Prophète Mohamed.
L’application de la charia aujourd’hui
En Occident la religion est devenue une affaire privée et l’Église une institution parmi d’autres. Dans les pays musulmans, la situation est toute autre. Dans une cinquantaine de pays musulmans, la charia est toujours la source de la législation. C’est le cas, par exemple, en Afghanistan, en Iran, au Yémen, en Jordanie, en Arabie Saoudite, dans la province autonome indonésienne Aceh, à Brunei, en Egypte, en Indonésie, en Irak, au Koweït, au Liban, en Libye, en Malaisie, en Mauritanie, au Nigéria, à Oman, au Pakistan, au Qatar, au Soudan, en Somalie, en Syrie et en Tunisie. Dans certains pays musulmans, comme le Maroc et l’Indonésie, la charia ne s’applique qu’au droit familial.et personnel.
Dans d’autres pays musulmans, l’application de la charia est plus vaste et régit jusqu’au droit pénal. Des pays qui appliquent le droit pénal islamique sont l’Iran, le Pakistan, l’Arabie Saoudite, le Soudan et le nord du Nigéria. Ces pays ont une population de plus de 400 millions, presque autant que celle de toute l’UE. En Arabie Saoudite, le Coran a même le statut de constitution !
Des tribunaux appliquant la charia commencent à apparaître en Europe. Au seul Royaume Uni, on compte déjà 85 de ces tribunaux. Celui qui estime que la charia est une chose du passé et n’a plus d’influence dans le monde contemporain se trompe. Actuellement, l’islam et la charia sont peut-être plus que jamais une sévère menace pour notre civilisation européenne.
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