C’est en Australie que le fameux « burkini » fut inventé par Aheda Zanetti, une femme d’origine libanaise. Afin de pouvoir le vendre, elle fut obligée d’obtenir la fatwa du « grand mufti » de Sydney, qui déclara la tenue licite au regard de l’islam. De son nom Taj Aldin al-Hilali, le « cheikh australien » (sic) qui rendit cette farce possible n’est pas un personnage anodin.
Au début des années 1990, Chris Hurford, alors ministre de l’Immigration, tenta de le faire expulser en raison de propos peu amènes sur les israélites que le « cheikh » accusait de contrôler le monde grâce « au sexe, à la perversion sexuelle, ainsi que la promotion de l’espionnage, de la trahison et de la thésaurisation pécuniaire ». Devenu, depuis, un respectable invité permanent du pays des kangourous, il n’a pas renié ses idées de jeunesse.
Comme la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, il ne sera guère étonnant d’apprendre que la vive polémique née autour de l’expulsion d’une emburkinée de la plage de Villeneuve-Loubet n’était en réalité que la manipulation d’une chaîne de télévision australienne. Coup monté par Channel 7, le départ forcé de Zeinab Alshelh a été entièrement manigancé par une équipe de journalistes avides d’images fortes à vendre aux gogos que nous sommes.
Le journal Nice-Matin a enquêté, interrogeant notamment une mère de famille qui se trouvait présente au moment de ce drame rappelant les « zeures-les-plus-sombres-de-notre-histoire » : « Nous étions installés sur la plage avec mes enfants, quand nous avons vu la caméra débarquer à quelques mètres de nous.
Au début des années 1990, Chris Hurford, alors ministre de l’Immigration, tenta de le faire expulser en raison de propos peu amènes sur les israélites que le « cheikh » accusait de contrôler le monde grâce « au sexe, à la perversion sexuelle, ainsi que la promotion de l’espionnage, de la trahison et de la thésaurisation pécuniaire ». Devenu, depuis, un respectable invité permanent du pays des kangourous, il n’a pas renié ses idées de jeunesse.
Comme la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, il ne sera guère étonnant d’apprendre que la vive polémique née autour de l’expulsion d’une emburkinée de la plage de Villeneuve-Loubet n’était en réalité que la manipulation d’une chaîne de télévision australienne. Coup monté par Channel 7, le départ forcé de Zeinab Alshelh a été entièrement manigancé par une équipe de journalistes avides d’images fortes à vendre aux gogos que nous sommes.
Le journal Nice-Matin a enquêté, interrogeant notamment une mère de famille qui se trouvait présente au moment de ce drame rappelant les « zeures-les-plus-sombres-de-notre-histoire » : « Nous étions installés sur la plage avec mes enfants, quand nous avons vu la caméra débarquer à quelques mètres de nous.
Ce n’est qu’après qu’un homme et deux femmes en burkini sont arrivés. Ils ont marché quelques minutes le long de la plage, puis sont venus s’installer juste devant l’équipe télé. »
Ah, il est encore fécond, le ventre de la bête immonde ! Ces Français ignobles devaient être dévoilés sous leur vrai jour : cruels, xénophobes, islamophobes, médiocres, vulgaires, grossiers. Voilà ce que sont ces sales kouffars de Français selon la doxa dominante relayée par Channel 7 pour le plus grand plaisir des salafistes.
Dans le reportage diffusé en Australie, on aperçoit même un homme avancer vers la caméra et déclarer de façon agressive : « Vous faites demi-tour et vous partez. » La voix off de commenter : « Nous avons été forcés de partir, car les gens ont dit qu’ils allaient appeler la police. ». Bien entendu, tout cela était mensonger, l’homme refusant simplement que ses enfants soient filmés… Nice-Matin nous apprend aussi que les femmes en burkas de bain se sont installées à un endroit gênant la circulation des scooters de mer… C’est d’ailleurs pour cette raison qu’on leur aurait demandé de s’écarter !
Zeina Alshelh et Channel 7 ont fait de l’agit-prop islamiste, comme certains le font aux États-Unis pour des causes différentes, telle celle défendue par Black Lives Matter. Alliés objectifs, les journalistes et les islamistes ont obtenu ce qu’ils voulaient : du sensationnel. C’est une bonne leçon pour ceux qui se laissent berner par le chantage victimaire des associations anti-France et des médias truqueurs. Ces gens doivent des excuses à la France et aux Français.
Gabriel Robin
Boulevard Voltaire
Les commentaires sont fermés.