samedi, 05 mars 2016
Lâcheté & mensonges sont les deux mamelles de l’État Hollando-Vallsien
Tout le monde se souvient de la répression minable – et plutôt féroce – exercée par nos courageux CRS lorsque d’honorables parents et adultes sains d’esprit ont défilé pour marquer leur désapprobation de la légalisation du « mariage » entre personnes de même sexe (ce qui réalise une authentique antinomie) et l’adoption d’enfants par des homosexuels.
Tout le monde se souvient de la charge héroïque des glorieux CRS contre des manifestants français protestant contre l’invasion de Calais par des hordes de voyous immigrés. À cette occasion, on a arrêté un général chenu qui avait à son actif quelques actions militaires au service de l’État, ce que n’ont jamais eu les Hollande, Valls et autre Cazeneuve, à moins de faire passer des parlottes au Siècle ou dans telle ou telle officine plus ou moins secrète pour des « actions au service »… de leur carrière.
Depuis le 25 janvier 2016, circule sur le Net une vidéo montrant des CRS armés qui laissent courageusement passer, en s’écartant respectueusement, une meute d’immigrants qui courent ravager les installations portuaires de Calais, de façon à tenter de passer clandestinement en Grande-Bretagne. Au cas où certains Français, si bien informés par nos honnêtes journalistes des chaines télévisées et radiophoniques, l’ignoreraient, ce genre de scène se passe aussi à Dieppe.
Cette vidéo – aussi honteuse, par sa lâcheté, que la charge brutale à coups de matraque et de gaz lacrymogènes des honnêtes Français, deux semaines plus tôt, et dans la même cité – appelle plusieurs commentaires.
D’abord la preuve est faite qu’il n’y a pas, qu’il n’y a jamais eu « d’état d’urgence » en France depuis novembre 2015. En « état d’urgence », les manifestations violentes, ou qui risquent de le devenir, sont par définition interdites. Cette vidéo démontre qu’il n’en est rien et que, bien au contraire, des immigrés violents obtiennent ce qu’ils veulent, quand ils le veulent, où ils le veulent, face à un « Pouvoir » à la dérive, et que nos forces de l’ordre ne sont plus que des matamores, prêts à frapper d’honnêtes citoyens et à s’aplatir devant les hordes étrangères… en quelle que sorte des « faibles de notre déclin » !
La préfète du Pas-de-Calais devait avoir des ordres pour laisser faire une telle gabegie, puisqu’elle n’a pas été aussitôt révoquée par notre « viril » ministre de l’Intérieur et notre « puissant » premier ministre qui aime tant à singer l’homme en colère. À consulter cette vidéo et à la comparer avec la charge violente des CRS contre d’authentiques Français, on comprend ce que sont nos Janus bifrons : des taureaux furieux face aux honnêtes contribuables, des bouvillons apeurés face aux envahisseurs-casseurs.
Puisque ces « chances immigrées pour l’Europe » veulent absolument passer en Grande-Bretagne et ne veulent pas rester en France (on les embrasserait presque pour cette sage décision), pourquoi ne pas les y autoriser ? Après tout, des « chances » comme celles-là, il faut savoir les partager.
Enfin, une notion de Droit ne peut être ignorée. La Nation française, seule souveraine légitime, n’a pas été consultée par son mandant Hollande… notre prospère Président n’est nullement le souverain de l’État. Il n’en est que le gestionnaire…et dans la course au prix du plus minable, il est parti pour concurrencer victorieusement Chirac, le Président Black-Beur, et Satan sait si le défi était dur à relever.
Plutôt que de pérorer sur un soi-disant « état d’urgence » qui restera la plus belle supercherie du non-règne Hollando-Vallsien, il importe de réaliser au plus tôt la seule mesure démocratique qui s’impose : un referendum sur l’immigration européenne et, pendant que l’on y est, l’on pourrait exiger, en codicille, le strict respect de la Loi de 1905 consacrée à la laïcité de l’État par les musulmans. La France n’est pas encore un pays de Charî’a. Elle est encore régie par la Constitution de 1958. Et si des lâches et des menteurs se sentent inférieurs à leur tâche, dépassés par les événements, qu’ils s’en aillent. On ne trouvera jamais pire qu’eux.
Docteur Bernard Plouvier
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