Ce qui semble le plus contestable est l'emploi par des journaux catholiques et même par des ecclésiastiques, du terme "Prophète" avec une majuscule, accolé au nom de Mahomet, car cela révèle une adhésion intellectuelle à une vérité qui n'est pas celle de l'Eglise : le dernier prophète n'est pas Mahomet mais Saint Jean-Baptiste. La dhimmitude intellectuelle existe.
Annie Laurent estime que la formule la plus correcte pour un catholique est soit « Mahomet », soit « le prophète de l’islam ».
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