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samedi, 08 décembre 2012

IL FAUT DISSOUDRE SOS RACISME !

sos racisme 2.jpgEn 1984, François Mitterrand, en délicatesse dans les sondages, notamment parmi les jeunes, favorisa l’émergence d’un mouve­ment destiné à appâter une partie de la jeu­nesse qui lui échappait en s’appuyant sur la naïveté qui souvent la caractérise.

Ce fut la naissance de SOS racisme, association qui, au-delà des calculs électoraux, prétendait mo­biliser les Français contre un prétendu racisme dans la nation certainement la moins raciste au monde. Vaste défi apparent mais la pusillanimité de nos contemporains lui facilita grandement la tâche.

De puissants parrainages permirent à l’association naissante d’atteindre rapidement une notoriété média­tique sans commune mesure avec le poids de ses maigres troupes. Le Grand Orient de France, la MNEF, les CFDT, l’UEJF (Union des étudiants juifs de France) et la FEN (Fédération de l’éducation nationale) accueilli­rent avec un enthou­siasme actif et généreux la création de l’officine dont la fonction essentielle et l’action se résumè­rent à calomnier les Français de souche et à ma­nipuler les immigrés afin de leur faire redouter un racisme latent sinon exprimé chez leurs hôtes, et cela bien mal­gré eux. Du côté des personnalités, l’incontournable Ber­nard-Henri Lévy (alias la « mouche du coche »), Jacques Attali (le poly­graphe compulsif), Marek Halter (l’homme à l’imagination débordante), Jack Lang et de nom­breux « intellectuels » apportèrent leur soutien in­conditionnel à l’expérience trostko-socialiste.

A ces grandes âmes se joindront les soutiens son­nants et trébuchants émanant de Christophe Ri­boud, le fils du milliardaire Antoine Riboud, ou d’un Pierre Bergé, co­propriétaire du quotidien Le Monde et propriétaire de Têtu, le magazine de prédilection des homosexuels branchés et quelques autres généreux riches mécènes.

A ces prestigieux parrainages vint s’agglomérer l’inévitable cohorte des « idiots utiles » tels Simone Signoret, Yves Mourousi, Dominique Baudis, Jacques Toubon et quelques dizaines d’autres notoriétés dont la motivation profonde ne relève bien souvent que de leur vie intime et des fan­tasmes y afférents.

Il ne manquait plus que trouver un secrétaire géné­ral suffisamment terne pour feindre de présider aux desti­nées de cette organisation exclusivement animée par des trotskistes issus le la Ligue com­muniste révolution­naire et de la MNEF et dont le véritable patron, Julien Dray, tirait l’ensemble des ficelles. C’est au jeune et falot Jean-Philippe Désir, alias Harlem Désir (tout un programme !), actuel président du PS, qu’incomba ce rôle de composi­tion. Ce métis, idéal représentant de la France plurielle, offrait à SOS ra­cisme la vitrine d’une France multicolore tout en évitant l’écueil d’éventuelles revendications identitaires. De fait, il fallait que ce ne fut ni un Maghrébin, ni un Africain, ni un Asiatique et encore moins un Français de type euro­péen qui présidât à l’association. Pour mieux comprendre la stratégie, il suffit de se réfé­rer à l’élection présidentielle des Etats-Unis.

Cette stratégie ne trompa d’ailleurs que ceux des­tinés à l’être et Jean-Philippe (Harlem) Désir fut immédiate­ment considéré par tous comme l’homme de paille de Julien Dray ainsi que le relate sans ambigüité aucune Serge Malik, l’un des mili­tants de la première heure, dans son « Histoire secrète de SOS racisme » parue en 1990 (chez Albin Michel).

Julien Dray, grand amateur d’objets de luxe et no­tam­ment de montres, fit l’objet d’une enquête pour abus de confiance, notamment motivée par d’étranges mouve­ments de fonds entre l’association des « Parrains de SOS racisme » et son compte en banque ainsi que pour de curieux prêts dont lui firent bénéficier Gérard Sebag, un commerçant d’Antibes, Marc Rozenbat, époux d’Isabelle Thomas, une pétroleuse de l’UNEF-ID dans les années 80 recyclée dans l’entourage de Mitterrand, et Pierre Bergé. Preuve s’il en fallait que les grands idéaux ne suffisent pas toujours au complet détachement des biens de ce monde. Ses tourments judiciaires mirent Julien Dray, Juju comme l’appellent ses proches, en relative dis­grâce parmi ses « amis » du PS. Sa dernière bourde n’arrangea certes pas les bidons : une se­maine avant le second tour de la dernière prési­dentielle, Dray invita Dominique Strauss-Kahn à son anniversaire, dans un ancien sex-shop trans­formé en restaurant, rue Saint-Denis, faisant fuir par des sor­ties dérobées de prestigieux invités parmi lesquels Sé­golène Royal, Emmanuel Valls ou Pierre Moscovici, peu en­clins à fréquenter l’infréquentable ex-patron du FMI (Fourre-Moi Im­médiatement persiflent quelques mau­vaises langues), surtout en un tel endroit symbolique. Est-on plus maladroit ?

Par ailleurs, la gestion n’est certainement pas le point fort de SOS racisme, épinglée systémati­quement par le Cour des comptes sans qu’apparemment les conseils de la docte institution ne modifient notoirement les pratiques. Nourrie aux subventions et dons divers, SOS racisme per­çut en 2010, 579 000 € de subventions auxquels s’ajoutent les dons à hauteur de 100 000 € pour Pierre Bergé, 72 000 € pour la Fondation Ford et, le bouquet, 348 000 € en 2009 pour le FASILD, asso­ciation dédiée à l’accueil des migrants qui elle-même vit de subventions... Sans parler des fonds spéciaux du Premier ministre mobilisés pour sauver SOS racisme de la banqueroute. On vous épargnera les détails des dé­mêlés judiciaires, les perquisitions, les fausses factures (affaire C.Discount), les ventes de tableaux à SOS ra­cisme, les gardes à vue, l’intervention de la Bri­gade financière et autres épisodes crapoteux. Pour simplifier, c’est 98% de ses ressources qui provien­nent de subventions et de dons tandis que les cotisa­tions n’en représentent que 2%.

