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dimanche, 15 mai 2016

La fuite des Blancs des grandes villes européennes s’accélère

EUROPE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est un phénomène à l’échelle européenne, pourtant massif, sur lequel les médias du système sont curieusement peu loquaces : le « white flight » ou fuite des Blancs. Les classes moyennes blanches quittent un quartier lorsque celui-ci connaît un afflux de populations immigrées. En clair : au‑delà d’un certain seuil, l’immigration provoque brutalement le départ des Blancs.

Au Royaume‑Uni, selon le recensement de la population, entre 2001 et 2011, 620 000 Blancs ont quitté Londres, soit 14 % ! Alors que dans le même temps, le nombre d’habitants de Londres s’est accru d’un million… Cette « fuite des Blancs » aggrave la séparation et la concentration ethnique. D’autre part, elle témoigne aussi du remplacement de population en cours. Les Blancs britanniques sont devenus minoritaires à Londres, avec seulement 45 % de la population en 2011 contre 58 % en 2001. Difficile de ne pas faire le lien avec l’élection de Sadiq Khan, nouveau maire de Londres, musulman d’origine pakistanaise…

Pourtant, face à cet afflux massif des années 2000, l’immigration étrangère est devenue l’une des préoccupations majeures des Britanniques comme le montrent les résultats électoraux croissants de l’Ukip, le parti nationaliste britannique. Durant la décennie, la population d’Angleterre et de Galles née à l’étranger a augmenté de trois millions de personnes (+ 63 % !). Et l’aggravation de la crise migratoire depuis deux ans ne permet pas d’imaginer que ce phénomène de fuite des Blancs ait diminué…

Ce phénomène existe aussi en France, en particulier à Paris. L’arrivée des populations étrangères a souvent dégradé la qualité de vie,  en proche banlieue, dans le nord et l’est de l’agglomération parisienne. Cela a entraîné le départ massif des populations actives blanches vers la grande banlieue, quand ce n’est pas pour d’autres régions, moins touchées. Ainsi, 180 000 personnes quittent l’Ile‑de‑France chaque année depuis 1995. Difficile d’évaluer la part des Français de souche, faute de statistiques ethniques, mais il s’agit en particulier de familles  d’actifs avec enfants.

Cela rejoint le constat douloureux effectué dans le livre de Jean‑Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe (éd. Via Romana)…

Source : Novopress

 

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