La place de l’islam en France interroge notre société depuis bien des années. Ayant grandi dans une famille musulmane, avant d’embrasser la foi catholique à l’âge adulte, sans pour autant nourrir la moindre animosité de principe à l’égard de la religion de mes parents, je mesure avec objectivité et discernement, plus que tout autre peut-être, à quel point l’islam contemporain s’est éloigné, en France, de la pratique religieuse discrète de ses fidèles d’autrefois.
Sortons un instant des salons parisiens et observons la réalité brutale, dans nos quartiers, nos villes et villages, là où précisément les populations de confession musulmane sont bien souvent massivement concentrées !
Les langues d’origine, essentiellement l’arabe, sont parlées ouvertement dans la rue, dans les stades de football ou dans l’enceinte de nos administrations. Des accoutrements vestimentaires exotiques s’acclimatent sous nos cieux (djellabas, boubous, hijab, niqab, burqa, burkinis) et chassent de nos horizons les tenues européennes les plus ordinaires. Les commerces de proximité traditionnels disparaissent au profit de commerces communautaires dont l’aménagement intérieur et la qualité de l’offre commerciale se distinguent fréquemment par leur indigence confondante. L’alimentation halal s’impose dans les cantines scolaires et envahit les rayons des centres commerciaux. Les indices attestant d’allégeances identitaires qui se nouent par-delà nos frontières sont partout perceptibles : antennes paraboliques drainant des programmes étrangers, participation aux scrutins électoraux des patries d’origine, prestataires de voyages et entreprises de pompes funèbres chargés de transporter les vivants et les morts vers leurs terres ancestrales…
Dans l’espace public, les habitudes de vie en société se modifient insensiblement : l’observance rigoureuse des rituels et des fêtes religieuses tend à s’imposer à tous ; reléguées à un statut outrageusement discriminatoire, les femmes sont dissimulées pour échapper à une concupiscence masculine perpétuellement redoutée et sont enfermées dans un univers domestique étouffant ; un discours dominant, sexiste et trop souvent antisémite se diffuse insidieusement, singulièrement dans les banlieues ; les autres confessions pratiquent leurs rites mais toujours de manière confidentielle, à l’abri des regards ; les conversions religieuses, plus que jamais taboues, se réalisent dans une discrétion absolue ; les animaux de compagnie, jugés impurs, se font plus rares sur la voie publique ; une autocensure des professeurs se glisse imperceptiblement dans l’enseignement de certaines matières scolaires « sensibles »…
Les exemples de cette islamisation rampante de nos territoires abondent malheureusement : ils témoignent pareillement de l’impossible assimilation de populations qui occupent notre sol en des proportions toujours plus importantes mais aussi, et surtout, de l’installation progressive en France d’une contre-société puissante, liberticide et obscurantiste, qui enracine des coutumes et des modes de vie radicalement étrangers à nos traditions séculaires.
Avec toujours le même point d’aboutissement tragique :
Sortons un instant des salons parisiens et observons la réalité brutale, dans nos quartiers, nos villes et villages, là où précisément les populations de confession musulmane sont bien souvent massivement concentrées !
Les langues d’origine, essentiellement l’arabe, sont parlées ouvertement dans la rue, dans les stades de football ou dans l’enceinte de nos administrations. Des accoutrements vestimentaires exotiques s’acclimatent sous nos cieux (djellabas, boubous, hijab, niqab, burqa, burkinis) et chassent de nos horizons les tenues européennes les plus ordinaires. Les commerces de proximité traditionnels disparaissent au profit de commerces communautaires dont l’aménagement intérieur et la qualité de l’offre commerciale se distinguent fréquemment par leur indigence confondante. L’alimentation halal s’impose dans les cantines scolaires et envahit les rayons des centres commerciaux. Les indices attestant d’allégeances identitaires qui se nouent par-delà nos frontières sont partout perceptibles : antennes paraboliques drainant des programmes étrangers, participation aux scrutins électoraux des patries d’origine, prestataires de voyages et entreprises de pompes funèbres chargés de transporter les vivants et les morts vers leurs terres ancestrales…
Dans l’espace public, les habitudes de vie en société se modifient insensiblement : l’observance rigoureuse des rituels et des fêtes religieuses tend à s’imposer à tous ; reléguées à un statut outrageusement discriminatoire, les femmes sont dissimulées pour échapper à une concupiscence masculine perpétuellement redoutée et sont enfermées dans un univers domestique étouffant ; un discours dominant, sexiste et trop souvent antisémite se diffuse insidieusement, singulièrement dans les banlieues ; les autres confessions pratiquent leurs rites mais toujours de manière confidentielle, à l’abri des regards ; les conversions religieuses, plus que jamais taboues, se réalisent dans une discrétion absolue ; les animaux de compagnie, jugés impurs, se font plus rares sur la voie publique ; une autocensure des professeurs se glisse imperceptiblement dans l’enseignement de certaines matières scolaires « sensibles »…
Les exemples de cette islamisation rampante de nos territoires abondent malheureusement : ils témoignent pareillement de l’impossible assimilation de populations qui occupent notre sol en des proportions toujours plus importantes mais aussi, et surtout, de l’installation progressive en France d’une contre-société puissante, liberticide et obscurantiste, qui enracine des coutumes et des modes de vie radicalement étrangers à nos traditions séculaires.
