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mercredi, 20 avril 2016

L’Union Européenne réforme le droit d’asile pour favoriser l’invasion

Le nombre de débarquements sur les côtes italiennes a déjà doublé par rapport à l’an dernier. La crise migratoire avec ses conséquences dramatiques que sont l’aggravation de l’insécurité, du marasme économique et de la banqueroute financière ainsi que la conquête islamique de nos territoires grâce à l’arrivée de combattants djihadistes prêts à se faire sauter et à des populations en majorité musulmane, pèse toujours plus lourd sur les épaules d’une vieille Europe à l’agonie. Et l’Union Européenne ne trouve rien de mieux à faire que de réformer dans un sens encore plus libéral le droit d’asile ! Pour attirer, encore et encore, de nouveaux clandestins sur le continent européen, en leur rendant leurs démarches d’obtention du droit d’asile plus simples et plus favorables.

Avec 459 votes pour, 206 contre et 52 abstentions, les eurodéputés ont donc approuvé mardi 13 avril 2016 la réforme du droit d’asile proposée par la socialiste italienne d’origine congolaise, Cecile Kyenge, arrivée clandestinement sur le vieux continent, rappelons-le. C’est un véritable plan de l’Union européenne pour amener toujours plus de migrants en Europe.

« Chaque demandeur d’asile devrait être considéré comme une personne en recherche d’asile dans toute l’Europe et non dans un seul État membre » lit-on dans le texte qui décrète ainsi la fin du Traité de Dublin.

La révision du traité prévoit la création d’un système « centralisé » du droit d’asile pour consentir une meilleure gestion des flux migratoires et des demandeurs d’asile qui arrivent en Europe. Avec la résolution nouvellement approuvée (mais qui n’est pas contraignante) le Parlement de l’UE a décidé également de l’ouverture de couloirs humanitaires pour garantir que les migrants ne finissent pas entre les mains des trafiquants. En effet, selon cette vénérable assemblée composée surtout d’idéologues immigrationistes « l’actuel système du droit d’asile ne tient pas compte suffisamment de la particulière pression migratoire à laquelle sont soumis les pays membres situés aux confins externes de l’Union. »  Qui, en conclusion, ne décide pas sagement, pour alléger cette pression, de la fermeture totale des frontières aux confins de l’Europe ni du renvoie des bateaux et des ses occupants, manu militari s’il le faut, à la manière australienne. Au contraire, sous le prétexte fallacieux d’aider les pays des confins,  il met en place des secours pour aider les clandestins à rejoindre le territoire européen. En somme, c’est l’UE qui favorise l’invasion au détriment des populations européennes, et pour le plus grand avantage des trafiquants qui voient leur commerce de chair humaine conforté.

Dans le document voté, il est demandé en outre aux États membres de s’engager dans la redistribution des migrants débarqués en Grèce et en Italie. Concernant la réimplantation de camps de réfugiés, le texte insiste sur le fait que l’UE a besoin « d’une approche législative contraignante et obligatoire ».  Pour mieux multiplier des petits Calais sur tout le vieux Continent…

L’ex-ministre de l’intégration de l’Italie, Cécile Kyenge, a ainsi pu exulter : « Avec le rapport approuvé aujourd’hui, nous décrétons la fin du règlement de Dublin et nous allons vers un système européen du droit d’asile ».

Avec la congolaise Kenye, qui semble avoir comme but de changer les composantes ethniques des vieux peuples européens, nous allons vers la submersion sans retour de l’Europe, submersion favorisée par des euro-députés traites à leur nation.

Francesca de Villasmundo

Source : MPI

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