samedi, 21 janvier 2017
Intégration & Oumma. Mensonges et fumisterie !
« Ne tuez point, sauf pour une cause juste »
Coran, sourate 17, verset 35
La campagne des présidentielles n’est officiellement pas encore commencée, d’autant moins que les candidatures ne sont pas closes et que l’on en est même à la désignation douloureuse et contradictoire des candidats dans certains bords. Mais déjà fleurissent bobards, promesses et mensonges grotesques.
Divers comiques troupiers de la collaboration à la nouvelle invasion y vont de leurs arguments propres à faire pleurer la Margotton : on ne doit pas assimiler islam et terrorisme ; le Djihâd n’est pas obligatoirement la guerre ; discriminer les « Français musulmans » des Français de souche européenne rappelle l’imposition de « l’étoile jaune » à une autre population… en une époque légèrement différente de la nôtre.
Commençons donc la lutte contre la désinformation par cette fameuse étoile. Elle n’a été rendue obligatoire en France que par l’Occupant allemand, à compter du 29 mai 1942, dans la portion (croissante à partir du 11 novembre 1942 puis en juillet 1943) du territoire qu’il s’était adjugée. Cet insigne n’a jamais été imposé par le régime de l’État français, sis à Vichy. Il est aisé de s’informer.
On nous ressasse l’argument fantaisiste selon lequel le Djihâd serait une épreuve de perfectionnement intime du muslim (fidèle) pour vaincre ses mauvais penchants. Certes, c’est la pure doctrine soufie, qui en tout pays du Dâr al-Islam fut toujours minoritaire et souvent persécutée.
N’importe qui peut se reporter au texte coranique, dépourvu d’ambiguïté (sourates 2, 4, 8, 9, 22, 47, 48, 58, 59, 60, 61) : le Djihâd est un combat guerrier, engageant tout muslim ni faible ni malade (le verset 17 de la sourate 48 n’exempte que l’aveugle, le boiteux et l’infirme), qui doit se terminer par la destruction physique des infidèles ou « idolâtres » (comparés à « des animaux vils », sourate 8, verset 57) qui combattent la propagation de l’islam, avec confiscation des biens et réduction en esclavage des familles des ennemis de l’islam.
« Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les, jusqu’à en faire un grand carnage » (sourate 47, verset 4). L’ennui est que tout ce qui n’est pas soumis à la Charî’a (la loi coranique) est, par définition, le Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Et le délicieux Muhammad en a ainsi décidé : « Allah rendra nulles les œuvres de ceux qui ne croient pas » (sourate 47, versets 1, 9, 10, 30, 34). Autrement dit : il n’est pas de bon infidèle. Qui ne croit pas au dénommé Allah ne peut être que « méchant » (Coran, passim).
L’ennui (bis) est que depuis les prêches du calife Abou Bakr II de Mossoul, qui ont débuté en 2014 avant même son intronisation, l’ensemble de la planète est devenue site de Djihâd, qu’il y ait ou non victimes collatérales musulmanes : « Aucun malheur n’atteint l’être humain sans la permission d’Allah » (sourate 64, verset 11). « Dieu reconnaîtra les siens » : on avait déjà entendu cette stupidité en Occident, mais on croyait révolue ce genre de période obscurantiste. Fatale erreur !
Il ne faut jamais oublier, comme le font nos irresponsables élus (et un très curieux pape jésuite), que le Coran considère comme étant le meilleur muslim celui qui meurt au combat pour propager l’islam (sourates 2, 47, 61), bien plus que le bon père de famille ou la mère exemplaire qui travaillent pour nourrir, élever leur progéniture. « Donne-nous la victoire sur les infidèles », ainsi se termine la sourate 2, tandis que la sourate 9 n’offre qu’une alternative au djihadiste : « la victoire ou le martyre » (verset 52).
