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samedi, 07 janvier 2017

Le « taharrush » – viol commis par des bandes de migrants – a encore frappé en Europe le soir du Nouvel An

Les médias francophones n’en disent restent très discrets sur le sujet. Un sujet toujours tabou au sein des rédactions de la presse politiquement correcte. Pourtant, les faits sont là. Cette fois encore, la nuit du Nouvel An a tourné au cauchemar pour des femmes agressées sexuellement par des bandes d’immigrés.

 
Le 31 décembre 2016, c’est en Autriche que plusieurs femmes ont subi les agressions sexuelles de groupes d’hommes décrits comme des immigrés.
 
De nombreuses plaintes ont été déposées dans la ville autrichienne d’Innsbruck (Tyrol). 
 
«Nous n’avons jamais été confrontés à quelque-chose de comparable dans le passé», avoue Ernst Kranebitter, de la police régionale. 
 
«Ils dansaient autour des victimes, puis leur ont soudainement saisi la poitrine ou mis la main entre les jambes. Tout s’est déroulé dans un cadre festif, rendant difficilement repérable ce qui ce passait», a ajouté Ernst Kranebitter. 
 
Craignant de tels incidents, la police autrichienne avait distribué 6.000 alarmes de poche destinées aux femmes. 
 
En vérité, de plus en plus de services de police à travers l’Europe considèrent que ces agressions sexuelles relèvent du Taharrush, un jeu de viol, pratiqué depuis longtemps dans toute l’Afrique du Nord et au Moyen-Orient.
 
Avec l’immigration massive de ces populations en Europe, ce sont leurs coutumes les plus barbares qui s’exportent chez nous. 
 

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