Alors que les flux migratoires en direction de l’Europe ont repris pour route principale la direction de l’Italie via la mer, des dizaines de milliers de migrants tentent toujours leur chance à pied par la route des Balkans. Et il y a toujours plusieurs millions de candidats potentiels à la migration en Turquie.
La fermeture relative de la route des Balkans par les décisions de l’Autriche et de la Hongrie ont notablement réduit les flux dans cette région, mais les problèmes existent toujours.
C’est particulièrement le cas pour les pays de transit comme la Serbie, où des milliers de migrants sont coincés, faute de pouvoir poursuivre aisément leur chemin.
Nicolas de Lamberterie a enquêté sur le terrain pour étudier la façon dont les Serbes gèrent ou subissent la crise migratoire dans leur pays.
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La fermeture relative de la route des Balkans par les décisions de l’Autriche et de la Hongrie ont notablement réduit les flux dans cette région, mais les problèmes existent toujours.
C’est particulièrement le cas pour les pays de transit comme la Serbie, où des milliers de migrants sont coincés, faute de pouvoir poursuivre aisément leur chemin.
Nicolas de Lamberterie a enquêté sur le terrain pour étudier la façon dont les Serbes gèrent ou subissent la crise migratoire dans leur pays.
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