Et l’on continue à introduire à dose massive en Occident du jeune musulman célibataire, soit le terreau privilégié du djihadisme. Au moindre mot d’ordre des fous furieux d’Allah, les 1500 ou 2000 cités de non-droit de France redeviendront des sites de guérilla urbaine. Il est évident qu’un Français des coins les plus reculés de Lozère, du Gers ou d’Ardèche n’a guère de raison statistiquement significative de redouter un attentat, mais qu’en est-il des malheureux Français de souche européenne des zones est ou nord de Paris, de Roubaix, Lille ou Douai, de Rouen et environs, de Lyon, Villeurbanne et Saint-Étienne, de Marseille et de Bordeaux, de Nantes et de Rennes, etc ?
La lecture du Coran est édifiante sur les conditions d’ « assimilation ». Lorsque, par la guerre civile ou par la loi du nombre, les mahométans auront triomphé dans un pays, le choix sera simple pour les « infidèles » : la conversion, l’extermination ou l’esclavage.
Reste à évoquer la chaleureuse Oumma, soit la communauté fraternelle des fidèles, où tout n’est que joie, bonheur et paix… à en croire mollahs, ulémas, imams. Bien sûr, en cas de grave accident au sein de la communauté musulmane, les mêmes prédicateurs en accusent une contamination par l’Occident maudit, composé de pervers et de débauchés, de voleurs et d’assassins, d’usuriers et de « méchants » etc.
Tous les historiens des religions sont unanimes à présenter les années de fondation d’un culte comme représentant « la pureté originelle » de cette foi. Las, les doctes universitaires et les clercs prêchant pour leur paroisse sont ou des menteurs, ou des aveugles volontaires ou encore des ignares… exactement comme le sont nos politiciens immigrationnistes.
Analysons ce que fut cette Oumma du vivant de l’illettré & halluciné Muhammad (ou Mahomet), qui reçut sa dictée (le Coran) de l’ange Gabriel (archange chez juifs et chrétiens), puis celle du premier siècle, Âge d’Or de l’islam, selon les merveilleux commentateurs.
Ce bon Mahomet meurt en 632, après une vie assez dissolue (au moins 4 divorces sur sa dizaine d’épouses, non comptabilisées ses esclaves) où ne manquent ni la commandite d’assassinats d’adversaires, ni le pillage de caravanes, ni les guerres intertribales ou entre les habitants des villes rivales de Yathrib (plus tard : Médine) et La Mecque.
À sa mort, semble-t-il naturelle, se disputent méchamment les bandes rivales de son oncle et beau-père Abou Bakr et de son cousin et beau-fils Ali. Le premier, père d’Aïcha épousée (et
« possédée » à l’âge de 9 ans), l’emporte, devenant le premier calife, mais il disparaît en 634, lui aussi de mort apparemment naturelle. Lui succède Omar, le conquérant sanguinaire, ultime destructeur de la bibliothèque d’Alexandrie, expédié au paradis d’Allah en 644 par un esclave perse qu’il avait trop maltraité. Arrive le tour d’Othmar que la tendre Aïcha expédie en un monde réputé meilleur avec l’aide d’Ali et de ses sbires.
Ce délicieux Ali, 4e calife, guerroie une quinzaine d’années contre… des musulmans, au point que se constitue la secte schismatique des Kharadjites qui se proclament seuls bons mahométans. En 661, Ali est assassiné à son tour et ses partisans, dépossédés du califat, fondent la secte des Chiites. Le gros des brebis de Mahomet reste fidèle à la tradition (ce sont les Sunnites), fondée sur le Coran, la Sîra (la biographie officielle du fondateur) et les centaines de volumes de Hadîths qui permettent à leurs savants exégètes de dire à peu près tout et son contraire… où serait le plaisir des théologiens s’ils ne pouvaient ajouter leur grain de sel à la soupe populaire ?
Du milieu du VIIe siècle au milieu du suivant, ce ne furent qu’extermination ou conversion par la force des zoroastriens et chrétiens de Mésopotamie, Perse, Syrie, Palestine, Égypte et, de là, l’ensemble du Maghreb, puis l’Ibérie et l’Aquitaine. Les Juifs, assez souples, furent souvent assez bien traités, mais pressurés d’impôts. Quant aux soldats byzantins, ils étaient exterminés, souvent après tortures immondes. Chaque conquête pour la plus grande gloire d’Allah le Tout-Puissant (mais qui n’était clément et miséricordieux qu’à ses seules ouailles) fut l’occasion d’une orgie de destruction de papyrus et de parchemins, de peintures et de sculptures, de pillages et de viols. Tout cela, parfaitement exact, est bien connu.
