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mardi, 29 mars 2016

Éducation : quand les élèves côtoient les migrants

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Conditionner nos enfants au Grand Remplacement à grands coups d’interventions, dans les classes, d’associations telles que la LICRA ou le MRAP, et même de migrants en chair et en os, invités à parler de leur parcours ne suffit plus ! À Saint-Gély-du-Fesc, dans l’Hérault, bourgade de 9.423 habitants, inspecteur d’académie, directeur d’école, enseignants, tout le monde, jeudi 24 mars, s’en est donné à cœur joie : il s’agissait de tenter une expérience.

Dix heures du matin, heure de la récré. Et les élèves de découvrir au milieu de la cour, stupéfaits, une tente autour de laquelle s’active un couple d’étrangers. On imagine la réaction spontanément normale de la plupart des enfants : « Que font ces gens dans notre école ? », « Ils n’ont pas le droit de s’installer ici », et d’observer l’attitude des adultes, dans semblable enceinte, chargés de les protéger. Ils vont forcément demander aux intrus de s’en aller. Appeler la police. Leur demander de rentrer en classe le temps de régler cette situation aussi incongrue que défendue. Potentiellement dangereuse, même, en période de risque terroriste maximal. Pas du tout ! Et pour cause : le personnel enseignant joue la comédie ! Qui indifférent, qui étonné, qui curieux. D’abord, « on » tente de communiquer. Ensuite, « on » essaie d’en savoir un peu plus, « qui sont-ils, d’où viennent-ils ? » Enfin, les enfants qui ne courront ni ne joueront pendant leur récréation, iront rapidement les aider.

À étendre le linge de madame, à porter de la colle pour réparer la chaussure de monsieur. À sacrifier son goûter, aussi. Toute la journée ! Toute une journée passée à vivre aux côtés de ces gens-là, en réalité… deux acteurs de Lili Label Compagnie, recrutés pour « les faire réfléchir sur le rapport à l’Autre, à la différence » et tutti quanti ! C’est le lendemain que les enfants apprendront que le corps enseignant les a pris pour des c… !

Remarquez, en octobre 2014, une école allemande a commis plus abject encore. Avec de vrais migrants, cette fois. À Lübeck, les élèves ont été emmenés dans un centre d’accueil de réfugiés pour « une expérience pratique du travail ». Qui consistait à faire les lits, le ménage, la cuisine, dans un centre d’accueil de réfugiés. Prévenus en bonne et due forme par l’administration en question, certains parents se sont insurgés. Même les plus « ouverts ». « Je ne suis pas haineuse. Je suis super tolérante, mais là, ça va un peu trop loin. Y a-t-il un nouveau sujet à l’école baptisé “servitude” ? », a commenté l’un d’eux. Certainement.

Les enfants européens endoctrinés à se soumettre à ceux qui vont les remplacer, entraînés à faire « le sale boulot » au détriment de l’apprentissage scolaire. Les petits Européens « n’appartiennent pas à leurs parents » ? En effet, officiellement depuis 1986, date de la première journée scolaire « de lutte contre les discriminations raciales ». Et, en 2016, c’est une semaine entière qui vient d’y être consacrée. Sans parler du reste de l’année, où leur est insufflé l’idéologie immigrationniste sans discontinuer. À l’Éducation nationale, pour annihiler l’instinct de conservation des petits Français et petits Européens, la fin justifie les moyens. C’est effroyablement vilain…

Caroline Artus

Source : Boulevard Voltaire

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