Où les ex-migrants de Calais font reparler d’eux. On se souvient que cet automne, à grands renforts de forces de l’ordre, d’autocars, de caméras et d’appels aux bons sentiments, les migrants de Calais avaient été évacués de la jungle pour être répartis sur l’ensemble du territoire national. Subito, ces clandestins, entrés illégalement sur le territoire de la République, étaient passés du statut intermédiaire et plutôt neutre de migrants à celui de réfugiés.
Une cinquantaine de ces migrants arrivèrent en Vaucluse, dans le village de Grambois, une commune de 1.200 habitants, aux portes du Luberon, plus précisément dans un centre de vacances de La Poste. Le Front national, avec Marion Maréchal-Le Pen, manifesta contre l’arrivée de ces clandestins. Les Républicains restèrent à la maison, évidemment. Il est vrai que la manifestation du Front national avait lieu à la même heure que Drucker ! Le Parti communiste, lui, écrivit au préfet afin de l’interdire pour risque de trouble à l’ordre public : un avis d’expert, comme vous pouvez l’imaginer ! En vain. Alors, la gauche et l’extrême gauche, piquées de voir le Front national oser venir sur ce qu’elles considèrent comme leur chasse gardée, manifestèrent contre cette manifestation, rameutant tout ce qu’elles pouvaient trouver comme associations biberonnées au lait des subventions publiques. Un rôle de composition, en somme.
Et puis, tant qu’à faire, mercredi, c’était au tour des clandestins de manifester – une quarantaine d’Érythréens. On imaginait qu’ils étaient assignés à résidence. Eh bien, non ! Les migrants – puisque, par la magie de l’administration française, ils ne sont plus clandestins – ont donc manifesté dans les rues de Pertuis, la ville la plus importante du secteur, bloquant au passage impunément la circulation. Une manifestation, non pas pour dire merci à la France et aux Français qui les entretiennent, les hébergent, les nourrissent et les soignent, mais parce qu’ils ne sont pas contents. Le gouvernement n’aurait pas tenu ses promesses, affirment-ils. Sang blague ! On ne leur avait sans doute pas expliqué la valeur des promesses du gouvernement socialiste… Et quelles étaient ces promesses ? Apparemment celle de pouvoir rejoindre la Grande-Bretagne rapidement. En effet, six de ces migrants arrivés à l’automne ont déjà pu rejoindre le Royaume-Uni ; les autres attendent toujours.
Outre le fait que l’autorité de l’État est bafouée par des personnes qui sont entrées illégalement sur notre sol, cette manifestation révèle l’absurdité absolue de la politique immigrationniste conduite par les socialistes et l’Union européenne. Vous ne voulez pas rester en France ? Eh bien, on va vous obliger à y rester. Au fond, faire le bonheur des gens malgré eux, cela doit être cela, le socialisme. Le bon sens voudrait qu’à une telle manifestation, l’État réponde : vous ne voulez pas rester en France ? Alors, que cela ne tienne, rentrez dans votre pays !
Le bon sens ? Celui que vous trouviez près de chez vous, pour reprendre une réclame d’antan. Aujourd’hui, vous avez plus de chances d’y trouver des migrants que ce fameux bon sens… Il se trouvera peut-être même des bonnes âmes pour suggérer à ces migrants-manifestants de réclamer le pouvoir de voter à la primaire de la gauche !
Georges Michel
Source
Une cinquantaine de ces migrants arrivèrent en Vaucluse, dans le village de Grambois, une commune de 1.200 habitants, aux portes du Luberon, plus précisément dans un centre de vacances de La Poste. Le Front national, avec Marion Maréchal-Le Pen, manifesta contre l’arrivée de ces clandestins. Les Républicains restèrent à la maison, évidemment. Il est vrai que la manifestation du Front national avait lieu à la même heure que Drucker ! Le Parti communiste, lui, écrivit au préfet afin de l’interdire pour risque de trouble à l’ordre public : un avis d’expert, comme vous pouvez l’imaginer ! En vain. Alors, la gauche et l’extrême gauche, piquées de voir le Front national oser venir sur ce qu’elles considèrent comme leur chasse gardée, manifestèrent contre cette manifestation, rameutant tout ce qu’elles pouvaient trouver comme associations biberonnées au lait des subventions publiques. Un rôle de composition, en somme.
Et puis, tant qu’à faire, mercredi, c’était au tour des clandestins de manifester – une quarantaine d’Érythréens. On imaginait qu’ils étaient assignés à résidence. Eh bien, non ! Les migrants – puisque, par la magie de l’administration française, ils ne sont plus clandestins – ont donc manifesté dans les rues de Pertuis, la ville la plus importante du secteur, bloquant au passage impunément la circulation. Une manifestation, non pas pour dire merci à la France et aux Français qui les entretiennent, les hébergent, les nourrissent et les soignent, mais parce qu’ils ne sont pas contents. Le gouvernement n’aurait pas tenu ses promesses, affirment-ils. Sang blague ! On ne leur avait sans doute pas expliqué la valeur des promesses du gouvernement socialiste… Et quelles étaient ces promesses ? Apparemment celle de pouvoir rejoindre la Grande-Bretagne rapidement. En effet, six de ces migrants arrivés à l’automne ont déjà pu rejoindre le Royaume-Uni ; les autres attendent toujours.
Outre le fait que l’autorité de l’État est bafouée par des personnes qui sont entrées illégalement sur notre sol, cette manifestation révèle l’absurdité absolue de la politique immigrationniste conduite par les socialistes et l’Union européenne. Vous ne voulez pas rester en France ? Eh bien, on va vous obliger à y rester. Au fond, faire le bonheur des gens malgré eux, cela doit être cela, le socialisme. Le bon sens voudrait qu’à une telle manifestation, l’État réponde : vous ne voulez pas rester en France ? Alors, que cela ne tienne, rentrez dans votre pays !
Le bon sens ? Celui que vous trouviez près de chez vous, pour reprendre une réclame d’antan. Aujourd’hui, vous avez plus de chances d’y trouver des migrants que ce fameux bon sens… Il se trouvera peut-être même des bonnes âmes pour suggérer à ces migrants-manifestants de réclamer le pouvoir de voter à la primaire de la gauche !
Georges Michel
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