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lundi, 05 septembre 2016

Islam : le fossé s’élargit et la méfiance grandit

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En ce moment, sur les réseaux sociaux, tourne une BD nous invitant à apprendre comment réagir en cas de « harcèlement islamophobe ». Sur son Facebook, sa créatrice, Marie-Shirine Yener (dit Maeril), étudiante de 22 ans en dernière année de graphisme, se disant engagée dans les luttes antiracistes et LGBTQ, rejette les accusations communautaristes en affirmant que sa « technique » marche pour tout type de harcèlement avant d’ajouter :

« Cependant ici je me concentre sur la protection des personnes musulmanes car elles sont particulièrement vulnérables aux attaques par les temps qui courent, et en tant que femme racisée (sic) je désirais attirer l’attention sur ces situations qui deviennent trop banales. »

Personnellement, et à mon sens, la seule chose qui est devenue banale et qui mérite d’attirer notre attention est le terme « islamophobie », qui s’est développé sur notre langue telle une tumeur.

Ce mot, « islamophobie », est une arme de terrorisme culturel tentant de faire passer le bon sens pour une maladie mentale. Développé par les islamistes et leurs alliés de gauche, il vise à donner une mauvaise conscience simplement pour avoir des émotions face à la terreur islamique et des interrogations quant à la « religion de paix et d’amour ». En réalité, ce terme permet à une idéologie fascisante de se présenter comme une victime, et non pas pour ce qu’elle est réellement : un prédateur.

Également, ce qui est devenu banal et mérite d’attirer notre attention est que les valeurs islamiques soient non négociables, laissant donc le choix entre la soumission et le conflit permanent. La communauté musulmane se dépeint comme une minorité opprimée. Or, les faits – comme ceux de cet été – nous révèlent, au contraire, que de nombreux musulmans agissent comme une minorité arrogante et agressive. De plus, que dire de tous ces pays ayant l’islam comme religion majoritaire et où l’oppression envers les minorités religieuses est bien documentée.

Aujourd’hui, de nombreux pays font face au terrorisme islamique et ce qui est appelé « islamophobie » n’est en réalité qu’une réaction face à cette terreur qui trouve ses justifications dans les racines de l’islam (Coran et hadiths). Malheureusement, au lieu de remettre en question des grimoires datant du Moyen Âge, de nombreux musulmans préfèrent les défendre, et cela au grand dam des victimes du djihadisme.

Ainsi, il est inévitable que des pays commencent à prendre des mesures contre l’islam, et cela sans que les croyants aient leur mot à dire, puisque toute critique de leur foi vaut le terme diffamatoire d’« islamophobie ». Déjà, aux Pays-Bas, le parti de Geert Wilders, en tête dans les sondages pour les prochaines élections et allié du Front national, propose d’interdire le Coran, les mosquées et les écoles coraniques. En somme, il souhaite l’interdiction de l’islam.

Au lieu de nous « enrichir », l’islam nous aura apporté la séparation et la méfiance… Et à chaque utilisation du terme « islamophobie », ce fossé s’élargit et la méfiance grandit.

Xavier Scott

Boulevard Voltaire



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