Avec toujours le même point d’aboutissement tragique :
l’appauvrissement des sens, des cœurs et des esprits…
Le chaos migratoire qui frappe notre continent ces dernières années amplifie la présence, en France, d’une religion conquérante et décomplexée qui ne se réduit pas à la seule foi intime de ses fidèles : enfermant l’individu du berceau au linceul dans un carcan pesant de rites religieux et de standards culturels divers, l’islam est aussi un système politico-juridique anxiogène qui refuse de soustraire l’espace public à son emprise totalitaire et qui soumet l’individu au poids considérable d’une communauté repliée sur elle-même. Un modèle de société alternatif revendique, ainsi, toute sa place en France, un modèle de civilisation irréformable théologiquement qui n’hésite plus, désormais, à s’opposer frontalement aux principes fondamentaux qui structurent l’univers de pensée européen : dignité de la personne humaine, égalité entre l’homme et la femme, liberté de conscience, autonomie de l’individu, liberté religieuse, sécularisation de l’espace public…
Force est de constater, aujourd’hui, que l’islam politique compromet gravement la cohésion culturelle de notre corps social, suscite parmi nos compatriotes des angoisses identitaires durables et menace les fondements historiques de la civilisation française. À vue humaine, l’islam politique n’est en rien soluble dans la République : il doit donc être mis durablement sous tutelle de la République pour conjurer ses effets profondément déstabilisateurs.
En pratique, la République se devra de prohiber l’expression publique des marqueurs identitaires de l’islam (signes religieux ostensibles, tenues vestimentaires prosélytes, abattage rituel) sans avoir à étendre ces interdits aux autres religions présentes sur notre territoire qui, du christianisme au judaïsme, ne présentent aucune menace particulière pour la France ; dans le même temps, l’exercice du culte musulman devra être administré par les pouvoirs publics jusqu’à la parfaite adaptation de ses fidèles aux mœurs et coutumes françaises, ce qui impliquera, d’ici cette échéance lointaine, l’interdiction d’édifier sur notre sol de nouvelles mosquées ou tous autres instituts de culture musulmane, la fin de tout financement étranger du culte musulman, la fermeture immédiate des mosquées portant atteinte à l’ordre public, la sélection des imams formés en France par le seul ministère de l’Intérieur auquel seront soumis les prêches préalablement à leur lecture en langue française, l’expulsion des imams déviants…
Pour organiser l’encadrement d’une religion qui requiert un tel traitement différencié, l’État imposera aux fidèles musulmans la création d’une instance nouvelle, véritablement représentative de l’islam en France, appelée à devenir son unique interlocuteur.
Cette entreprise de sauvegarde identitaire de notre modèle de civilisation, délibérément autoritaire, n’a de sens que si celui-ci redevient le creuset culturel d’une assimilation réussie, ce qui suppose qu’il soit parfaitement identifié dans notre conscience collective et surtout partagé par tous. Sur ce point, il faut bien admettre que le modèle républicain actuel, passablement confus, n’est guère attractif, tant il prospère sur un vide culturel, spirituel et moral entretenu de longue date par une idéologie dominante insipide, à la fois laïciste et multiculturaliste. Une vérité historique intangible doit être ici rappelée : les religions ne sont pas toutes égales entre elles sur notre sol, au regard de la mémoire de la civilisation française.
Le rappel de la prééminence du fait culturel chrétien, inséparable des autres racines gréco-latine et humaniste qui composent l’héritage français, sera ainsi la clé qui permettra de « réenchanter » un modèle de société aujourd’hui à bout de souffle. Un travail d’introspection collectif qui permettra en somme (sans intention d’ériger sur notre sol le moindre État confessionnel) de redéfinir le cadre identitaire charnel de la France que chaque fidèle musulman sera tenu de respecter fidèlement ! Ceux qui refuseraient de se plier à cette nouvelle donne culturelle seraient alors amenés à regagner aussitôt leurs pays d’origine avec lesquels seraient organisées, par ailleurs, les modalités pratiques de cette politique inédite de remigration.
L’inscription des racines culturelles chrétiennes de la France dans le préambule de la Constitution de 1958, la refonte de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, la prise en compte dans notre conscience politique nationale d’un privilège de civilisation reconnu à la religion chrétienne, le traitement cultuel différencié de l’islam… autant de chantiers législatifs que nous avons à mener à bien très rapidement pour relever sans état d’âme le défi de l’islam en France ; une entreprise politique ambitieuse qui serait toutefois vouée à l’échec si, dans le même temps, nous ne parvenions pas en pratique à enrayer définitivement le phénomène migratoire et à recouvrer la maîtrise authentique de nos attributs de souveraineté.