Ce qui l’est moins, c’est que ce premier siècle de la nouvelle foi en un énième dieu unique et véritable fut aussi une période de guerres intestines chez les mahométans. Alors, la notion de fraternité entre mahométans peut raisonnablement faire sourire l’athée et l’agnostique, qui en a assez de ces guerres de religions, de ces croisades menées au nom du « seul vrai dieu ».
En Europe débarrassée du fanatisme chrétien depuis un peu plus d’un siècle, il peut paraître grotesque de remettre ça, avec une religion obscurantiste dans ses dogmes, barbare dans ses usages. La lecture du Coran devrait être obligatoire pour tout citoyen de souche européenne : il est nécessaire de bien connaître son ennemi pour mieux le combattre.
En Europe, meurtrie par un chômage autochtone de masse et par les délocalisations d’entreprises, en ce continent dont la prospérité est affaiblie, l’immigration de consommateurs non-producteurs est une aberration, sauf pour les patrons de la grande distribution qui peuvent compter sur la complicité d’élus – dont chacun connaît le dévouement & la parfaite intégrité – pour injecter une partie des impôts dans une multitude d’allocations destinée à la consommation d’envahisseurs peu ou non qualifiés, guère ou non productifs… et dont certains sont des vandales, des violeurs, des voleurs & des racketteurs, voire d’honorables trafiquants et maquereaux.
C’est ce qui s’appelle : fournir un avenir de rêve aux enfants de souche européenne. Car si l’on y réfléchit bien, en Europe qui reste majoritairement étrangère à l’islam, la fameuse Oumma signifie beaucoup moins, pour les mahométans, être unis entre eux qu’être unis contre les Européens de souche.
Bernard Plouvier
La campagne des présidentielles n’est officiellement pas encore commencée, d’autant moins que les candidatures ne sont pas closes et que l’on en est même à la désignation douloureuse et contradictoire des candidats dans certains bords. Mais déjà fleurissent bobards, promesses et mensonges grotesques.
Divers comiques troupiers de la collaboration à la nouvelle invasion y vont de leurs arguments propres à faire pleurer la Margotton : on ne doit pas assimiler islam et terrorisme ; le Djihâd n’est pas obligatoirement la guerre ; discriminer les « Français musulmans » des Français de souche européenne rappelle l’imposition de « l’étoile jaune » à une autre population… en une époque légèrement différente de la nôtre.
Commençons donc la lutte contre la désinformation par cette fameuse étoile. Elle n’a été rendue obligatoire en France que par l’Occupant allemand, à compter du 29 mai 1942, dans la portion (croissante à partir du 11 novembre 1942 puis en juillet 1943) du territoire qu’il s’était adjugée. Cet insigne n’a jamais été imposé par le régime de l’État français, sis à Vichy. Il est aisé de s’informer.
On nous ressasse l’argument fantaisiste selon lequel le Djihâd serait une épreuve de perfectionnement intime du muslim (fidèle) pour vaincre ses mauvais penchants. Certes, c’est la pure doctrine soufie, qui en tout pays du Dâr al-Islam fut toujours minoritaire et souvent persécutée.
N’importe qui peut se reporter au texte coranique, dépourvu d’ambiguïté (sourates 2, 4, 8, 9, 22, 47, 48, 58, 59, 60, 61) : le Djihâd est un combat guerrier, engageant tout muslim ni faible ni malade (le verset 17 de la sourate 48 n’exempte que l’aveugle, le boiteux et l’infirme), qui doit se terminer par la destruction physique des infidèles ou « idolâtres » (comparés à « des animaux vils », sourate 8, verset 57) qui combattent la propagation de l’islam, avec confiscation des biens et réduction en esclavage des familles des ennemis de l’islam.
« Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les, jusqu’à en faire un grand carnage » (sourate 47, verset 4). L’ennui est que tout ce qui n’est pas soumis à la Charî’a (la loi coranique) est, par définition, le Dâr al-Harb (le domaine de la guerre). Et le délicieux Muhammad en a ainsi décidé : « Allah rendra nulles les œuvres de ceux qui ne croient pas » (sourate 47, versets 1, 9, 10, 30, 34). Autrement dit : il n’est pas de bon infidèle. Qui ne croit pas au dénommé Allah ne peut être que « méchant » (Coran, passim).
L’ennui (bis) est que depuis les prêches du calife Abou Bakr II de Mossoul, qui ont débuté en 2014 avant même son intronisation, l’ensemble de la planète est devenue site de Djihâd, qu’il y ait ou non victimes collatérales musulmanes : « Aucun malheur n’atteint l’être humain sans la permission d’Allah » (sourate 64, verset 11). « Dieu reconnaîtra les siens » : on avait déjà entendu cette stupidité en Occident, mais on croyait révolue ce genre de période obscurantiste. Fatale erreur !
Il ne faut jamais oublier, comme le font nos irresponsables élus (et un très curieux pape jésuite), que le Coran considère comme étant le meilleur muslim celui qui meurt au combat pour propager l’islam (sourates 2, 47, 61), bien plus que le bon père de famille ou la mère exemplaire qui travaillent pour nourrir, élever leur progéniture. « Donne-nous la victoire sur les infidèles », ainsi se termine la sourate 2, tandis que la sourate 9 n’offre qu’une alternative au djihadiste : « la victoire ou le martyre » (verset 52).
Et l’on continue à introduire à dose massive en Occident du jeune musulman célibataire, soit le terreau privilégié du djihadisme. Au moindre mot d’ordre des fous furieux d’Allah, les 1500 ou 2000 cités de non-droit de France redeviendront des sites de guérilla urbaine. Il est évident qu’un Français des coins les plus reculés de Lozère, du Gers ou d’Ardèche n’a guère de raison statistiquement significative de redouter un attentat, mais qu’en est-il des malheureux Français de souche européenne des zones est ou nord de Paris, de Roubaix, Lille ou Douai, de Rouen et environs, de Lyon, Villeurbanne et Saint-Étienne, de Marseille et de Bordeaux, de Nantes et de Rennes, etc ?
La lecture du Coran est édifiante sur les conditions d’ « assimilation ». Lorsque, par la guerre civile ou par la loi du nombre, les mahométans auront triomphé dans un pays, le choix sera simple pour les « infidèles » : la conversion, l’extermination ou l’esclavage.
Reste à évoquer la chaleureuse Oumma, soit la communauté fraternelle des fidèles, où tout n’est que joie, bonheur et paix… à en croire mollahs, ulémas, imams. Bien sûr, en cas de grave accident au sein de la communauté musulmane, les mêmes prédicateurs en accusent une contamination par l’Occident maudit, composé de pervers et de débauchés, de voleurs et d’assassins, d’usuriers et de « méchants » etc.
Tous les historiens des religions sont unanimes à présenter les années de fondation d’un culte comme représentant « la pureté originelle » de cette foi. Las, les doctes universitaires et les clercs prêchant pour leur paroisse sont ou des menteurs, ou des aveugles volontaires ou encore des ignares… exactement comme le sont nos politiciens immigrationnistes.
Analysons ce que fut cette Oumma du vivant de l’illettré & halluciné Muhammad (ou Mahomet), qui reçut sa dictée (le Coran) de l’ange Gabriel (archange chez juifs et chrétiens), puis celle du premier siècle, Âge d’Or de l’islam, selon les merveilleux commentateurs.
Ce bon Mahomet meurt en 632, après une vie assez dissolue (au moins 4 divorces sur sa dizaine d’épouses, non comptabilisées ses esclaves) où ne manquent ni la commandite d’assassinats d’adversaires, ni le pillage de caravanes, ni les guerres intertribales ou entre les habitants des villes rivales de Yathrib (plus tard : Médine) et La Mecque.
