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lundi, 21 novembre 2016

45 % des étudiants n’iront pas voter en 2017 : ce qu’il faut leur dire…

 

 

45 % des étudiants affirment qu’ils n’iront pas voter à la présidentielle de 2017, selon un sondage IFOP pour L’Étudiant publié ce mardi, nous rapporte Boulevard Voltaire.

On ne saurait trop en recommander la lecture à Mme Marine Le Pen.

À la fois pour qu’elle prenne connaissance de l’analyse qui suit, notamment sur la nature de leurs intentions de vote, mais aussi pour qu’elle s’interroge sur les 45 % qui déclarent qu’ils n’iront pas voter. 

45 %, c’est beaucoup. 

Le souhait d’aller voter tient-il au niveau d’étude, comme nous l’affirme le même sondage ? Ou y a-t-il d’autres raisons ? Ne serait-ce pas aussi parce qu’ils ne se reconnaissent dans aucune offre politique ? 

Quant aux 55 % restants, si l’on peut dire, quand on leur demande qui, parmi les personnalités en lice pour la présidentielle, prend le mieux en compte leurs préoccupations d’étudiants, ils répondent que c’est vers Alain Juppé que va leur préférence (tiens, tiens, comme c’est étonnant). Suivi de M. Mélenchon. M. Sarkozy fermant la marche. 

N’y a-t-il pas matière à s’interroger sur cette jeune population qui s’apprête à donner ses votes pour un de ces trois islamophiles, multiculturalistes patentés ? Ou qui, en s’abstenant de choisir ou ne sachant pas qui choisir, n’ira pas voter ?

Que leur dire ?

Quel message leur passer ?

Compte tenu de la gravité de la situation, la moindre des choses ne serait-elle pas de leur poser la seule question qui vaille ? Simple. Binaire, même. Indépendante de leurs niveaux d’étude respectifs, de leur origine ou de leur intention d’aller ou non voter.
Question qui pourrait être, par exemple :
« Voulez-vous conserver votre culture française ou vivre sous la houlette du Coran ? »
Cette brûlante question, qu’aucun représentant politique n’a encore jamais osé leur poser, est aussi la seule qu’ils seraient en droit de nous reprocher de ne pas leur avoir posée si la poussée musulmane finissait par renverser définitivement la France !

Elle est donc très importante, cette question. Les jeunes Français ont le droit de savoir que nous sommes sur le point de perdre notre identité. Qu’il n’y aura pas de retour en arrière. Ils ont le droit de savoir que, par leur vote, ils peuvent encore orienter l’avenir. Leur avenir. Et cette question, sous une forme ou sous une autre, seul le Front national peut et doit avoir le courage de la lancer et de la porter jusqu’aux oreilles des jeunes générations. Pour qu’elle atteigne le cœur de chaque foyer et suscite échanges et discussions. Au diable le politiquement correct ! Il n’y a pas de plafond de verre ; il n’y a que des murs à pousser. L’heure de la vérité a sonné.
C’est en posant les bonnes questions au peuple américain que Donald Trump a remporté son bras de fer. 

Cette question, simple, démocratique et éminemment légitime, pourrait provoquer dans les mois qui viennent des discussions familiales salutaires. Et, par ricochet, obliger les parents s’apprêtant à voter LR ou PS à expliquer à leurs enfants pourquoi — contrairement à eux — ils devront renoncer à leur identité et n’auront d’autre choix que celui de la dhimmitude.

Arnaud Lefevre 

Source 

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