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lundi, 28 mars 2016

Bien chers terroristes islamistes

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Bien sûr, votre impatience, votre frénésie, votre envie d’aller plus vite que la musique, plus vite en particulier que le ventre de vos femmes, de vos mères, de vos sœurs, tout cela est contre-productif en diable vis-à-vis de la cause que vous croyez défendre. Bien sûr, votre précipitation, fruit de votre imbécillité sans bornes, est la meilleure, sinon la seule chance de répit pour les populations europoïdes (ou caucasiennes) condamnées (de ces fameuses « races-qui-n’existent-pas », sinon dans la réalité)…

Bien sûr, vos efforts répétés pour nous alerter sur l’existence et l’importance du phénomène génétique en cours sont louables. Bien sûr, les déflagrations que vous provoquez à la surface de l’actualité ébranlent la douce torpeur dans laquelle ceux qui nous gouvernent nous maintiennent la tête enfoncée. Mon propos ne vise pas à remettre en cause, sur le principe, le bien-fondé de vos actions, mais ni votre frénésie, ni votre haine et votre jalousie ne doivent vous aveugler.

Convenez que tous ces efforts, si louables soient-ils en leur intention, font bien piètre figure opposés à ceux que nos gouvernants multiplient depuis quarante ou cinquante ans pour favoriser la conquête mahométane, accélérer, parachever la substitution ethnique engagée. Avec vos petits moyens, que voulez-vous faire face à des gens qui ont un ministère dans les mains, quand ce n’est pas un État, voire tout un « machin » européen ? Sauf le respect infini dû à vos victimes et à leurs proches, convenez que vos kalachnikov et vos bombinettes sont d’un effet ridicule au regard de notre pilule, de notre avortement, de notre dénatalité organisée, de l’asservissement des mères à l’activité salariée, de la « féminisation » de notre société, de notre abrutissement généralisé, de nos innombrables reculades et lâches renoncements, de l’aveuglement étatisé, réel ou feint, devant la réalité.

Devons-nous, pour autant, négliger de vous exprimer notre reconnaissance ? Bien sûr que non. C’est l’intention qui compte, dit l’adage, et tout l’objet de ce message. Votre aimable sollicitude à notre endroit doit être saluée comme il se doit. Convenez, toutefois, qu’elle n’est que vaguelette, que vous n’êtes que vaguelettes, face à la marée.

Regardez-les, écoutez-les, nos ennemis communs, rien ne les arrête : aujourd’hui, ils osent parler de « guerre », eux qui, hier encore, brûlaient quiconque osait prononcer ce mot. Ils n’ont aucun scrupule, aucune élégance morale ou intellectuelle, aucune dignité. Ne comptez pas sur eux pour faire amende honorable et se retirer, tous les Giscard, les Mitterrand, les Chirac, les Juppé, honteux et confus, comme le corbeau de la fable, devant le désastre qu’ils ont provoqué. Depuis des décennies, ils nous enfoncent dans une réalité tout en nous expliquant comment ils s’emploient à nous en sortir. La France sera toute rouge du sang de nos enfants qu’ils nous l’expliqueront encore.

Regardez-les, écoutez-les : à un peuple dont les aïeux se sont toujours opposés de toutes leurs forces à l’invasion arabo-musulmane, à la prétention de l’islam à l’hégémonie mondiale, à son insatiable appétit de conquêtes territoriales, ils s’échinent à faire accroire que les récentes percées et accélérations, par eux favorisées, de ladite conquête sont parfaitement bénignes, qu’il faut se laisser faire, se laisser défaire, au prétexte que « la France a toujours été une terre d’immigration » !

Tout ! Ils osent tout, vous dis-je, jusqu’à vous qualifier d’« ennemi public numéro 1 », vous, pauvres petites créatures dégénérées, vulgaires petits déchets d’humanité, comme si nous avions besoin d’un tel indice pour mesurer à quel point eux et nous n’avons pas les mêmes priorités en matière d’attribution des responsabilités.

Maxime Sentence

Source : Boulevard Voltaire

 

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