Tout, ou presque, a été dit et écrit sur les raisons profondes qui ont pu pousser un commando islamiste à pénétrer dans une salle de concert pour massacrer des Français innocents, il y a de cela tout juste un an. Certains d’entre eux, comme vous le savez, étaient des Français ou des Belges de papiers. Des gens qui ont été éduqués, nourris et choyés en Europe occidentale. Pourtant, ils nous haïssaient du plus profond de leur âme. Depuis, rien n’a changé. Ou plutôt si : de plus en plus de jeunes issus de l’immigration se reconnaissent dans leur combat, désireux de nous détruire.
Pionniers d’un phénomène ancien, Khaled Kelkal et Mohammed Merah sont désormais les martyrs de cette non-France qui a pris conscience qu’elle pouvait semer les graines du chaos chez nous.
Depuis cette date, nous avons connu de nouveaux attentats, parfois très coûteux en vies humaines, comme ce fut le cas à Nice ; parfois éminemment symboliques… Les attentats de Saint-Étienne-du-Rouvray et de Magnanville ont frappé les esprits, prouvant que les terroristes islamistes ne reculaient devant rien, s’attaquant à des inconscients français puissants tels que les forces de l’ordre et l’Église catholique. Il ne servait à rien de crier « Plus jamais ça » après la tuerie qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo, comme il ne servirait à rien, aujourd’hui, de commémorer en faisant fi d’un passé qui tarderait à se dissiper des esprits.
Les discours des sociologues, anthropologues et autres gauchistes adeptes des « bourdieuseries », qui font office de catéchisme politiquement correct aux serpents à sornettes qui écument les plateaux de télévision, ont fait long feu.
Les Français n’en peuvent plus de ces émissions qui ressemblent à des séances de thérapies de groupe pour bobos déconnectés du réel. Ils sentent confusément qu’une partie de la France a fait sécession, solidaire des très médiatiques tueurs fanatisés acquis à une vision guerrière de l’islam.
Pionniers d’un phénomène ancien, Khaled Kelkal et Mohammed Merah sont désormais les martyrs de cette non-France qui a pris conscience qu’elle pouvait semer les graines du chaos chez nous.
Depuis cette date, nous avons connu de nouveaux attentats, parfois très coûteux en vies humaines, comme ce fut le cas à Nice ; parfois éminemment symboliques… Les attentats de Saint-Étienne-du-Rouvray et de Magnanville ont frappé les esprits, prouvant que les terroristes islamistes ne reculaient devant rien, s’attaquant à des inconscients français puissants tels que les forces de l’ordre et l’Église catholique. Il ne servait à rien de crier « Plus jamais ça » après la tuerie qui a décimé la rédaction de Charlie Hebdo, comme il ne servirait à rien, aujourd’hui, de commémorer en faisant fi d’un passé qui tarderait à se dissiper des esprits.
Les discours des sociologues, anthropologues et autres gauchistes adeptes des « bourdieuseries », qui font office de catéchisme politiquement correct aux serpents à sornettes qui écument les plateaux de télévision, ont fait long feu.
Les Français n’en peuvent plus de ces émissions qui ressemblent à des séances de thérapies de groupe pour bobos déconnectés du réel. Ils sentent confusément qu’une partie de la France a fait sécession, solidaire des très médiatiques tueurs fanatisés acquis à une vision guerrière de l’islam.
Disons-le : les terroristes ont bénéficié de complicités actives sur l’ensemble du territoire national. Certaines cités sont devenues, au fil du temps, de véritables ambassades de l’État islamique en France et en Belgique, tant par adhésion sincère aux idéaux que défend l’organisation terroriste que par défi lancé à la France et à la Belgique des juges, des professeurs et des éducateurs spécialisés.
Planques, garages, voitures, commissions, armes : ils ont été protégés par leurs séides sur place. Véritables centres de radicalisation, les prisons françaises transforment des caïds violents en assassins qui se purifieront par le djihad. C’est ainsi : nous devons nous préparer à de longues années de lutte contre ceux qui rêvent de rejouer le match retour de la guerre d’Algérie, appelant à l’insurrection armée contre notre civilisation, notre nation, notre culture et notre histoire. L’inaction politique permet aux mosquées des prêcheurs de haine de prospérer et aux islamistes médiatiques de profiter de la peur pour pratiquer un ignoble chantage.
Marwan Muhammad (Collectif contre l’islamophobie en France) ou Tariq Ramadan veulent que la France devienne une terre musulmane. Ils n’essayent pas de nous assassiner avec des kalachnikov mais en utilisant les armes dialectiques que la gauche libérale, aussi paresseuse intellectuellement que lâche, leur a concédées lamentablement. Ensemble, ils représentent un danger mortel pour l’Europe et la France. Un an après le Bataclan, et plus que jamais, nous devons identifier les maux qui nous rongent : l’immigration et son corollaire qu’est l’islamisation.
Gabriel Robin
Source
Planques, garages, voitures, commissions, armes : ils ont été protégés par leurs séides sur place. Véritables centres de radicalisation, les prisons françaises transforment des caïds violents en assassins qui se purifieront par le djihad. C’est ainsi : nous devons nous préparer à de longues années de lutte contre ceux qui rêvent de rejouer le match retour de la guerre d’Algérie, appelant à l’insurrection armée contre notre civilisation, notre nation, notre culture et notre histoire. L’inaction politique permet aux mosquées des prêcheurs de haine de prospérer et aux islamistes médiatiques de profiter de la peur pour pratiquer un ignoble chantage.
Marwan Muhammad (Collectif contre l’islamophobie en France) ou Tariq Ramadan veulent que la France devienne une terre musulmane. Ils n’essayent pas de nous assassiner avec des kalachnikov mais en utilisant les armes dialectiques que la gauche libérale, aussi paresseuse intellectuellement que lâche, leur a concédées lamentablement. Ensemble, ils représentent un danger mortel pour l’Europe et la France. Un an après le Bataclan, et plus que jamais, nous devons identifier les maux qui nous rongent : l’immigration et son corollaire qu’est l’islamisation.
Gabriel Robin
Source
Les commentaires sont fermés.