À sa mort, semble-t-il naturelle, se disputent méchamment les bandes rivales de son oncle et beau-père Abou Bakr et de son cousin et beau-fils Ali. Le premier, père d’Aïcha épousée (et
« possédée » à l’âge de 9 ans), l’emporte, devenant le premier calife, mais il disparaît en 634, lui aussi de mort apparemment naturelle. Lui succède Omar, le conquérant sanguinaire, ultime destructeur de la bibliothèque d’Alexandrie, expédié au paradis d’Allah en 644 par un esclave perse qu’il avait trop maltraité. Arrive le tour d’Othmar que la tendre Aïcha expédie en un monde réputé meilleur avec l’aide d’Ali et de ses sbires.
Ce délicieux Ali, 4e calife, guerroie une quinzaine d’années contre… des musulmans, au point que se constitue la secte schismatique des Kharadjites qui se proclament seuls bons mahométans. En 661, Ali est assassiné à son tour et ses partisans, dépossédés du califat, fondent la secte des Chiites. Le gros des brebis de Mahomet reste fidèle à la tradition (ce sont les Sunnites), fondée sur le Coran, la Sîra (la biographie officielle du fondateur) et les centaines de volumes de Hadîths qui permettent à leurs savants exégètes de dire à peu près tout et son contraire… où serait le plaisir des théologiens s’ils ne pouvaient ajouter leur grain de sel à la soupe populaire ?
Du milieu du VIIe siècle au milieu du suivant, ce ne furent qu’extermination ou conversion par la force des zoroastriens et chrétiens de Mésopotamie, Perse, Syrie, Palestine, Égypte et, de là, l’ensemble du Maghreb, puis l’Ibérie et l’Aquitaine. Les Juifs, assez souples, furent souvent assez bien traités, mais pressurés d’impôts. Quant aux soldats byzantins, ils étaient exterminés, souvent après tortures immondes. Chaque conquête pour la plus grande gloire d’Allah le Tout-Puissant (mais qui n’était clément et miséricordieux qu’à ses seules ouailles) fut l’occasion d’une orgie de destruction de papyrus et de parchemins, de peintures et de sculptures, de pillages et de viols. Tout cela, parfaitement exact, est bien connu.
Ce qui l’est moins, c’est que ce premier siècle de la nouvelle foi en un énième dieu unique et véritable fut aussi une période de guerres intestines chez les mahométans. Alors, la notion de fraternité entre mahométans peut raisonnablement faire sourire l’athée et l’agnostique, qui en a assez de ces guerres de religions, de ces croisades menées au nom du « seul vrai dieu ».
En Europe débarrassée du fanatisme chrétien depuis un peu plus d’un siècle, il peut paraître grotesque de remettre ça, avec une religion obscurantiste dans ses dogmes, barbare dans ses usages. La lecture du Coran devrait être obligatoire pour tout citoyen de souche européenne : il est nécessaire de bien connaître son ennemi pour mieux le combattre.
En Europe, meurtrie par un chômage autochtone de masse et par les délocalisations d’entreprises, en ce continent dont la prospérité est affaiblie, l’immigration de consommateurs non-producteurs est une aberration, sauf pour les patrons de la grande distribution qui peuvent compter sur la complicité d’élus – dont chacun connaît le dévouement & la parfaite intégrité – pour injecter une partie des impôts dans une multitude d’allocations destinée à la consommation d’envahisseurs peu ou non qualifiés, guère ou non productifs… et dont certains sont des vandales, des violeurs, des voleurs & des racketteurs, voire d’honorables trafiquants et maquereaux.
C’est ce qui s’appelle : fournir un avenir de rêve aux enfants de souche européenne. Car si l’on y réfléchit bien, en Europe qui reste majoritairement étrangère à l’islam, la fameuse Oumma signifie beaucoup moins, pour les mahométans, être unis entre eux qu’être unis contre les Européens de souche.
Bernard Plouvier
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