Mais quand allons-nous enfin réagir ? À une certaine époque, quand un ennemi tentait de nuire à un pays, la première chose logique et saine à faire était de lui éclater la tronche à grand renfort de pierres, de flèches, de balles, de boulets ou de bombes (en fonction de l’époque).
A priori, ce n’est plus le cas en Europe ! « La faute à » une pax romana de 60 ans doublée d’une propagande multiculturaliste qui aurait fait rougir un Goebbels ou un Orwell. L’Européen est trop gros, trop gras, trop à son aise. Il est décadent mais se prétend être la gloire d’une civilisation !
Aujourd’hui l’Allemagne, hier la France, qu’en sera-t-il demain ? Quand comprendrons-nous que l’islam, qui se revendique aujourd’hui clairement notre ennemi, nécessite un principe de précaution dans tous les pays où il est présent ? Combien d’ambassadeurs devront laisser leur vie pour que l’on daigne bien sortir de notre supermarché et marcher contre nos ennemis ?
Pour toute réaction, nos politiciens n’ont eu que des mots compatissants, comme une litanie qu’ils répètent au fil des attentats. En soi, ce n’est pas critiquable… Sauf lorsqu’on sait que cette bande de jean-foutre nous ressort la même soupe chaque fois qu’un fondu vient se faire sauter le caisson en essayant de massacrer le plus de roumis possible !
« Les musulmans sont les premières victimes du terrorisme ! » nous répondra-t-on, comme pour justifier notre inaction.
Oui, mais non ! Car là, il ne s’agit pas de savoir si des musulmans se font dessouder par les mêmes fondus dans un pays d’Orient, mais de savoir ce que l’on peut faire pour ceux qui sont chez nous. Et puis on se bat contre les musulmans qui combattent Daech et on soutient ceux que l’on devrait combattre dans ces pays-là ! Taqiya ou non ? La France est-elle un pays de dhimmis ? Ses politiciens sans doute, vendus au Qatar, à l’Arabie saoudite, tapinant à la moindre occasion tout en se goinfrant de « tolérance » et de « lutte contre les discriminations ». Quant aux peuples européens, ils semblent avoir déjà choisi la servitude !
La pensée de la petite mère de l’Europe (Angela, pour ceux qui ne suivent pas), sitôt l’attentat de Berlin commis, a été pour les migrants, d’ailleurs : refuser l’amalgame et ne pas « céder à la peur ». Oui, il vaut mieux ! Céder à la peur, c’est donner aux hommes l’occasion d’être courageux dans le combat. Le contraire, c’est laisser les lâches défiler un crayon à la main pour la liberté d’expression… Et Dieu sait que l’Europe a besoin de lâches pour accepter docilement ce que ses politiciens ont prévu pour elle !
A priori, ce n’est plus le cas en Europe ! « La faute à » une pax romana de 60 ans doublée d’une propagande multiculturaliste qui aurait fait rougir un Goebbels ou un Orwell. L’Européen est trop gros, trop gras, trop à son aise. Il est décadent mais se prétend être la gloire d’une civilisation !
Aujourd’hui l’Allemagne, hier la France, qu’en sera-t-il demain ? Quand comprendrons-nous que l’islam, qui se revendique aujourd’hui clairement notre ennemi, nécessite un principe de précaution dans tous les pays où il est présent ? Combien d’ambassadeurs devront laisser leur vie pour que l’on daigne bien sortir de notre supermarché et marcher contre nos ennemis ?
Pour toute réaction, nos politiciens n’ont eu que des mots compatissants, comme une litanie qu’ils répètent au fil des attentats. En soi, ce n’est pas critiquable… Sauf lorsqu’on sait que cette bande de jean-foutre nous ressort la même soupe chaque fois qu’un fondu vient se faire sauter le caisson en essayant de massacrer le plus de roumis possible !
« Les musulmans sont les premières victimes du terrorisme ! » nous répondra-t-on, comme pour justifier notre inaction.
Oui, mais non ! Car là, il ne s’agit pas de savoir si des musulmans se font dessouder par les mêmes fondus dans un pays d’Orient, mais de savoir ce que l’on peut faire pour ceux qui sont chez nous. Et puis on se bat contre les musulmans qui combattent Daech et on soutient ceux que l’on devrait combattre dans ces pays-là ! Taqiya ou non ? La France est-elle un pays de dhimmis ? Ses politiciens sans doute, vendus au Qatar, à l’Arabie saoudite, tapinant à la moindre occasion tout en se goinfrant de « tolérance » et de « lutte contre les discriminations ». Quant aux peuples européens, ils semblent avoir déjà choisi la servitude !
La pensée de la petite mère de l’Europe (Angela, pour ceux qui ne suivent pas), sitôt l’attentat de Berlin commis, a été pour les migrants, d’ailleurs : refuser l’amalgame et ne pas « céder à la peur ». Oui, il vaut mieux ! Céder à la peur, c’est donner aux hommes l’occasion d’être courageux dans le combat. Le contraire, c’est laisser les lâches défiler un crayon à la main pour la liberté d’expression… Et Dieu sait que l’Europe a besoin de lâches pour accepter docilement ce que ses politiciens ont prévu pour elle !
Timi mater non flet (la mère du lâche ne pleure pas), nous rappelle un vieux proverbe latin : autres temps, autres mœurs, mais au moins, malgré tous leurs défauts, nos ancêtres ne refusaient jamais de défendre bravement une cause. Aujourd’hui, on voue un culte au lâche, à l’anti-héros, au déserteur, à celui qui fait la guerre sans la comprendre et qui fait tout pour la fuir : tu parles d’un exemple !
Peu de mères vont pleurer en Europe car les Européens, aujourd’hui, ont troqué le panache d’un Cyrano contre la lâcheté d’un Bardamu, l’honneur d’un Bigeard contre l’antimilitarisme d’un Sartre… Où sont les hommes ?
Henri d'Aramis
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