Entre ceux qui considèrent naïvement que l’islam est compatible avec la République et ceux qui ne tirent aucune conséquence pratique à leur défiance de principe à l’égard de cette religion, ou ceux encore qui invoquent une improbable identité heureuse de la France pour prôner une politique irresponsable d’accommodements confessionnels, j’avoue ma profonde insatisfaction. Le courage de dire la vérité sur l’islam et la volonté politique de se hisser à la hauteur des enjeux de ce temps sont, en définitive, les deux vertus qui manquent cruellement dans le débat actuel, à l’approche pourtant d’échéances électorales qui s’annoncent décisives pour l’avenir du pays…
Karim Ouchikh
Source
Force est de constater, aujourd’hui, que l’islam politique compromet gravement la cohésion culturelle de notre corps social, suscite parmi nos compatriotes des angoisses identitaires durables et menace les fondements historiques de la civilisation française. À vue humaine, l’islam politique n’est en rien soluble dans la République : il doit donc être mis durablement sous tutelle de la République pour conjurer ses effets profondément déstabilisateurs.
En pratique, la République se devra de prohiber l’expression publique des marqueurs identitaires de l’islam (signes religieux ostensibles, tenues vestimentaires prosélytes, abattage rituel) sans avoir à étendre ces interdits aux autres religions présentes sur notre territoire qui, du christianisme au judaïsme, ne présentent aucune menace particulière pour la France ; dans le même temps, l’exercice du culte musulman devra être administré par les pouvoirs publics jusqu’à la parfaite adaptation de ses fidèles aux mœurs et coutumes françaises, ce qui impliquera, d’ici cette échéance lointaine, l’interdiction d’édifier sur notre sol de nouvelles mosquées ou tous autres instituts de culture musulmane, la fin de tout financement étranger du culte musulman, la fermeture immédiate des mosquées portant atteinte à l’ordre public, la sélection des imams formés en France par le seul ministère de l’Intérieur auquel seront soumis les prêches préalablement à leur lecture en langue française, l’expulsion des imams déviants…
Pour organiser l’encadrement d’une religion qui requiert un tel traitement différencié, l’État imposera aux fidèles musulmans la création d’une instance nouvelle, véritablement représentative de l’islam en France, appelée à devenir son unique interlocuteur.
Cette entreprise de sauvegarde identitaire de notre modèle de civilisation, délibérément autoritaire, n’a de sens que si celui-ci redevient le creuset culturel d’une assimilation réussie, ce qui suppose qu’il soit parfaitement identifié dans notre conscience collective et surtout partagé par tous. Sur ce point, il faut bien admettre que le modèle républicain actuel, passablement confus, n’est guère attractif, tant il prospère sur un vide culturel, spirituel et moral entretenu de longue date par une idéologie dominante insipide, à la fois laïciste et multiculturaliste. Une vérité historique intangible doit être ici rappelée : les religions ne sont pas toutes égales entre elles sur notre sol, au regard de la mémoire de la civilisation française.
Le rappel de la prééminence du fait culturel chrétien, inséparable des autres racines gréco-latine et humaniste qui composent l’héritage français, sera ainsi la clé qui permettra de « réenchanter » un modèle de société aujourd’hui à bout de souffle. Un travail d’introspection collectif qui permettra en somme (sans intention d’ériger sur notre sol le moindre État confessionnel) de redéfinir le cadre identitaire charnel de la France que chaque fidèle musulman sera tenu de respecter fidèlement ! Ceux qui refuseraient de se plier à cette nouvelle donne culturelle seraient alors amenés à regagner aussitôt leurs pays d’origine avec lesquels seraient organisées, par ailleurs, les modalités pratiques de cette politique inédite de remigration.
L’inscription des racines culturelles chrétiennes de la France dans le préambule de la Constitution de 1958, la refonte de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, la prise en compte dans notre conscience politique nationale d’un privilège de civilisation reconnu à la religion chrétienne, le traitement cultuel différencié de l’islam… autant de chantiers législatifs que nous avons à mener à bien très rapidement pour relever sans état d’âme le défi de l’islam en France ; une entreprise politique ambitieuse qui serait toutefois vouée à l’échec si, dans le même temps, nous ne parvenions pas en pratique à enrayer définitivement le phénomène migratoire et à recouvrer la maîtrise authentique de nos attributs de souveraineté.
Entre ceux qui considèrent naïvement que l’islam est compatible avec la République et ceux qui ne tirent aucune conséquence pratique à leur défiance de principe à l’égard de cette religion, ou ceux encore qui invoquent une improbable identité heureuse de la France pour prôner une politique irresponsable d’accommodements confessionnels, j’avoue ma profonde insatisfaction. Le courage de dire la vérité sur l’islam et la volonté politique de se hisser à la hauteur des enjeux de ce temps sont, en définitive, les deux vertus qui manquent cruellement dans le débat actuel, à l’approche pourtant d’échéances électorales qui s’annoncent décisives pour l’avenir du pays…
Karim Ouchikh
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