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mardi, 28 juin 2016

Le Bizness Sanguinolent du Halal & du Casher. Une « Dîme » Payée Au Clergé Musulman ?

« Le goût de l’Orient » chez Auchan, « Toutes les saveurs du ramadan » chez Carrefour, « Spécial Orient » chez Intermarché… La grande distribution a sorti ses décors des mille et une nuits et profite du ramadan, pour mettre en avant des produits destinés spécifiquement aux musulmans, et en particulier des viandes estampillées halal. Le casher a également le vent en poupe à bien moindre échelle cependant. Abattage rituel sous contrôle religieux, generation kebab, les Français carnassiers paient-ils de nouveau la "dîme" au clergé... musulman sans le savoir ?

Les mœurs et restrictions alimentaires religieuses communautaristes connaissent un essor exponentiel depuis les années 70. En ce qui concerne la viande pour le Judaïsme comme pour l’Islam, la mise à mort d'un animal est un acte sacrificiel qui ne peut s’effectuer que sur un animal vivant et conscient. Ce dernier n’est donc pas étourdi avant la saignée. Le cou est coupé en un seul geste avec un long couteau très affûté par un « sacrificateur » qui récite une prière, l'animal devant en principe être mécaniquement immobilisé pendant la saignée les sacrificateurs formés conditions qui ne sont pas toujours respectées loin s'en faut.

Récemment la Une des médias a été consacrée aux scandales des actes de cruauté à l'égard des animaux dans certains abattoirs. Braquer les projecteurs sur les abattoirs permet de revenir sur un problème récurent celui de l'abattage rituel éxigé par la religion juive et la religion musulmane pour que la viande soit certifiée soit casher soit halal.

C'est à la demande des Français juifs, que Michel Debré a accordé une dérogation à la loi de 1964 qui imposait d'étourdir les animaux avant de les saigner. Cette dérogation a bien évidemment été accordée aussi aux musulmans. L'étiquetage des viandes provenant de ces abattages rituels a été demandé à deux reprises en 2010 et en 2011 mais n'a pas été rendu obligatoire "pour ne pas stigmatiser les Musulmans".

Cet étourdissement n'a pas vraiment de fondement religieux chez les Musulmans contrairement aux Juifs. Certaines autorités musulmanes seraient prêtes à accepter des techniques d'étourdissement dites « réversibles » car elles ne tuent pas. L'Australie et la Nouvelle Zélande pratiquent l'étourdissement alors même qu'elles exportent de grandes quantités de viande dans les pays musulmans.

En théorie le Coran peut accepter comme licite la viande abattue par des « gens du Livre », c’est-à-dire les Chrétiens et les Juifs. Dans la pratique selon le rituel musulman (la dhabila), pour être halal, un animal doit être tourné vers la Mecque, égorgé et saigné vivant par un musulman d'où la nécessité d'avoir des sacrificateurs musulmans dans les abattoirs.

Et ce n'est pas gratuit...

Abattage rituel à qui profite la taxe de certification halal ? Une dîme pour le clergé musulman payée par les Français musulmans ou non fans de kebab ?

La quantité de viande casher nécessitant la présence d'un « sacrificateur » assermenté par le Grand Rabbinat pour Paris et les rabbinats régionaux a un coût une taxe en quelque sorte sur l'abattage rituel qui se répercute sur le prix de la viande plus cher. Cette dîme remplit les coffres des autorités rabbiniques. Il y a environ 700 00 Juifs en France et tous ne mangent pas casher. Néanmoins ajoutés aux revenus tirés des autres produits casher ce sont des centaines de millions qui rentrent dans ces coffres exonés d'impôt bien entendu.

Pour le halal les bénéfices sont encore plus grands. Il y a environ 5 à 6 millions de Musulmans en France (chiffres à minima). La tendance est au retour aux pratiques religieuses surtout depuis que les Frères Musulmans et les Salafistes ont pignon sur rue incluse celle de manger halal.

Pour simplifier et rentabiliser la chaîne de production, les abattoirs préfèrent sacrifier au rituel musulman des lots entiers de viande même si seule une partie est commercialisée sous l’appellation halal. Dans un rapport remis en 2005 aux ministres de l’Intérieur et de l’Agriculture le Comité permanent de coordination des inspections (Coperci) à travers une «enquête sur le champ du halal» constatait déjà qu’une part «non négligeable de la viande abattue rituellement était vendue dans le circuit classique, sans mention particulière. La chambre d'agriculture d'île de France avait déclaré que dans cette région 100 % de la viande commercialisée était halal.

L’encadrement des abattages rituels a été renforcé par un décret fin 2011. Selon un décret paru le 28 décembre 2011 l'abattage selon le rite halal ne peut avoir lieu que "sur commande, et non de manière mécanique ou systématique". "Cela doit répondre à une commande spécifique" selon le ministère de l'agriculture.

Mais cette loi est-elle respectée, des contrôles sont-ils effectués ?

Après la création du premier certificateur halal (AVS) en 1991 des dizaines d’organismes ont émergé dans les années 2000. Les plus importants sont liés aux trois grandes mosquées de Paris, Lyon et Evry seules habilitées par le ministère de l’Intérieur à délivrer des cartes de sacrificateurs. Cette délivrance purement administrative n'est assortie d'aucune obligation de formation ou de contrôle.

Les mosquées n’interviennent directement que pour délivrer des habilitations aux sacrificateurs et cela a un coût. Ces habilitations remplissent les coffres des autorités religieuses musulmanes.