En somme, il est demandé aux Français de payer tou­jours davantage pour se faire soupçonner de racisme et insulter par une organisation qui n’est qu’une, mais non la moindre, courroie de trans­mission du Parti socialiste destinée à recycler des trotskistes en recherche d’emploi, si possible pres­tigieux. La preuve ? Jean-Phi­lippe (Harlem) Désir, promu aux fonctions de secrétaire général du parti en question dont l’ancien locataire est devenu… Président de la république. Le tremplin semble puissant, c’est le moins qu’on puisse dire. Il n’est que temps de dissoudre cette coûteuse officine hostile à la France française.

 

Derrière SOS racisme :

la volonté génocidaire des mondialistes…

La France n’est plus maîtresse de son destin. Notre pays n’est plus dirigé par ce qui est censé être « son gouvernement » mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ce sont eux qui décident quel sera l’avenir de la planète… Leur objectif : imposer une économie globale en transformant la terre en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus qu’un consommateur docile juste bon à enrichir les comptes des multinationales.

Dans cette vision mondialiste des choses, il n’y aurait bien entendu plus de place pour les nations, les races et même pour les sexes. L’introduction par le gouvernement Sarkozy-Fillon de la théorie dite « du gender » à l’école est une étape vers cette destruction programmée des identités. L’homme idéal pour les mondialistes sera métissé, déraciné et asexué…

Mais pour arriver à leur but ils doivent par tous les moyens détruire toutes les formes de résistances natio­nalistes et identitaires. Pour cela ils se servent de petits collabos tels SOS racisme pour entretenir un cli­mat de haine permanente contre la France et contre son peuple.

Combattre SOS racisme, c’est combattre pour le renouveau de la France !

Combattre SOS racisme, c’est défendre notre identité européenne !

 

Pour prononcer la dissolution de SOS racisme, il suffit d’appliquer la loi !

L’article L 622-1 du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CEDESA), « pu­nit de 5 ans de prison et de 30 000 € d'amende quiconque favorise l'en­trée, la circulation ou le sé­jour irrégulier d'un étranger en France ».

En soutenant les clandestins qui s’installent sur le territoire français, SOS racisme contrevient régu­lière­ment à l'article ci-dessus. SOS racisme doit donc être mis hors la loi. Pour cela, il suffit de se référer à l'ar­ticle 450-1 du Code pénal définissant comme une association de malfaiteurs « toute as­sociation établie en vue de la préparation ca­racté­risée par un ou plusieurs crimes ou délits punis d'au moins 5 ans de prison ». Ce qui est le cas de SOS racisme.

Les adversaires de ces dispositions, prétendent que SOS racisme, comme toutes les autres offi­cines du même type, détiennent leurs pouvoirs notamment du « Plan national d'action contre le racisme et l'anti­sémitisme » du 15 février 2012, pour la période 2012-2014, élaboré par MM Sar­kozy et Guéant.

Mais il faut savoir que ce plan fait référence à l'ar­ticle 10 du TFUE (Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) dit "de Lis­bonne" qui sti­pule : « Dans la définition et la mise en œuvre de ses politiques et actions, l'Union cherche à com­battre toute discri­mination fondée sur le sexe, la race ou l'origine ethnique, la religion ou les con­vic­tions, un handicap, l'âge ou l'orienta­tion sexuelle ».

Ce que le Peuple refuse, le Con­grès l’impose !

Or, ce traité, et ce texte, ne sont que la reconduc­tion du « Traité pour une Constitution euro­péenne » rejeté massivement par le Peuple fran­çais lors du référendum en mai 2005 et sournoi­sement réintroduit par un vote du Congrès à Ver­sailles en 2008… sous la présidence de M. Sar­kozy. Il s’agit donc là, à nos yeux, d’une véritable forfaiture. La ratifica­tion de ce « Traité », dès lors, ne pouvant avoir de légitimité ni de valeur con­trai­gnante sur le territoire de la Répu­blique fran­çaise. Quel crédit peut-on en effet accorder à une as­semblée dans laquelle plus de 6 millions d’électeurs nationaux à la présidentielle sont re­présentés par seulement 3 députés alors que les Verts, avec 800 000 voix, ont près d’une vingtaine de députés.

Nous vivons actuellement sous un régime édic­tant des lois non fondées sur la volonté du peuple sou­verain, donc illégales sur le fond. Quelle légi­timité peut-on en effet accorder à des assem­blées qui ne représentent qu’une minorité de Français ?

ALLER AU-DELA…

Nous savons bien que nous n’avons pas grand-chose à attendre du « pouvoir » actuel complètement in­féodé qu’il est aux mondialistes. Notre but est avant tout d’éclairer notre peuple. Seule l’instauration d’un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire permettra à la France de retrouver sa liberté et son identité !

En réalité, au-delà du cas SOS racisme, se sont toutes ces pompes à fric, tels le MRAP, la LICRA, la LDH et autres qu’il faudrait mettre hors d’état de nuire. Par leur obsession procédurière et en se conduisant en véritable petits flics de la pensée, elles cherchent à détruire tous les formes de résistance nationales et identitaires à l’invasion de notre sol.

Un jour viendra où nos compatriotes seront bien obligés d’ouvrir les yeux…

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