mercredi, 24 février 2016
Et pendant ce temps… une loi immigrationniste plus permissive que jamais
La lecture des nouvelles est atterrante. Et toutes celles concernant l’immigration ou l’islamisme procèdent du même effet : le laissez-faire ou, pire encore, la répression dès lors qu’une critique vient s’opposer à ce qui est devenu les plaies de notre quotidien.
Chaque semaine, ce sont des pages que l’on pourrait remplir avec ces plaies. Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, a été arrêté avec six heures de garde à vue pour avoir, dit-il, « utilisé deux photos pour illustrer des articles de mon blog consacrés aux atrocités commises par Daech et au meurtre par décapitation commis par l’islamiste Yassin Salhi en juin 2015, sur le territoire français ». Ce jeune homme a ainsi découvert l’existence de ce mystérieux office gouvernemental au nom barbare de OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication), cet office caché chargé de surveiller tous nos écrits numériques. Et de conclure, avec raison : « Pendant que le terrorisme islamique prospère en France et en Europe, la police politique de Manuel Valls veille à traquer ceux qui entendent alerter les Français et résister à ce fléau. Le gouvernement socialiste et la justice française semblent avoir leurs priorités… ».
À Calais, la rébellion gronde dans les rangs des migrants, qui préfèrent rester dans la boue dans l’attente d’un hypothétique camion qui leur ferait traverser la Manche. Dimanche, on a relevé un blessé par balle… Tiens, certains migrants seraient armés, alors que les médias nous disent à longueur de reportages qu’ils sont des plus pacifiques et pas violents pour un sou !
Samedi, toujours à Calais, on a vu des gendarmes casqués et déguisés en ninjas arrêter une poignée d’anciens paras, dont un colonel, venus déposer des gerbes devant des monuments aux morts. Allez, ouste, en garde à vue, les anciens militaires ! Comme le général Piquemal. Mais embastiller un clandestin, vous n’y pensez pas. Il n’est, après tout, qu’un simple hors-la-loi selon la devise socialiste. Et s’il refuse de quitter la jungle, on s’empressera de le choyer plus encore.
Je ne parle même pas de ce centre d’accueil de Belgique où des violences interethniques ont voulu imposer le port du voile. Et, pire encore, à Perpignan et en Angleterre, où Jean-Paul Grumberg a révélé sur son blog deux faits révoltants. À Perpignan où un professeur de langue arabe, de nationalité algérienne, enseigne la religion de Mahomet. Et en Angleterre, à Guernesey plus principalement, Amber Stables, professeur du lycée Les Beaucamps, est allée jusqu’à demander à ses élèves, dans le cadre d’un travail écrit, d’écrire à leurs parents pour leur expliquer « pourquoi je me suis converti à l’islam » et « comment cette conversion a changé ma vie, combien j’aime mes parents et espère qu’ils accepteront mon choix ». Vous avez bien lu : dans la paisible Guernesey, pas à Marseille ni en Seine-Saint-Denis !
Et pendant ce temps, comme l’a souvent rappelé Boulevard Voltaire, les migrants défilent et hurlent contre la France un peu partout en France sans que la police n’intervienne ou si peu, les antifas et autres No Borders cassent, détériorent, taguent et pillent sans aucune interpellation. Et que dire de cette justice qui relâche cet « étudiant » qui, gare de Lyon, vient de passer à tabac un policier ?
Que penser de ces quelques députés présents, cette semaine, qui ont voté en catimini la nouvelle loi sur les droits des étrangers ? Pas les devoirs. Leurs droits. Une loi immigrationniste encore plus permissive et plus folle que jamais ! Quand je vous dis que la France va encore vivre de sombres jours, je pense être très optimiste…
Floris de Bonneville
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