lundi, 16 mai 2016
Quand la BBC s’intéresse au Grand Remplacement
« The last Whites of the East End », autrement dit : « Les derniers Blancs de l’Est londonien », est un documentaire choc que la BBC va diffuser le 24 mai prochain. Les téléspectateurs découvriront que les Blancs sont devenus « une espèce en voie de disparition » dans le district de Newham après que 70 000 immigrés s’y sont installés au cours des quinze dernières années.
Newham, situé à l’extrémité Est de Londres, comptait autrefois une population composée majoritairement d’ouvriers blancs et de dockers. Cette population blanche s’est désintégrée au fil des années pour laisser place désormais à 73 % de minorités ethniques et noires. Plus de 147 langues étrangères différentes sont parlées rien que dans cet arrondissement de la capitale. Les habitants ancestraux, les Cockneys, sont devenus une espèce en voie de disparition.
En 15 ans, l’immigration de masse a anéanti des décennies de traditions forgées au cours du temps. Newham dispose à ce jour de 66 écoles primaires qui accueillaient il y a seulement 20 ans 50 % d’Anglais de souche. Aujourd’hui, à peine un élève sur trois est anglais et 43 langues différentes sont parlées dans l’enceinte de l’école.
Le Daily Mail a interrogé un habitant de 66 ans, Monsieur Peter Bell : « Je ne veux pas manquer de respect à la communauté musulmane, mais je pense qu’ils ne veulent vraiment pas s’intégrer à nos traditions… »
« Quand j’entends des mots comme multiculturalisme et vivre ensemble, je pense que c’est un non-sens. Nous sommes dans un environnement ayant un chômage record, une densité humaine extrême et où on en arrive à se sentir ostracisés. »
« Que notre Premier ministre ou nos députés viennent vivre ici sur Green Street pendant deux semaines. Ils comprendront mieux. »
« Je n’en reviens pas de ce qui est en train de se passer ici : on se croirait à Bagdad. »
Le district de Newham est l’arrondissement le plus ethniquement diversifié de tout le Royaume-Uni avec seulement 16 % de population blanche aujourd’hui contre 33,8 % il y a encore 10 ans.
Madame Leanne Oakham, dit au journaliste de BBC1 qu’elle a été obligée de déménager pour vivre dans l’Essex : « Ce n’est plus comme le East End d’autrefois où tout le monde se connaissait et on pouvait s’absenter de chez soi en laissant sa porte ouverte. C’est devenu dangereux aujourd’hui… »
Traduction résumée du Daily Mail par Eurolibertés
11:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
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