Les organismes certificateurs qui servent d'intermédiaires avec les abattoirs divergent sur les méthodes de contrôle et les pratiques (par exemple, l’autorisation ou non d’un étourdissement préalable). Des polémiques éclatent régulièrement en France, l’absence de consensus sur le mode d'abattage profite aux industriels et aux distributeurs, qui ont évidemment tendance à choisir les organismes certificateurs les plus conciliants qui se font remunerer pour la délivrance AVS (halal).

En l'absence de traçabilité – pour ne pas « stigmatiser les Musulmans » - sur le marché de gros de Rungis le client est roi la viande est étiquetée halal ou pas. Avec le développement de l'informatique les carcasses issues de l’abattage rituel porte un code si le boucher demande de la viande halal, le code est inscrit sur la facture si au contraire le client n’en veut pas le code est enlevé.

Ni vu ni connu !

Alors qu’ils n’ont jamais franchi la porte d’une boucherie halal de nombreux consommateurs mangent donc à leur insu de la viande provenant d'animaux égorgés vivants.

La certification est payante. Acheter halal, c'est payer une dime au culte musulman.

Quels montants sont ainsi collectés, par qui ? Quelles filières de l'Islam en profitent ?

Celles qui prêchent aux jeunes musulmans l'obligation d'égorger les « kouffars » les mécréants non musulmans dont des policiers ?

Generation kebab ou comment convertir les jeunes au halal donc à l'Islam sans qu'ils s'en aperçoivent

Le cabinet Solis, spécialisé dans le marketing « identitaire » se basant sur l’hypothèse de 5 millions de musulmans en France (chiffre à minima) a conclu que le marché du halal s’établissait à 5,5 milliards d’euros en 2010, dont 4,5 milliards en produits alimentaires et 1 milliard en restauration hors domicile (kebab, fast-food, pizzeria). Depuis il s'est certainement développé ne serait-ce qu'avec l'engouement des jeunes pour le kebab ce sandwich adulé par les adorateurs de la malbouffe.

le « grec » - c'est ainsi qu'on appelle le kebab – est semble-t-il devenu le sandwich élu par une génération de jeunes français. Ce sandwich qui rivalise avec le Mc Do n'est absolument pas grec. Il est pseudo-turc car inventé a Berlin sous le nom de Döner Kebab... par Kadir Nurman (mort a Berlin en 2013). « Döner Kebab » est une expression turque qui signifie « grillade tournante » .

En décembre 2006, une étude de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) avait jugé « non conformes » les conditions d’hygiène dans plus de la moitié des restaurants kebab . Lors d'une intervention dans tous les kebabs de St Denis en IDF il y a une dizaine d’années peu ont échappé aux amendes et certains ont du fermer.

« C’est la palme d’or de la malbouffe ,selon le nutritionniste Arnaud ­Cocaul. « Un kebab est deux fois plus calorique qu’un gros hamburger ! »

Apparemment les ados ne se préoccupent pas de la propreté des cuisines, la qualité de la viande ni de la façon dont sont égorgés les animaux ni de la qualité des huiles de friture. Il se vendrait 300 millions de ces sandwichs chaque année en France. Il n’existe pas de statistiques officielles, mais le pays compterait environ 10 000 points de vente.

Si on se penche sur le strict nombre, non répertorié, de kebabs dans certaines rues, villes ou banlieues, il y a là du socio-cu-mafieux lourd. Certains kebabs sont accusés d'être des repaires de Salafistes et autres extrèmistes musulmans.

Dans les banlieues à forte population musulmane  Le kebab, c’est l’endroit où se retrouvent les jeunes du quartier. Ils viennent là parce que c’est ­halal et parce que c’est leur endroit. La certification halal s'affiche obligatoirement par le sigle AVS. La population fréquentant ces kebabs est essentiellement masculine séparation homme femme oblige. Pour draguer ces jeunes préfèrent les Mc Do. Les filles elles n'ont pas le choix elles optent pour le kebab à emporter.

Comme à Berlin, les branchés ­parisiens se sont entichés du kebab pour certains d'entre eux c'est la preuve de la réussite du « multiculturalisme » lien indefectible entre bobos des beaux quartiers et banlieusards musulmans des HLM. Sans le savoir ces branchés sont entrain de s'islamiser de même que tous ces jeunes adeptes du kebab qui pour certains vont militer dans des associations contre la cruauté infligée aux animaux dans les abattoirs.

Les consommateurs de viande sont en droit de savoir comment les animaux ont été abattus et si la viande mise sur le marché est halal. A eux ensuite de choisir d'acheter ou pas d'autant plus que ces abattages religieux ont un coût plus élevé du à la présence de ces sacrificateurs et qu'une dîme est de ce fait versée aux autorités religieuses les agréant. Certaines viandes importées sont moins cheres du fait notamment qu'elles ne sont pas abattues rituellement (halal, casher).

L’équilibre financier du marché de la viande halal et casher repose sur la commercialisation de leurs excédents dans le circuit «classique ». Autrement dit ce sont les consommateurs lambdas qui assurent la rentabilité des abattages rituels casher et halal.

En matière d'étiquetage et de traçabilité ils reste beaucoup à faire notamment pour que les Français consommateurs de viande ne se voient pas imposer de payer la dîme au clergé musulman.

Qui sait à quoi sert cet argent ?

A financer le terrorisme et égorger les Français comme des bêtes dans les l'abattoirs ? 9717102-15664643.jpg

Source : planetenonviolence

 

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