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mardi, 15 mars 2016

Plus de 92.000 crimes commis par 30.558 immigrés clandestins relâchés aux États-Unis

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Dans de précédents articles, nous constations que la loi fédérale sur l’immigration aux États-Unis est totalement ignorée. Nous avons aussi pu voir que plus de 88.000 envahisseurs clandestins classés comme « menace criminelle » avaient été relâchés sans autre forme de procès.

C’en est ici la conséquence – et comme nous allons le voir, même ces chiffres sont en réalité très minorés.

Traduction de l’article de New Observer.

30.558 immigrés clandestins non-blancs relâchés par le service américain chargé de l’immigration et des douanes (l’ICE), pour pas moins de 92.347 crimes et délits, dont 124 meurtres.

Ces statistiques choquantes sont contenues dans un rapport officiel diffusé par le chef de l’ICE le 11 février 2016.

Selon l’analyse du rapport du Centre pour l’Étude de l’Immigration (CIS), les non-blancs clandestins sont responsables d’une série significatives de crimes au sein des communautés américaines. Il apparaît aussi que l’ICE a relâché à de multiples reprises nombre de ces envahisseurs en dépit de leurs activités criminelles.

Seul un très faible pourcentage – 3 pourcents – des criminels relâchés ont été expulsés du pays, en accord avec les plans du régime Obama pour inonder l’Amérique avec autant de non-blancs que possible.

La plupart des envahisseurs ont droit aux formes les plus généreuses des procédures normales, et sont autorisés à rester dans la nature sans surveillance, tandis qu’ils attendent leur audience devant un juge de l’immigration, audience qui traîne souvent en longueur. Ils sont autorisés à prendre avantage de cette procédure inefficace bien qu’ils aient plus de risque de commettre un nouveau crime ou délit que d’obtenir un statut légal connu sous le nom de « prioritisation » au sein de la directive présidentielle « attraper et relâcher ».

Les meurtriers ont été associés à plus de 250 communautés différentes aux États-Unis, les plus concentrées étant en Californie, dans l’État de New York et au Texas.

Manif de clandestins

Rien qu’à être entrés illégalement dans le pays, ils sont pires que des criminels : des envahisseurs. Mais certains font du cumul…

La liste de l’ICE ne dit même pas tout de la criminalité des envahisseurs non-blancs aux États-Unis, parce que sa liste ne contient pas les envahisseurs relâchées par plus de 300 prétendues « villes sanctuaires » et ceux que l’ICE a refusé de mettre en détention.

[ndt : Les villes sanctuaires sont des villes où la législation sur l’immigration n’est pas appliquée. On compte parmi celles-ci une grande quantité de métropoles comptant des centaines de milliers d’habitants voire des millions comme New York, Los Angeles, etc… De plus, les envahisseurs clandestins qui commettent des crimes s’y concentrent naturellement un peu plus.]

Dans un mémo sur les crimes commis par les clandestins relâchés envoyé au président de la commission du Sénat sur la Justice, Chuck Grassley, l’ICE a indiqué que les « clandestins ont été inculpés pour un total de 135 crimes liés à des homicides, après avoir été relâché de détention par l’ICE. Au 25 juillet 2015, un total de 39 condamnations avaient résulté de ces inculpations. Des 121 clandestins, 2 avaient été condamnés pour des faits liés à des homicides avant d’être relâchés par l’ICE. »

L’ICE a rapporté que 156 clandestins criminels ont été relâchés au moins deux fois par l’ICE depuis 2013. A eux tous, ces criminels avaient déjà un total de 1776 condamnations avant la première libération en 2013, avec comme crimes et délits listés les plus fréquemment les cambriolages, les vols, les agressions sexuelles, et la possession de drogues.

[litanie de description de nombres additionnels de récidivistes et de criminels.]

Le rêve américain : des hordes de mexicains !

Quelques 75 pourcents de ceux relâchés l’ont été à cause de décisions d’un juge – ou parce que leur pays d’origine refusait de les reprendre.

Les pays suivants ont été listés par l’ICE comme n’étant « pas coopératifs pour accepter leur citoyens expulsés » : Afghanistan, Algérie, Burundi, Cap Vert, Chine, Cuba, Érithrée, Gambie, Ghana, Guinée, Inde, Iran, Irak, Côte d’Ivoire, Liberia, Libye, Mali, Mauritanie, Marco, Sierra Leone, Somalie, Soudan du Sud, and Zimbabwe.

Cependant, vu comme l’ICE traite la plupart des affaires, ce manque de coopération apparaît surtout comme une bonne excuse pour l’inaction !

Source : Blanche Europe

 

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