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mercredi, 02 mars 2016

Islam : retour au réel

Par son histoire comme dans sa filiation religieuse, il n’est pas possible à un musulman de partager librement, ni même de composer sincèrement avec les autres humains, que ceux-ci appartiennent à d’autres religions, ou qu’ils soient non-croyants, démocrates, et autres.

Au mieux, s’il se trouve dans un rapport de force avec « l’étranger » et qu’il dépende hiérarchiquement d’un non-musulman, l’adepte du Prophète, qu’il soit imam ou non, pratiquera la « takiya », c’est-à-dire le droit que lui donne sa religion de mentir et de tromper l’infidèle, auquel il se soumet en apparence et temporairement par nécessité.

Fondé en 634 par un brillant négociant et chef de guerre nommé Mahomet (de la tribu des Qurayshites), décrété « prophète » par des fidèles cherchant à conquérir des territoires, l’islam n’a jamais cessé d’imposer le coran et sa charia en y soumettant, de force si nécessaire, les peuples conquis au nom d’Allah.

Toute opposition est sévèrement punie par un code juridique allant du fouet à la lapidation, à l’amputation, à l’égorgement des « infidèles », com­me de multiples témoignages sur la planète le montrent en vidéos par internet.
Pas question de négocier en vérité avec l’infidèle, telle est la volonté du Prophète et la réalité de l’islam !

Quel degré d’égocentrisme et de prétention une certaine élite intellectuelle occidentale, no­tamment française, ose donc afficher en feignant d’ignorer cette réalité et en persévérant dans le déni, en prétendant ne pas faire d’amalgame entre terroristes et islamistes pour masquer une invasion musulmane de fait en Europe, soi-disant par nécessité démographique et économique !

Il est écœurant de constater, qu’aveuglée par les enjeux du marché mondial, et motivée par sa carrière, le cumul des mandats et le jeu électoral, l’élite politique et intellectuelle française saborde le savoir-faire de la population autochtone d’origine pour imposer une immigration sauvage réfractaire à notre culture, qui refuse de s’adapter aux lois, aux us et aux coutumes de la république, pour imposer « sa loi » au nom d’Allah.
Que faire ? Le minimum serait de faire respecter nos lois, en sanctionnant les contrevenants, de telle sorte que, soit ils s’adaptent aux mœurs locales comme le firent leurs grands-parents sans se renier pour autant, soit ils préfèrent être reconduits dans leur pays d’origine, où ils retrouveront les marques culturelles qui leur conviennent sans avoir à les imposer en France dans leur terre d’accueil.

Quant au positionnement pour le moins ambigu de l’Église catholique sur ce sujet, laissons à la philosophe Chantal Delsol le soin de conclure :
« La même question se pose à propos de l’Église catholique aujourd’hui : quel est le sens de son constant déni de réalité à propos de l’islam, qu’elle décrit comme une religion de la liberté identifiée à la sienne ? S’agit-il d’une malhonnêteté due au manque de courage ? D’une ignorance ?… Ce dont notre société a essentiellement besoin, c’est de prendre la réalité au sérieux. »

Source : islamisme.fr

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